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La crise économique réveille la rage antisémite
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Miguel Garroté – Je reproduis ci-après, d’une part, un article de Caroline Glick intitulé « L’ironie de la collusion occidentale avec les Arabes et l’Iran », article aimablement traduit par Sentinelle 5769 ; et d’autre part, un addendum de Sentinelle 5769 intitulé « Note et commentaire » qui figure ci-dessous à la fin de l’article de Caroline Glick. L’article de Caroline Glick s’intitule donc « L’ironie de la collusion occidentale avec les Arabes et l’Iran ». Alors pourquoi ai-je écris en surtitre « La crise économique réveille la rage antisémite » ? Parce que d’une part, le passionnant rappel historique de Caroline Glick ci-dessous ; et d’autre part, la note et le commentaire de Sentinelle 5769, également ci-dessous, renvoient inéluctablement à ce postulat : « La crise économique réveille la rage antisémite ». Ce matin vers 9:00, j’ai failli me faire écraser, par un chauffard au volant d’une Alfa Romeo noir métallisé immatriculée VS, chauffard qui pour manifester l’origine de son comportement bestial, m’a crié dessus : « Je suis Libyen ! ». Et encore ce matin, vers 11:00, j’entends aux Anémones un petit con indigène raconter que la crise économique c’est, je cite le petit con indigène, « la faute des youpins ». Que cela plaise ou non, il y a pour moi un lien, entre l’article de Caroline Glick, la note et commentaire de Sentinelle 5769, le chauffard libyen et le petit con indigène. Lisez seulement.
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L’ironie de la collusion occidentale avec les Arabes et l’Iran
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Par Caroline Glick
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http://www.jewishworldreview.com/1008/glick110708.php3
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Adaptation française de Sentinelle 5769 ©
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Dans une lettre au journal italien ‘Corriere della Serra’ en août dernier, l’ancien président italien et sénateur à vie Francesco Cossiga a reconnu qu’au début des années 1970, le premier ministre d’alors, Aldo Moro avait signé un accord avec l’OLP de Yasser Arafat et les organisations affiliées, qui permettait aux Palestiniens d’accueillir des terroristes, de diriger des bases et de stocker des armes en Italie, en échange d’une immunité contre des attaques en Italie et les intérêts italiens dans le monde. Cossiga a aussi reconnu que même quand des Palestiniens ont assassiné des Italiens, le gouvernement les protégeait encore. En vérité, il admit pour la première fois que la plus grande attaque terroriste jamais survenue sur le sol italien – l’attentat à la bombe de la gare de Bologne en juillet 1980, qui tua 85 personnes – était la besogne de terroristes affiliés à l’OLP du ‘front populaire de libération de la Palestine’ [FPLP] de Georges Habache.
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Lors de l’attentat, Cossiga était premier ministre d’Italie. Juste après sa survenue, il accusa les néo-fascistes de cette atrocité. Selon ses termes à l’époque : « Contrairement au terrorisme de Gauche, qui frappe au cœur de l’Etat à travers ses représentants, le terrorisme fasciste préfère le massacre parce qu’il provoque la panique et des réactions impulsives ».
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En août, il prétendit que c’était la besogne du FPLP, et que la bombe avait explosé par mégarde. C’est-à-dire que les Palestiniens n’avaient pas l’intention de tuer des non juifs – aussi les autorités italiennes les protégèrent.
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Vendredi dernier, Cossiga s’étendit sur ses révélations au ‘Corriere della Serra’ dans un entretien avec Menachem Ganz, le correspondant à Rome du ‘Yediot Ah’aronot’. Cossiga admit qu’il ne s’agissait pas seulement de cibles israéliennes auxquelles l’Italie permettait de s’attaquer dans l’impunité, mais aussi des cibles juives. En fait, au cours d’au moins un et probablement deux incidents, il y eut collusion entre les Italiens et les Palestiniens dans leurs attaques contre des Juifs. Le 9 octobre 1982, six terroristes ouvrirent le feu sur des fidèles quittant la grande Synagogue de Rome. Des dizaines de Juifs furent blessés et le petit Stefano Tache, 2 ans, fut assassiné. Quelques heures avant l’attaque, le détachement de police italienne chargé de la sécurité de la synagogue avait été retiré.
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Ensuite, en décembre 1985, des terroristes palestiniens ouvrirent le feu sur un comptoir de billets à l’aéroport de Rome. Dix personnes furent blessées. Sept autres personnes furent assassinées lors d’une attaque simultanée contre le comptoir de billets à l’aéroport de Vienne. Selon Cossiga, les services de renseignement italiens avaient reçu un avertissement antérieur sur l’attaque, mais ne se soucièrent pas de partager l’information avec Israël.
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Cossiga expliqua au ‘Yediot’ : “Aucune cible italienne ne fut frappée. Ils avaient attaqué la compagnie israélienne à l’aéroport. Les personnes assassinées étaient toutes des Israéliens, des Juifs, et des Américains ».
