Combien de fois avons-nous souligné l’irresponsabilité professionnelle de l’Agence France Presse dans la manière dont elle relaye l’information sur ce qui se passe au Moyen-Orient ?
Combien de fois faudra t-il pointer le choix pernicieux des mots qui emportent les lecteurs dans des préjugés qui s’inscriront en eux malgré eux?
Combien de fois avons-nous montré du doigt les “erreurs” qui toutes allaient dans le même sens, celui de la condamnation d’Israël sans autre forme de procès, sur la base de déclarations de palestiniens appartenant à l’organisation terroriste du Hamas, ou de leurs “victimes ” à venir, compte tenu de la liberté qui règne sur place ?
Que voulez-vous ! Il y a un moment où on ne peut plus continuer à nier les choix idéologiques qui se masquent derrière toutes ces erreurs et autres légèretés professionnelles qui s’avèrent ensuite lourdes de conséquences ………mais seulement pour Israël. Comme la chose est pratique !
Je vous pose quelques questions : un journaliste est-il habité par le souci de la vérité même aux dépens de ses opinions ? Et peut-on appeler journaliste celui qui se sert de sa plume pour diffuser insidieusement sa vision toute subjective ?
Prend-on les citoyens pour des imbéciles ? Combien de fois la même erreur peut-elle être faite?
S’agissant de l’A.F.P, les erreurs sont impardonnables et quand elles se répètent systématiquement dans un seul sens ….elles sont plus que douteuses, le signe éclatant d’une partialité consciente et voulue.
Avez-vous lu dans les journaux la dernière imposture de l’A.F.P ?
Voici la dépêche du 30 Mars : “GAZA (AFP) – Un Palestinien de 15 ans a été tué et 12 autres blessés, dont des enfants, par des tirs israéliens lors de marches marquant mardi la “Journée de la terre” dans la bande de Gaza, a-t-on appris de sources médicales palestiniennes à Gaza”.
Sauf que l’adolescent en question était détenu en Egypte et qu’il a été bien surpris en revenant d’apprendre sa mort !
Bien sûr les dénégations de l’armée israélienne ne valaient rien face à la déclaration mensongère de Moawiya Hassanein, le chef des services d’urgences du Hamas à Gaza…comme c’est curieux!
Résultat des courses, de nouveau le mythe d’Israël assassin des enfants circule dans l’inconscient des lecteurs sans nombre qui ont pu lire cette “information” relayée par tous les médias de France, de Navarre, d’Europe, et d’ailleurs où, vous vous en doutez, on se réjouit de ce type de nouvelle.
Alors inconscience professionnelle de l’A.F.P ou perversion médiatique?
Rachel Franco
Israël
Oui, c’est hélas toujours ainsi! Rien de nouveau depuis les collabos de 40/45
POURQUOI SOMMES NOUS TOUJOURS STIGMATISE ?????
Bonjour,
L’AFP, vous parlez de l’Agence France Palestine si j’ai bien compris.
Bien à vous,
Cyril
Ces gens là savent parfaitement ce qu’ils font !
Ils ont la HAINE d’Israel en eux… Je n’arrive toujours pas a comprendre pourquoi la justice israelienne ne fait rien contre cette bande d’énergumènes.. Surtout qu’a la direction de cette agence a Jérusalem se trouve un Israelien..
Que l’on ne me dise pas que c’est la démocratie !! Ce n’est pas de la démocratie ca… C’est du suicide !
Une autre démocratie -la plus grande démocratie du monde, les USA – recherche activement HORS de leur territoire un homme pour tout simplement le liquider, et ce sans aucun procès… Parfois, lorsque la sécurité d’un pays est en danger, il faut savoir passer outre “la démocratie”…
nouvel obs 07.04.2010
Pour sept Français sur dix, la création d’un Etat de Palestine aux côtés de l’Etat d’Israël serait la meilleure solution au conflit israélo-palestinien ; pour 45% des Français les Israéliens partagent avec les Palestiniens la responsabilité de la non résolution du conflit ; pour un français sur 3 la politique de la France face au conflit israélo-palestinien est équilibrée: ce sont quelques uns des enseignements majeurs du sondage de l’Ifop* pour l’Association France-Palestine solidarité (AFPS), dont le Nouvel Observateur et Nouvelobs.Com publient les résultats en exclusivité.
