(www.bivouac-id.com) GENEVE – Les Suisses ont décidé dimanche par référendum à plus de 57% des votants d’interdire la construction de minarets, selon les résultats définitifs du scrutin.
À plus de 57%, les Suisses ont voté pour l’interdiction des minarets selon les résultats définitifs. Sur 26 cantons, 22 ont voté pour l’interdiction.
Seuls quatre cantons sur les 26 que compte la Confédération ont rejeté la proposition soutenue par le parti UDC de la droite populiste et le petit parti chrétien de droite UDF.
Ce vote va entraîner la modification de l’article 72 de la Constitution suisse qui régit les relations entre l’Etat et les religions. L’interdiction de la construction de minarets y sera présentée comme une mesure “propre à maintenir la paix entre les membres des diverses communautés religieuses.
Les commentateurs ont unanimement qualifié ce résultat d’”immense surprise” car il contredit les sondages qui prédisaient durant la campagne un rejet à 53% de la proposition de la droite populiste.
EURABIA ?
Rien que le titre de l’article montre la toute la bêtise et l’ignorance crasse de la droite populiste.
La communauté musulmane suisse est principalement composée de Turcs, de Bosniaques et de Kosovars. Ni les uns ni les autres ne sont arabes.
Aussi je suis bien content du résultat de cette votation. Même si je pense que ce sont les mosquées (et le Coran) qu’il faut interdir et pas les minarets, ce résultat va marqué les esprits et ouvrir un débat !
Mauvaise (?) opportunité pour un vrai (!) débat
On mélange ici symbole et urbanisme, valeurs et réglementations.
Certains Suisses veulent donc empêcher que s’affichent les signes extérieurs visibles de l’Islam dans le paysage urbain. Mais une mosquée sans minaret, c’est une église sans clocher, un 14 juillet sans drapeau…
difficile donc à interdir…
Mais les Suisses ont peurs de l’Islam et craignent qu’un jour l’appel à la prière du haut de ces tours d’Allah, 5 fois par jours des Grisons à Genève… ne soit le sujet d’une prochaine votation.
Qui ignore qu’en Dar el Islam, les pays et leurs villes importantes se livrent une sorte de compétition pour élever le minaret le plus beau et le plus haut… gage de leur “soumission” à la Loi Coranique.
De fait, la question que se posent les Suisses à cette (mauvaise ?) occasion, est de savoir si l’Islam est une religion comme les autres ? Ses valeurs sont elles compatibles avec celles de nos démocraties “celto-européenne-gréco-latine-judéo-chrétienne” ? Ses valeurs sont elles compatibles avec la devise républicaine “Liberté, Egalité, Fraternité” ?
L’égalité, celle des hommes et des femmes, des religions et des philosophies, celle de croire ou de ne pas croire en Dieu ?
La liberté, celle des individus, de la presse, de parole, de la libre pensée ?
La Fraternité, celle de notre solidarité nationale, celle de la Fraternité humaine, de l’Humanisme, des Droits de l’Homme, de la Laïcité ?
Et si la réponse est négative… il faudra bien un jour prendre des mesures pour autant que nous ne souhaitons pas voir notre modèle occidental emporté par le vent venu d’Orient.
Mais le plus extraordinaire dans cette votation c’est l’argument avancé par les opposants à l’initiative (ceux donc qui sont en faveur de la libre construction des minarets).
Ils arguent que l’interdiction provoquerait dans le monde arabe des manifestations anti-suisses pires que celles provoquées par les caricatures danoises, avec à la clef violences et rétorsions économiques contre l’Helvétie et son peuple ! Et également des réactions violentes sur le sol Suisse même, comme l’hexagone en connait régulièrement depuis pas mal de temps déjà. C’est pourtant là, l’aveu même qu’avec la montée de cette doctrine politique et religieuse qu’est l’Islam à l’intérieur de nos sociétés occidentales nous avons un vrai problème qu’il faut régler au plus vite, courageusement, dans le strict respect de nos lois, de nos institutions, de nos valeurs. C’est donc “La” raison même qu’il faut faire quelque chose !
Cela n’a pourtant rien à voir avec du racisme ni une quelconque xénophobie. Tout au contraire, il s’agit de se prémunir de l’intolérable intolérance !
L’acceptation de l’initiative anti-minarets surprend par sa netteté. Les sondages n’avaient pas écarté l’hypothèse d’un succès étriqué. Mais, loin d’une majorité de hasard, c’est un oui sans discussion qui sort des urnes. Une gifle aux musulmans de Suisse. Le peuple a voté avec ses tripes contre une disposition que les autorités helvétiques, le parlement fédéral et la quasi-totalité des élites politiques et économiques lui recommandaient de rejeter, au nom de solides arguments rationnels.
