Islam et terreur : de la foi individuelle à l’action politique. Une contradiction majeure traverse l’Islam en tant qu’il se pose à la fois comme croyance individuelle et comme action politique.
Le croyant aspire à la plus grande pureté possible, laquelle est par définition contraire à l’action politique qui comme le notait Merleau-Ponty, “est de soi impure, parce qu’elle est action de l’un sur l’autre et parce qu’elle est action à plusieurs.” (Humanisme et terreur*).
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Donc, l’expression de la pureté est par essence individuelle. A contrario, l’action politique se manifeste par l’action du groupe.
- Chez les chrétiens, l’engagement individuel total dans la pratique religieuse entraîne le retrait non moins total du monde : retrait dans un couvent, monastère…voire dans le désert.
- Il en est de même chez les Juifs religieux qui pour pratiquer leur religion, se retirent dans une école, se livrant exclusivement à l’étude des textes.
- Chez les musulmans, l’engagement individuel total dans le religieux conduit un nombre considérable de croyants au terrorisme.
La projection des critères propres à la démarche individuelle sur le monde politique des actions humaines, conduit nécessairement à la violence et à la plus extrême des terreurs telle qu’elle a pu s’exprimer librement chez les Talibans ou Daesh.
lorsque l’Islam (tout comme le communisme) passe du plan individuel au plan politique, il y a basculement dans le règne de la terreur
Ainsi s’explique le fait que les musulmans pris individuellement comme croyants sont animés par de bons sentiments, mais dès lors qu’ils accèdent à des revendications politiques, et ce, quel qu’en soit le niveau, instaurent toujours et partout un régime fondé sur la contrainte et l’exclusion de l’autre : le premier niveau au sein de la famille, puis d’un immeuble, puis s’étend jusqu’au pays en passant par les quartiers et les villes.
Ce phénomène s’observe également dans le monde communiste.
Le militant communiste poursuit des objectifs de justice estimables, mais à partir du moment où cette aspiration à la réalisation des grands idéaux s’investit dans le domaine politique, elle devient violence (Stalinisme, Castrisme, Guevarisme, Polpotisme…)
En clair, lorsque l’Islam (tout comme le communisme) passe du plan individuel au plan politique, il y a basculement dans le règne de la terreur.
Mettre un terme à la violence islamique ne pourra se faire qu’au prix d’une réforme profonde de l’Islam par laquelle la sphère religieuse et la sphère politique seront définitivement séparées.
Une telle réforme est-elle possible?
Pour le moment, aucun des 52 États qui se revendiquent de cette religion ne l’a mise en pratique vraiment.
Partout on observe une confusion plus ou moins grande entre ces deux instances.
Partout dans le monde musulman, la violence qui règne est directement proportionnelle au niveau de fusion de ces deux instances, la fusion totale donnant la violence la plus extrême (Talibans, Daesh).
Le monde politique puise certes ses valeurs dans le religieux mais ne doit jamais se confondre avec lui.
un compromis politique est assimilé à une défaite religieuse
Le Prince et le prêtre n’obéissant pas à la même logique, les fonctions et les buts respectifs des uns et des autres doivent être distincts. Chacun doit conserver son indépendance et son autonomie.
Lorsqu’il y a domination d’une instance sur l’autre, il y a violence.
Lorsqu’il y a fusion du religieux et du politique, il y a totalitarisme et donc terreur.
Les Palestiniens ayant cédé à la confusion des instances politiques et religieuses, totalement avec le Hamas, partiellement avec l’Autorité palestinienne livrée de plus en plus à la dérive religieuse, aucune paix ne devient possible avec eux.
Dans cette mesure, un compromis politique est assimilé à une défaite religieuse, à un “triomphe des Juifs” incompatible avec l’enseignement de l’Islam qui pose ces derniers comme dhimmis, c’est-à-dire, sujets de seconde zone, soumis aux musulmans.
