L’ex-président de la Chambre des représentants, New Gingrich, a été interviewé par Maria Bartiromo lors de son émission télévisée du dimanche sur Fox News, Sunday Morning Futures, dimanche le 30 avril. M. Gingrich a prévenu qu’on doit porter attention au fait que Susan Rice a peut-être quitté le régime corrompu de Joe Biden dans le but de préparer la candidature de Michelle Obama à l’élection présidentielle de 2024. Des analystes conservateurs tels que Kurt Schlichter du site Townhall, ont commenté cette réflexion de M. Gingrich, en mettant de l’avant le fait que Michelle Obama aurait de sérieuses chances de battre Donald Trump. Je ne suis pas d’accord avec cette affirmation, mais l’évaluation de Mme Obama par M. Schlichter, me paraît intéressante et digne de mention. Je crois que la plupart des analystes surestiment la popularité de Michelle Obama qui est une figure connue mais pas nécessairement populaire.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Kurt Schlichter, paru sur le site de Townhall, le 1^er mai.

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Le scénario cauchemardesque de la candidature de Michelle Obama

En ce moment, toute l’attention porte sur les candidats républicains pour la nomination, mais elle devrait porter sur les candidats démocrates déclarés ou potentiels.

Après l’annonce, par le pervers desséché qui se fait passer pour notre président et pense qu’il peut faire un deuxième mandat, la triste réalité est que les seules personnes qui se réjouissent de la présidence de Joe Biden sont la prétendue “Docteure”, Jill Biden, et l’ex-président Jimmy Carter, qui constate sereinement qu’il n’a pas été le pire président du siècle dernier grâce à Grand-Papa-aux-doigts-crochus.

Tout le monde savait que Joe Biden est un monstre dément et un idiot bien avant que son esprit ne se désintègre en une sorte de bouillie semblable à celle qu’il mange sur sa chaise berçante tous les après-midi, en regardant des rediffusions de vieilles séries télévisées.

Dommage – pour nous – que ses rêves de siéger dans le Bureau Ovale aient dû se réaliser à un moment où, à l’étranger, nous assistons à la montée d’un concurrent pur et dur pour la première fois depuis des générations, et où, à l’interne, notre pays est sur le point de se déchirer entre les intérêts divergents des patriotes et des Démocrates.

L’élection de 2024 est donc importante.

Maintenant, les Démocrates font tout ce qu’ils peuvent pour paver la voie de Joe Biden, ce qui est une bonne chose parce qu’il est si fragile qu’il ne peut pas marcher sur un sol fissuré. Ils ont déjà fait en sorte qu’il ne se présente jamais seul devant les caméras – il a donné moins de conférences de presse que tous les présidents depuis qu’il y a des crieurs publics, et lorsqu’il le fait, ses aides lui soumettent des questions écrites à l’avance.

Même certains médias commencent à laisser entendre que ce type est trop vieux pour être président (il est même trop vieux pour changer lui-même ses couches).

Le New York Times, avec son attitude typique de poule mouillée, a un peu tourné autour du pot, mais les médias alliés du régime ont peur de dire ouvertement la vérité : ce type a besoin d’une montre en or et d’être exilé à Sunny Acres.

Ne croyez pas qu’il n’y a pas un tas de Démocrates qui rêvent de la présidence et qui consultent les tables actuarielles en plantant des épingles dans la poupée vaudou qui représente Joe Biden.

• Kamala Harris mesure les rideaux depuis le premier jour, mais elle est tellement bête qu’elle le fait probablement dans la mauvaise pièce de la Maison-Blanche.
• Gavin Newsom s’efforce d’obtenir une certaine reconnaissance pour autre chose que les clochards qui squattent les trottoirs, en quittant le cloaque bouillonnant qu’est la Californie et en prétendant dire à la Floride comment faire les choses correctement.
• De plus, Hillary Clinton (surnommée Felonia von Pantsuit) est toujours en forme, et ce n’est pas comme si elle avait l’attention de son mari pour la distraire. Vous savez que Bill Clinton serait ravi qu’elle demeure à Washington, surtout parce qu’elle n’aurait pas l’occasion d’entrer dans la chambre de leur villa de Chappaqua et de le surprendre dans le jacuzzi en train de faire des lignes sur le derrière de deux femmes aux seins nus.

Mais il existe un autre scénario cauchemardesque, qui devrait donner des frissons à tous les Américains qui ne veulent pas voir ce pays s’effondrer dans le chaos et la désolation la plus totale.

Quelles sont les chances que Michelle Obama sorte de sa coûteuse et luxueuse retraite pour tenter de porter la bannière des Démocrates en 2024 ?

Elle a certainement suscité beaucoup de spéculations et de craintes chez les Républicains.

Les Républicains ont raison de la redouter.

Les femmes des banlieues qui boivent du Chardonnay, qui ont trop de diplômes, qui sont sous-éduquées et sexuellement insatisfaites et qui adorent Michelle Obama formeront un groupe démographique clé en 2024.

