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Michel Garroté
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http://monde-info.blogspot.com
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Mercredi 3 juin 2009
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INTRODUCTION – Je vois la déchéance, la sottise, et j’éprouve le dégoût. La lâcheté de l’Occident face au nazislamisme nucléarisé des mollahs iraniens, notamment la lâcheté d’Obama et de Sarkozy, cette lâcheté pousse Israël à développer une stratégie défensive, et l’Iran théofasciste peut donc ainsi continuer à fabriquer sa première bombe atomique et mollahchique en toute impunité (cf. 1- IRAN & ISRAEL). La justice française poursuit une longuissime et longanime procédure, très procédurière, qui finira en jus de boudin, pour le plus grand plaisir de sire de Villepin (cf. 2- La bande à Villepin). La lenteur et l’ambiguïté des informations données sur le crash d’un airbus au large du Brésil, cette lenteur et cette ambiguïté deviennent suspectes (cf. 3- CRASH DU VOL AF 447). L’Eglise catholique, y compris en France avec certains « journalistes écrivains » qui ne supportent pas mes critiques de leurs critiques, a encore un très long chemin à accomplir dans sa perception du conflit israélo-arabe. J’en parlerai dimanche prochain 7 juin à 14:00 heure de Montréal (07:00 heure de Paris), dans l’émission « Arrêt sur Média », de « Radio Chalom Montréal », une radio également accessible sur Internet (cf. 4- Encore un catho hamassoïde).
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1- IRAN & ISRAEL – Israël n’a pas l’intention de bombarder l’Iran, déclare aujourd’hui mercredi 3 juin 2009 le ministre israélien des affaires étrangères, Avigdor Lieberman. « Nous n’avons pas l’intention de bombarder l’Iran », déclare en effet Avigdor Lieberman lors d’une conférence de presse à Moscou. Le programme nucléaire iranien « ce n’est pas un problème pour Israël, c’est un problème pour le Proche-Orient. Personne ne doit compter sur nous pour régler ce problème », ajoute Lieberman.
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2- La bande à Villepin – On peut lire sur le wire aujourd’hui mercredi 3 juin 2009 que le procès de Dominique de Villepin, soupçonné d’avoir activement participé à un complot visant à nuire à Nicolas Sarkozy dans l’affaire Clearstream, et bien que ce procès se déroulera du 21 septembre au 21 octobre devant la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Les juges soupçonnent de Villepin d’avoir participé à un complot visant à nuire à Sarkozy, avec lequel de Villepin était en concurrence dans la présidentielle. Les juges soupçonnent de Villepin d’avoir accusé Sarkozy de détenir des comptes bancaires secrets chez Clearstream. A l’époque des faits, de faux listings bancaires avaient été adressés à la justice. Quatre autres personnes sont renvoyées en correctionnelle dans cette affaire. Un ancien vice-président d’EADS, Jean-Louis Gergorin, qui reconnaît avoir adressé de faux listings à la justice. Un informaticien, Imad Lahoud, soupçonné d’avoir confectionné les faux listings bancaires. Un ancien auditeur de la société Arthur-Andersen, Florian Bourges. Et un journaliste, Denis Robert, soupçonné d’avoir été en possession des listings qui seraient à l’origine d’une falsification. A noter que de Villepin encourt notamment une peine de cinq ans de prison. Le procureur de la République de Paris, Jean-Claude Marin, soutiendra lui-même l’accusation contre de Villepin.
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3- CRASH DU VOL AF 447 – Charles Dalger me signale aujourd’hui mercredi 3 juin 2009 que « l’extrême célérité avec laquelle l’hypothèse d’attentat a été écartée aurait dû suffire à mettre la puce à l’oreille… Désormais, après les explications d’un expert dans le Figaro de lundi, FOX NEWS révèle qu’Air France avait reçu des menaces de bombes, une première fois en Argentine et, semble-t-il, à propos du vol 447, crashé tragiquement…
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…à ce propos, lire « Air France Bomb Threat Before Flight 447 Crash »…
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…sur http://www.foxnews.com/story/0,2933,524835,00.html
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4- Encore un catho hamassoïde – Christophe Geffroy, dans La Nef N° 205 de juin 2009, écrit notamment ( début des extraits de l’article de Christophe Geffroy, avec, en sus, mes commentaires entre parenthèses) : « Le voyage du pape Benoît XVI en Terre Sainte a confirmé qu’il était possible d’être l’ami d’Israël, de se réjouir du rapprochement historique entre Juifs et chrétiens, et d’être cependant critique sur la politique des gouvernements israéliens dans leur approche du problème palestinien (Note de Michel Garroté : du conflit israélo-arabe). Benoît XVI a plusieurs fois insisté sur l’aspect irrévocable de la « réconciliation authentique et durable entre les chrétiens et les Juifs ». Il a également affirmé le droit d’Israël à l’existence et à la sécurité dans des frontières reconnues par la communauté internationale. Mais la « sécurité » (Note de Michel Garroté : pourquoi Christophe Geffroy met-il des guillemets au mot sécurité ?) ne justifie pas l’emploi de n’importe quel moyen : une paix durable ne peut régner sans la justice ».