Or pour le musulman, il est intolérable et inacceptable que le dhimmi impose sa vision, sa loi.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
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l’islam ne prend pas tellement en compte l’individu, mais raisonne à partir du collectif: la oumma. Pour elle, l’individu doit obéir aux injonctions et se soumettre. Ainsi, le jihad, 6ème pilier de l’islam pour beaucoup de “savants” islamiques.
Seuls le judaïsme et le christianisme s’adressent à des personnes, ce sont des religions personnalistes, ce qui implique individualité et communauté en interaction.
Complètement d’accord avec vous, j’ai développé ces idées dans mon 1er commentaire ci-dessous
Je dirais même que l’islam nie l’individu: l’idée d’individu suppose l’autonomie et le libre-arbitre, la faculté de penser par soi-même, de ne pas suivre de modèle imposé, or le musulman est totalement soumis à l’islam et à Mahomet, il doit se conformer et suivre le Modèle qu’est celui-ci (c’est texto dans le Coran), et ne surtout pas penser par lui-même. Il n’y a pas d’individus, seulement des membres de l’Oumma.
Oui.il ne saurait y avoir la moindre parcelle de liberté et donc de sujet puisque cette parcelle échapperait à l ‘ absolu absolu divin.
Le plus grave …de cela s implique puisqu il n y a aucune intériorité …que l extérieur …..soumis …manifeste die. …et le manifeste. ..tout aussi absolument. Donc il est toujours aussi urgent à peine d ‘ avoir tout faux d éliminer tout ce qui résiste à se soumettre. En cela la violence est consubstantielle à l islam.
“Il en est de même chez les Juifs religieux qui pour pratiquer leur religion, se retirent dans une école, se livrant exclusivement à l’étude des textes.”
C’est complètement faux, Mr Touati.
Parlez plutôt de ce que vous savez, ce sera mieux.
Certes !
“Une telle réforme est-elle possible ? Pour le moment, aucun des 52 États qui se revendiquent de cette religion ne l’a mise en pratique vraiment.”
C’est également faux. Il y a de nombreux Etats arabo-musulmans – comme l’Algérie, la Tunisie et l’Egypte – qui éradiquent les djihadistes présents sur leurs sols, en prenant bien moins de précautions que ne le font les pays occidentaux.
La Tora nous (Juifs) enjoint de faire des remontrances (hokhiakh tokhiakh et amitekha) et on oublie souvent d’en remarquer deux points essentiels : une remontrance s’arrête à la parole : on n’oblige personne (respect du libre arbitre) et deuxio, des remontrances dans ton peuple (amitekha) donc on reste “en famille”. C’est déjà un vérou contre les très religieux (haredi) au pouvoir s’il en était …
En ce qui concerne la religion et la politique, je ne pense pas, comme l’auteur, qu’il soit un mélange exclusivement foireux avec l’Islam.
Ce sont deux pouvoirs extrêmes et COMPLÉMENTAIRES, qu’aucun homme, même le plus avisé de tous, ne peut conduire (Écoutez à ce sujet le cours du Rav Dynovisz sur le 9 Av dernier, disponible -je ne sais plus où exactement- sur internet).
Les arabes, indépendamment de l’Islam, sont des psychorigides qui ne transigent pas (en général), et c’est pour ça qu’ils ont tous couru en masse vers l’Islam qui est une religion pas qu’un peu bornée interdite aux commentaires …
Le politiciens sont à une extrémité du compromis et les religieux à l’autre extrémité, il doit bien y avoir quelque chose entre les deux ?
mais vous êtes d’accord de dire que tous les ultra religieux ne sont pas des neturé karta?
Sans doute
À Abbé Arbez
Ces Neturei Karta, savez-vous ce que c’est ? Combien ils sont ?
C’est un micro-groupuscule de 12 ou 15 véritables attardés mentaux, sans structure légale et sans aucun soutien rabbinique légal ni reconnu, quel qu’il soit.
Ils ne représentent pas la religion, ni les religieux, ni les non-religieux.
Ils ne représentent que les mollah de Téhéran, de Beyrouth et de Ramalla, chez qui ils ont entrée libre.