L’image maudite qui colle à l’islam depuis de nombreuses années – un intégrisme religieux qui se décline dans des formes aussi choquantes que le terrorisme, la charia, la burka, la lapidation des femmes infidèles, etc. – est certes en total décalage avec la réalité de l’islam vécu par la très grande majorité des musulmans en Suisse. La campagne l’a très bien démontré, elle qui a amené les musulmans du pays à se présenter au grand jour et à s’expliquer sur leurs valeurs, lesquelles puisent à un islam européen, très éloigné d’un islam conquérant et intégriste. Mais c’est pourtant bien cette image négative de l’islam, ancrée dans les esprits de Suisses désécurisés, qui a tout emporté.
L’avenir dira si les rapports jusqu’à présent pacifiques entre les Suisses et la communauté musulmane se détérioreront. Le risque existe. Le message clairement discriminatoire adressé aux musulmans de Suisse pourrait alimenter leur frustration. Plutôt que de pousser les musulmans à s’assimiler encore davantage, il faut craindre que ce vote d’exclusion tende au contraire les rapports et dresse les uns contre les autres.
Vis-à-vis de l’extérieur, le message délivré par les Suisses n’est pas moins risqué. La pierre angulaire de la politique étrangère suisse est le respect des droits de l’homme et leur promotion dans le monde et sur les scènes internationales. Or l’affront fait aux musulmans viole massivement ce principe cardinal et identitaire. Il met la Suisse dans une posture inconfortable : ce pays si fier de sa neutralité et de sa tradition multiculturelle, dans lequel la protection des minorités n’est pas un principe vain, se met soudain à discriminer une religion minoritaire sur son territoire. Cela équivaut à un changement de paradigme et cela pourrait avoir des conséquences aujourd’hui encore incalculables.
La crédibilité de la Suisse sur la scène internationale est entamée à un moment précis où elle vient de faire la cruelle expérience de sa solitude pour défendre ses intérêts dans des affaires cruciales. Il y a bien sûr la crainte de représailles violentes que des intégristes, par solidarité avec leurs frères musulmans humiliés, pourraient vouloir organiser contre des intérêts helvétiques, en Suisse ou à l’étranger. Il y a enfin l’image de bienveillance qui ne collera plus aux citoyens suisses voyageant à l’avenir dans le monde musulman.
Les Suisses ont sans doute cru pouvoir donner un signal gratuit et sans grandes conséquences en validant l’initiative anti-minarets. Juste un coup de gueule qui se veut symbolique: les musulmans sont tolérés en Suisse, mais qu’ils veillent à se tenir à carreau. Peut-être l’ont-ils fait d’autant plus facilement qu’ils n’imaginaient pas que l’initiative serait acceptée. Les sondages donnaient le Non favori. Ce faisant, ils n’ont pas compris qu’ils jouaient avec le feu et prenaient le risque de fragiliser leur pays. Les partis politiques et les autorités suisses qui n’ont pas voulu invalider une initiative pourtant largement jugée comme problématique et potentiellement dangereuse pour la Suisse doivent aujourd’hui rendre des comptes. La sacralisation de la démocratie directe est si forte dans ce pays qu’elle en est devenue aveuglante. La fierté à défendre la démocratie directe à tout prix pourrait bien se retourner demain contre la Suisse, ses citoyens et ses entreprises.
Les musulmans en Europe ont un comportement qui ressemble fort bien a une forme de volonté de domination, si l’Islam était une religion comme les autres, nous ne serions pas là entrain de discuter s’il faut ou pas construire des mosquées avec ou sans minarets, le danger, n’en déplaise a Mr François Modoux, est, que l’islam n’est pas une religion comme les autres, pour un musulman intégriste (la France en regorge) le fait de construire une mosquée est suffisant pour considérer que la ville leurs appartient et qu’ils faut céder a toutes leurs exigences, dont, bien entendu l’appel des muezzines du haut des minarets, exigence a venir et pire encore, la charia, sinon, prenez garde, intimidations, appels aux boycotts, chantages des pays arabes pétroliers et enfin menaces terroristes.
Que les musulmans soient Arabes ou Iraniens ne change rien au problème, pourquoi je vous le demande ? par ce qu’une grande majorité des européens refusent de se plier aux dictats des islamistes et n’on aucun désir de changer ni de religion et encore moins de culture, car ne l’oublions pas, l’islam est a la fois une religion, une politique, une culture et un régime dictatorial qui ne n’admet en aucune façon la moindre critique ce qui est totalement incompatible avec la culture occidentale, installer l’islam intégriste (exist-il un islam non intégriste, je veut bien le croire, mais, c’est pas l’image qu’il nous donne) sur la place public est dangereux.
Les chrétiens coptes et orientaux subissent l’interdiction de prêche et les attentats. Bizarrement peut de monde a parlé de la destruction d’une église et d’un monastère à Mossoul.
Donc les chrétiens en terre d’islam c’est ferme ta gueule sinon t’est mort. Les Musulmans en Europe c’est on veut toujours plus de droit que les Européens.
