Après une semaine de grèves à 400 millions d’euros, place aux émeutes à 400 millions par jour…
A noter que les policiers impliqués dans l’accident se voient reprocher de n’être pas restés sur place et se faire lyncher par les bandes pacifiques de la banlieue… !
Le calme est revenu après les violences de la soirée de dimanche à Villiers-le-Bel. Pendant près de six heures, dimanche soir, jeunes et force de police se sont affrontés dans cette commune du Val d’Oise et dans des communes alentours. Bilan : vingt-cinq policiers et un pompiers blessés, dont deux policiers gravement.
Il y a des dégâts «importants», selon le maire de Villiers-le-Bel, Didier Vaillant. Le poste de police de la commune de Villiers-le-Bel a été brûlé, celui d’Arnouville saccagé. Du mobilier urbain, deux garages de Villiers-le-Bel, un Mc Donald, une station service de Gonesse, ainsi que deux magasins ont été brûlés et plusieurs vitrines de commerce brisées. 28 voitures ont été brûlés de même que 18 poubelles. Huit personnes ont été interpellées.
Ces échauffourées se sont produites à la suite de la mort de deux jeunes, Moushin et Larami, âgés de 15 et 16 ans, entrée en collision avec une voiture de police alors qu’ils circulaient avec une petite cylindrée. Pour le frère d’une des victimes, les échauffourées «ce n’est pas de la violence, c’est de la rage qui s’exprime». Ces deux petits, tout le monde les connaissait dans la cité», raconte-t-il. Dans le lycée Mendes France ou étudiait l’un des deux jeunes, la rentrée s’est passée dans le calme ce matin. Une cellule d’écoute va être mise en place pour les élèves choqués par la mort d’un des leurs.
L’enquête devra faire la lumière sur les causes et les circonstances de l’accident. L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) s’est vu confiée une enquête par la procureure de la république de Pontoise pour des «faits d’homicide involontaire et de non assistance à personnes en danger». Selon des témoins, en effet, les policiers impliqués dans l’accident auraient rapidement quitté les lieux, sans porter secours aux deux jeunes. Concernant la cause de l’accident, selon une source syndicale policière, les deux jeunes ont grillé la priorité à un carrefour à la voiture de police. Une version contestée par certains témoins de la scène. Selon la police, également, «ce n’est pas une course-poursuite, mais un accident de la circulation.» Les policiers expliquent que la voiture impliquée dans l’accident était «en patrouille dans la circonscription de Sarcelles et roulait à vitesse réglementaire.» Les deux jeunes, qui circulaient sur une «mini-motocross», n’auraient pas porté de casques, selon plusieurs témoignages.
Didier Vaillant, le maire de la commune, a appelé lundi matin au calme, demandant que «toute la lumière soit faite» sur ce drame. «Je demande que cette enquête soit impartiale, qu’elle puisse se réaliser dans les meilleurs délais pour que toute lumière soit faite sur les circonstances de cette collision», insiste-t-il. «Depuis hier, nous sommes en deuil, cette nuit, la ville a souffert».
La fumée noire qui obstruait hier soir le ciel de Villiers-le-Bel, dans la banlieue nord Paris, le disputait au rouge vif des flammes des véhicules incendiées. C’est tout un quartier qui s’est mis à flamber après un dramatique accident au cours duquel deux adolescents ont trouvé la mort en percutant un véhicule de police. Les habitants assistaient impuissants à ces scènes de destruction qui leur rappelaient les nuits chaudes de l’automne 2005.
Hier soir, le poste de police de Villiers-le-Bel a été assiégé par des jeunes gens qui criaient vengeance. Ils y ont mis le feu, caillassant les voitures de police alentour. Le bureau de police et la gare d’Arnouville, commune voisine, ont été saccagés. Le frère de l’une des victimes, Omar Sehhouli, expliquait vouloir «que tous les policiers responsables soient condamnés». Moushin, 15 ans et son ami Larami, 16 ans, étaient partis «faire du cross dans les champs», assurait-il.