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Ensuite, il y eut le détournement du bateau de croisière italien ‘Achille Lauro’ au large de la côte égyptienne en octobre 1985. Des terroristes palestiniens dirigés par Abou Abbas réquisitionnèrent le bateau. Ils tirèrent sur Léon Klinghoffer, un passager juif américain handicapé en chaise roulante, et le jetèrent par-dessus bord encore vivant. Les Egyptiens libérèrent les pirates de mer, et les envoyèrent dans un avion vers la Libye. Des jets américains obligèrent l’avion à atterrir sur une base de l’OTAN en Sicile. Les Italiens refusèrent d’autoriser les Américains à mettre les pirates en prison et libérèrent Abbas. Les Italiens assimilèrent l’impasse à une victoire contre ces petites brutes d’Américains. Mais cela équivalait en réalité à une capitulation face aux meurtriers palestiniens. Comme Cossiga l’expliqua : « Depuis que les Arabes ont été capables de nuire à l’Italie plus qu’aux Américains, l’Italie s’est abandonnée à eux ».
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Cossiga allègue que l’accord de son pays avec les Palestiniens a été récemment élargi pour inclure le hezbollah. Après la Deuxième Guerre du Liban, l’Italie a donné son accord pour commander la force de la FINUL , chargée d’empêcher le hezbollah de reprendre le contrôle du Sud Liban et de bloquer ses efforts de réarmement. Pourtant Cossiga affirme : « Je peux déclarer avec une absolue certitude que l’Italie a passé un accord avec le hezbollah suivant lequel les forces de la FINUL détournent les yeux du réarmement du hezbollah aussi longtemps qu’aucune attaque n’est portée contre les soldats de notre force ».
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Ganz note tristement que bien que les déclarations de Cossiga aient amené la communauté juive italienne à exiger que le premier ministre Silvio Berlusconi lance une enquête sur la collusion du gouvernement avec des terroristes palestiniens, il n’y a aucune probabilité qu’une telle enquête soit diligentée. Ganz explique que Berlusconi lui-même n’est pas immunisé contre l’antisémitisme qui a conduit ses prédécesseurs à s’abstenir de protéger les citoyens juifs d’Italie. Quand il s’adresse aux Italiens juifs, Berlusconi désigne souvent le gouvernement israélien comme « votre gouvernement », et démontre ainsi son adhésion à l’idée que les Juifs ne sont pas de vrais citoyens dans aucun autre pays à l’exception d’Israël.
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La croyance antisémite est que tous les Juifs sont sionistes, et donc tous les Juifs sont un enjeu équitable dans la guerre contre Israël, lui-même rien d’autre qu’un chapitre de la guerre ancestrale contre les Juifs : cela permet aux antisémites de masquer le fait que leur rhétorique anti-Israël est simplement un réchauffé de leur haine anti-juive. Des gens comme les chefs iraniens Mahmoud Ahmadinejad et Ali Khamenei, et des terroristes palestiniens de l’OLP et leur progéniture du hamas et du hezbollah limitent presque toujours leurs menaces aux « sionistes » en prétendant ainsi ne pas être vraiment antisémites.
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Cette tromperie sur le fil du rasoir est avidement adoptée par leurs compagnons de route en Occident – depuis les Pr. d’université comme Juan Cole, Steven Walt et John Mearsheimer, jusqu’aux décideurs politiques comme Brent Scowcroft et Zbigniew Brzezinski, en passant par les décideurs occidentaux et chefs d’Etats européens, avec une quantité alarmante de politiciens américains.
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Cette tromperie est comparable à l’évolution de l’antisémitisme. Tout au long de l’histoire, les antisémites ont utilisé la haine antijuive comme une façon de rallier leurs troupes. En attaquant les Juifs comme un ennemi collectif, des tyrans ont fourni à leur peuple un coupable faible et commode, à agresser pour détourner la critique de leurs propres échecs, ou pour cacher de réels ennemis à des publics pacifistes, non enclins au combat. L’antisémitisme fait appel aux plus bas instincts du peuple. Mais les gens n’aiment pas reconnaître à quel point ils haïssent les Juifs, et les Juifs ont toujours préféré nier qu’ils sont haïs.
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Ainsi les dirigeants antisémites ont déguisé leur recours aux bas instincts en prétendant qu’ils font vraiment appel à des aspirations sublimes. Dans le cas des nazis par exemple, Adolf Hitler et Josef Goebbels en appelèrent à la fierté allemande et à l’amour de la patrie. Aujourd’hui, la Gauche en appelle aux aspirations du peuple à la paix et la justice. Ce n’est qu’en permettant, et en fait en se rendant capables de tuer les Juifs et de détruire l’Etat juif que la « paix » pourra être assurée et que les Palestiniens pourront se voir rendre « justice ».
