Souhaitez vous quitter l’islam ? par Jean-Patrick Grumberg.
Depuis le 14 mai dernier, les bus de New York et de trente autres villes de Etats Unis affichent la publicité suivante :
Vous êtes victime d’un Fatwa ?
Votre famille ou votre communauté vous menace ?
Vous avez décidé de quitter l’Islam ?
Refuge-contre-lislam.com a les réponses.
La démarche est intéressante à plus d’un titre.
Au-delà de la querelle évidente qu’elle soulève, les musulmans ayant immédiatement dénoncé qu’il s’agissait d’un nuage de fumée pour cacher une attaque contre l’Islam, et Pamela Geller, l’auteur de cette campagne à 8000 dollars, payée par les membres de son organisation « stop à l’islamisation de l’Amérique », a immédiatement affirmé qu’elle n’attaque personne, puisqu’elle ne demande pas aux musulmans d’abandonner l’islam, mais qu’elle veut apporter de l’aide à ceux qui désirent en sortir. Il s’agit, dit elle, de la liberté religieuse, et non pas de l’attaque contre une religion. La très prudente Autorité des Transports Métropolitains (MTA) a d’ailleurs fait examiner les textes par ses services juridiques avant de conclure qu’ils n’enfreignaient aucune loi.
Ce qui est intéressant dans cette campagne tient au fait que les Etats Unis ne sont pas seulement en avance sur l’Europe pour élire un président noir, mais ils sont également capable, sur un flanc de bus, d’aborder l’un des sujets de société les plus difficiles du vingt et unième siècle, à savoir : que diable viennent faire en occident des musulmans attachés à l’islam, au lieu de s’expatrier de leurs pays pauvres, vers les pays musulmans richissimes et sous peuplés, ou ils pourraient si bien s’épanouir religieusement.
Ce qui est intéressant dans cette campagne, c’est qu’elle atteste que là où l’Islam s’installe, il préoccupe, dérange et quelque fois fait peur.
L’Islam, pour beaucoup d’occidentaux, a une mauvaise image : il a l’air tentaculaire, il semble lutter contre les traditions, la culture. Il donne l’impression d’attaquer des valeurs qui font partie de la vie de tous les jours, et que personne ne pensait avoir un jour à défendre, comme la liberté de manger ce qu’on veut, de dire ce qu’on veut, de penser ce qu’on veut, de s’habiller comme on veut, d’être la femme qu’on veut sans rendre de comptes aux hommes, d’avoir la religion qu’on veut et la pratiquer comme on veut, de ne pas apprécier qu’on crache sur son pays, et plus généralement de faire tout ce qu’on veut dans le respect de la liberté des autres. Quand l’Islam, pour réagir, brandi le spectre de l’islamophobie, les gens font marche arrière et se cherchent des motifs non islamophobes. Ils ont tord, ils ne voient pas que le débat a été censuré. Ceux qui rejettent une forme d’islam qui les menace devraient avoir le droit d’élaborer leurs ressentiments sans se laisser étiqueter extrême droite ou « identitaires ». Cela permettrait de séparer la raison de l’émotion, le rationnel de l’irrationnel. Au lieu de cela, le terrorisme intellectuel du politiquement correct interdit d’employer jusqu’aux mots de la langue française, comme le mot arabe par exemple, en croyant jouer l’apaisement, en croyant même quelque fois que ceux qui dénoncent l’Islam sont les intolérants qui feraient bien de balayer devant leur porte. Ils imaginent que la raison va sortir gagnante, ou que le temps va arrondir les épines, alors que le ressentiment va croitre, et l’apaisement qu’ils souhaitent, se muter en crispation explosive.