Selon lui, les échauffourées déclenchées après l’accident «ce n’est pas de la violence, c’est de la rage qui s’exprime». «Ces deux petits, tout le monde les connaissait dans la cité», a-t-il ajouté, soulignant que les deux adolescents «n’avaient pas de casier judiciaire».
Selon la police, il ne s’agissait pas d’une course-poursuite. Les deux jeunes circulaient «à vive allure», «non casqués», sur un «engin volé». Ils ont percuté de plein fouet la voiture de police. Ils auraient «grillé une priorité». L’accident s’est produit dans la ZAC de la Tolinette, un quartier sensible de Villiers-le-Bel.
Dès 18 heures, «entre 50 et 100 jeunes ont commencé à brûler des poubelles après avoir incendié deux voitures». Quatre véhicules de police se sont d’abord rendus sur place, avant de rebrousser chemin sous une pluie de projectiles. Les riverains et une élue de la commune se sont plaints de la mobilisation tardive des forces de l’ordre. L’un d’eux confiait : «Certains jeunes montent sur les poteaux électriques pour briser les ampoules et plonger le quartier dans le noir.» Vers 21 heures, les jeunes ont incendié un garage, après l’avoir pillé. Huit policiers au moins et un pompier ont été blessés. Le commissaire de police, chef du district, a été pris à partie et souffre d’un traumatisme crânien.
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Horowitz écrit : Annapolis = Munich. Si vous lisez l’anglais et si vous n’avez pas peur de la vérité cliquez maintenant sur : http://www.frontpagemag.com/Articles/Read.aspx?GUID=5A714ED3-7588-450D-80C2-B49EA2247D27
Résumé en une phrase : Condi aurait mieux fait de mouiller sa chemise à Bagdad au lieu de sillonner tout le Proche et le Moyen Orient pour des prunes palo-terroristes.
http://www.desinfos.com/article.php?id_article=8610
Un peu dur pour Bush, à mon avis, mais brillant pour le reste.
Qui a brûlé la moindre poubelle pour cette jeune femme poignardée de plusieurs coup de couteaux par un récidiviste pour avoir refusé de se laisser violer gentiment ?
Où sont les émeutiers qui s’insurgent contre cette injustice ?
Nous verrons bien l’écart de compassion et de couverture médiatique que ces deux événement tragiques et combien différents au regard de la loi (dans un cas une citoyenne n’enfreinte aucune loi et rentre simplement chez elle en RER, dans l’autre, deux voyous qui importunent tout le voisinage avec une moto non homologuée s’emplafonne sans casque dans une voiture de police) vont susciter chez nos bonnes âmes de gôche.
Est-ce que la région toute entière a changée ?
j’ai oublié (le moins important) : incendie et destruction totale d’un commissariat et d’un garage. affrontements aux cocktails molotov…
D’autre part, je voudrais dire un autre truc : j’ai vu la photo de la voiture, et “apparemment la moto était étonamment peu abimée”.
Je peux me tromper mais il me semble _impossible_ qu’un choc d’une telle violence (d’apres l’avant de la voiture, littéralement compressé) ait été provoqué par la collision avec la moto(d’apres la masse d’une moto légère comme celle la, son volume…) Il faut voir l’avant de la voiture:
http://www.20minutes.fr/diaporama/244-2-0-Les-deux-adolescents-meurent-Les-conditions-prceises-du-drame-ne-sont-pas-etablies.php
et la moto:
http://www.20minutes.fr/diaporama/244-1-0-Nuit-de-violences-a-Villiers-le-Bel.php
peut etre la voiture a – elle percuté un muret avant ou apres?