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Cette stratégie séduit des décideurs politiques européens – et américains un à degré plus ou moins important – pour deux raisons. D’abord, comme le ministre des affaires étrangères Bernard Kouchner l’a dit clairement dans un entretien avec ‘Haaretz’ vendredi dernier, alors que l’Occident comprend que les jihadistes islamistes cherchent à détruire l’Europe et les USA, ils croient – en partie parce que leur propre antisémitisme les conduit à exagérer la puissance juive – qu’ils s’en tireront en dorlotant les Arabes et l’Iran, parce qu’Israël les protègera.
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Faisant allusion au programme d’armes nucléaires de l’Iran, Kouchner déclara que nul n’est vraiment préoccupé au sujet de la menace iranienne parce que chacun croit qu’Israël attaquera l’Iran pour eux. Selon ses termes : « Je ne crois pas honnêtement qu’un arsenal nucléaire confèrera la moindre immunité à l’Iran. D’abord, vous [Israël] les frapperez avant qu’ils n’acquièrent des armes nucléaires. Parce qu’Israël a toujours dit qu’il n’attendra pas que la bombe soit prête. Je pense que les Iraniens le savent. Tout le monde le sait ».
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Ce qu’il y a d’ironique dans cette opinion, c’est qu’elle démontre l’inversion de la rhétorique antisémite. Il y a cinq ans, l’ancien premier ministre malaisien, Mahathir Mohamed déclara devant un auditoire approbateur des chefs d’Etats islamiques (1) : « Les Juifs dirigent le monde par substitution. Ils font combattre et mourir les autres pour eux ». Mais la croyance de l’Occident qu’Israël le protègera contre l’Iran montre que c’est le contraire qui est vrai. L’Occident est absolument certain qu’Israël est son substitut, et que les Juifs vont combattre et mourir pour le protéger du terrorisme mondial et du jihad.
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La deuxième raison pour laquelle les champions occidentaux de la « paix » ont opté pour vendre Israël et les Juifs aux jihadistes, c’est parce que en tant qu’antisémites, les « antisionistes » occidentaux craignent la puissance juive, et donc veulent que nous soyons faibles. Il en est ainsi depuis 40 ans, les gouvernements européens et le département d’Etat des USA ont financé des groupes antisionistes en Israël tels ‘ La Paix Maintenant ’, ‘B’tsellem’ et ‘Four Mothers’. Ainsi ce sont eux qui ont reproché à Israël le terrorisme palestinien. Et même quand Israël succombe à toutes leurs exigences de retraits territoriaux, ils se débrouillent toujours pour en demander davantage.
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Dans le même entretien avec le ‘Haaretz’, Kouchner a félicité d’un côté le premier ministre Ehud Olmert et la ministre des affaires étrangères Tzipi Livni pour leur volonté de céder Jérusalem, la Judée et la Samarie aux Palestiniens, mais argumenta que cela n’est pas encore assez. Israël doit aussi accepter l’immigration sans contrôle de descendants hostiles des Arabes qui quittèrent Israël en 1948. C’est-à-dire qu’Israël doit donner son accord à sa propre destruction de façon à ouvrir la voix à la « paix ». Selon ses termes : « Le problème principal, ce sont les réfugiés et Jérusalem, mais plus encore les réfugiés. Olmert et Livni n’en ont pas la perception ».
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Kouchner est certain que Livni en viendra à reconnaître le besoin d’autoriser des Arabes hostiles nés à l’étranger à s’installer ici. « Je pense qu’elle changera. C’est toujours le cas des gens en charge de la politique et de la vie », proclama-t-il.
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Kouchner apaisa les craintes des journalistes sur la destruction nationale en prétendant qu’il ne parle probablement pas de plus de 100.000 immigrants arabes hostiles. Mais ça, c’est aujourd’hui.
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Si Livni forme un gouvernement et se range à cet avis, laisse l’Occident expliquer que mettre des limites « arbitraires » à l’immigration arabe est une atteinte aux droits de l’homme : ainsi le racisme sioniste d’Israël contraindrait les Arabes et l’Iran à tuer des Juifs et des Occidentaux dans le monde entier.
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Et cela nous amène peut-être à la plus grande ironie de la collusion de l’Occident avec les Arabes et l’Iran dans leur guerre contre les Juifs. Le résultat logique des illusions jumelles de l’antisémitisme – que les juifs sont puissants et que les Juifs doivent voir leur taille réduite – c’est la destruction d’Israël.
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Si cela arrivait, l’occident se retrouvera pris dans les mâchoires des jihadistes islamistes à qui ils ont jeté les Juifs en pâture depuis quatre décennies.