J’entends souvent qualifier les propos anti arabes de xénophobie puante, de fascisme, de vomi d’extrême droite (alors que l’extrême droite ne vomi pas toujours) et de nationalisme nauséabond. C’est une inversion de la réalité dont ceux qui la dénonce sont coupables. Car c’est précisément parce que les gens de droite comme de gauche et du centre se sont cachés derrière la pensée unique, ont menti, ont nié la réalité, ont refusé le débat, ont humilié ceux qui au quotidien sont confrontés à des situations que eux soutiennent qu’elles n’existent pas, que les champions du politiquement incorrect, les fascistes, xénophobes, racistes, et les voyous d’extrême droite n’ont pas hésité un seul instant à reprendre. Evidemment, on ne peut pas attendre de ceux qui, à la Caroline Fouquet, sont assez intelligents pour analyser les faits, mais s’arrêtent brutalement lorsque les conclusions risqueraient de remettre en cause l’idéologie dont ils ont fait le remplaçant de leur réflexion propre, on ne peut pas leur demander, donc, de s’apercevoir qu’ils sont responsables de la capture par ces extrêmes, d’idées qui demandaient qu’elles soient développées avec honnêteté par eux même.
Les musulmans s’interrogent ils du pourquoi de ce rejet, ou se contentent ils de le dénoncer ? Prennent-ils, comme tout individu majeur, une large part de responsabilité dans la haine de l’Islam qu’ils pointent du doigt, ou sont-ils infantiles au point de ne savoir qu’accuser les autres ?
Font-ils la démarche de regarder en face que les guerres du monde impliquent des musulmans ? Que la plupart des organisations terroristes dans le monde sont musulmanes ? Que chaque jour de l’année quelque part dans le monde des dizaines de musulmans sont victimes d’attaques suicides commis par d’autres musulmans, au marché, dans les mosquées, dans les rues bondées, et que cela ne passe pas inaperçu ? Songent ils que tous les pays musulmans sont des dictatures plus ou moins violentes, mais des dictatures tout de même, et que les européens et les américains, de dictature ils ne veulent point ? Pensent ils que les européens ne voient pas que dans les pays musulmans une majorité de gens sont très pauvres, sans vraiment de travail, sans beaucoup d’éducation, sans beaucoup de soins médicaux, sans couverture sociale, et que cela dure ainsi depuis des siècles sans qu’ils ne fassent rien pour y remédier, tandis que les européens, eux, ont travaillé dur et ont gagné tout cela ? Voient ils qu’ils n’ont, dans leurs pays musulmans, pas ou peu d’industrie, aucune marque commerciale connue, aucune industrie pharmaceutique innovante, qu’ils ne développent aucun produit high tech, qu’ils ne déposent pas ou peu de brevets d’inventions, qu’ils ne diffusent pas ou peu de livres scientifiques, qu’ils n’ont que huit prix Nobel pour un milliard deux cent millions de musulmans, et que leurs habits traditionnels, parmi des européens soucieux de la mode, du bon goût, des couleurs et des matières de leurs vêtements, évoquent tout cela ?
Quand Eric Zemmour dit que la majorité des voyous sont noirs et arabes, ça ne fait pas plaisir à tout le monde, mais si l’affaire a fait grand bruit, c’est parce que les français, ceux qui le vivent tous les jours dans leur quartier et ceux qui savent que d’autres le vivent tous les jours, n’ont pas envie qu’il soit interdit d’en parler. Si, dans la rue, les gens agressifs et qui menacent, sont souvent des arabes, ils veulent qu’on le dise à la télé. A l’école, quand les enfants sont rackettés ou détroussés de leurs MP3 par des jeunes arabes, quand les violences et l’irrespect envers les maîtres est le fait de petits arabes, ils veulent que ce soit écrit dans leurs journaux. D’un autre coté, les intellectuels et les gouvernements ne veulent pas mettre le sujet sur la table, car ils pensent que cela attiserait les conflits. C’en est arrivé à un point que le débat est remplacé par la censure et par l’agression. D’après ce que je lis des nombreux emails que je reçois, le mal est déjà fait et les politiques retardent d’un métro. Font-ils quelque chose pour calmer le jeu ? Non. Ils font l’autruche, ils se contentent de donner l’ordre aux journalistes de ne plus prononcer le mot arabe, de ne plus mentionner l’origine des voyous si ce sont des arabes. Ils espèrent que les choses vont se tasser d’elles mêmes ? Ils s’en moquent ? Ils ne pensent qu’à se faire réélire ? Sont-ils bêtes ou lâches ou les deux ? Je me demande.