L’entièreté du corps rabbinique (tous pays confondus) et l’entièreté du Peuple Juif les a déjà éjectés et excommuniés [Hérem] pour connivence avec l’ennemi.
Mais ils ne réforment pas l’islam pour autant. Bien au contraire ils s’appuient dessus.
Seule la Tunisie évolue dans le sens de la laïcité, mais il ne s’agit pas non plus de réforme de l’islam, plutôt de donner en l’imposant politiquement la liberté de pensée à tous (et donc de quitter l’islam), et en l’imposant de force à l’islam.
Quelque part à la façon de Mustapha Kemal en Turquie. La seule voie qui fonctionne: on ne réforme pas l’islam, on le fait reculer et si possible on l’éradique.
Comme c’est curieux, l’Algérie, la Tunisie et l’Égypte sont des foyers de terroristes qui sevicent partout dans ce bas Monde. Si ces 3 pays – ce ne sont pas les seuls – avaient vraiment une politique anti terroristes, ils faudrait qu’ils revoient l’éducation de ses habitants ou changer de religion.
On ne peut pas diffuser une maladie mortelle puis dire qu’il faut vite l’éradiquer .
Non, partout où l’islam est présent il propage la terreur. Cette attitude de guerre contre les incroyants est l’application des textes du Coran. Être musulman c’est suivre, sans aucune dérogation ni réflexion, les textes sacrés pour la conquête, par tous les moyens, du Monde des infidèles.
Très juste.
juste une question de pouvoir.
Ils nous les refilent!
Désolé mais comme les précédents commentaires, je trouve votre analyse erronée et non pertinente.
Selon moi vous commettez la sempiternelle erreur que commettent les européens pour qui toute religion ressemble structurellement voire suit la forme judéo-chrétienne, celle qui leur est familière, et donc projettent sur l’islam ce modèle, pensant que les musulmans vivent psychologiquement et socialement leur “religion” de la même façon que les juifs ou les chrétiens.
Or l’islam n’est absolument pas une croyance religieuse au sens où nous l’entendons.
Comme le dit l’abbé Arbez, être musulman c’est avant tout appartenir à la communauté, au monde musulman, à ses mœurs et à ses règles de comportements.
L’islam est un groupe sectaire, une secte à gourou ; ce sont des gens sous emprise. Il ne s’agit pas du tout d’une libre croyance résultant d’un choix conscient individuel, réfléchi, mais imposée. L’appartenance se décide toujours sous l’action et la pression du groupe d’adeptes, que ce soit par naissance (qui ne laisse aucun choix) ou par conversion (la secte attire de nouveaux adeptes en les embobinant).
Dans le christianisme ou le judaïsme (en tout cas dans leurs versions modernes, post-médiévales), on attend du croyant une adhésion volontaire et consciente selon une démarche individuelle, la foi étant toujours et en permanence conjuguée au doute potentiel, en tout cas latent. La foi suppose même le doute puisqu’il s’agit de croire sans preuves, et malgré le doute, et cela est dit explicitement, sinon ce n’est pas la foi. On le voit bien dans les récits des saints, par exemple, ou le doute sur l’existence ou non de Dieu, et sur leur engagement dans la foi leur revient en permanence, doute totalement valorisé.
Rien de tout cela en islam, où il est absolument hors de question d’émettre le moindre doute, que ce soit la croyance en Allah ou les commandements intangibles et définitifs du soi-disant prophète. Comme le signifie islam, il faut se soumettre totalement à ce système de pensée et de comportement, sous peine de sanctions sévères, jusqu’à la peine de mort.
On demande à l’adepte une adhésion, une obéissance, une soumission totale et inconditionnelle, sans remises en cause et en question possibles: “j’écoute et j’obéis” (une phrase classique dans le monde musulman), comme un parfaitserviteur et soldat. Ou un zombie.