Est-ce une surprise : face au conflit israélo-palestinien un rare consensus national apparaît. A égalité, (76%) les sympathisants de gauche et de droite estiment que la création d’un Etat palestinien serait la meilleure solution au conflit. Ce point de vue est aussi celui de 84% des sympathisants du Modem. La division droite/gauche est à peine plus sensible lorsqu’on demande aux sondés qui, des Israéliens ou des Palestiniens, porte la plus grande responsabilité dans la non-résolution du conflit : 48% des Français de gauche et 45% des Français de droite estiment que les responsabilités sont partagées. Les partisans de la responsabilité israélienne sont plus nombreux à gauche (31%) qu’à droite (24%).
L’écart se creuse en revanche sur l’hypothèse de la responsabilité des Palestiniens : 2% des sympathisants de gauche seulement, contre 15% de ceux de droite avancent cette opinion. La division droite/gauche réapparait plus clairement sur le jugement de l’attitude de la France dans le conflit. Près d’un Français de gauche sur quatre (24%) juge la politique de Nicolas Sarkozy plutôt favorable aux Israéliens, 8% seulement estiment qu’elle est plutôt favorable aux Palestiniens et 24% la considèrent équilibrée.
Les plus jeunes : indécis ou indifférents
Equilibrée : c’est l’avis de 46% des Français de droite alors que 15% d’entre eux jugent la politique française favorable à Israël et 11% favorable aux Palestiniens. L’enseignement le plus troublant de cette enquête, révélateur peut-être d’une réelle lassitude face à un problème éternellement sans solution ou du caractère marginal de cette question dans les soucis actuels des Français est le pourcentage très élevé des sondés qui ne se prononcent pas. Pour Jean-Claude Lefort, président de l’AFPS, ce pourcentage – qui atteint 46% des sondés sur l’attitude de la France – est dû au manque « de grille de lecture claire du conflit ». Et il est particulièrement élevé (entre 35% et 70% selon les questions) chez les moins de 35ans.
Les Français les plus jeunes fournissent en effet, sur la plupart des questions les plus gros bataillons d’indécis et/ou d’indifférents. Sur l’attitude de la communauté internationale, les moins de 35 ans sont 57% (contre 32% pour les plus de 35 ans) à choisir de ne pas se prononcer. Sur l’attitude de la France, ils sont 60% (contre 41%), sur la question du boycott des produits israéliens, ils sont 70% (contre 59%). La question face à laquelle les plus jeunes sont les moins indécis est celle qui porte sur la création d’un Etat palestinien : 35% seulement des moins de 35 ans ne se prononcent pas. Il est vrai que face à la même question, le pourcentage de ceux qui ne se prononcent pas tombe chez les plus de 35 ans à 17%.
Dernière information livrée par cette enquête lorsqu’on la compare aux sondages sur le même thème publiés ces dernières années : elle confirme une certaine érosion de la sympathie pour Israël à quoi répondent une légère progression du soutien à la cause palestinienne, mais surtout un net accroissement des pourcentages révélant l’indécision ou le désintérêt des sondés.
Rubrique: Editorial
Publié le 7 avril 2010
Il ne faut pas s’y tromper: la querelle actuelle entre Washington et Jérusalem ne porte pas sur le fond de la disputation israélo-palestinienne – le tracé de la frontière, le statut de Jérusalem, la question des réfugiés – mais sur la liberté de manœuvre d’Israël en matière de construction, dans les territoires en général, et à Jérusalem en particulier.
Le gouvernement israélien, pris de court, s’en étonne, se raidit. S’en étonne ? Il suffit de lire un petit passage dans l’ouvrage de Denis Ross ” De la politique ” pour se convaincre d’une belle continuité de la pensée américaine sur ce point. Denis Ross qui, 10 ans durant, a été mêlé de très près aux dessus et dessous de la situation au Proche-Orient, écrit ceci ” …Au bout du compte, il n’y aura pas d’autre choix que de renoncer aux mythologies, ce qui est effectivement douloureux au double plan psychologique et politique… Il n’y aura pas de paix tant que les Israéliens ne seront pas prêts à admettre que l’idée d’une Jérusalem indivisible, en particulier à ce qui touche Jérusalem-Est, relève de l’illusion.”