La loi contre la Burqa est elle destinée à endormir les gens en leur faisant croire que l’état les protège contre cet envahissement, ou est ce le signe que les politiques ont entendu les journalistes qui ont entendu l’opinion publique ? Si c’est ce dernier cas, ils ont encore des progrès à faire, coté audition. Car il me semble que l’opinion publique réclame plus que l’interdiction de la Burqa. L’opinion publique demande qu’on fasse respecter toutes les lois de la République. Qu’on ne laisse pas les musulmans bloquer les rues pour prier, qu’on ne la force pas à manger Hallal à l’école ou dans les gendarmeries ou au Fast Food. L’opinion publique veut que la banlieue redevienne la France. Elle veut qu’on arrête de huer la Marseillaise, qu’on cesse de chanter « je nique la France » à la radio, qu’on arrête de manifester en hurlant « mort aux juifs » dans l’indifférence des médias et de la police, et pour un groupe étranger, toujours le même, les arabes Palestiniens, et jamais pour les Soudanais ou les Rwandais qu’on extermine, eux, pour de vrai. L’opinion publique ne veut plus qu’on laisse bruler des voitures, que des jeunes beurs ou margarines agressent les pompiers, alors que les pompiers sont le symbole absolu de l’assistance à autrui.
Partout dans le monde on utilise le mot arabe. Jusqu’à l’institut du même nom, en plein cœur de Paris. En France il a été interdit par la dictature de la pensée. Vous pouvez me dire pour quel bénéfice ? J’en vois le coté tragique, et c’est celui qui découle du refus de regarder les problèmes en face pour les régler. Si des arabes et leur religion, en France, en Europe et aux Etats Unis sont la cause de problèmes, il faut mettre les problèmes sur la table, encourager les discussions publiques, à la télé, à la radio, au café, en débattre honnêtement et sans racisme, et si possible les régler. Au passage, il faut donner un coup de main à ces musulmans modérés dont on ne voit jamais nulle part la preuve qu’ils existent, et s’ils existent vraiment, alors la publicité sur les bus de New York n’est pas inutile, et ce n’est pas une propagande anti islam dissimulée.
Pour l’instant, le monde est encore divisé en trois camps qui ne peuvent se parler : les racistes/extrémistes/fachos/xénophobes qui mélangent émotions et réalités, les censeurs qui nient en bloc l’existence des problèmes et traitent de racistes/extrémistes/xénophobes/fachos ceux qui veulent débattre, et les lecteurs de drzz.info.
Jean-Patrick Grumberg
Intéressant article, attention tout de même avec les termes “jeunes” et “petits” arabes qui me paraissent bien péjoratifs.
Exemple interessant, merci de nous en informer.
Cependant votre classification oublie un camp qui lutte contre l’islamisation (et l’islam !) depuis bien longtemps et sans les concessions anglo-saxonnes (et libérales !) les républicains laïques.
Sur ce front je vous annonce la naissance d’une association “résistance républicaine” dont l’objet et de reconquérir l’espace public abandoné aux mahométans, qu’il soit médiatique, culturel ou physique.
Je vous ferais connaitre l’adresse du site internet dés qu’il sera en ordre de marche, afin, si vous acceptez l’idée d’un front organisé (à défaut d’être commun) d’en faire l’annoce ici.
Bonne journée.
Pour répondre à Benjamin, je crois que l’on doit être attentif à bien faire attention
Au même titre que “il est interdit d’interdire” de sombre mémoire, je propose donc “attention de faire attention”…une sorte de définition du politiquement correct importé des masturbés étasuniens et dont l’objet est de défendre tout sauf nous !
Des masochistes donc !
