Le changement climatique vous inquiète-t-il demande Le Figaro ?

Une faible majorité des lecteurs du Figaro se sent concernée par les enjeux du climat. Les réfractaires sont nombreux, et on les comprend.

N’importe quelle personne avec un minimum d’intelligence et de liberté d’opinion peut mesurer la nature frauduleuse de ce débat, et comprendre l’objectif des Al Gore, Nicolas Hulot et autres Yann-Arthus Bertrand : ni plus ni moins que le suicide de la civilisation occidentale.

Le réchauffement climatique n’est rien d’autre que du réchauffé communiste, un appel à la régression et un encouragement au déclinisme, comme l’a très bien dit Claude Allègre et avec lui tant d’autres scientifiques, dont Richard Lindzen, climatologue du prestigieux MIT.

Notre démocratie se dissout dans l’islam intégriste ; les dettes nationales s’enfoncent dans une spirale sans fin ; nos économies sont à la traîne ; mais ce n’est pas cela qui inquiète. Non, ce qui inquiète, c’est ce que nous produisons. C’est notre niveau de vie. Trop haut, disent les écolo-totalitaristes. Il faut tuer la réussite. Portons le coup de grâce à ces petits Occidentaux qui agonisent ! 

Nos nations, qui chancellent déjà sous les coups de boutoir de l’islam, sont en proie à une autre idéologie mortifère, celle de l’écolo-totalitarisme. Les Indiens des Amériques fumaient la pipe, les Aborigènes mangeaient des baies hallucinogènes. Les Grecs et les Romains s’en remettaient aux oracles.  Nous, les civilisations en déclin du XXIe siècle, nous avons le réchauffement comme drogue apocalyptique.

Un jour, les historiens du futur se pencheront sur nous, populations du XXIe siècle, et seront effarés devant notre naïveté, notre irresponsabilité et la fièvre avec laquelle nous avons dansé pendant que coulait le navire.