Ce propos a été rédigé bien avant que Barak Obama n’accède à la Maison blanche. Il est dans le droit fil du plan présenté, en décembre 2000, par Bill Clinton à Ehud Barak et Yasser Arafat. Un plan opératif qui allait à l’essentiel, dans les moindres détails. Ni Barak, ni Arafat n’en ont voulu. Depuis, ce plan a servi de base à la feuille de route d’avril 2003. Puis à la formule ” deux Etats pour deux peuples “, adopté par les Palestiniens d’une part, les Israéliens d’autre part. Y compris Binyamin Netanyahou.
Mais, à l’arrivée, une formule creuse, qui n’engageait personne. Elle n’avait de valeur que déclamatoire. Hormis quelques haussements de sourcils (le président Bush en 2005, qui a entraîné le retrait de la bande de Gaza), les Palestiniens et les Israéliens ont mené chacun leur barque, suivant leur ligne idéologique respective. A l’arrivée, des pourparlers indirects, qui voient Georges Mitchell faire la navette Jérusalem-Ramallah pour transmettre questions et réponses.
(Une sacrée récession, soit dit en passant ! Nous revoici renvoyés au bon temps de 1974, après la guerre de Kippour, avec Henri Kissinger dans le rôle de commis-voyageur. Sinon même à février 1939, à la pompeuse Conférence de la paix, convoquée par les Britanniques à Londres, et qui a vu l’Egypte, l’Irak, la Transjordanie, l’Arabie saoudite regroupés dans une pièce et les dirigeants sionistes dans une autre pièce, tandis que les diplomates britanniques allaient et venaient des uns aux autres. Un échec total pour l’apaisement dans la Palestine mandataire. Mais une victoire pour les représentants arabes dont l’intransigeance a payé : le livre blanc, 3ème du nom, du 17 mai 1939 annulait en fait la Déclaration Balfour de 1917. Il y était dit, en effet : Le gouvernement de Sa Majesté déclare aujourd’hui sans équivoque qu’il n’est nullement dans ses intentions de transformer la Palestine en un État juif. Il considérerait comme une chose contraire à ses obligations envers les Arabes placés sous son mandat, et contraire aux assurances fournies précédemment aux Arabes, que la population arabe de Palestine doive devenir, contre sa volonté, les sujets d’un État juif.)
Aujourd’hui, tout se passe comme si l’administration Obama secouait l’imaginaire pour imposer le passage au concret, la fin des atermoiements. Le 12 avril, à priori, Binyamin Netanyahou devrait donner la réponse de son gouvernement aux exigences et demandes d’éclaircissements formulées par la Maison blanche lors de la dernière visite du Premier ministre israélien dans la capitale fédérale. Les principaux points : prolonger le gel de la construction au-delà du 26 septembre, autoriser la réouverture de la Maison de l’Orient, rue Salah Ha Din, en tant que siège des institutions de l’Autorité palestinienne à Jérusalem-Est, transfert à la souveraineté palestinienne de l’ensemble des territoires classés A, libération de 1000 prisonniers en guise de geste de bonne volonté, fixer une date-butoir aux pourparlers sur l’accord de paix définitif, veiller à empêcher toute nouvelle construction à Jérusalem-Est et, enfin, débattre du statut de Jérusalem dès maintenant, lors des négociations indirectes.
Selon certaines sources, du côté du Potomac, de la réponse israélienne dépend la pression que Barak Obama entend exercer sur Mahmoud Abbas, pour amener celui-ci à meilleure composition.
En attendant, l’Autorité palestinienne marque des points, dans sa démarche menant à la création d’un Etat palestinien dans les meilleurs délais. Voici trois semaines, le Quartet, réuni à Moscou,affirmait son intention de soutenir cette intention palestinienne. Et dans une interview publiée vendredi dernier par le quotidien israélien Haaretz, le Premier ministre palestinien Salam Fayyad précisait que la proclamation d’Indépendance interviendrait courant 2011, soulignant que : “…ce n’est plus là un projet palestinien, mais un projet international.”