Texte digne du meilleur des jésuites, composé de questions habiles mais justes, auxquelles on ne peut que répondre par l’affirmative et donc avouer que l’Islam est devenu un tout gros problème à traiter séance tenante, une sérieuse menace à cerner rapidement et un danger imminent à combattre sans merci. A encadrer, photocopier, distribuer, enfoncer dans le crâne des politiciens, de journalistes et autres philosophes rêveurs et niais. Il faut refondre d’urgence nos systèmes de justice, et re-former des juges pour protéger les citoyens et traîter de face et avec diligence les nouvelles situations ou cas graves et insensés qui menacent la paix de notre société. Il ne faudra pas oublier d’aussi soutenir la police/gendarmerie dont les missions seront de plus en plus dures et dangereuses.
Excellent article dont je loue la modération qui ne fait pourtant que peu de concessions à la bien-pensance. Il ne pêche que par omission : lorsque vous parlez de fascisme, de racisme, de xénophopie, vous omettez prudemment d’y ajouter le poncif habituel d’antisémitisme car ce serait rappeler que le sionisme utilise exactement le même langage et le même processus “d’infiltration” dans les pays “d’accueil”. Le terme même d’antisémitisme est d’ailleurs une aberration syntaxique puisque les juifs s’en revendiquent seules victimes alors que nombre de peuples arabes sont sémites! Vous auriez donc pu l’ajouter au lot sans faire le moindre impair . Qu’en pensez-vous?
Nonobstant cela, bravo pour l’analyse.
Moi je vois la police comme notre “front line”, tous les autres stratagèmes n’ayant pas fonctionné, et la justice DOIT suivre, quitte a créer momentanément des tribunaux d’exception (à situations exceptionelles, justice exceptionelle). On peut d’abord asséner de lourdes amendes aux meneurs, quant aux “innocents” qui n’ont jamais rien fait mais qui étaient quand-même activement bien là, leur appliquer le délit d’association avec solides amendes voire plus (système hyper efficace appliqué aux USA). A l’extrême, réinventer le bagne… C’est bien triste à dire, mais peut-être penser à interdire l’islam, car une religion qui non seulement cautionne, mais justifie voire encourage (je n’ose pas dire orchestre) ces comportements ne peut plus être tolérée. Ce serait peut-être un bon moyen d’enfin réveiller et de pousser à l’action la prétendue majorité des musulmans modérés ? Mais je rêve tout haut…
Sorry, vieux défaut d’athée… Mais j’aimerais bien enfin entendre les musulmans modérés et les voir prendre des initiatives pour remettre de l’ordre et ramener le calme, c’est à ça que servirait cette menace extrême. Evidemment, faire la différence entre les vrais modérés et les autres ne sera pas évident, qui en jugera ? Et si la France devenait subitement le théâtre de soulèvements inter-musulmans comme on en voit de bien sanglants entre sunnites, chiites, etc…, allons-nous devoir jouer à l’arbitre ? Je crains bien qu’un jour, la question devra être abordée, même si ça heurte nos principes…
Si une “philosophie” apparait être une imposture tant par ses conséquences et par le comportement du “prophète” venu annoncer la bonne nouvelle que par ses écrits, cette “philosophie” doit être interdite comme cela est fait, à juste titre, pour une secte !
Ainsi, Boukhari décrit les crises du prétendu messager avec des mouvements et de la bave en fin de crises qui ne laissent que peu de doute quant à la nature comitiale – épileptique – des manifestations.
Le messager, chamelier de son état, a été brigand, assassin, pédophile, maquereau avec Kadidja…rien de bien gratifiant ! (on est loin de Jésus et de Moïse…)
Le bouquin comporte, avec les hadiths, environ 200 appels au meurtre !
