Telles sont les mots de Marie Colvin, la correspondante du Times britannique à Mossoul. L’Opération “Cri du Lion” menée par les forces de la coalition a provoqué la débandade dans les rangs d’Al-Qaeda. L’armée américaine estime que les forces terroristes en Irak ont perdu 95% de leurs membres depuis le début de la nouvelle stratégie du général Petraeus. Les terroristes ont passé en une année et demie de 12’000 combattants à 200 aujourd’hui, la majorité retranchée autour de Mossoul, où ils sont encerclés.
Excellente nouvelle pour commencer la journée.
Il arrive que le Times fournisse de bonnes informations comme dans le cas précis ici.
l’église catholique vénézuélienne a fortement critiqué la décision du contrôleur général, Clodosbaldo Russian, d’invalider les candidatures de 400 membres de l’opposition au président Chavez, qui souhaitaient se présenter aux élections locales du mois de novembre.
Etats-Unis : selon le professeur Anthony Cordesman, du centre d’études stratégiques et internationales de Washington, l’un des analystes les plus respectés en matière de sécurité nationale américaine, Israël ne bénéficie d’aucun ”feu vert” de la part de la Maison Blanche pour attaquer les installations nucléaires iraniennes.
encore une intox ?
ou juste question de brouiller les pistes.
Qu’en pensez-vous, Gad et Drzz ?
Plusieurs chasseurs de nazis du centre Simon Wiesenthal de Jérusalem et d’Amérique du sud sont arrivés au Chili ce lundi afin de poursuivre la traque du ‘Docteur la mort’, Aribert Heim, médecin du camp de concentration de Mauthausen, lors de la seconde guerre mondiale.
Ok. Bien. Il reste celui planqué chez Chavez.
Et celui planqué en Autriche et que nous avons vu en pleine forme à l’Euro Foot 2008…
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Dans unarticle publié par le magazine mensuel de l’Institut Navalaméricain, Winnefeld a décrit la “possibilité d’unbarrage offensif de missiles balistiques tirés d’Iran contre Israël”en termes de “l’utilisation de loin la plus probable de missilesbalistiques dans le monde actuel”. Winnefeld, dans son article,réclame sur cette menace “notre attention immédiate dans lecas où il faudrait avoir recours à une réplique étasunienneou de l’OTAN”.
Quant au SundayTelegraph, toujours lui, il croit savoir que l’état-majoraméricain craint que l’attaque israélienne contre lesinstallations nucléaires iraniennes ne se solde par un échec,à cause du “manque d’informations relatives à leur localisationprécise.
A encroire le confrère, l’insuffisance de renseignements auraitété évoquée entre l’amiral Mullen, le ministre dela Défense israélien, le général de réserveEhoud Barak, et les chefs des deux armées, à l’occasion de lavisite du commandant suprême U.S.
Difficilede savoir s’il s’agit d’info ou d’intox, qui remplit l’éther, en cestemps de grande tension. Il semble toutefois à votre serviteur, que siles alliés américano-israéliens manquaient effectivement dece type de renseignements, ils ne le feraient pas savoir aux ayatollahs par l’intermédiaired’un journal britannique.
Que retenir de cesdéclarations croisées et nombreuses ?
L’imagequi s’en échappe est suffisamment précise pour êtredécodée par des analystes stratégiques : Les USA neveulent pas, ou ne peuvent pas intervenir contre l’Iran aussi rapidement etoffensivement que l’establishment de la défense israélienne le souhaite. Les malheureux rapports des officines du renseignement de l’OncleSam les en empêche, de même que la situation en Irak et enAfghanistan et, surtout, la proximité de l’échéanceélectorale présidentielle.
EtIsraël ne peut ou ne veut pas attendre que Washington soit prêteà la suivre. Il semble donc que si Israël entend anéantir lamenace perse, il faudra qu’elle en prenne seule l’initiative militaire. Or l’onsait – il suffit de consulter une carte géographique pour s’en persuader– qu’une opération bleu-blanche contre la République Islamique nepeut avoir lieu si l’Amérique s’y oppose.
Et maintenant c’est au tour de Metula de raconter que sans l’accord des USA cette opération israélienne n’aura pas lieu…