Et quand Salam Fayyad ajoute :” Je n’ai rien contre l’idée sioniste. Ce que je dis est qu’il y a suffisamment de hauteurs, de collines en Israël pour y construire des villages et nous permettre à nous, Palestiniens, de respirer et de vivre notre vie.”, le propos fait tilt, en Europe, aux Etats-Unis et sur la place mondiale en général.—
dis donc cyril ces tes parents collabo ou ton ignorance qui te fait confondre ,
« inconscience professionnelle de l’A.F.P ou perversion médiatique ? »
Inconscience sans aucun doute et perversion assurément !
Cette présentation biaisée et systématique de l’AFP est voulue et organisée.
Ce n’est plus de l’information mais de la propagande qui se donne les moyens d’y ressembler. Vous avez-dit perversion ?!
La vrai question est pourquoi ? Pourquoi en sommes nous arrivés là. Pourquoi les pouvoirs politiques en place le tolèrent. Pourquoi aussi les Israéliens ne réagissent-ils pas plus souvent par les canaux officiels.
En quelles mains est l’AFP qui accomplit un travail de sape auprès de l’opinion, qui insinue son poison à petite dose jour après jour ?
à Salomon
Je ne suis pas Cyril, mais à lire son post, j’avais compris que c’était de l’humour !
Pas vous ?
Voyons Salomon, une grave lacune dans vos connaissances de cette région du monde !! :-))
Ne saviez vous donc pas que l’AFP signifie Agence France Palestine ?
Demandez donc a n’importe quel hezbollimachin ou n’importe quel fatahnik il vous dira que c’est l’AFP qui les fait vivre !!
agamemnon, merci de me contacter par e-mail à : [email protected]
AFP ? Voici ce que j’en disais sur drzz.info et sur monde-info en février 2008…
vendredi 29 février 2008
FAUT-IL BRULER LES MEDIAS ?
FAUT-IL BRÛLER LES MEDIAS ?
Forcé de subir le règne du mensonge, chaque fois qu’on enclenche la télévision, qu’on allume la radio ou qu’on ouvre un journal, on a parfois envie de poser la question : faut-il brûler les médias ? Après tout, ne brûle-t-on pas les déchets ? Ce d’autant que le fonctionnement de certains médias, ressemble bien plus à celui d’un réseau douteux, qu’à celui d’une entreprise tel qu’on l’entend dans un Etat démocratique à économie libre.
Je prends un premier exemple. Le bilan pour l’exercice 2007 de l’Agence France Presse (AFP), annonce joyeusement un bénéfice net après impôts de 4,6 millions d’euros (1) et une marge d’exploitation de 18,9 millions d’euros, en augmentation de 40% par rapport à l’exercice 2006. Fort bien. Mais le business de l’AFP avec l’appareil administratif de l’Etat français s’est chiffré à 107,69 millions d’euros. Or, ce business, 107,69 millions d’euros, business de l’AFP avec l’appareil administratif de l’Etat français, représente 40% du chiffre d’affaires de l’agence. Je ne sais pas si le lecteur saisit l’énormité de cette farce. Je rappelle tout de même que l’appareil administratif de l’Etat français est financé par le contribuable. C’est un peu comme si Reuters vivait à 40% grâce à l’Etat britannique, la Deutsche Presse Agentur à 40% grâce à l’Etat allemand et Associated Press à 40% grâce à l’Etat américain. Pierre Louette, le PDG alouette de l’AFP compte sur une augmentation du business avec l’appareil administratif de l’Etat français de 2,5% par an et une aide « à l’investissement » (?) de la part de ce même Etat français de l’ordre de 20 millions d’euros. Allez, pourquoi lésiner ! En outre, le PDG Louette a eu l’extraordinaire toupet de proclamer qu’il est « très attaché à l’indépendance de l’agence ». C’est typiquement français. Non seulement on est subventionné de facto par la machine étatique ; mais de plus, on se gargarise, sans rougir, avec le soi-disant attachement à l’indépendance. J’ajoute, quant à moi, sauf votre respect, que les informations de l’AFP reprises, par exemple sur le Site de l’Express ce matin à propos des conditions de détention d’Ingrid Betancourt, et bien ces mêmes informations, puisées par votre serviteur à la source, figuraient déjà sur mon blog et sur leblogdrzz hier en milieu d’après-midi. Si les blogs ont 18 heures d’avance sur les dépêches d’agence reprises dans la presse, à quoi bon subventionner les agences et à quoi bon lire la presse…
Je prends un deuxième exemple. Selon un récent sondage (2), près de 80% des Français, soit quatre français sur cinq, estiment que la presse s’intéresse plus à l’accessoire qu’à l’essentiel. Une majorité des Français sondés, près de 60%, soit presque deux Français sur trois, estiment par exemple (3) que les médias ont attaché trop d’importance à l’incident sarkozyque survenu lors du Salon de l’Agriculture. Faites vous-même le test. Consultez les dépêches de l’AFP reprises sur le Site lexpress.fr . Non seulement ce Site nourri par l’AFP a 18 heures de retard sur nos blogs, mais en plus la moitié de ces dépêches AFP reprises sur lexpress.fr radotent à propos de bouffonneries qui n’ont rien à voir avec les véritables enjeux stratégiques de la planète.
