“Il s’agit du meilleur des trois débats” écrit le Telegraphde Londres.
9 thoughts on “John Mccain a gagné le dernier débat”
Posted on jeudi, 16. octobre 2008 15:25:33 by TitansAFC
—“…Perhaps the best news for McCain is the rating he received from independent voters. Among respondents not identified with either major political party, McCain was judged tonight’s winner, 51-42 percent….”—
In the campaign’s final two weeks, voters will take a last serious look at both presidential candidates. The outcome of the race isn’t cast in stone yet.
Barack Obama holds a 7.3% lead in the Real Clear Politics average of all polls, but the latest Gallup tracking poll reveals that there are nearly twice as many undecided voters this year than there were in the last presidential election. The Investor’s Business Daily/TIPP poll (which was closest to the mark in predicting the 2004 outcome — 0.4% off the actual result) now says this is a three-point race.
News organizations including ABC, The Associated Press, The Washington Monthly and MSNBC’s Countdown with Keith Olbermann reported the claim, with most attributing the allegations to the Times-Tribune story.
Agent Bill Slavoski said he was in the audience, along with an undisclosed number of additional secret service agents and other law enforcement officers and not one heard the comment.
“I was baffled,” he said after reading the report in Wednesday’s Times-Tribune.
He said the agency conducted an investigation Wednesday, after seeing the story, and could not find one person to corroborate the allegation other than Singleton.
Slavoski said more than 20 non-security agents were interviewed Wednesday, from news media to ordinary citizens in attendance at the rally for the Republican vice presidential candidate held at the Riverfront Sports Complex. He said Singleton was the only one to say he heard someone yell “kill him.”
David Martin a raison, ces deux derniers mois, Obama dépensera le double de McCain ($167 M versus $85M). Malgré tout, unsondage Washington Post/ABC rapporte que 45% des électeurs ne considèrent pas Obama qualifié pour être président – ce chiffre était plus ou moins le même en Mars.
McCain a sortit des griffes hier soir (pas assez j’en conviens) mais il a mis Obama mal à l’aise. Le héro de la soirée c’était surtout Joe Le Plombier car sa question dirigée à l’impôt de Barack met un visage humain à l’utopie Obamanesque.Aujourd’hui Joe Le Plombier a été interviewé par une multitude de media qui s’efforcent de le ridiculiser… Comment se fait il que les medias n’aient pas été interviewé Bill Ayers se demande Rush Limbaugh ?? Deux poix deux mesures, comme d’habitude.
Le parti communiste de New York nous annonce que « Leur Temps Marxiste est Venu ». Et oui, ils ont reconnu un des leurs !A noter : le parti comprend entre 3000 et 3500 membres… sur un peuple de 300M… c’est pas beau ça? America, I love you ! http://afp.google.com/article/ALeqM5iMCyQU-2FEywiO4DDeBcAT2ZJmlg
A part Bill Clinton, politicien d’exception, dont l’ambition lui servit d’idéologie, avec une habileté exceptionnelle de permis de séjour en politique, les Démocrates américains ont perdu toutes les élections présidentielles depuis 1968 ; à l’exception de Jimmy Carter, en 1976, qui s’avéra le pire président de l’histoire du pays.
Faisons les comptes : Hubert Humphrey fut battu par Richard Nixon en 1968 ; le gauchiste McGovern fut balayé comme un fétu de paille dans la tempête en 1972 par le président sortant ; Carter fut éjecté par l’électorat au profit de Ronald Reagan, en 1980, et Walter Mondale, battu à plates coutures en 1984 ; même le piteux candidat George Bush (senior) l’emporta en 1988 sur Michael Dukakis ; en 2000, George Bush Junior, qui n’était pas la crème des candidats, battit sur le fil le vice-président sortant Al Gore, et en 2004, John Kerry.
En quarante ans, les Démocrates ont occupé la Maison Blanche pendant douze ans, et les Républicains pendant vingt-huit, même quand les candidats présentés par le Grand Old Party (Républicain) ne brillaient guère. Voilà qui trace un portrait sans équivoque d’une Amérique contemporaine libérale et conservatrice.
Mais voici aussi que le Démocrate Barack Obama semble être en mesure de l’emporter. Certes, le deuxième mandat de George Bush, président à la parole dyslexique, aura été calamiteux. Même la victoire remportée en Irak par le général Petraeus n’aura pas suffi à redresser sa cote en dégringolade désastreuse.