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« Et celle-ci suppose de reconnaître la légitimité des revendications du peuple palestinien à un État souverain et indépendant, le pape l’a souligné fortement à deux reprises au moins (Note de Michel Garroté : j’aimerais bien connaître l’identité des ecclésiastiques qui ont rédigé ces textes à deux reprises au moins). Lorsque l’État d’Israël est proclamé en 1948, son territoire fait 14.000 km2 (Note de Michel Garroté : ridicule superficie ne garantissant pas la sécurité d’Israël comme on le verra plus loin) et exclut la Cisjordanie (Note de Michel Garroté : en tant qu’auteur chrétien, Geffroy devrait écrire Judée Samarie, non ?), Gaza et Jérusalem-Est. Le nouvel État n’est pas reconnu par les pays arabes voisins qui lui font la guerre aussitôt (Note de Michel Garroté : autrement dit les 14.000 km2 ne garantissent pas la sécurité d’Israël). Le conflit tourne à l’avantage d’Israël qui en profite pour élargir son territoire (qui augmente de 6000 km2), ce qui provoque l’exode massif de 900 000 Palestiniens (Note de Michel Garroté : Israël n’en profite pas ; Israël fait ce qu’il faut pour garantir la survie des Juifs Israéliens ; et Geffroy oublie, à propos d’exodes massifs, l’exode massif des Juifs des pays musulmans…) ».
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« La deuxième guerre israélo-arabe de 1967, dite des « six jours », est une nouvelle victoire écrasante pour Israël qui annexe le Sinaï (rendu à l’Égypte en 1978), le Golan syrien, la Cisjordanie (Note de Michel Garroté : Judée Samarie !), Gaza et Jérusalem-Est. Certes, Israël n’a fait que se défendre lors de ces deux conflits (Note de Michel Garroté : bien, Geffroy, très bien…), mais l’annexion des « territoires occupés » ne peut qu’exacerber le sentiment d’injustice et d’humiliation des Palestiniens qui occupaient la Terre Sainte bien avant l’arrivée des premiers colons juifs à la fin du XIXe siècle (Note de Michel Garroté : je constate que Geffroy est nul en histoire ; qu’il lise « Houdna », de Guy Millière, paru chez Underbahn ; qu’il lise mon article récent sur la Judée Samarie ; et, d’une façon plus générale, qu’il lise un peu drzz.info et monde-info…). L’ONU, par sa fameuse résolution 242 de 1967 (Note de Michel Garroté : fameuse et fumeuse oui…), exige (Note de Michel Garroté : exige, mais on s’en tape de ce que l’ONU exige !) alors le « retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés ».
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En vain. Depuis, les positions de part et d’autre – excepté quelques éclaircies comme les accords d’Oslo (1993) prévoyant l’autonomie palestinienne en Cisjordanie dans un délai de cinq ans, accords non appliqués – n’ont quasiment jamais cessé de se raidir : du côté palestinien, l’OLP, créé en 1964, ne reconnaît pas le droit à l’existence d’Israël, basé sur des « décisions illégales » en violation du droit à l’autodétermination du peuple occupant ce territoire et n’hésite pas à recourir au terrorisme (Note de Michel Garroté : là j’ai soudain un doute, Geffroy, il travaille pour la Nef ou pour l’AFP ?). En 1988, sous l’égide de Yasser Arafat, l’OLP reconnaît enfin Israël, mais le Hamas, créé l’année précédente, reprend à son compte la position la plus extrême contre l’existence même d’Israël et mène des opérations terroristes meurtrières en Israël – le Hamas et la droite dure israélienne ont alors un intérêt commun à détruire l’Autorité palestinienne, que ne veulent ni les uns ni les autres. En suscitant le désespoir chez les Palestiniens, les « faucons » israéliens n’ont ainsi cessé de faire le lit du Hamas… (Note de Michel Garroté : ah oui, le Likoud, c’est comme le Hamas ; décidément, la Nef est à la dérive, à ce rythme, elle ne sera bientôt plus qu’un radeau médusé…).
