Merci à Gregory pour l’info
Un site met à jour régulièrement les analyses que vous ne lirez jamais concernant le réchauffement climatique :
LISEZ LE rapport SUR LE MYTHE DU RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE
Plus de 50 article du blog drzz pour vous réinformer sur le climat
Excellent site,
ouf, heureux de lire parfois que la température moyenne de la décennie a baissé, particulièrement grâce à des hivers de plus en plus rudes depuis 4 ans.
mais le formatage des esprits est effectué, jusqu’à quand ?
nous faut-il une année glacée pour remettre les neurones à zéro ?
Histoire vraie.
Par pure curiosité, et il faut le dire par préténtion, j’ai été à une conférence a Tel-Aviv sur le réchauffement climatique.
Le conférencier m’avait presque convaincue..
Quand enfin il a pu se débarrasser des jounalistes, il est allé se reposé dans la salle et sans mentir, il a sorti une barre de muesli, l’a croqué et a jeté par terre l’emballage.
Je suis retournée chez moi dégoutée, en pensant franchement que j’avais perdu mon temps…
Certes Ludo, mais garder l’appellation de RC tant que le changement n’est pas “qualifié” permet quand même de ne pas pousser mémé dans les orties !!
Alors que tant de textes, de lois, de normes sont édictées et que tant d’argent est englouti dans des marchés virtuels, on ne va quand même pas abandonner les rapports et autres contributions alarmistes du RC qui en sont la source. J’attends avec impatience et de pied ferme, le jour où un Jean Jouzel par exemple pour la France reprendra quelqu’un pour parler de “changement climatique” !
Ah bon ? Changement ? Mais changement vers quoi ? Conserver l’appellation réchauffement climatique et ne pas faire le jeu de leur changement sémantique anesthésiant sans aucun changement de politique est du militantisme !!
Vous êtes encore moins à jour, les idiots utiles et D.ieu sait qu’ ils sont légions, parlent de déreglement climatique.
Y a bon les sous des cochons de payeurs.
Certes grandpas, et c’est c’est plus pervers… sauf que déréglement climatique, veut dire réglement et dans tous les cas l’aveu d’impuissance n’est pas loin… c’est tout ce qui compte si on veut que les “masses silencieuses” qui votent puissent se “révolter”
C’est beau de fermer les yeux, c’est la meilleure manière de ne s’inquiéter que lorsque tout ira vraiment mal.
Après avoir assisté à une conférence de l’excellent Jean-Marc Jancovici (www.manicore.com), qui entre parenthèses démontre et ne fait pas que jeter des hypothèses en l’air, allez voir sur son site si vous voulez être convaincus, je suis arrivé à trois conclusions.
1/ Effectivement, les médias sont des ânes bâtés qui ne comprennent rien, et donc par conséquent sélectionnent les déclarations selon leur degré d’alarmisme, et pas selon leur précision et leur rigueur scientifique,
2/ Il va dans les années futures (mais personne ne sait quand), y avoir des gros problèmes. Pour n’en citer qu’un : la disparition de la banquise. Tous les journalistes niais l’assimilent à une montée des eaux, des inondations, etc… mais non ! La principale propriété de la banquise est d’être un miroir réfléchissant qui n’absorbe aucune chaleur, au contraire des océans qui, eux, se réchauffent. Donc une fois qu’il n’y aura plus de banquise (et pour les ultrasceptiques : c’est un fait, elle était à ses plus bas niveaux ces deux derniers étés, ça se mesure scientifiquement), c’est la calotte glaciaire qui disparaîtra (et pour le coup, les plages vont faire la tête), et le climat commencera à réellement se réchauffer.
3/ Tous les pays pétrodépendants vont passer une très mauvaise fin de XXIème siècle. J’avais vu je ne sais plus où sur ce blog que “les gisements d’Alaska étaient les plus vastes au monde”. Ce qui est vaste, c’est la fumisterie : personne ne sait mesurer la taille de réserves de pétrole. Personne ! Tout n’est qu’estimations. Donc je suis plutôt rassuré de vivre dans un pays qui s’appuie essentiellement sur l’énergie nucléaire.