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La subversion par l’Occident de l’élite israélienne a suscité une situation où beaucoup de dirigeants israéliens ont adhéré aux avis antisémites de celui-ci sur Israël. Des chefs comme Livni et Olmert, et les media et l’université en Israël, ont largement accepté la notion qu’Israël est responsable du jihad mondial. Aujourd’hui, ces dirigeants soutiennent la faiblesse juive comme un idéal. Plus longtemps ces élites soutenues par l’Occident resteront au pouvoir, plus grandes seront les chances pour qu’Israël n’attaque pas l’Iran, et permette sa propre destruction dans l’intérêt de la poursuite de la « paix » avec des terroristes palestiniens.
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Et si Israël est détruit, l’Occident ne sera pas en mesure de se reposer sur les Juifs pour combattre encore et mourir pour eux. Ils resteront tout seuls.
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Note et commentaire du Traducteur :
(1) Déclaration de Mahathir Mohamed au sommet de la Conférence Islamique (OCI) à Kuala Lumpur en 2003. Lors d’une conférence en décembre 2003 sur le Moyen-Orient, à l’Ecole Militaire de Paris,organisée par la « F.M.E.S. » [fondation méditerranéenne d’études stratégiques], cercle militaire et diplomatique pro-arabe créé par l’Amiral Lanxade, ancien chef d’Etat Major particulier de François Mitterrand, le « célèbre » géopoliticien Pascal Boniface, directeur de ‘l’IRIS’ déclara au sujet de ce personnage : « Mahathir ne prononça « que » 43 mots (?!?) antisémites lors de la conférence de l’OCI de 2003. Une sentinelle dans la salle lui fit remarquer n’avoir entendu que trois mots antisémites -« Mort aux Juifs » – à Paris lors d’une manifestation récente à la Bastille , où Mouloud Aounit, président du MRAP, ne pipa mot. Cela jeta un froid dans l’assistance, peuplée d’ambassadeurs de pays arabes et d’officiers français, à qui il fut aussi rappelé que la voûte d’entrée menant à cette salle de conférences était ornée d’une grande plaque à la mémoire du Capitaine Alfred Dreyfus. C’était aussi le lendemain d’un attentat contre la synagogue de Garges les Gonesses, qui avait amené le président Chirac à stigmatiser (?) l’antisémitisme. Depuis, la situation de l’antisémitisme en France et en Europe n’a fait que s’aggraver lourdement, menant y compris aux assassinats de Sébastien Sellam et d’Ilan Alimi, et à des agressions antisémites presque quotidiennes dans certaines localités bien françaises. Mahmoud Ahmadinejad, d’abord blâmé au niveau international pour ses déclarations génocidaires contre Israël, est aujourd’hui acclamé à l’Assemblée Générale de l’ONU : ses propos se sont totalement banalisés. L’Occident se croit immunisé, quand il est en réalité anesthésié, étouffé lentement pas le‘politiquement correct, la hantise d’être taxé « d’islamophobie », et pourquoi ne pas le dire, par sa couardise face à des « petites frappes terroristes » qu’il encourage y compris en les finançant : c’est l’Union Européenne qui paie le salaire des fonctionnaires aux effectifs pléthoriques de l’Autorité Palestinienne, et je vous demande bien pourquoi, à l’heure des coupes budgétaires sombres sous nos climats. La crise économique grave qui pointe à l’horizon ne doit pas nous disposer à l’optimisme : la rage antisémite se donne libre cours sur les sites jihadistes, offrant aux simples d’esprit une nouvelle pâture à leurs frustrations. Que D. nous aide à ne pas flancher devant le déferlement de haine qui se prépare !
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Posted on vendredi, 10. octobre 2008 09:55:51 by 2ndDivisionVet
Can John McCain possibly win this thing? Can he actually win in November?
The outlook is bleak: The polls are ugly, the Electoral College map is grim, the economy is getting worse, and McCain’s choice of Sarah Palin may have energized the Republican base, but it has appalled and frightened many outside that base.
Still, McCain’s campaign has come back from the dead more than once: He survived his early support for immigration reform; he not only survived but has prospered from his support for the Iraq war surge, and he rebuilt a primary campaign that was in a state of near collapse to win the Republican nomination.
But can McCain do it again? That question was posed to a panel of Republican experts:
• Ken Duberstein was Ronald Reagan’s chief of staff from 1998 to 1999 and deputy under secretary of labor for Gerald Ford.
“I think it is uphill for McCain but a victory is doable,” Duberstein said. “He needs obviously to raise questions about Obama, but he also needs to reassure the America people – and not simply the base – that he has a plan to get us out of this economic mess and restore America’s stature throughout the world.
“He needs to spell out not why he is a maverick, but what he will do to lead. What are the specifics? What is the strategy? He needs a three yards and a cloud of dust and not a Hail Mary strategy. He needs to do what John McCain does best, which is explain to the people where John McCain wants to take the country.
“There are a hundred lifetimes yet ahead in this campaign, starting with the debate Tuesday night. This is an election about big issues and big ideas, and this is not the time to play small ball. We are well past this stage. To many Americans, earmarks are a facial blemish. He has to talk about spending, not just earmarks, not just about a Bridge to Nowhere and about bears’ DNA.”