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Du côté israélien, rien n’est fait pour apaiser l’adversaire vaincu et humilié : loin d’envisager de céder les territoires occupés, Israël entame en 1985 l’implantation de colonies juives (Note de Michel Garroté : à ce compte-là il y a un million de colons arabes en Israël) en Cisjordanie et Gaza (elles seront retirées de Gaza en 2003 sur ordre de Sharon qui préfère favoriser la Cisjordanie). De 50 000 colons en 1985, on passe à 150 000 dix ans plus tard, ils sont près de 450 000 aujourd’hui. Comment envisager la solution de deux États quand elle est aujourd’hui rendue physiquement impossible par les centaines de milliers de colons juifs qui morcellent la Cisjordanie en zones étanches, rendant impossible toute communication entre des communautés palestiniennes voisines parfois de quelques kilomètres ? Et quand l’érection d’un mur de séparation entre colons juifs et Palestiniens complique encore les choses ? » (Note de Michel Garroté : il faudrait vraiment que Geffroy lise, en traduction française bien sûr, les articles de Caroline Glick et de Daniel Pipes).
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« Dans le même esprit, le gouvernement israélien de M. Netanyahou officialise l’annexion de Jérusalem-Est en proclamant en 1998 la création du « Grand Jérusalem », faisant ainsi clairement comprendre que la partie arabe de la ville ne pourra être la capitale d’un futur État palestinien, comme l’ONU le prévoyait et comme le veulent les Palestiniens. Depuis sa création, Israël n’a envisagé ses relations avec les Palestiniens que sous l’angle d’un rapport de force, notamment militaire, persuadé de la supériorité de son armée – Tsahal – et assuré du soutien quasi inconditionnel du puissant allié américain. Ses opérations militaires au sud Liban à l’été 2006 et son offensive contre la bande de Gaza à l’hiver 2008-2009 ont cependant montré les limites d’une supériorité militaire « classique » face à un adversaire qui se terre parmi la population : de telles opérations sont très meurtrières et ne résolvent rien ; elles contribuent à ternir la perception d’Israël, qui a toujours bénéficié d’une complaisance unique sur le plan international en raison de l’horreur de la Shoah et de la culpabilité qu’elle suscite en Occident » (Note de Michel Garroté : pas un mot sur les idéologies du Hamas, du Fatah et du Hezbollah ; quant à la formule « complaisance unique sur le plan international en raison de l’horreur de la Shoah et de la culpabilité qu’elle suscite », je m’abstiens de réagir tellement cette formule est stupide et malveillante, pour écrire les choses poliment…).
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Quand les gouvernements israéliens comprendront-ils que la force pure n’est pas la bonne méthode ? (Note de Michel Garroté : mais de quoi vous mêlez-vous, Geffroy, de quoi vous mêlez-vous à la fin, à pontifier de façon aussi pédante ?) C’est en substance le message que Benoît XVI a essayé de faire passer en appelant à un changement des cœurs, pour entrer dans une démarche plus intérieure qui aboutit au pardon et qui seule peut ouvrir le chemin à une véritable paix (Note de Michel Garroté : je suis abasourdis devant tant de mièvrerie ; les nervis du Fatah et du Hamas, ils n’en ont rien à cirer du pardon et de la paix ; il faudrait que Geffroy lise « La judéophobie des Modernes », de Pierre-André Taguieff, paru chez Odile Jacob). Dans cette nécessaire démarche, les chrétiens de Terre Sainte ont un rôle à jouer (Note de Michel Garroté : rôle qui consiste à soutenir du bout des lèvres le Hamas et le Fatah sous peine de se faire zigouiller…). Cela aussi, le pape l’a rappelé » (fin des extraits de l’article de Christophe Geffroy paru dans La Nef N° 205 de juin 2009, avec, en sus, mes commentaires entre parenthèses ; et je n’en rajoute pas, car à ce stade, l’ineffable palestinoïde Geffroy m’a provisoirement épuisé les nerfs).