Et pour prouver que celui que je cite n’est pas qu’un alarmiste de plus, d’extrême-gauche, qui roule en solex et porte des pulls en laine bio en hurlant sur l’Amérique…
http://www.manicore.com/documentation/serre/americains.html
Bloup
Rassurez vous pour la banquise à la vitesse ou le froid arrive sur notre douce europe, je sais déjà où cette derniére va s’ établir et c’est tant mieux les vins de glaces seront moins chers enfin je vous rapelle cheer que ces mêmes scientifiques prédisaient la fin des fôrest europeennes pour les années 90 début ainsi que la fin du pétrole , c’est con mais il y a toujours de l’ or noir et des projets sont etudiées pour épongés jusqu’ à la derniére goutte de liquide noirâtre,
Dans le même style, les prévisionistes s’entendaient pour dire qu’ un baril de pétrole à moins de 50$ c’est pas avent 1000 ans, en trois mois celui ci est sous la barre des 50$, d’ autres oiseau de malheur prévoyaient une guerre entre la Chine et l’ URSS dans les années 60, si si, certains ont même écrit des livres.
C’est bloup* quand même.
* En remplacement de : C’est ballot!
Auriez vous une solution car il neige sur Paris et moi qui avais acheté des bermudas et des chemises hawaïennes pour prfiter de la Seine au mois de Décembre grâce au réchauffement climatique et Maire de Paris et son Paris-Plage hivernal.
Comme vous le dites, le problème de la “dernière goutte de liquide noirâtre”, c’est qu’elle existe, comme le “dernier millilitre de gaz naturel” ou le “dernier gramme de charbon”. Toutes ces énergies sont fossiles, et non renouvelables, sauf en plusieurs millions d’années. Je ne prétends pas connaître l’évolution du prix du baril, puisque la bourse et moi ça fait 2. Je suis juste persuadé que dans 1000 ans, personne n’aura plus la moindre idée de ce qu’est le pétrole, à part quelques historiens. Et qu’à mon avis, on peut restreindre cette durée à 200 ans sans trop se mouiller.
Encore une fois, ce ne sont que des prévisions, mais s’il y’a une chose sur laquelle tous les scientifiques sont d’accord, c’est que la réserve de pétrole sur la planète est une valeur finie, et que sa consommation excède de plusieurs facteurs de puissance de dix son renouvellement.
Et tant qu’on y est, puisqu’il neige à Paris…
http://www.manicore.com/documentation/serre/meteo.html
Ca permet d’aller à l’encontre d’AUTRES idées reçues.
Merci Bloub, nous connaissons l’albédo.
Tout n’est pas si simple, moins il y a de banquise, plus il y a de nuages d’où un albédo dû à la vapeur d’eau plus important, même si la vapeur d’eau est aussi le plus puissant gaz à effet de serre.
En clair, vous mettez une cocotte à couvercle dans un four, la chaleur de l’intérieur de la cocotte restera à cause du couvercle mais la chaleur externe sera aussi arrêtée par ce couvercle et votre plat ne gratinera donc pas …
Donc plus il y a de vapeur d’eau dans l’atmosphère, moins le rayonnement solaire nous parvient et plus il fait froid …
merci aussi pour la banquise et la montée des eaux, mais la fonte de la banquise de mer ne fait pas monter le niveau des eaux, principe d’Archimède, “tout corps plongé … …”
La banquise arctique a effectivement fortement fondu ces 2 derniers étés, il faudrait être con pour le nier, mais durant l’hiver dernier, très rigoureux, elle s’est reconstituée au niveau de 2004.
La calotte antarctique s’est elle fortement élevée pour cause de chutes neigeuses plus importantes.
Les réserves de pétrole US sont évaluées à 2 000 milliards de barils, alors oui, ce n’est qu’une évaluation, mais c’est l’évaluation retenue par les services d’intelligence économique afin de définir la prospective du pays.
Connaissant la prudence de ce type d’agence, les réserves sont sans doute sous évaluées.