• Greg Mueller was a senior adviser to Pat Buchanan and Steve Forbes in their presidential campaigns and is an expert on conservative politics.
“McCain needs to change the discussion back to a referendum on Obama. He needs to define Obama’s agenda as dangerous to America,” Mueller said.
“It is dangerous to the economy. Obama is calling for higher taxes, historical spending and a huge increase in regulation that will hamper American business. Contrast that with McCain’s message of lower taxes and freezing spending. On foreign policy and national security, Obama is a risky bet in a hostile world. McCain needs to keep banging those themes over and over again so on Election Day voters think Obama is just not ready for this.
“The Supreme Court issue can be extremely powerful for McCain: Obama is basically for using the court for social engineering. This is key for Reagan Democrats in key swings state. Catholics respond very well to the Supreme Court issue. McCain and Palin have got to get on that.”
• Whit Ayres is a pollster and consultant who worked in Lamar Alexander’s 1996 presidential campaign and in numerous Senate and governor’s races. He is an expert on Southern politics.
“Anybody who is talking about a race being over a month out has not been participating in very many campaigns,” Ayres said.
“The Obama-Biden ticket is the most liberal ticket the Democrats have offered America since George McGovern in 1972. Barack Obama is far morel liberal than most Americans. Moreover, a politician’s associations are a window into his values. If John McCain liked to hang around with the Ku Klux Klan and if his church had given a lifetime achievement award to racist David Duke, all of us would consider those legitimate areas of inquiry.
“On leadership, values, culture and ideology, John McCain is far closer to most Americans than Barack Obama.”
Paris – De nombreux intervenants aux 1ères Assises de l’enseignement de la langue et de la culture arabes, ouvertes jeudi à l’Assemblée nationale française, ont souligné la nécessité de donner davantage de place à la langue arabe dans le paysage français dans le souci d’une “meilleure compréhension, d’un dialogue et d’un rapprochement mutuellement profitable”.
Cette rencontre, initiée par l’Association Convergence Méditerranée et l’Institut du Monde Arabe (IMA) a vu la présence d’un grand nombre d’ambassadeurs de pays arabes, des acteurs du monde des entreprises, de la culture, de l’éducation, des chercheurs et du milieu des associatif.
Les participants ont été conviés, tout le long d’une journée et à travers plusieurs ateliers, à réfléchir et à débattre sur les enjeux socioculturels, politiques et économiques liés à cette problématique avec comme préoccupations premières une identité à partager, la transmission d’un héritage commun et la mise en place de passerelles facilitant un dialogue interculturel et un rapprochement mutuellement profitables.
Dans le message adressé aux participants, le président français Nicolas Sarkozy a qualifié l’arabe de “langue d’avenir, de progrès, de sciences et de modernité”,
tout en souhaitant que “davantage de français prennent en partage la langue arabe dans laquelle s’expriment de grandes valeurs civilisationelles et spirituelles”.
Le chef de l’État français a rappelé que l’idée de la tenue de ces assises a été annoncée en décembre dernier, à Constantine, lors de sa visite d’État en Algérie.
“Il faut investir dans la langue arabe”, a-t-il indiqué, car “son enseignement est un moment d’échange, d’ouverture et de tolérance” et qu’elle “porte l’une des plus anciennes et prestigieuses civilisations dans le monde”.
“C’est en France que l’on recense le plus grand nombre de personnes origine arabe et musulmane. L’Islam est la deuxième religion de France”, a rappelé Sarkozy,
qui a énuméré les différentes “avancées en matière de diversité” comme la création du CFCM, la multiplication des carrés musulmans dans les cimetières, la formation d’imams et d’aumôniers et la nomination de ministres issus de la diversité au gouvernement.
“La France est l’amie des pays arabes. Elle ne cherche pas un choc entre l’Orient et l’Occident”, a-t-il affirmé, tout en soulignant la forte présence des Chefs d’États arabes lors du sommet fondateur de l’Union pour la Méditerranée, le 13 juillet passé.
“La Méditerranée est l’espace fondateur de notre espoir commun. C’est dans notre mer commune que se retrouvent les principaux défis: le développement durable, la sécurité, l’éducation et la paix”, a ajouté le président Français dans son message.
Auparavant, Marc Lefineur, premier Vice-président de l’Assemblée nationale française, avait souligné que l’acquisition et l’enseignement de la langue arabe constituent “un atout culturel,
éducatif et professionnel” et un “vecteur pour le dialogue interculturel, le respect de l’autre et la compréhension mutuelle”.
Il a rappelé que l’intérêt de la France pour la langue arabe date du 17ème siècle, lorsque l’homme d’État Colbert avait créé la première école d’interprètes arabes.
Il a également évoqué l’apport de la civilisation arabo-musulmane dans les différentes disciplines scientifiques et culturelles.
