J Call, l’appel de juifs européens à la déraison qui doit être lancé le 3 mai à Bruxelles a ses idiots utiles européens, son cortège d’ennemis d’Israël en tous genres posant aux « amis d’Israël », mais il a aussi son grand frère, comme on disait au temps où l’Union Soviétique veillait sur ses satellites. Ce grand frère s’appelle J Street et se trouve présenté de tous côté en Europe comme le « nouveau lobby pro-israélien » à Washington.
Pour savoir un peu mieux ce qu’est J Call, il serait utile de savoir mieux ce qu’est J Street. Si c’est effectivement un lobby, le qualifier de « pro-israélien » relève de la publicité mensongère. L’appeler lobby anti-israélien comme l’a fait récemment Alan Dershowitz permettrait de se rapprocher de la réalité. Le nommer lobby chargé de contribuer fortement à la délégitimation et à la diffamation d’Israël aux Etats-Unis serait plus exact encore.
Il y a des juifs dans J Street, mais Norman Finkelstein, Noam Chomsky et Shlomo Sand sont juifs aussi. La haine de soi et l’égarement idéologique existent chez tous les groupes d’êtres humains.
J Street a été fondé en avril 2008, aux fins de tenter de détériorer les capacités d’action de l’AIPAC et des autres grandes organisations juives américaines, et a été l’une des organisations conçues pour accompagner et soutenir la candidature de Barack Obama. Depuis qu’Obama est Président, elle colle de très près à la politique menée par celui-ci, jusque dans ses plus délétères égarements.
Adepte de l’hypocrisie sinueuse, J Street a, lors de la guerre de Gaza publié un communiqué reconnaissant le « droit d’Israël de se défendre contre les menaces », mais ajoutant aussitôt que l’action israélienne serait « contre productive », « aggraverait le cycle de la violence dans la région », et accroîtrait « l’animosité séparant les Israéliens et les Palestiniens », ce qui équivalait à soutenir Israël dans la première partie de la phrase, et à porter sur Israël un regard condescendant et négatif à même d’alimenter tous les discours anti-israéliens dans la deuxième partie.
Après qu’au cours des deux dernières semaines, divers membres de l’administration Obama aient laissé entendre à haute et intelligible voix que « l’intransigeance d’Israël » et le refus de la paix par le gouvernement israélien mettait en danger la vie des soldats américains sur tous les théâtres d’opération, Jeremy Ben Ami, directeur exécutif de J Street, a publié dans le New York Times un texte reliant les dangers auxquels font face des soldats américains dans la région à la politique d’Israël, et laissant entendre, comme l’administration Obama, qu’Israël faisait courir des risques accrus à l‘armée américaine : ce qui avait pour finalité à peine dissimulée de faire pression sur Israël et de tenter de pousser la population américaine, qui est la seule au sein du monde occidental à réagir de façon éthique et à soutenir Israël, à prendre ses distances avec Israël. J Street n’a cessé depuis le début d’appeler à négocier avec l’Iran en reprenant des relations diplomatiques avec les autorités du pays, et propose aujourd’hui de « faire comprendre au gouvernement iranien qu’il fait face à un choix : ou bien prendre le chemin de l’isolement, ou bien prendre un chemin qui conduira à la réintégration dans la communauté internationale et à la possibilité de développer son économie ».
J Street, depuis sa création, parle globalement du retour aux « frontières de 1967 » qui ne sont pas des frontières, mais des lignes de cessez le feu après des agressions répétées subies par Israël. J Street parle aussi régulièrement de « continuité territoriale » de l’Etat palestinien à créer en Judée-Samarie et à Gaza, ce qui impliquerait de couper Israël en deux, et équivaudrait à confier un Etat « à côté d’Israël » au Hamas, car toutes les données disponibles montrent que ce qui s’est passé à Gaza se répéterait en Judée-Samarie si cette région voyait Israël se retirer complètement. Ce scénario ne poserait aucun problème à J Street, qui n’a cessé de dire que des négociations incluant le Hamas s’imposaient, et que celui-ci devait être reconnu comme un partenaire : « nous ne serions pas opposés à une décision de la part du gouvernement israélien, des Etats-Unis ou d’autres pays de trouver des façons indirectes d’engager des négociations avec le Hamas ». Le Hamas se trouve décrit par J Street comme le « gouvernement fournissant la loi et l’ordre et les services à Gaza depuis qu’il a gagné les élections en janvier 2006, et particulièrement depuis qu’il a pris le contrôle des choses en juin 2007 ». La référence de base de J Street est le « plan de paix arabe », évoqué de nombreuses fois dans les documents mis en ligne par J Street : en fait, le plan de paix saoudien.