Nous ne nions pas l’évolution climatique, il existe un réchauffement minime depuis 1850.
Ne ne nions pas que l’activité humaine y contribue, ainsi il fait plus chaud en ville qu’en campagne, mais, le réchauffement global anthropique est une foutaise de première.
De 1850 à 1940, l’activité humaine productrice de CO2 était plus que limitée, pourtant, la température globale s’est légèrement élevée …
L’hiver 2006 2007 a été le plus froid du XXIème, certains points de l’hémisphère nord ont enregistré les températures les plus basses depuis un siècle …
Alors, l’élévation globale de la température, 0, 74°C en 100 ans ne mérite sans doute pas la paranoïa actuelle, d’autant qu’elle est d’origine naturelle, d’autant que nous avons globalement plus à gagner qu’à y perdre, d’autant que nous ne pouvons pas y faire grand chose.
Nous disons simplement que la modélisation des systèmes chaotiques n’est pas encore maîtrisée totalement par l’esprit humain, nous disons que la nature complexe du climat serait analysable par les supercalculateurs à condition que nous en maîtrisions les inputs et nous en sommes très loin.
Ce buzz climatique n’est là que pour apporter reconnaissance et finance à quelques personnes, ensuite, nous entrons dans l’idéologie unique transportée par les média pour des raisons de rendement économique.
Donc le léger réchauffement est à mettre sur le dos principalement de l’activité solaire, de l’évolution de l’axe d’inclinaison de la Terre et des évolutions des courants océaniques qui en résultent.
Je suis aussi rassuré d’habiter un pays qui a grandement misé sur le nucléaire.
2000 milliards de barils, c’est une belle estimation. A 80 millions de barils consommés par jour, soit 30 milliards par an, ça permet de tenir 70 ans.
Même en supposant que les USA aient, disons, 25% seulement des réserves mondiales, ça mène à 280 ans à consommation d’énergie constante.
Or il existe une très nette corrélation entre consommation d’énergie et croissance économique. Pendant les “Trente Glorieuses”, la consommation d’énergie mondiale a été multipliée par 5. En trente ans. Donc avec une courbe aussi exponentielle, avec l’expansion des pays émergents, etc…, il n’est pas impensable que la consommation mondiale passe à 150 millions de barils d’ici 2050, ce qui réduirait encore l’espérance de vie des réserves de pétrole.
Il est évident que tous les paramètres du réchauffement ne sont pas connus, et il est également évident que les médias sont globalement alarmistes. Mais tourner le dos à toute influence anthropique, c’est une attitude tout aussi extrême. Et comme la consommation d’énergie augmente, augmente également l’influence de l’homme sur le climat.
La prise de conscience raisonnée serait une issue bien plus favorable que des raisonnements dictés par la panique ou la négation absolue.
D’autant que 0,74°C, ça ne paraît rien, mais avec 5°C de moins qu’aujourd’hui, nous étions à l’ère glaciaire. En sachant encore une fois que l’influence anthropique est des dizaines de fois plus importante aujourd’hui qu’elle ne l’était au début du siècle.
La banquise qui fond ?…tss tss. Ce n’est pas ce que disent les relevés pour l’année 2008…Bien au contraire. Savez vous que la superficie occupée par les glaciers en Alaska a recommencé à croitre?
Quant au pétrole, il faut en effet en sortir, mais pas pour les raisons qu’avancent Bloup.
Juste en passant :
16 Nov. 2008 : Les modèles des modélisateurs du GIEC prévoient que la vitesse d’écoulement des glaciers Groenlandais devrait s’accélerer… Les mesures montrent, qu’au contraire, elle ralentit depuis, au moins, 17 ans. L’écoulement se fait par saccades successives de brèves durées, caractéristiques du frottement sec, ce qui est encore contraire aux modèles.
25 octobre 2008 : S’il est vrai qu’une hirondelle ne fait pas le printemps, des observations étonnantes, même locales, peuvent constituer un indice de changements importants. Ainsi, les grands glaciers de l’Alaska se sont remis à croître, ce qu’ils ne faisaient plus depuis 250 ans.