Enfin, l’ambassadeur du Qatar en France, dont le pays parraine ces assises, a souligné la nécessité de “revoir le système d’enseignement de la langue arabe en France” afin qu’il soit “aussi performant que celui des autres langues”.
Il a évoqué l’idée de la création d’un centre de traduction spécialisé dans le domaine scientifique et technique et annoncé l’ouverture prochaine d’une Maison du Qatar qui sera “un lieu d’échanges, de rencontres et de découverte de la culture et civilisation arabo-musulmane”.
Les travaux de ces assises s’articulent autour de deux forums qui mettront successivement en évidence les enjeux culturels et économiques de l’enseignement de la langue et de la culture arabes en France
dans la perspective de l’Union pour la Méditerranée, ainsi que les améliorations susceptibles d’insuffler une nouvelle dynamique à l’enseignement de la langue arabe.
Chacun de ces forums réunit des spécialistes et acteurs de terrain (scientifiques, responsables de réseaux associatifs et d’institutions, représentants d’entreprises) qui aborderont des thématiques diverses comme la langue arabe comme atout professionnel,
le rôle des associations et institutions culturelles pour valoriser le monde arabe, le rôle des médias et des nouvelles technologies dans la construction d’une identité méditerranéenne, et les perspectives d’avenir dans le domaine de la recherche sur le monde arabe.
8.000 élèves et 6.000 étudiants environ suivent actuellement des cours d’arabe au sein d’un cursus scolaire ou universitaire. Les cours y sont dispensés, pour l’enseignement secondaire, par 230 personnels qualifiés certifiés ou agrégés.
Les associations drainent un public évalué à 70.000 personnes, tandis que l’Enseignement des Langues et Cultures d’Origine (ELCO), qui s’adressent à des enfants d’école primaire, concerne plus de 40.000 élèves.
Les expositions et autres manifestations organisées à l’IMA de Paris drainent plus de 800.000 visiteurs, alors que les grandes entreprises sont de plus en plus soucieuses de la formation de leurs cadres à la connaissance du monde arabe, de ses cultures et de sa langue pour faciliter les échanges avec leurs partenaires.
La délégation de l’Assemblée populaire nationale (APN), composée de membres du Groupe d’amitié Algérie-France, a pris part à une partie de ces travaux, avant de se rendre à Lille.
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Bienvenue en eurabia
et si certains se figurent que l’europe se rangerait à côté d’Israel en cas de clash, je crois qu’ils se font beaucoup d’illusions…croyez vous que nos”…” nous laisseraient faire sans bouger??
Je parierais gros que c’est l’explication des effets oratoires du sémillant Villepin au moment de la déclaration de la guerre en Irak.
Lorsque le mur de Berlin est tombé, l’Ouest a cru qu’il avait remporté la bataille.
C’était une erreur : le système soviétique semble avoir perdu, mais en vérité, il a gagné, en transmettant ses méthodes à pire que lui.
L’Occident, malgré sa puissance économique encore importante, divisé, et sans doute en déclin, est face à une puissance qui le “tient” en contrôlant son principal approvisionnement énergétique, et par le poids de sa population, d’ores et déjà double de la population occidentale.
On a oublié comment l’Inde, pourtant un géant démographique, a dû abandonner des parties de son territoire en 1947 et accepter sa partition et la création du “Pays des Purs”, le Pakistan oriental et occidental.
Hors du blog drzz et de quelques autres, les préoccupations sont les prochaines vacances, les couleurs des papiers peints, la marque de la nouvelle voiture, le menu du restaurant…
Ceux qui osent dire quelque chose sont traités au mieux, d’affabulateurs, mais plutôt de paranoïaques, de racistes, et de plus en plus souvent trainés dans les tribunaux et condamnés, comme les auteurs du tract “ni voilées, ni violées” ou F Truchelut.
Mais la lâcheté se trouve partout…
Pas seulement dans le gouvernement italien ou français…
Au procès de F Truchelut il y avait aussi des idiots utiles. Il ont été dénoncés, c’est nouveau. Il faudrait le faire plus clairement, même s’il est tard, bien tard…
Oct 10, 2008 0:09 | Updated Oct 10, 2008 1:40
Analysis: Who in the Arab world benefits from crisis?
By DR. JONATHAN SPYER
Stock markets across the Arab world experienced unprecedently sharp losses when trading began following the Id al-Fitr holiday earlier this week. The seven stock markets in the oil rich Gulf states shed around $150 billion of their capitalization in the course of the week.
A Saudi trader reacts as he looks at the stock market monitor in Riyadh, Saudi Arabia, this week.
Photo: AP
Près d’un millier de familles chrétiennes ont quitté ces dernières vingt-quatre heures la ville irakienne de Mossoul, pour fuir de nouvelles violences contre leur communauté, a indiqué à l’AFP le gouverneur de cette région du nord de l’Irak, Duraïd Kachmoula. Entre vendredi et samedi soir, «932 familles chrétiennes ont fui leurs maisons à Mossoul pour se réfugier dans les villages chrétiens au nord et à l’est de la ville», affirme-t-il.