J Street explique le conflit israélo-arabe de manière très simple : « Les colonies israéliennes dans les territoires occupés constituent depuis quarante ans un obstacle pour la paix et ont conduit les Palestiniens à douter des motifs et de la sincérité d’Israël ». Si la présence de juifs en Judée-Samarie semble scandaleuse à J Street, et à même de faire douter des « motifs et de la sincérité d’Israël », la présence d’un million d’arabes en Israël n’est jamais mentionnée. On ajoutera pour finir que Jeremy Ben Ami et J Street lorsqu’ils parlent d’Israël ne parlent jamais d’Etat juif ou d’Etat du peuple juif, mais d’Israël tout court, ou de Jewish home in the state of Israël, foyer juif dans l’Etat d’Israël.
J Street est née de fonds venus de George Soros, qu’on ne présente plus. Nombre de ses donateurs sont anonymes, mais les plus importants d’entre eux après George Soros sont néanmoins connus : Richard Abdoo, longtemps membre de l’Arab American Institute, entrepreneur américano-libanais, Genevieve Lynch, membre du bureau du National Iranian American Council, Nancy Dutton, avocat qui a longtemps représenté l’ambassade saoudienne à Washington. S’ajoute à la liste le National Iranian American qui, en l’absence de relations diplomatiques représente les intérêts iraniens aux Etats-Unis.
Michael Oren, ambassadeur d’Israël aux Etats-Unis a parlé, de J Street en décembre 2009, comme d’un « problème unique », en ce que c’est un groupe qui « s’oppose non seulement à la politique d’un gouvernement israélien, mais à la politique qui a été celle de tous les gouvernements israéliens ».
On peut souhaiter que l’appel à la déraison lancé sous le nom de J Call ne fasse pas que ce problème unique qu’incarne J Street ne devienne aussi un problème européen. Il faut œuvrer pour que ce souhait se concrétise. Il faut dénoncer l’imposture lorsqu’elle est flagrante. Il y a imposture. Et elle est flagrante.
Guy Millière
Merci M. Millière pour cet eclaircissement.
La plupart d’entre nous connaissaient deja les agissements de JStreet . La soi disant “rue juive” qui n’a en fin de compte comme but ultime que la deligimitisation d’Israel et pour finir sa disparition.
Et voilà que certains idiots utiles européens qui sont prêts a pactiser avec le diable et se font appeler “l’appel juif” sont en train de prendre le même chemin.
Je prie Dieu pour qu’ils n y arrivent jamais… Et j’espère que les signataires de JCall (perdre la raison) liront votre article…
Une fois les choses dites et que nous savons a quoi nous en tenir, il reste a agir. Et l’action commence par les médias juifs. Les initiateurs de cette honte sont connus. Il serait dramatique que les médias juifs leur ouvrent leurs colonnes ou micro, ou qu’ils soient reçus ou honorés par une quelconque institution juive, ou pire encore, israelienne. Il faut les traiter comme ils le méritent. Et qu’on ne vienne pas me parler de démocratie, de liberté d’expression, de droit a l’info… ou autres niaiseries de ce genre.
Grand merci pour ces précisions sur cette duperie qui n’a plus que deux ans à vivre, tout comme son avatar JCall.
C’est cousu de fil blanc et n’a d’existence que par la présence de Hussein Al Obama à la Maison Noire !
Il est triste que des Juifs ou prétendus tels prétendent lui donner un aval qui n’est qu’un crachat !