Car l’islam est un système de domination, d’emprise sur les individus. Cette emprise s’exerce d’une part par la subjugation en utilisant la croyance religieuse (le gourou prétendant en être le dépositaire et le messager, l’Envoyé de Dieu), et d’autre part sur la peur: peur du châtiment divin virtuel, mais aussi et surtout du châtiment humain bien concret lui
Ce système n’est donc au final possible que par une extrême coercition tant mentale que pshysique. Comme l’a avoué al-Qardawi : sans la peine de mort pour les apostats, l’islam n’existerait plus. Et cette coercition s’étend aux non-musulmans, car d’une part ils refusent de se soumettre alors que toute l’humanité est censée le faire selon le projet du prophète fou qui comme tant d’autres fous rêvait d’être “maître du monde” et voulait étendre sa domination à tous, d’autre part ils sont par leur seule existence une remise en cause de l’islam, et donc constituent un danger pour la survie de celui-ci en tant que communauté sectaire.
Et voilà pourquoi il est du devoir du musulman non pas de pratiquer le terrorisme, mais tout simplement de combattre pour l’islam: il faut convertir ou éliminer tous ceux qui en doutent, les mécréants bien sûr mais aussi les tièdes. Le djihad* est d’ailleurs considéré par beaucoup de “théologiens”** musulmans comme le sixième pilier de l’islam
*[djihad, action, effort pour développer et répandre l’islam, quel que soit le moyen employé, la guerre “sainte” ou la violence en faisant partie sans restriction]
**[là-bas on dit plutôt “savants”, dans le sens d’érudits formés à l’interprétation, la théologie véritable étant une pratique chrétienne qui n’a pas son équivalent dans l’islam : aucun musulman ne s’interroge sur la nature et la connaissance philosophique d’Allah, et les implications sur la pratique religieuse. Encore un exemple du fossé conceptuel qui sépare l’islam de nos religions]
@Octave, seuls les naïfs ignorants et incultes imaginent l’islam comme une religion qui pourrait ressembler à celles que nous avons dans nos pays judéo chrétiens, de culture gréco latines ou boudistes, de Chine ou du Japon.
Il suffit de lire les actualités, entendre les interrogatoires des terroristes, et observer les pratiques religieuses et morales des musulmans pour constater que l’islam n’est pas une relgion comme les autres. Le Coran est un livre de guerre religieuse engageant tous les musulmans au djihad, à la conquête du monde non musulman par le glaive et la terreur.
Nous ne faisons pas l’amalgame…
Je suis d’accord avec vous pour l’islam, vous et moi le savons, mais c’est assez naturel de plaquer ce qu’on connaît sur ce qu’on ne connaît pas pour essayer de le comprendre. Et le grand public ne connait pas grand chose aux religions, encore moins à l’islam, ils n’ont rien lu sur le sujet et ne l’ont pas spécialement étudié.
Si on vous dit que l’islam est une religion, vous allez naturellement le rapprocher de ce que vous connaissez en matière de religion et donc du christianisme si vous êtes de culture chrétienne, penser que c’est une sorte de variante.
Par ailleurs on cherche aussi souvent à se rassurer, et donc on va vouloir croire à des assertions du genre (je l’ai lu dans des forums) “toutes les religions sont pacifiques et veulent la paix” [difficile à soutenir quand on songe aux religions de l’Amérique précolombienne pratiquant le sacrifice humain à l’échelle industrielle]
On ne peut pas le reprocher aux gens ordinaires. Il faut leur ouvrir les yeux en les informant sur l’islam réel et la psychologie des muuslmans.
Malheureusement beaucoup ne veulent pas y croire, d’une part parce que c’est trop dérangeant et inquiétant, et d’autre part parce qu’une foule d’activistes, intellectuels ou journalistes, viennent au secours des propagandistes musulmans suprémacistes et désinforment sciemment en reprenant les balivernes sur l’islam RATP, sur les prétendues “Lumières” de l’islam médiéval (bien surestimées), etc.
Oui Octave, le public ne connaît pas grand-chose au religions, mais parfois juste quelques mots suffisent.