La chute des prix du pétrole semble également peser lourdement sur les Bourses des monarchies du Golfe qui pompe quelque 16 millions de barils par jour. Les cours du brut ont passé vendredi sous les 80 dollars à New York et les 75 dollars à Londres.
En conséquence, les six monarchies perdraient chaque jour autour d’un milliard USD, par rapport à leurs recettes pétrolières de juillet lorsque les prix du brut étaient montés à plus de 147 USD le baril.
Le nouveau recul du marché saoudien s’est produit en dépit des déclarations jeudi de la Saudi Arabian Monetary Agency (Sama), la banque centrale du royaume, qui a assuré qu’elle était prête à injecter plus de 93 milliards de dollars dans le système bancaire. L’indice des banques a baissé de 4,8%.
La dégringolade s’est également poursuivie malgré l’annonce par certaines firmes de bilans impressionnants pour les neuf premiers mois de 2008, avec des profits en hausse de 155% pour la Saudi Fertilizers Co. et de 17,4% pour la Saudi British Bank.
Le Tasi a perdu la semaine dernière 17,4% en trois jours. Il est actuellement en baisse de 47,5% par rapport à fin 2007.
Le marché boursier de la première puissance pétrolière mondiale est le plus grand du monde arabe avec une capitalisation de quelque 300 milliards USD, contre 450 milliards USD à la fin 2007.
“Cette chute sur le marché saoudien est injustifiée et la situation va redevenir stable”, a estimé le ministre saoudien des Finances, Ibrahim Al-Assaf, cité par l’agence officielle Spa.
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Imaginez un peu si la consommation de brut diminue, si les prix continue a baisser…nous allons souffrir mais nous ne serons pas les seuls…
les “pôvres” que vont ils faire avec leur pétrole??
Mais ce que les pirates ne savaient pas, c’est qu’ils n’avaient pas affaire à un cargo ordinaire.
Après trois jours, les pirates qui avaient arraisonné le navire et ouvert un conteneur dont le contenu ressemblait à du sable, souffrirent tous d’étranges complications de santé, y compris de graves brûlures de la peau et perte de cheveux. Et après deux semaines, seize des pirates étaient morts, certains sur le bateau, d’autres retournés à terre.
Officiellement, le navire transportait des “minéraux”et des “produits industriels”.
Informés rapidement sur la maladie et la cargaison possiblement toxique, les autorités de la région autonome du Puntland dépêchèrent à bord le 4 septembre une délégation dirigée par le Ministre du Pétrole et des Minéraux Hassan Osman Allore pour enquêter sur la situation , et ils purent constater que les décès étaient dus à une exposition à “quelque chose sur ce navire.”
le MV Iran Deyanat appartient à l’Islamic Republic of Iran Shipping Lines (IRISL), compagnie maritime administrée par l’armée iranienne. Le 10 septembre, le Ministère des Finances américain ( Department of the Treasury) décidait d’appliquer des sanctions sur l’IRISL en spécifiant que la compagnie était engagée dans des opérations illégales pour le compte des Brigades des Gardes Révolutionnaires Iraniens. l’IRISL avait déjà un lourd passé de falsification de documents et de fausses déclarations.
Depuis lors, les officiels et les services secrets américains observent le silence.
Mais certaines sources russes (à prendre encore avec précautions) donnent une version alarmante. Selon eux, le MV Iran Deyanat , était une énorme bombe sale flottante (radioactive) destinée à exploser en face des grandes villes cotières israéliennes, après avoir traversé le canal de Suez.
L’ensemble de la cargaison de sable radioactif, obtenu par l’Iran en provenance de Chine et scellé dans des conteneurs, devaient exploser projetant dans les airs un nuage de sable après le transfert de l’équipage dans des bateaux. les vents dominants devaient ensuite se charger de ramener le nuage radioactif hautemant dangereux vers la terre.
Un autre explication qui circule veut que la cargaison devait être livrée aux jihadistes au Yemen pour la guerre.