Je propose d’affubler BHL, Finkel et Glucksman de sobriquets ridicules car en France, ce genre de chose colle à la peau surtout à celle des histrions !
BHL pourrait être le “Looser” ou le “Cocu”
Finkel, le “Torturé”
Gluksman, “l’Affairiste”
Merci Guy Millière de nous avoir éclairés sur la genèse et le financement de ce scandale !!
Finkelkraut ce jour sur les ondes d’RCJ, a fait “tomber” le masque…
Il est très vexé, d’avoir été contesté et critiqué dans sa démarche. Il n’échappe pas à la règle des gens “médiatisés” (ben oui, tout de même !), cet “écorché” vit mal la contestation à son encontre et son ego, le pousse encore plus dans son obstination à ne pas remettre en question sa participation et son appui à Jcall.
Que ce personnage, pour lequel j’avais une certaine estime, malgré certaines de ses prises de positions .., puisse dire avec sa façon contorsionnée et “torturée” comme le dit si bien Jean, “je ne représente pas la communauté” (- alors à quel titre se mêle-t-il donc ? Comme un “démocrate” qui aime Israël mais se défend d’être aveuglé par son amour ? Ou comme un juif qui ne peut que laver plus blanc que les autres, qui ne veut pas être considéré comme un inconditionnel d’Israël…ce qui ferait certainement tâche !
Malheureusement on ne peut que déplorer, qu’ Alain Finkelkraut, indépendamment du fait qu’il ne connaît certainement pas tous les paramètres (il a avoué ignorer ce qui allait être dit à Bruxelles lundi), et ce que Guy Millière vient de nous révéler, mais de surcroît, il vient de prouver, et j’ai le regret de le dire, qu’il est au bout du compte, un être extrêment susceptible, sensible, un petit juif honteux, qui ne veut pas à l’instar de la communauté juive française (qui vient de faire la démonstration qu’il ne faut pas la prendre pour un troupeau de moutons-) – qui défend qu’on lui colle sur le dos l’étiquette “étoile jaune” et préfère avec des arguments contestables se rallier à un Cohn Bendit.
Pendant que ces “personnalités” pérorent, de jeunes soldats montent la garde, pour que leur pays reste un pays libre et sécurisé, ils protègent ce pays, qui à D. ne plaise, pourrait bien servir dernier “refuge” à ces “adorateurs” de la “paix” à n’importe quel prix sur le dos d’Israël.
Quand on “aime” on ne compte pas …surtout quand ce n’est pas vous qui payez l’adition.
@Petitbonhomme
Gluksmann a signé ce truc ?? Je ne l’ai pas vu sur la liste.
Autrement on pourrait les appeler les Call-labos
Ces “Juifs” tièdes ne sont pas des Juifs à mes yeux…
Mais qu’ils se rassurent…ils le restent et le resteront ad vitam aeternam aux yeux des autres !!…
Désolé pour eux !
Faut assumer les mecs !…
Y a pas que le fric des ventes des bouquins ou des émissions qui comptent…
Les trois bouffons ont perdu mon estime et, si je devais un jour les croiser, je ne leur serrerais pas la main…
Vous dites : « Si la présence de juifs en Judée-Samarie semble scandaleuse à J Street, et à même de faire douter des « motifs et de la sincérité d’Israël», la présence d’un million d’arabes en Israël n’est jamais mentionnée ».
Remarque liminaire. La « Judée Samarie » n’a pas d’existence légale, aucun pays au monde, (pas même Israël…) n’ayant reconnu son appartenance à l’Etat hébreu ! En effet, contrairement à Jérusalem Est, pas un seul gouvernement israélien ne s’est risqué, depuis 43 ans, à annexer la Cisjordanie (seule appellation valable). Les colons israéliens en Cisjordanie sont donc, au sens fort du terme « hors la loi ». [Ce qui ne veut pas dire, corrélativement, que l’annexion de Jérusalem Est soit pour autant licite, aucun pays au monde ne l’ayant non plus reconnue].