Michelle aura leur appui à 100 % comme la compagnie Häagen-Dazs.

Elles ne voteront jamais pour Donald Trump.

Elles le détestent avec ferveur, en grande partie parce que son caractère affirmé de mâle alpha fait ressortir la nature soumise des mâles bêta avec lesquels ces biques amères se sont mises en couple, mais aussi parce qu’il est vraiment insupportable.

Maintenant, elles pourraient opter pour Ron DeSantis si, et seulement si, l’enfer se déchaîne dans l’économie, ce dont nous pouvons être presque sûrs, ou si la menace transgenre qui pèse sur leurs filles menace de faire dérailler les efforts incessants de leurs enfants.

Alors, Ron DeSantis peut-être, mais Donald Trump, pas question.

Ces affreuses personnes se rendront en masse aux urnes pour voter contre Donald Trump, excitées par la perspective de le faire d’une manière que leurs tristes maris n’ont jamais pu réaliser.

Si Michelle Obama est candidate contre lui, alors là, tenez-vous bien!

Le fait est que Michelle Obama serait une adversaire coriace pour n’importe quel Républicain, mais elle battrait Donald Trump à plate couture. [sic]

Il est le parfait faire-valoir pour son message, qui est « Je suis une dame gentille et inoffensive dans la même veine qu‘Oprah Winfrey », parce que – tout comme elle – Donald Trump lui-même est le message.

Alors qu’elle est une présence apaisante, calmante, qui dirait à tous ces gens hautains de l’Ouest d’utiliser leur voix intérieure, Donald Trump est l’arme nucléaire tactique qui venge les torts infligés aux gens normaux par la caste dirigeante des ordures.

Ils sont pareils dans ce sens, c’est de la politique basée sur la personnalité plutôt que sur les idées.[sic]

Mais pouvez-vous l’imaginer sur une scène face à quelqu’un comme Ron DeSantis ?

La critique du jour le concernant est qu’il n’a pas de personnalité. Mais peut-être que l’Amérique en a assez de la personnalité.

Il ne va pas se disputer pour savoir si le surnom approprié pour Rosie O’Donnell est “Butthead” ou “Horseface”.

Il présentera un plan détaillé pour traiter avec la Chine et mettre fin à la guerre en Ukraine, tandis qu’elle proposera des clichés fatigués de la télévision tels que « Mon rêve est de vous aider à donner le meilleur de vous-même » !

Donner le meilleur de soi-même n’est peut-être pas si intéressant quand l’essence coûte 7,99 dollars le gallon et qu’il faut prendre une deuxième hypothèque pour avoir les moyens d’acheter du bacon.

La force de Mme Obama, c’est sa totale insipidité, mais c’est aussi sa faiblesse.

À un moment donné, il ne suffit pas de faire en sorte que les électeurs se sentent bien, il faut aussi faire fonctionner le pays.

Michelle Obama n’est pas une femme intelligente. Elle n’est pas une femme accomplie. Elle existe dans notre conscience entièrement et complètement à cause de l’homme avec lequel elle a choisi de s’accoupler.

En ce sens, elle ressemble à Hillary Clinton, même si elle est un peu moins agressivement désagréable. Mais elle n’en est pas moins désagréable – elle déteste ce pays et sa haine amère de la masse des Américains qu’elle méprise sans raison valable est évidente.

C’est aussi une vulnérabilité, mais malheureusement, Donald Trump ne peut pas l’exploiter parce que tous ceux qui ne l’aiment pas déjà le détestent, et il n’y a aucun moyen de les convaincre de ne pas le détester.

Mais si quelqu’un d’autre peut se présenter sur la base de ses politiques et non de sa personnalité, alors le GOP pourrait avoir une chance contre Michelle.

Peut-être.

Il y a l’obstacle évident de Joe Biden, bien que le destin puisse intervenir ou qu’il puisse être surpris en train de se promener nu dans la roseraie de la Maison-Blanche.

Mais l’autre obstacle à sa candidature est le fait que Michelle Obama ne semble pas désireuse d’être candidate.

Elle n’est pas une femme particulièrement motivée. Elle est paresseuse et frivole, et elle aime se balader sur la Méditerranée au large de Nice avec des zillionnaires en adoration, sur d’énormes yachts non écologiques, en se moquant des imbéciles qui croient au canular du changement climatique.

Être président, c’est beaucoup de travail, et elle n’a pas l’air d’être quelqu’un qui a vraiment envie de travailler.

Elle veut juste vivre dans le luxe, et pour l’instant, c’est ce qu’elle fait.

Barack Obama ne semble pas non plus particulièrement intéressé par un retour en politique. C’est le seul président qui n’a jamais semblé aimer son travail, et il a donné l’impression qu’il considérait qu’être président est un devoir pénible, ce qui prouve qu’il y a quelque chose à apprécier chez tout le monde.

Sa paresse pourrait bien être ce qui sauvera l’Amérique – le fait est que l’ex-premier couple pourrait choisir de ne pas changer de place simplement parce que c’est une corvée.

Espérons le.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Townhall

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