À 3:45 il explique en 2 phrases ce qui nous pend au nez :
https://www.youtube.com/watch?v=RWcVguB0GaY
et la raison pour laquelle la “Traitor Class” (c-à-d Tony Blair, Merkel, l’UE etc.) ne feront rien contre les attaques, les viols, le jihad d’Europe.
“… because the Traitor Class fears islam !”
https://www.youtube.com/watch?v=hnKXpeBq_ts
très bonne analyse.
Je ne lis même pas le texte à priori !
Comment expliquez-vous que l’on répète cette litanie de l’impossibilité de l’intégration
de l’islam en Occident depuis au moins 20 ans ?
Maintenant je lis votre texte …
Une autre erreur dans votre réflexion selon moi, c’est l’idée de l’engagement individuel: il n’y a pas à proprement parler d’engagement individuel dans la religion en islam, au sens où nous l’entendons de recherche spirituelle personnelle. L’engagement est perçu comme une appartenance plus forte au groupe, un retour à soi-même, à sa vraie nature de musulman, une adhésion rigoriste aux préceptes et se manifeste non par l’action sur soi-même dans un but de développement spirituel*, mais dans un but de conformité au modèle idéal du “bon musulman” , et à l’action sur les autres pour les ramener au bercail, à être eux-mêmes de bons musulmans, c’est-à-dire parfaitement soumis à Mahomet (officiellement à Allah, mais dans l’islam celui-ci procède exclusivement de Mahomet, il n’est connu que par son truchement obligé, donc en réalité on se soumet aux lubies du prétendu “messager”, car Mahomet raconte ce qu’Il veut et on est prié de le croire sur parole – c’est le cas de le dire).
D’où le fait que le “bon musulman” l’est de façon parfaitement manifeste, publique et ostentatoire, et pas dans le secret de son cœur. Il l’est pour les autres autant voire plus que pour lui-même, pour être considéré et leur montrer l’exemple,- ou leur faire la leçon! (ce qui en passant est une manière de ressentir du pouvoir, une source de satisfaction)
* il y a une exception qui concerne le soufisme ou au moins certaines formes de soufisme. Le soufisme suppose bien une recherche spirituelle personnelle, mais il est vraiment difficile de savoir s’il s’agit d’islam véritable, ou de sectes spiritualistes ou mystiques se dissimulant sous le masque apparent de l’islam pour échapper à ses foudres et survivre en environnement hostile – ce qui est d’ailleurs l’opinion des salafistes et wahhabites à leur égard. En Afghanistan, les talibans zigouillent les soufis.
Et donc en tout cas cela ne concerne en aucune façon les musulmans orthodoxes ordinaires, salafs etc., en particuliers sunnites.
Le soufisme prône en effet une interprétation ésotérique des textes, il postule un sens caché, le sens littéral étant rejeté, parce que la Connaissance ne doit pas être accessible à n’importe qui, à une personne qui n’en est pas digne (ex: quand on dit qu’il faut couper les membres d’un voleur, il faut le prendre dans un sens métaphorique (le “voleur” pouvant être l’ignorant qui pense qu’on peut dérober la Connaissance, l’acquérir en la prenant à un autre) et pas le faire en vrai, ce qui est une erreur grave d’ignorant complet, d’imbécile). L’inverse donc du sunnisme, totalement exotérique et littéraliste, sans aucun mystère, qui prend les textes au pied de la lettre et au premier degré (sunna veut dire respect de la tradition, des textes)
Si les musulmans se soumettent les souffis sont des mystiques. Les degats sont identiques. Le sujet n esr rien moins qu’ absent.
Lien vers le cours du Rav Dynovisz évoqué dans mon précédent commentaire.
Ecoutez à partir de la minute 38 …
http://ravdynovisz.tv/fetes_juives/vive-france-24-juillet-2017/
De vivre en groupe sans cesse les uns sur les autre tue toute intimité et la possibilité de développer l’intelligence et le libre arbitre…
même les nazis n’avaient pas réussi à avoir un outil aussi parfait de contrôle des populations !