Vous savez que les Catholiques ne peuvent pas construire de clocher depuis la loi de 1905, donc les minarets sont des clochers et donc devrait être interdit en France si on applique au pied de la lettre la Loi de 1905.
Barakat, il y a des gens qui sont prêts à n’importe quelle bassesse par trouille. C’est vrai que le commerce européen, suisse compris, dépend des exportations.
Mais céder en l’occurence, c’est permettre à l’islam de mettre le grappin sur l’Europe, et de réduire nos enfants et petits-enfants en dhimmitude.
En avons-nous le droit ?
A mon avis non.
Je veux croire que ceux qui veulent se soumettre n’imaginent pas les conséquences de leur soumission.
Mais les esprits sont bien “chauffés” et assaillis par la Propaganda mérdiatique : sur Fr culture, où des remaniements ont eu lieu, et où le sirupeux tiers-mondiste xénolâtre Olivier Duhamel a maintenant remplacé AG Slama à la chronique de 8 h, on a eu droit à une attaque en règle contre la votation, avec force rappels des dégâts causés par les dessins danois, dégâts matériels, -mais on a omis les assassinats – et dégâts économiques, qui se sont chiffrés en dizaines de millions d’euros.
L’argument de se soumettre à des gens qui disent “si vous dites qu’on est violents, non vous tue” et qui le font, est bien fallacieux.
Mais combien de gens acceptent réellement de prendre des mesures concrètes, physiques, voire simplement des risques, pour s’opposer à la montée de ce nouveau totalitarisme ?
Les musulmans qui vivent en Europe en général, et en France en particulier, pensent qu’ils sont arrivés à un stade où ils peuvent tout se permettre, du fait de la force qu’ils croient incarner, pour imposer leur loi, la charia, textes écrits par des fous épris de vengeance, et de sadisme, et en aucun cas de sagesse ! Ils ont lancé la machine du djihad un peu tôt à mon sens, et ont commis un erreur grave de stratégie (concertée ou non) ! Et c’est tant mieux pour nous européens, que nous soyons croyants, athées, peu importe ! Ils ont fait prendre conscience à tout un chacun qu’ils sont très dangereux, et qu’ils faut les renvoyer chez eux, ou les éradiquer ! Regardez ce qui s’est passée dans de nombreuses villes de France, grandes ou petites, la nuit du 18 novembre 2009, après la victoire de l’Algérie sur l’Egypte, en football ! Allez à l’adresse suivante : http: //www.fdesouche.com/articles/81191
A Toulouse, par exemple, de jeunes beurs, ils étaient quelques centaines, Place du Capitole, dont certains sont montés sur le toit de l’immeuble de la mairie, ont pris le drapeau français, l’ont brûlé, et l’on remplacé par le drapeau algérien, et ceci, sous les yeux des policiers, qui étaient là, sidérés, et qui ont demandé des ordres à la préfecture, pour intervenir, pour mettre un peu d’ordre dans ce bordel ! Eh bien, ils ont reçu l’ordre de ne pas intervenir, le drapeau français brûlé, en place publique faisant partie des activités festives (sic) !
Après cela, si l’on me dit que les politiques ne sont pas de mêches, ne sont pas vendus ! …
Pour les dignitaires religieux, juifs ou chrétiens, peu importe, qu’ils aient condamné la votation suisse (à de rares exceptions près) cela ne m’étonne pas du tout ! Ce n’est qu’une bande de lâches qui s’occupent d’unproblème qui ne les regarde pas, car il s’agit d’un problème intérieur à un Etat, et rien d’autre ! Même le Ministre des Affaires Etrangères suisse, prompte à mettre le voile pour aller rendre visite à ce fou de Mahmoud AHMADIJENAD, n’avait pas à se pronconcer, et à condamner le vote, car elle n’est pas aussi, Ministre de l’Intérieur !
Enfin, quand certains parlent d’intolérrance, ils feraient mieux de réflèchir aux mots qu’ils emploient ! Est-ce être intolérant envers une religion, l’islam, qui est tout, sauf tolérant !
Et pour finir, moi qui ai étudié l’arabe classique, eh bien, je vous renvoie à la calligraphie des lettres arabes, elles ont toutes pour symbole, des poignards, ou des faucilles, sous toutes leurs formes ! Et pour preuve, la première lettre de l’alphabet, le alef, a la forme d’un poignard, avec à la pointe, vers le bas, une espèce de virgule, qui remonte ! C’est le poignard qui s’enfonce, et que l’on ne peut retirer, si l’on est encore vivant, sans s’écorcher à nouveau, et de façon grave !
J’espère que la Lumière aura raison de l’obscurantisme que nous promet l’islam, qui n’est rien d’autre qu’une idéologie politique qui veut conquérir et asservir le monde !
Vik