En revanche, la présence d’un million d’Arabes en Israël n’a pas même à être mentionnée car parfaitement légale : ces Arabes, constitutionnellement, possèdent la nationalité israélienne et sont (théoriquement…) les égaux de leurs compatriotes juifs. Pourquoi vouloir être plus royaliste que le roi ?
@Pierre. Si la Judée Samarie n’a pas d’existence légale – ce que je confirme et c’est pour cela qu’elle n’est pas un territoire occupé mais disputé, comment pouvez vous dire alors que les israéliens qui y habitent sont hors la loi ? Hors quelle loi ?
Puis, évidemment, comment pouvez vous déclarer hors loi une partie des habitants et pas l’autre ?
Et les titres de propriétés de ceux qui y habitent depuis des siècles, Juifs et arabes, les très nombreuses ventes de terrain aux Juifs que l’autorité palestinienne puni d’emprisonnement, quelle est, selon vous, leur légalité ?
Le terme de « Judée-Samarie », dans l’esprit de ses locuteurs, est destiné à instiller l’idée que cette aire géographique appartient à l’Etat israélien, ce qui est faux. Ce n’est pas une aire « disputée », c’est une aire occupée : le fait que des Israéliens y vivent n’en fait pas plus une terre israélienne que l’Algérie n’était française du fait que des Français – entendre des sujets venus de France depuis un siècle – y vivaient.
Aucun Etat au monde ne reconnaît la possession de la Cisjordanie (et pas même celle de Jérusalem Est) à l’Etat d’Israël. Cette aire géographique est, légalement, celle de l’Etat palestinien. C’est donc au nom de la loi internationale que l’Etat israélien y est hors la loi.
Il n’y a pas de passage de la propriété individuel et privée à la propriété éminente et collective : des étrangers possèdent en grand nombre des propriétés en France sans pour autant que ces propriétés cessent d’appartenir au territoire français. Quant aux « ventes » de biens immobiliers arabes à des juifs depuis 1967, je doute que les Arabes les aient effectuées en toute « liberté »…
En quoi aurais-je une connaissance superficielle du sujet ? Et que sont ces fameuses «vraies» questions ? Par ailleurs, une chose qu’on répète un million (ou un milliard) de fois n’est pas pour autant fausse : la plupart des données du savoir – par exemple celui qui est dispensé dans les établissements d’enseignement de tout type (concernant les langues ou les sciences) sur toute la planète sont répétées des millions, voire des milliards de fois (de façon à peu près identique), elles n’en sont pas pour autant fausses…
J’ai l’impression que vous n’avez jamais confronté vos conceptions avec celles qui leur sont opposées. D’où la naïveté de votre propos, à l’instar de ces personnes qui s’imaginent que seul le français n’est pas une langue étrangère…
Vous dites, de la Cisjordanie : « Vous ne connaissez ABSOLUMENT pas son statut selon le droit international (sur ce point, je vous accorde que c’est un point de droit plutôt corsé). »
Ce que la Cisjordanie n’est assurément pas, c’est israélienne. Et cependant l’Etat d’Israël ne l’en occupe pas moins illégalement, depuis 43 ans, et ce en dépit de toutes les résolutions internationales. Ce n’est donc pas un territoire disputé mais occupé (comme l’Algérie l’a été par la France de 1830 à 1962).