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& Sources citées
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Sauf qu’aujourd’hui, rien pour nous prévenir contre les schizos islamistes, me semble qui si tu défends Pie XII, tu te doit alors de prendre exemple sur lui devant un cas similaire, au lieu de nous dire que tous le monde est beau et fin, ça pas dure à dire.
Durant 4 siècles l’Église a tendu l’autre joue avant d’allumer avec Urbain II, il serait temps d’apprendre du passé et d’accepter le fait qu’ils ne veulent pas négocier quoi que se soit.
Comment le Monstre peut-il dominer jusqu’à occulter l’instinct de conservation qui fait que n’importe quel animal, même la hyène ou le requin, protège ses petits? (Fallaci)
Mais ce brave homme ne fait qu’appliquer les consignes de Vatican II « l’église regarde avec estime les musulmans », qui par ailleurs vous plaisent tant.
Il faut être logique.
Quant à Pie XII, le Rabbin D Dalin in Pie XII et les Juifs, le mythe du pape d’Hitler, p148 cite ces mots d’Albert Einstein dans un article de Time du 23 décembre 1940, pp 38-40
Dès 1940, Albert Einstein, lui-même réfugié juif qui avait fui l’Allemagne nazie, rendit hommage au « courage » de Pie XII et de l’Eglise catholique qui s’opposèrent aux « attaques d’Hitler » contre la liberté.
« Lorsque la révolution nazie survient en Allemagen, c’est usr les niversités que je comptais pour défendre la liberté, dont j’étais moi-même un amoureux, car je savais qu’elles avaient toujours mis en avant leur attachement à la cause de la vérité ; mais non, les universités furent immédiatement réduites au silence. Alors je me tournai vers les grands éditeurs de journaux, dont les éditoriaux enflammés des jours passés avaient proclamé leur apour de la liberté ; mais eux aussi, en quelques courtes semaines et comme les universités, furent réduits au silence. Dans la campagne entreprise par Hitler pour faire disparaître la vérité, seule l’Eglise catholique se tenait carrément en travers du chemin. Je ne m’étais jamais spécialement intéressé à l’Eglise auparavant, mais maintenant je ressens pour elle une grande affection et admiration, parce qu’elle seule a eu le courage et la persévérance de se poser en défenseur de la vérité intellectuelle et de la liberté morale. Je suis donc bien forcé d’avouer que, maintenant, c’est sans réserve que je fais l’éloge de ce qu’autrefois je dédaignais. » »
Tout le livre du Rabbin Dalin accumule les innombrables témoignages de nombreux Juifs contemporains de Pie XII, dont Golda Meir et Chaim Weizmann, louant son action en faveur des Juifs…
Certains haineux –idiots utiles et dangereux ou stipendiés – ont embrayé sur la pièce de propagande communiste de l’époque du KGB florissant pour discréditer le pape qui a le plus fait pour protéger les Juifs.
Très habile, surtout auprès des esprits limités, et permettant de faire d’une pierre deux coups : abattre l’ennemi de toujours, auquel on a fait des risettes au temps de « la main tendue » par Thorez (pour jeter les Chrétiens au puits) et isoler les « intelligents », qui ne le sont pas tant que ça.
Mais ce brave homme ne fait qu’appliquer les consignes de Vatican II « l’église regarde avec estime les musulmans », qui par ailleurs vous plaisent tant.
Il faut être logique.
Quant à Pie XII, le Rabbin D Dalin in Pie XII et les Juifs, le mythe du pape d’Hitler, p148 cite ces mots d’Albert Einstein dans un article de Time du 23 décembre 1940, pp 38-40
Dès 1940, Albert Einstein, lui-même réfugié juif qui avait fui l’Allemagne nazie, rendit hommage au « courage » de Pie XII et de l’Eglise catholique qui s’opposèrent aux « attaques d’Hitler » contre la liberté.
