Pertes alliées
Au 18 janvier 2007, l’armée américaine annonce :
2’435 morts au combat ou des suites d’un combat (une moyenne de 1.7/jour)
585 morts de causes indépendantes de la guerre (accident de la route, déficience physique…)
10’218 bessés gravement (pas de retour en service dans les 72 heures). Parmi eux, 390 ont perdu un membre par amputation, 78 plus d’un membre
12’733 blessés légèrement (de retour en service dans les 72 heures)
A noter que dans ces deux chiffres (blessés légers/blessés graves, 6’640 hommes ont été soignés pour des blessures indépendantes de la guerre en cours (accident de la route, déficience physique…).
Le reste de la coalition déplore 253 morts sans donner le détail des morts au combat et hors combat.
Pertes ennemies (incluant Al-Quaeda, les terroristes chiites et sunnites)
L’historien Larry Schweikart, de l’université de Dayton, a calculé que :
De 50’000 à 130’000 jihdaistes ont été tuées de mars 2003 à janviers 2007
A noter que ces chiffres n’incluent pas les pertes de l’armée irakienne durant la phase opérationnelle du conflit (20 mars – 1er mai 2003), qui se chiffrent à "plusieurs milliers de morts. (Keegan, John, The Iraq War, London, Pimlico, 2005)
De 140’000 à 288’000 jihadistes ont été blessés de mars 2003 à janvier 2007, compte tenu de la pauvreté
Phase opérationnelle du conflit (20 mars – 1er mai 2003) : une dizaine de milliers de blessés dans les rangs de l’armée irakienne.
Le professeur Schweikart note : "les implications de ces chiffres sont importantes. Même en utilisant les estimations les plus basses, nous avons anéanti une génération entière de terroristes islamistes. Cela aura un impact à long terme sur l’histoire du Moyen Orient et de