Les températures n’ont PAS augmenté sur terre depuis 1998, selon l’Organisation Mondiale de métérologie, et ceci malgré l’augmentation du rejet de CO2 dans l’atmosphère.
Comment la communauté scientifique explique-t-elle ce constat, qui ruine toute la théorie du réchauffement climatique ? Elle ne l’explique pas.
S’il vous plaît m’sieur-dame, on prépare la prochaine manif au Trocadéro, on a autre chose à faire !
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et bien à priori les vrais scientifiques vont en prendre note et commencer à réviser leurs modèles, tandis que les faux scientifiques mais vrais idéologues ne tiendront pas compte de la réalité et se feront descendre en flèches dans leurs prochains articles ou dans leurs prochaines conférences.
Le grand public, lui, n’en saura rien du tout et continuera à être complètement aveuglé puisque les médias ne sont pas prêts à révéler qu’une thèse qu’ils ont soutenu à fond ne soit en fait qu’une théorie mal conçue et exagérée…
J’espère juste que l’affaire n’est pas devenu si politique qu’elle empêchera la science de fonctionner…
“D’aucuns ne manqueront pas de s’interroger sur le lien que l’on peut établir entre cette anomalie et le changement climatique. Refroidissement ? Réchauffement ? De quoi y perdre son latin. De fait, ce refroidissement passager ne remet absolument pas en cause la tendance globale au réchauffement depuis 1998, insiste Michel Jarraud. D’ailleurs, de tels épisodes s’inscrivent dans la variabilité naturelle du climat d’une année sur l’autre. Et de marteler : « Quand on parle du changement climatique, il convient non pas de regarder une année précise, mais des tendances lourdes sur une assez longue période. »
http://www.lefigaro.fr/sciences/2008/04/05/01008-20080405ARTFIG00028-la-nina-devrait-refroidir-l-annee-.php
Notre phoque (bibi le phoque) cultive sa connerie pour en faire un art et continuant sur cette voie,il est sur de réussiur.
Sur les taches solaires:
“Comme vous le savez, l’expérience montre que plus longue est l’attente de la montée en puisssance, plus faible est l’intensité du cycle suivant (24, en l’occurrence). Et comme vous savez tous aussi maintenant que : faible cycle solaire = refroidissement de la planète…”
“Comme on le pense, le siècle écoulé a été une période extrêmement riche en éruptions solaires. La plus riche depuis plus de 6000 ans, dit-on. Ce qui explique la montée des températures que nous avons connue.”
http://www.lepoint.fr/actualites-chroniques/quand-la-terre-se-refroidit/1238/0/228495
par Michel Colomès
“Canada : quatre mètres de neige à Montréal cette semaine, hauteurtellement exceptionnelle que même au Québec, pourtant habitué auxgrands froids, les avions ont été détournés. Chine : Pékin, maissurtout Shanghai ont connu leur hiver le plus froid depuis cent ans aupoint que les victimes d’hypothermie se sont multipliées. Moyen-Orient: la neige est tombée sur Bagdad, un phénomène jusqu’à présent jamaisobservé, depuis qu’existent les relevés climatiques dans ce pays.Sibérie : le thermomètre est descendu à moins 60, ce qui, même dans cesétendues glacées, est exceptionnel. Et ce n’est pas tout : LeMinnesota, la Floride, le Mexique, la Grèce, l’Iran, le Chili, et mêmel’Australie ont pulvérisé cette année leurs records de froid… Fi doncdes adeptes de la pensée unique scientifique et autres ayatollahs del’écologie démontrant à grand renfort de banquise fondant comme unglaçon dans un verre de whisky que la terre court un danger imminent dufait de son réchauffement. Même si on ne peut exclure que la tendance àtrès long terme nous amène à des changements erratiques du climat, laplanète vient, c’est un fait, de connaître en 2007 son hiver le plusfroid depuis longtemps. Et ce n’est pas faire appel à l’esprit decontradiction, péché mignon des journalistes, que d’avancer ce constat.
Les quatre principaux observatoires scientifiquesrelevant en continu les températures aux quatre coins du globe, dont leBritannique Hadley et trois laboratoires de la NASA sont formels :l’année 2007 restera globalement l’une des plus froides depuis unsiècle.
Certes, la décrue de température par rapport auxannées précédentes paraît bien faible : 0, 65 à 0,75 degré de moins.Mais, il s’agit bien sûr d’une moyenne mondiale. Et cette simplediminution de moins d’un degré suffit à compenser sur une seule annéeles hausses de température mesurées depuis cent ans. Le plus paradoxalest que les scientifiques espèrent que le refroidissement va maintenants’inverser et la chaleur revenir. Car le froid, quand il persiste, estbien plus dommageable pour notre vie de tous les jours qu’uneaugmentation modérée de la température.”
Alors quand on nous prédit 13 degrés Celsius (58 degrés fahrenheit) après demain – l’hiver en mi-avril – c’est du jamais vu. Adamastor, tu as bien raison, il va falloir qu’on sorte nos pulls
P.S : a quoi ca ressemble un pull ?