« Lorsque la révolution nazie survient en Allemagen, c’est usr les niversités que je comptais pour défendre la liberté, dont j’étais moi-même un amoureux, car je savais qu’elles avaient toujours mis en avant leur attachement à la cause de la vérité ; mais non, les universités furent immédiatement réduites au silence. Alors je me tournai vers les grands éditeurs de journaux, dont les éditoriaux enflammés des jours passés avaient proclamé leur apour de la liberté ; mais eux aussi, en quelques courtes semaines et comme les universités, furent réduits au silence. Dans la campagne entreprise par Hitler pour faire disparaître la vérité, seule l’Eglise catholique se tenait carrément en travers du chemin. Je ne m’étais jamais spécialement intéressé à l’Eglise auparavant, mais maintenant je ressens pour elle une grande affection et admiration, parce qu’elle seule a eu le courage et la persévérance de se poser en défenseur de la vérité intellectuelle et de la liberté morale. Je suis donc bien forcé d’avouer que, maintenant, c’est sans réserve que je fais l’éloge de ce qu’autrefois je dédaignais. » »
Tout le livre du Rabbin Dalin accumule les innombrables témoignages de nombreux Juifs contemporains de Pie XII, dont Golda Meir et Chaim Weizmann, louant son action en faveur des Juifs…
Certains haineux –idiots utiles et dangereux ou stipendiés – ont embrayé sur la pièce de propagande communiste de l’époque du KGB florissant pour discréditer le pape qui a le plus fait pour protéger les Juifs.
Très habile, surtout auprès des esprits limités, et permettant de faire d’une pierre deux coups : abattre l’ennemi de toujours, auquel on a fait des risettes au temps de « la main tendue » par Thorez (pour jeter les Chrétiens au puits) et isoler les « intelligents », qui ne le sont pas tant que ça.
Michel Garroté ne fait que constater et relater des vérités flagrantes sauf pour des esprits obtus. Le mandat d’un journaliste est de relater des faits en respectant une déontologie journalistique, denrée en voie d’extinction, puisqu’on ne la retrouve encore que chez de rarissimes journalistes – dont Michelle Garroté fait partie – qu’on peut probablement compter sur le bout des doigts à l’échelle planétaire.
Quant à une éventuelle solution de ce conflit, aux dernières nouvelles, cela fait partie du travail des politiciens. Les politiciens du monde occidental devraient faire preuve d’honnêteté, d’objectivité et d’impartialité face à ce problème qui perdure. Si les gouvernements occidentaux n’encourageaient pas les terroristes en leur versant des sommes mirobolantes, le problème serait réglé depuis bien longtemps. Si les médias ne faisaient pas de la désinformation et de la propagande mensongère, le problème serait réglé depuis bien longtemps.
Finalement, pourquoi vous torturez-vous à lire ses articles s’ils vous déplaisent tant, serait-ce par masochisme ? Si vous préférez des styles dans le genre qui vont encenser les terroristes et leurs supporters, et qui vont crier à chaque fois “Haraud sur le baudet” et taper le plus qu’ils peuvent sur Israël, ils sont nombreux, très nombreux, trop nombreux, vous avez juste à lire des articles de l’AFP et vous seriez alors enchantés.
@ Stéphane
Rien ne vous force à être aussi vulgaire. Je ne crois pas que vous ayez élevé les cochons ensembles pour parler de sa vie privée.
@ Kalach+Niko,
Stéphane a certainement fait ses hautes études universitaires dans une madrassa à moins que ce ne fut dans un camp d’entraînement chez ses potes.
Bon Matin Honorable tout DRZZ !
Grands mercis pour ce Long Exposé sur la Déchéance… !
Hier pm, un ami nous a acheminé cette Référence sur la Récente déclaration d”Obama:
http://www.bivouac-id.com/2009/06/03/obama-%c2%ables-etats-unis-sont-lun-des-plus-grands-pays-musulmans%c2%bb-video/
Un Déclaration de Trosième Tour ! – 4 juin 2009 –
Très opportun et très habile !
De quoi mettre les saoudiens le cul entre deux chaises lors de la visite actuelle d’Hussein Obama.
Pour les Saoud ce problème est sans doute la préoccupation majeure du moment.
Ils vont solliciter Obama – qui ne pourra ni ne voudra – pour faire le boulot.
Hussein devra prendre en compte l’alliance de fait avec les hébreux sans qui rien n’est possible sur ce dossier…
De quoi brouiller bien des cartes et faire passer les palestiniens au second plan ?