Absent, quand les ravages de « Katrina » dévastaient le Sud-est. Mécontentant la base Républicaine en pratiquant une politique molle envers les pays de l’ « Axe du Mal » (Iran, Corée du Nord, Syrie) en politique étrangère. Et une politique incohérente en matière de déficit budgétaire et de dépenses de l’Etat, Bush léguait une planche savonneuse à tout candidat Républicain à sa succession.
La crise financière a mis un point final à tout cela. Même si l’histoire devait, à terme, se montrer plus clémente à son égard (comme elle l’est envers Harry Truman, président de 1945 à 1952, qui termina son mandat dans l’impopularité, notamment à cause d’une guerre rejetée par l’électorat en Corée), l’histoire immédiate ne l’est pas, qui se traduit par une montée réactive des Démocrates, comme le montra l’élection intermédiaire de 2006.
John McCain n’a, jusqu’à présent, pas fait une campagne très impressionnante, à l’exception de son choix du gouverneur de l’Alaska, Sarah Palin, comme colistière. Il était légèrement en tête quand la crise financière le frappa de plein fouet.
Passons outre les balivernes médiatiques : Palin est une décideuse, pourvue de cet art suprême du soldat et du politique que Clausewitz appelle l’Entschlossenheit, l’esprit de décision. Ce qu’elle ne sait pas, notamment en politique étrangère, elle peut l’apprendre ; la vertu de décision ne s’apprend pas. Truman l’avait, Carter pas. Palin la possède, et c’est ce qui fera d’elle, demain ou après-demain, une présidente.
Après leurs défaites répétées, les déroutes des candidats du sérail à chaque élection successive, les Démocrates avaient perdu l’espoir. Cette méprisable Amérique, incapable d’apprécier les merveilles de l’ONU, la beauté de l’Etat-nounou, la grandeur du fonctionnariat et de l’étatisme, l’éclat du pacifisme et du multilatéralisme, les rejetait. Il fallait faire autrement et trouver autre chose. Foin des losers genre Kerry ou Gore, il fallait trouver l’homme miracle. Et, Hosanna ! il se présentait, c’était Obama, sénateur de l’Illinois, novice ignorant, mais rock star providentielle. Le parti se donnait à lui comme une adolescente en pâmoison.
A y regarder de plus près, l’ami Barack n’est pas exactement ce qu’il paraît. Obama est le candidat cousu sur mesure, produit manufacturé, tissu d’apparences, de faussetés et de mensonges, un homme-caméléon à la biographie fabriquée, dont tous les tours et détours sont ajustés au millimètre, mais faux de fond en comble.
C’est ce qu’on appelle ici, au music-hall et au cabaret, un impersonator, un imitateur, un faux-semblant. C’est un complet veston parfait qui masque un homme contrefait. Bien entendu, pour mettre en-avant un candidat factice, encore fallait-il que ses apparences fussent respectées et que les couches de maquillage et de déguisement ne fussent jamais grattées. C’est à cela que sert la presse, parbleu ! à forcer le monde réel à ressembler à l’univers fictif de la gent médiatique, hollywoodienne, fonctionnariale et intellectuelle.
Les squelettes qui encombrent tous les placards d’Obama n’ont jamais été dérangés ni examinés par la presse dite Mainstream, c’est-à-dire la presse « honorable ». Alors qu’un comportement systématique et permanent de coopération avec l’extrême-gauche raciste, violente et fraudeuse, avec les plus extrêmes représentants du Black Power, apôtres d’un fascisme noir, a été démontré par des enquêtes répétées, la grande presse, les networks de télévision sont restés d’un silence de plomb.
Sa carrière politique a-t-elle été lancée par le terroriste non repenti Bill Ayers, du Weather Underground, équivalent américain d’Action directe ? Obama ment sans vergogne. A propos d’Ayers : « c’est un type qui habite dans ma rue », alors que l’autre l’a fait entrer au conseil d’une fondation où il siège, et qui finance toutes sortes d’organisations louches mais situées à l’extrême-gauche, dont ACORN, aujourd’hui inculpée de fraude électorale dans dix Etats de l’Union.