Vous dites : « A la finale, je crois que vous n’avez pas la plus petite idée de ce que terrorisme, dictature et démocratie impliquent. »
C’est qui, le terroriste ? C’est tout simplement celui qui n’a ni B-52, ni F-16 ni char Merkava pour transporter ses explosifs. Durant une douzaine d’années, les Etats-Unis, pays (formellement) démocratique ont mené une guerre terroriste contre le Vietnam et, depuis 1850 – et, plus encore depuis le début du XXe siècle, mènent toujours une guerre terroriste contre les pays d’Amérique latine, par barbouzes ou gouvernements manipulés. [Comme l’ont fait la France en Algérie et en Indochine, l’Angleterre en Irak dans les années 1920 en Irak, l’Italie en 1935 en Ethiopie et les Etats-Unis en Afghanistan depuis 2001]. Sans préjudice de tout le reste, de la part de pays qui se disent « démocratiques »…
Apparemment, vous avez, de la vie des Arabes israéliens, une vue de conte de fées à l’eau de rose (et, plus encore, de celle des Palestiniens). Comment justifiez-vous, par exemple, que :
Depuis l’établissement de l’Etat d’Israël en 1948, aucune localité arabe n’a été créée, alors que plus de 600 localités juives ont vu le jour ou que
Les Palestiniens d’Israël ne possèdent que 3,5 % de la terre de leur pays ou que,
En 2003, le Parlement israélien ait voté une loi interdisant à un conjoint palestinien de Cisjordanie ou de Gaza de rejoindre son mari ou sa femme en Israël, ou que
Les Israéliens aient établi des barrages ou des checks-points sur toutes les routes de Cisjordanie ? En vertu de quoi un pays se permet-il de dresser des barrages sur un territoire étranger ? Est-ce que l’armée allemande ou l’armée russe dressent des barrages sur nos routes en 2010 ?
Je pense qu’on pourrait répondre a Pierre (n°11) que le jour ou la France aura comme langue officielle l’arabe ; que les populations arabes de france pourront librement cracher sur la tombe des soldats français morts en Algérie ; que des députés arabes pourront proclamer a l’assemblée nationale française leur soutien aux ennemis de la France et appeler a la destruction du pays ….eh bien ce jour là, Pierre pourra venir nous refaire son numéro d’assistante sociale, si ses protégés ne lui ont pas coupé la tete.
J’ai lu le premier et le second commentaire de “Pierre” (??) puis je me suis arrêté de lire le reste… C’est exactement le meme discours que j’entends chez les pro palestiniens qui se gargarisent de messages lancés par les sites du style Oumma.com.
Cher Monsieur J.P. Grumberg, vous pourrez toujours dire a ce monsieur que nous sommes aujourd’hui le lundi 3 mai, il ne vous croira pas pour la simple raison que ce n’est pas Oumma.com ou a la rigueur l’AFP qui le lui a dit…
@Pierre écrit :” le fait que des Israéliens y vivent n’en fait pas plus une terre israélienne que l’Algérie n’était française du fait que des Français – entendre des sujets venus de France depuis un siècle – y vivaient”, .
Sauf que si les Français sont arrivés en 1830, (quoique, il y eut des Juifs en Algérie bien avant l’invasion arabe…ces mêmes juifs qui ont du partir parce que chassés …ou massacrés). En Palestine, les Juifs eux y sont depuis des millénaires.Ils sont sur leur terre..
“cette aire géographique appartient à l’état palestinien” ? Ah bon ? Quel état ?
C’est quoi cette propagande à deux balles que vous déversez ? Ces contre vérités sorties tout droit des déclarations mensongères des tenants de la destruction et de la disparition de l’Etat d’Israël !
Inutile de faire étalage d’une pseudo érudition, dans ce domaine, sachez que nous connaissonsparfaitement l’histoire de la région et les droits (ou des revendications infondées) des uns et des autres. Ce n’est pas un ignare qui vient faire la morale ici, qui va ébranler les fondations et le destin d’Israël.
Un conseil : avant de parler et d’écrire de telles énormités piochées chez les Palestiniens et les arabo-musulmans antijuifs, apprenez qu’il existe la réalité non tronquée, l’Histoire (avec un grand H.), écrite par de véritables historiens, des experts, qu’il existe aussi des écrits de grands écrivains, de voyageurs, qui attestent de la véracité et de la légitmité d’Israël et de son peuple sur cette terre.
Vous vous gargarisez de balivernes et vous vous donnez l’impresion de maîtriser la question. Que nenni, vous êtes parfaitement ignare, borné, et même si israël disait que la mer est bleue, vous diriez qu’elle est verte comme la couleur fétiche de vos amis les verdâtres propagandistes criminels qui ne rêvent que d’exterminer tout un peuple et détruire un pays.
Nous n’avons pas besoins de fossoyeurs.