Je prends un troisième exemple. Le nouveau big boss du groupe Le Monde, Eric Fottorino, raconte, dans L’Express (4) : « Nous avions (…) une gestion (…) trop politique. Moi, je voudrais vraiment instaurer la compétence et le talent (…) Mes choix seront fondés sur la compétence, pas sur les connivences et encore moins sur le sectarisme (…) Nous devons impérativement préserver notre indépendance. Il en va de notre image de marque et de notre crédit. (…) Le Monde ne sera jamais un journal populaire (…) Nous serons toujours dans une forme d’exigence et d’élitisme dans le bon sens du terme. Le Monde et les autres titres du groupe resteront des lieux où l’on donne à expliquer le monde ». Non, vous n’avez pas halluciné. Fottorino-nouveau-PDG-du-Monde a bien déclaré tout cela aux scribes de L’Express : « Le journal Le Monde est le lieu où l’on donne à expliquer le monde ». Avouez qu’il se la pète un max le Fottorino de service. Et en plus il se marche sur les roupettes. Car il avoue tout de même que jusqu’à il y a quelques jours seulement, son torchon puait, je cite, « les connivences et le sectarisme ». Donc, jusqu’à il y a quelques jours seulement, Le journal Le Monde n’était pas encore, je cite, « le lieu où l’on donne à expliquer le monde », puisqu’il était sectaire. Il faudrait rebaptiser « Le Monde ». Je trouve que « Le Fottorhinocéros » ce serait pas mal. En plus ça fait « élitiste dans le bon sens du terme », pas vrai ?
Je ne pense pas qu’il faille brûler les médias. Ce ne serait pas écologique. En revanche, il serait bon, que dans son journal préféré, le lecteur sélectionne et soutienne ses journalistes. Qu’il lise mes confrères Rioufol, Zemmour, del Valle et quelques-uns de la même trempe. Et qu’il ignore les autres, surtout les rhinocéros.
Michel Garroté, Journaliste
http://www.monde-info.blogspot.com(1)
http://fr.novopress.info/?p=10740(2) http://www.lefigaro.fr/assets/pdf/OpinionWay-Le%20Figaro-LCI-Prez%20Politoscopie-s2-V19.pdf
(3) http://www.lefigaro.fr/politique/2008/02/28/01002-20080228ARTFIG00661-sondage-les-medias-juges-excessifs-contre-sarkozy.php
(4) http://www.lexpress.fr/info/economie/dossier/presse/dossier.asp?ida=466498&p=1
Celle-ci aussi, en décembre 2008
Ont-ils corrigé leur dépêche? En tout cas rien lu dans les journaux suisses concernant cette “bévue” de l’AFP. C’est ce qui désolant, mais bien dans la “politique pro-palestinienne” de presse suisse!
J’arrive un peu tard sur ce post, mais qui peut répondre à cette question?Quel est le pays musulman,( ou arabe c pareil) qui possède 60% des actions de l’AFP?
Quand vous aurez la réponse vous comprendrez qu’on ne peut chier dans la g… du propriétaire, sinon à se faire virer ou mettre une balle dans le dos.