La presse ne pipe mot. Alors que sa carrière politique a été couvée et promue par la sordide organisation Démocrate de Chicago, machine à tricher et à voler, qui fait pâlir la Corse, Marseille et Naples réunies, qu’il y a été financé par l’escroc syrien Antoine Rezko, actuellement pensionnaire des prisons fédérales, on n’en trouve pas un mot dans les media.
« Oh ! j’ai fait une bêtise » rétorque-t-il, et d’être pris au mot par la presse débonnaire à son égard. Son aptitude étonnante à la grimpette politique, assaisonnée d’une arrogance mégalomaniaque, d’un opportunisme dénué du moindre scrupule, n’est ni remarquée ni analysée : Obama est un saint, un sauveur, il ne saurait mal faire. C’est ce qui lui permet de critiquer, avec hauteur, quiconque le critique : « C’est une diversion ! » s’exclame, méprisant, sainte Nitouche, que nul ne saurait contredire. La question ne sera pas posée, et surtout, ne trouvera aucune réponse. Bravo l’artiste, mais avec la complicité des media, nécessaire pour créer une telle immunité sans précédent dans les annales électorales.
Les media truquent les sondages, comme la chaîne d’info télévisée en continu MSNBC, qui organise un vote, en guise de sondage, dont 80 pourcent des « électeurs » sont domiciliés à l’étranger. Ce qui a permis à la MSNBC de donner Obama grand vainqueur.
Le Washington Post et ABC-TV procèdent à un sondage où 38 pourcent des sondés sont Démocrates et 28% Républicains, et où la majorité des « indépendants » sont pro-Démocrates ; surprise, surprise, Obama en sont vainqueur.
De même, les networks de télévision procèdent par montage pour présenter un Obama clair, clairvoyant, décidé, alors qu’il bafouille et hésite quand le téléprompteur lui manque, ou qu’il n’est pas en situation de réciter les talking points (les paragraphes pondus par son équipe). Ce qui donne des discours et des réponses pleins de « mots codes » et vides de contenu ; comme il a remarquablement assimilé l’art tout washingtonien de réciter les dossiers, un peu à la façon énarque, il peut prétendre savoir de quoi il parle, alors qu’en matière de politique étrangère, il a l’ignorance crasse du novice.
On me dira : vous exagérez ! Il est brillant diplômé de Harvard ! A quoi je ferai remarquer qu’un universitaire décrit comme de grande classe devrait avoir écrit quelques articles de grande revue de droit qui auront fait date. Ici, rien, le désert… (suite sur Metula news)
Many Americans have questions about Barack Obama and his views on Israel. And for good reason. His positions on Israel are reckless.
Most concerning is Barack Obama’s naïve grasp of the threats against the United States and Israel.
From his opposition to legislation against labeling Iran’s Revolutionary Guard a terrorist organization (barackobama.com) to his willingness to meet with Iranian President Ahmadinejad without any preconditions (CNN/YouTube Debate, 7/23/07), Sen. Barack Obama has raised real questions about his judgment and experience.
Sen. Obama told a Jewish group he supports an undivided Jerusalem, only to flip-flop the very next day. (MSNBC.com, 6/6/08) Another time, Obama called his support for an undivided Jerusalem a “poor phrasing” of words. (Jerusalem Post, 7/14/08)
Obama himself has pointed out that “words matter.” And they do, especially to people who care about the future of Israel. And they mattered earlier this year, when Obama stated, “Nobody is suffering more than the Palestinian people.” (Politico.com, 3/13/07)
Sen. Barack Obama surrounds himself with a number of individuals and advisors who are hostile to Israel and American Jews. These men have played instrumental roles in shaping Sen. Obama’s world views. They include Zbigniew Brzezinski, General Tony McPeak and Reverend Jeremiah Wright. All are known for their anti-Israel views.
Obama has not shown the wisdom, experience or strength to stand up to the people who would do us harm.
Paid for by the Republican Jewish Coalition. Not authorized by any candidate or candidate’s committee. http://WWW.RJCHQ.ORG
Posted on jeudi, 16. octobre 2008 15:25:33 by TitansAFC
—“…Perhaps the best news for McCain is the rating he received from independent voters. Among respondents not identified with either major political party, McCain was judged tonight’s winner, 51-42 percent….”—
In the campaign’s final two weeks, voters will take a last serious look at both presidential candidates. The outcome of the race isn’t cast in stone yet.