Sources : http://shiratdevorah.blogspot.com/2008/10/hijacked-iranian-ship-was-dirty-bomb.html et The Times
DERNIERES NOUVELLES DU FRONT LE 12/10/2008
ECONOMIE Pour “moraliser” (sic) l’économie capitaliste dévoyée, il est proposé avec une certaine insistance depuis quelque temps de lui substituer l’économie islamique. Celle-ci a déjà droit de cité à la City de Londres et une école spécialisée dans ce type d’économie ouvre ses portes à Strasbourg, ville stratégique au plan européen. Tous les chemins qui menaient à Rome, méneraient-ils à la Mecque désormais ?… En tout cas les promoteurs mêmes de la crise ne perdent pas le Nord, il faut dire qu’ils ont aussi piqué l’astrolabe de Ptolémée…
COHABITATION PACIFIQUE: A Acco, les Arabes israéliens rééditant la courageuse attaque de 1973, sont venus provoquer les Juifs du quartier le jour de Kippour en empruntant une route sans circulation pour les fêtes à trés vive allure et hauts-parleurs diffusant de la musique au maximum de puissance. Un autre incident est intervenu à Yitzhar (Samarie) à l’occasion de la cueillette d’olives sans autorisation des autorités. Le Djihad islamique aurait demandé à la Cinquième Colonne estimée à 20% de la population d’intensifier ce genre de provocations ! Le réveil, c’est pour quand ?…
Shaul MOFAZ déclare à Galeï Tsahal qu’il n’envisage pas de se retirer de la vie politique. Doit-on lui rappeler qu’Israël est en guerre et que toutes les énergies sont mobilisées ?!…
MILLE FAMILLES CHRETIENNES fuient Mossoul au nord de l’Irak car, depuis 5 ans, ils sont l’objet d’un propagande islamique qui vient d’atteindre son apogée. Onze personnes ont été assassinées depuis septembre dernier. Il s’agit d’un bastion d’Al Qaïda. Il ne va bientôt plus rester un seul chrétien dans tout le proche et Moyen-Orient. On protége bien les éléphants en Afrique !… Déclarons, les chrétiens espèce en voie de disparition !
@Gad Sheli salut,
Tu as oublie qqchose dans ton commentaire, la majorite des arabes vivant a acco sont chretiens, et se terrent par peur des represailles de la minorite arabe muzz qui mettent le bazar.
D’apres mon amie vivant a Acco et arabe chretienne, les insultes et les grafitis ne cessent de proliferer depuis quelque temps a leur encontre, un vendeur de kebab a meme ete pris a parti il y a trois jours pour sa soi-disant traitrise.
@Lavigie tu as raison, parachutage direct dans le parc a hyenes ou chez le roitelet.
Ce qui est exact. A ceci près qu’il ne s’agit pas ici de n’importe quelle offre, mais d’une offre basée sur un système de lois iniques et un choix de société totalitaire qui s’inscrivent en totale contradiction avec les valeurs et le système qui sont les nôtres. Imaginerait-on une marque de l’agroalimentaire proposer des produits conformes aux préceptes de Mein Kampf ?
L’islam, je le rappelle, c’est cette religion qui – entre autres horreurs – considère la femme comme ne valant que la moitié de l’homme, et permet de la frapper lorsque l’on craint sa désobéissance ; qui appelle au meurtre des homosexuels ; qui offre aux chrétiens et aux juifs trois alternatives : la conversion, la mort, ou la possibilité de garder leur foi dans le cadre d’une citoyenneté de seconde zone (la dhimma), et ce contre le paiement d’une taxe ; qui offre aux athées et polythéistes le choix entre la conversion ou la mort ; qui appelle au meurtre des apostats ; qui promeut entre autres châtiments l’amputation, l’énucléation et la lapidation ; qui exhorte les musulmans à l’extermination des Juifs au jour du jugement dernier. C’est cela, la loi islamique, la loi de la finance islamique.
Promouvoir la finance islamique, c’est collaborer activement au processus d’islamisation de notre société.
Finance islamique : le Sénat dénonce l’inertie française
Dans un rapport de soixante pages, le Sénat revient sur les atouts de la finance islamique et sur le paradoxe français : alors que la finance islamique pourrait s’intégrer sans obstacle majeur dans le paysage bancaire français, alors que la France compte la plus importante communauté musulmane d’Europe, rien n’est fait pour son développement. Le Sénat le déplore.
Lire les conclusions des tables rondes dans le le rapport du sénat sur Al-Kanz
Un diplôme de finance islamique à Strasbourg en janvier
A partir de janvier, l’Ecole de Management de Strasbourg proposera pour la première fois en France des cours de finance conformes aux préceptes du Coran dans le but de former notamment de futurs gestionnaires de fonds musulmans.
S’il existe déjà un diplôme similaire en Grande-Bretagne, pays où s’est développée la première industrie de la finance islamique en Europe, et de nombreuses formations en ligne, cet enseignement est en France encore inédit.
Au programme : introduction à l’islam, à l’économie et au droit musulman puis un noyau dur où seront abordés le régime juridique des contrats de droit musulman, le droit bancaire et le droit des marchés financiers avec les titres islamiques, tels que le «salam», l’«ijara» et le «sukuk».
L’intérêt suscité par ce diplôme adossé à un programme national de recherche dépasse cependant de loin le seul espace français, car les candidatures viennent d’Angleterre, du Maghreb, d’Inde et du Pakistan.
En juillet, le gouvernement s’est dit favorable au développement de la finance islamique en France, en lui offrant un cadre juridique et fiscal plus accueillant afin de drainer une partie des liquidités du Golfe qui se déversent aujourd’hui sur Londres.