“Il ne reste du poste de police que des murs enfumés. Un garage Peugeot a subi un sort semblable. De même qu’une trentaine de voitures et plusieurs commerces. ”
“Les proches des familles endeuillées accusent: l’accident a été provoqué par le conducteur de la voiture de police. «Les policiers appellent ça, faire du shooting.» Sur les lieux même du drame, un condisciple des deux gosses tués clame: «Juste avant l’accident, j’ai entendu les flics leur dire que s’ils les revoyaient encore avec leur moto, ils les tamponneraient.» Un autre hurle: «Les flics les ont laissés là et ils sont partis sans les secourir.» ”
“Sous nos yeux, un cameraman de France 3 est roué de coups par trois costauds qui voulaient lui arracher sa caméra. ”
et le meilleur, mesadames et messieurs, pour la fin:
“Mouvements spontanés? Les groupes de jeunes paraissent encadrés par des garçons plus âgés, certains roulant dans des voitures immatriculées à Paris ou dans les départements voisins. Qui sont-ils? Barbus, portant survêtements, ces jeunes hommes bien bâtis répondent: «On est là par solidarité, c’est tout.»”
– Engager des agents de forces de l’ordre qui sont de race minoritaires.
– Promouvoir les études supérieures dans les quartiers défavorisés
– Etablir des dispositifs auprès des bureaux de police qui assurent que chaque plainte – qu’elle soit d’un blanc ou d’un beurre, est traitée de la même façon
– Favoriser les petites entreprises crées par des personnes de races minoritaires.
Ces gens sont frustrés, il faut addresser la source de leurs frustrations. Mais surtout, surtout, mesurer/monitor le peuple au niveau racial, afin d’évaluer l’état du problème d’une façon scientifique, et d’établir ainsi une contre mesure suivant des bases réelles – une pratique que la France considère « raciste » et qui n’est pas permise.
Egalement, il n’est pas normal que la police d’une ville abandonne des bléssés a leurs sorts ; ayant peur des repercussions.
Même a Miami…ça ne se fait pas.
(publié sur le support Internet des Amis du Parti Républicain)
Suppression des commentaires d’Octar et Fantesite…
Ma tolérance n’accepte pas non plus les menaces de mort. Je vais d’ailleurs de ce pas envoyer à des officiels autorisés les adresses mails et IP de ces messieurs (meme si les deux sont probablement truqués) qui semblent si rapides à la menace et si peu tolérant envers l’opinion libre et différente de la leur. L’apprentissage de la démocratie pour des fascistes (qui se réclament d’ailleurs comme tels) ne semble pas facile. Ils apprendront ainsi que des menaces envers un journaliste tel que Miguel Garroté ne sont pas tolérables.
La France est un pays de tolérance, de démocratie et de liberté d’expression. Si ça ne vous convient pas, barrez vous !
J’annonce de plus que désormais toute publication de commentaire sera désormais filtrée, en plus de la charte qui arrive.
Posté par Pierre, 27 novembre 2007 à 08:18
Ces territoires ont été abandonné de fait par la république, ils est donc normal que la présence d’une patrouille de la police nationale française ait de quoi choquer ces jeunes autochtones.
Alors quand, par-dessus le marché, la dite patrouille se fait percuter par deux jeunes au guidon d’une toute petite (mini) moto (un jouet quoi) non homologuée (faisant un joli bruit qui couvre télé, radio, conversation téléphonique, réunion de famille…), sans casque, à très vive allure (dernière vitesse engagée), et que ces deux jeunes anges se tuent sur le coup, là on dépasse les bornes.
Que fait la police dans ce territoire autonome ? Qu’est-ce qui justifie une telle incursion ?
On comprend tout à fait que la colère gronde et que tous les camarades de jeu des deux anges (dans toute la région) brûlent des magasins de voitures (les policiers étaient eux-mêmes en voiture).
Pour ce qui est des crèches, maternelles, bibliothèques et autres lieux de transmission de la connaissance et de la culture française et de ses valeurs républicaines, il est tout à fait naturel qu’ils représentent le symbole d’un système que ces Jeunes ont déjà refusé depuis belle lurette et qui s’oppose à d’autres lois venues d’autres temps et d’autres lieux, qui sont celles en vigueur dans ces territoires.
Où iront les souchiens quand il sera trop tard ? Chez l’oncle Sam ?
Ah Ah Ah… Quel cauchemar !