14 octobre 2008 : Les prévisions des modèles pour la hausse du niveau des océans sont entachés de nombreuses incertitudes ce qui fait qu’il est impossible de donner des estimations fiables pour l’avenir.
04 octobre 2008 :Ce sont les courants marins, naturels et décennaux qui ont provoqué la fonte des glaciers Arctique et Antarctique Ouest et non pas le réchauffement climatique, affirment plusieurs articles scientifique récents…
25 Juillet 2008 : Ce sont les océans qui réchauffent ou refroidissent les continents et pas les gaz à effet de serre comme l’affirmaient les modèles d’ordinateurs….
etc…
Comme quoi, l’histoire du réchauffement anthropique, c’est vraiment de l’usine à gogos.
Et quand je pense à tous les bobos qui critiquaient Palin pour ses forages en Alaska.
les bobos, sinon, on peut aussi se chauffer et s’éclairer à la bouse de chamelles séchée dans le froid des hauts plateaux.
il ne faut pas raisonner comme si nous étions à l’horizon 1970;
il est très vraisemblable que les nations qui prendront une longueur d’avance sur les autres dans les années 2030/2040 ne seront plus celles qui possederont du pétrole mais bien plus celles qui seront à la pointe dans la recherche et le développement d’économie d’énergie et d’énergie non polluante.
Axer toute une politique énergétique en 2009 sur des forages pétrolifères à une époque où la recherche/développement consacre ses travaux sur les substituts des energies fossiles c’est un peu anachronique.
C’est un peu comme équiper une armée de haches et de boucliers en bois à la veille de 1940.
Nous ne raisonnons pas comme en 70, s’en sortiront ceux qui ont du pétrole en réserve et une science puissante en R&D, c’est à dire pour l’instant, les Etats Unis.
Sans pétrole, plus de science non plus …
Alors vouloir forer l’Alaska, extraire les sables bitumeux des Rocheuses ou bien forer l’Arctique n’est pas une prospective si débile, nous avons besoin de plus de 50 ans pour la mise en application quotidienne des prochaines énergies, 50 longues années dévoreuses de pétrole encore d’autant que l’utilisation du pétrole est simpliste et son rendement énergétique extraordinaire.
Il sera donc pompé jusqu’à la dernière goutte.
@ Gilles: “- nous avons besoin de plus de 50 ans pour la mise en application quotidienne des prochaines énergies”
Les politiques énergétiques, dans 50 ans, seront peut être à l’image de ces nouvelles voitures américaines: hybrides. A mesure que la technologie se développe on découvre toujours plus de gisements de pétrole dans le monde entier, comme au Brésil dernièrement.
Il est probable que graduellement les pays développés passent d’autres formes d’énergies à découvrir et maitriser, alliant le caractère non polluant, renouvellable et la puissance énergétique. Un facteur trop souvent oublié par les militants verdâtres et ignorants !
A l’issue de ce processus le pétrole sera abandonné ou marginalisé comme l’a été le charbon.
Il restera du pétrole au fond des puits !
Jean,
peut-être, mais une énergie aussi facile d’utilisation dans tant de domaines et aussi peu chère …
à moins que nous développions à un coût infime de nouvelles sources énergétiques (carburants-plastiques-engrais) je ne vois vraiment pas comment dans le futur proche (200 ans) l’homme pourrait ne pas extraire le pétrole jusqu’à la lie.
“Le Groenland est-il sur le point de devenir une puissance pétrolière ? Ce n’est pas vraiment l’image qui vient à l’esprit lorsque l’on pense à la plus grande île du monde, un territoire autonome rattaché au Danemark qui compte à peine 55 000 âmes et qui est couvert, à 85 %, d’une calotte glaciaire dont l’épaisseur atteint jusqu’à plus de 3 000 mètres.
je ne sais pas si quelqu’un viendra encore lire les commentaires sur ce sujet, mais pour donner quelques arguments supplémentaires…allez voir ce site:
http://igloo.atmos.uiuc.edu/cgi-bin/test/print.sh?fm=10&fd=30&fy=1998&sm=10&sd=29&sy=2008