Barack Obama holds a 7.3% lead in the Real Clear Politics average of all polls, but the latest Gallup tracking poll reveals that there are nearly twice as many undecided voters this year than there were in the last presidential election. The Investor’s Business Daily/TIPP poll (which was closest to the mark in predicting the 2004 outcome — 0.4% off the actual result) now says this is a three-point race.
”MCain n’a pas remporté ce débat, pas plus qu’il n’avait remporté les autres”
Parce que dire le contraire vous aurait traverser l’esprit?
Non, quand on est sous emprise, on est sous emprise ! 🙂
Obama gagne tout ! Tout est pour lui !
C’est terrible d’en arriver à une telle allégeance.
News organizations including ABC, The Associated Press, The Washington Monthly and MSNBC’s Countdown with Keith Olbermann reported the claim, with most attributing the allegations to the Times-Tribune story.
Agent Bill Slavoski said he was in the audience, along with an undisclosed number of additional secret service agents and other law enforcement officers and not one heard the comment.
“I was baffled,” he said after reading the report in Wednesday’s Times-Tribune.
He said the agency conducted an investigation Wednesday, after seeing the story, and could not find one person to corroborate the allegation other than Singleton.
Slavoski said more than 20 non-security agents were interviewed Wednesday, from news media to ordinary citizens in attendance at the rally for the Republican vice presidential candidate held at the Riverfront Sports Complex. He said Singleton was the only one to say he heard someone yell “kill him.”
Si j’avais vu “John Mac Cain a perdu le troisième débat” sur ce blog, je crois que c’aurait été la plus grosse surprise de ma vie 🙂
(PS: je ne dis pas que c’est faux, juste que ça finit par devenir prévisible ^^ )
Décidement quand anomalie parle de connerie te d’ ignorance, ça sent le vécu.
“Washington Post/ABC poll found 45% of voters still don’t think he’s qualified to be president, about the same number who doubted his qualifications in March.” http://online.wsj.com/article/SB122411909182439021.html
McCain a sortit des griffes hier soir (pas assez j’en conviens) mais il a mis Obama mal à l’aise. Le héro de la soirée c’était surtout Joe Le Plombier car sa question dirigée à l’impôt de Barack met un visage humain à l’utopie Obamanesque. Aujourd’hui Joe Le Plombier a été interviewé par une multitude de media qui s’efforcent de le ridiculiser… Comment se fait il que les medias n’aient pas été interviewé Bill Ayers se demande Rush Limbaugh ?? Deux poix deux mesures, comme d’habitude.
Quant aux présumés cries de « kill him » – les services secrets disent que c’est du baratin (hot air) http://hotair.com/archives/2008/10/16/secret-service-finds-no-basis-for-kill-him-smear/ Obama s’excusera t’il pour ce re-re-mensonge ? J’en doute. Comme d’habitude.
Le parti communiste de New York nous annonce que « Leur Temps Marxiste est Venu ». Et oui, ils ont reconnu un des leurs ! A noter : le parti comprend entre 3000 et 3500 membres… sur un peuple de 300M… c’est pas beau ça?America , I love you ! http://afp.google.com/article/ALeqM5iMCyQU-2FEywiO4DDeBcAT2ZJmlg
A part Bill Clinton, politicien d’exception, dont l’ambition lui servit d’idéologie, avec une habileté exceptionnelle de permis de séjour en politique, les Démocrates américains ont perdu toutes les élections présidentielles depuis 1968 ; à l’exception de Jimmy Carter, en 1976, qui s’avéra le pire président de l’histoire du pays.
Faisons les comptes : Hubert Humphrey fut battu par Richard Nixon en 1968 ; le gauchiste McGovern fut balayé comme un fétu de paille dans la tempête en 1972 par le président sortant ; Carter fut éjecté par l’électorat au profit de Ronald Reagan, en 1980, et Walter Mondale, battu à plates coutures en 1984 ; même le piteux candidat George Bush (senior) l’emporta en 1988 sur Michael Dukakis ; en 2000, George Bush Junior, qui n’était pas la crème des candidats, battit sur le fil le vice-président sortant Al Gore, et en 2004, John Kerry.
En quarante ans, les Démocrates ont occupé la Maison Blanche pendant douze ans, et les Républicains pendant vingt-huit, même quand les candidats présentés par le Grand Old Party (Républicain) ne brillaient guère. Voilà qui trace un portrait sans équivoque d’une Amérique contemporaine libérale et conservatrice.
Mais voici aussi que le Démocrate Barack Obama semble être en mesure de l’emporter. Certes, le deuxième mandat de George Bush, président à la parole dyslexique, aura été calamiteux. Même la victoire remportée en Irak par le général Petraeus n’aura pas suffi à redresser sa cote en dégringolade désastreuse.
Absent, quand les ravages de « Katrina » dévastaient le Sud-est. Mécontentant la base Républicaine en pratiquant une politique molle envers les pays de l’ « Axe du Mal » (Iran, Corée du Nord, Syrie) en politique étrangère. Et une politique incohérente en matière de déficit budgétaire et de dépenses de l’Etat, Bush léguait une planche savonneuse à tout candidat Républicain à sa succession.
La crise financière a mis un point final à tout cela. Même si l’histoire devait, à terme, se montrer plus clémente à son égard (comme elle l’est envers Harry Truman, président de 1945 à 1952, qui termina son mandat dans l’impopularité, notamment à cause d’une guerre rejetée par l’électorat en Corée), l’histoire immédiate ne l’est pas, qui se traduit par une montée réactive des Démocrates, comme le montra l’élection intermédiaire de 2006.
John McCain n’a, jusqu’à présent, pas fait une campagne très impressionnante, à l’exception de son choix du gouverneur de l’Alaska, Sarah Palin, comme colistière. Il était légèrement en tête quand la crise financière le frappa de plein fouet.
Passons outre les balivernes médiatiques : Palin est une décideuse, pourvue de cet art suprême du soldat et du politique que Clausewitz appelle l’Entschlossenheit, l’esprit de décision. Ce qu’elle ne sait pas, notamment en politique étrangère, elle peut l’apprendre ; la vertu de décision ne s’apprend pas. Truman l’avait, Carter pas. Palin la possède, et c’est ce qui fera d’elle, demain ou après-demain, une présidente.
Après leurs défaites répétées, les déroutes des candidats du sérail à chaque élection successive, les Démocrates avaient perdu l’espoir. Cette méprisable Amérique, incapable d’apprécier les merveilles de l’ONU, la beauté de l’Etat-nounou, la grandeur du fonctionnariat et de l’étatisme, l’éclat du pacifisme et du multilatéralisme, les rejetait. Il fallait faire autrement et trouver autre chose. Foin des losers genre Kerry ou Gore, il fallait trouver l’homme miracle. Et, Hosanna ! il se présentait, c’était Obama, sénateur de l’Illinois, novice ignorant, mais rock star providentielle. Le parti se donnait à lui comme une adolescente en pâmoison.
A y regarder de plus près, l’ami Barack n’est pas exactement ce qu’il paraît. Obama est le candidat cousu sur mesure, produit manufacturé, tissu d’apparences, de faussetés et de mensonges, un homme-caméléon à la biographie fabriquée, dont tous les tours et détours sont ajustés au millimètre, mais faux de fond en comble.
C’est ce qu’on appelle ici, au music-hall et au cabaret, un impersonator, un imitateur, un faux-semblant. C’est un complet veston parfait qui masque un homme contrefait. Bien entendu, pour mettre en-avant un candidat factice, encore fallait-il que ses apparences fussent respectées et que les couches de maquillage et de déguisement ne fussent jamais grattées. C’est à cela que sert la presse, parbleu ! à forcer le monde réel à ressembler à l’univers fictif de la gent médiatique, hollywoodienne, fonctionnariale et intellectuelle.
Les squelettes qui encombrent tous les placards d’Obama n’ont jamais été dérangés ni examinés par la presse dite Mainstream, c’est-à-dire la presse « honorable ». Alors qu’un comportement systématique et permanent de coopération avec l’extrême-gauche raciste, violente et fraudeuse, avec les plus extrêmes représentants du Black Power, apôtres d’un fascisme noir, a été démontré par des enquêtes répétées, la grande presse, les networks de télévision sont restés d’un silence de plomb.
Sa carrière politique a-t-elle été lancée par le terroriste non repenti Bill Ayers, du Weather Underground, équivalent américain d’Action directe ? Obama ment sans vergogne. A propos d’Ayers : « c’est un type qui habite dans ma rue », alors que l’autre l’a fait entrer au conseil d’une fondation où il siège, et qui finance toutes sortes d’organisations louches mais situées à l’extrême-gauche, dont ACORN, aujourd’hui inculpée de fraude électorale dans dix Etats de l’Union.
La presse ne pipe mot. Alors que sa carrière politique a été couvée et promue par la sordide organisation Démocrate de Chicago, machine à tricher et à voler, qui fait pâlir la Corse, Marseille et Naples réunies, qu’il y a été financé par l’escroc syrien Antoine Rezko, actuellement pensionnaire des prisons fédérales, on n’en trouve pas un mot dans les media.
« Oh ! j’ai fait une bêtise » rétorque-t-il, et d’être pris au mot par la presse débonnaire à son égard. Son aptitude étonnante à la grimpette politique, assaisonnée d’une arrogance mégalomaniaque, d’un opportunisme dénué du moindre scrupule, n’est ni remarquée ni analysée : Obama est un saint, un sauveur, il ne saurait mal faire. C’est ce qui lui permet de critiquer, avec hauteur, quiconque le critique : « C’est une diversion ! » s’exclame, méprisant, sainte Nitouche, que nul ne saurait contredire. La question ne sera pas posée, et surtout, ne trouvera aucune réponse. Bravo l’artiste, mais avec la complicité des media, nécessaire pour créer une telle immunité sans précédent dans les annales électorales.
Les media truquent les sondages, comme la chaîne d’info télévisée en continu MSNBC, qui organise un vote, en guise de sondage, dont 80 pourcent des « électeurs » sont domiciliés à l’étranger. Ce qui a permis à la MSNBC de donner Obama grand vainqueur.
Le Washington Post et ABC-TV procèdent à un sondage où 38 pourcent des sondés sont Démocrates et 28% Républicains, et où la majorité des « indépendants » sont pro-Démocrates ; surprise, surprise, Obama en sont vainqueur.
De même, les networks de télévision procèdent par montage pour présenter un Obama clair, clairvoyant, décidé, alors qu’il bafouille et hésite quand le téléprompteur lui manque, ou qu’il n’est pas en situation de réciter les talking points (les paragraphes pondus par son équipe). Ce qui donne des discours et des réponses pleins de « mots codes » et vides de contenu ; comme il a remarquablement assimilé l’art tout washingtonien de réciter les dossiers, un peu à la façon énarque, il peut prétendre savoir de quoi il parle, alors qu’en matière de politique étrangère, il a l’ignorance crasse du novice.
On me dira : vous exagérez ! Il est brillant diplômé de Harvard ! A quoi je ferai remarquer qu’un universitaire décrit comme de grande classe devrait avoir écrit quelques articles de grande revue de droit qui auront fait date. Ici, rien, le désert… (suite sur Metula news)
Many Americans have questions about Barack Obama and his views on Israel. And for good reason. His positions on Israel are reckless.
Most concerning is Barack Obama’s naïve grasp of the threats against the United States and Israel.
From his opposition to legislation against labeling Iran’s Revolutionary Guard a terrorist organization (barackobama.com) to his willingness to meet with Iranian President Ahmadinejad without any preconditions (CNN/YouTube Debate, 7/23/07), Sen. Barack Obama has raised real questions about his judgment and experience.
Sen. Obama told a Jewish group he supports an undivided Jerusalem, only to flip-flop the very next day. (MSNBC.com, 6/6/08) Another time, Obama called his support for an undivided Jerusalem a “poor phrasing” of words. (Jerusalem Post, 7/14/08)
Obama himself has pointed out that “words matter.” And they do, especially to people who care about the future of Israel. And they mattered earlier this year, when Obama stated, “Nobody is suffering more than the Palestinian people.” (Politico.com, 3/13/07)
Sen. Barack Obama surrounds himself with a number of individuals and advisors who are hostile to Israel and American Jews. These men have played instrumental roles in shaping Sen. Obama’s world views. They include Zbigniew Brzezinski, General Tony McPeak and Reverend Jeremiah Wright. All are known for their anti-Israel views.
Obama has not shown the wisdom, experience or strength to stand up to the people who would do us harm.
Paid for by the Republican Jewish Coalition. Not authorized by any candidate or candidate’s committee.
http://WWW.RJCHQ.ORG