Vu le caractère primaire de la profession de foi, l’on s’y adonne plus par intérêt immédiat que par conviction…c’est ce qui a entraîné les conversions au knout de nombre de peuplades incultes. Donc le nombre n’authentifie nullement la qualité !!…
L’incompatibilité de cette façon de penser et d’être avec la civilisation qui est la nôtre nous conduit tout naturellement à constater qu’elle, doit être interdite chez nous pour de simples raison de sécurité et de santé mentale…
Si “l’on reconnait l’arbre à ses fruits” il faut bien admettre que le comportement au quotidien des adorateurs du chamelier est hautement significatif de la valeur de la “philosophie” de base…
La campagne publicitaire objet de cet article est en fait une riposte à la campagne de prosélytisme inaugurée depuis quelques mois par les musulmans dans plusieurs grandes villes des USA.
Leurs affiches géantes apposées sur les trois faces de quelque 160 autobus et tramways circulant dans les villes de San Francisco, New York, Chicago, Miami, Detroit et Dallas répandent des messages tels que:
« l’islam –la voie suivie par Adam, Noé, Abraham, Moïse, Jésus et mohamed
« Vous méritez de savoir pourquoi l’islam»
«L’islam c’est la soumission à Dieu » renseignez-vous,
tous suivis d’une adresse internet, et d’une offre de corans gratuits.
Le premier de ces messages, surtout, a déclenché une vague de protestations lorsque le site internet de Pamela Geller a publié l’information en avril dernier. SIOA a alors décidé de prendre le contre pied en apposant aux mêmes endroits des affiches offrant protection aux musulmans qui désireraient abandonner l’islam.
A Miami, au bout de deux jours, la société de transit a fait retirer les affiches SIOA après avoir reçu une protestation de CAIR, arguant comme d’habitude qu’on faisait des misères à ces pauvres musulmans si mal traités aux USA et bien entendu, qu’on insultait l’islam qui n’a jamais, au grand jamais, prescrit la mort des apostats. Fatwa ? pour CAIR apparemment, il s’agit d’une invention (encore un coup des israéliens peut-être) ?
Après une entrevue avec les avocats de SIOA, Miami a finalement rétabli les affiches sur ses autobus.
Liberté religieuse au Pakistan
http://www.20minutes.fr/article/407552/Web-Le-Pakistan-leve-l-interdiction-d-acces-a-YouTube.php
@Jean-Marc : je comprends pourquoi ni Guy ni Michel ne veulent débattre avec vous. Je ne le ferai pas non plus, après avoir lu votre long commentaire. La raison est que je ne tolère pas qu’on me fasse un procès d’intention, ne me connaissant pas, et qu’on soupçonne que je mente.
Mais le mélange “émotion et réalité ” n’est-il pas au fondement anthropologique de la vie et de la cité. Aristote a bien écrit que sans “phyllis” il n’y avait pas de cité viable. Si l’extrème-droite, pour vous, se réduit à ce concept de fusion entre émotion – c’est à dire amour, désamour, attraction, désir, dégoût, plaisir, souffrance – et réalité – c’est à dire matérialisation de ces sentiments par la vision des objets de nature ou dee civilisation – alors elle devrait vous être éminemment sympathique car profondément humaine.
Bien sûr monsieur Grimberg d’autres émotions existent que l’on nomme “négatives” quand elles sont essentielles à la survie d’un être vivant. Mais pour terminer sur votre analyse – et votre peur ou aversion – du raidissement à la lecture des vérités de l’islam, vous conviendrez que ceux qui ont vécu en terre arabe n’en parlent pas par ouïe dire et que leur opposition est celle d’un romain (Plus véridique que occidental) contre ce qui dénature la vie telle qu’il l’a voulue et contre ce qui lui paraît être le mal.
Car le mal existe, n’est-ce pas? Quant à devenir “raciste” cette anathème ne prenant plus pour des millions de nos compatriotes, ne serait-il pas de bon ton d’y renoncer?
La réponse du berger à la bergère : qui plus que les sionistes font à l’humanité entière le procès d’intention d’antisémitisme?! Je déplore votre manque de courage, tant pour publier mon commentaire précédent que pour oser m’affronter. Et vous vous offusqueriez de cette méfiance “universelle” face à ces conportements récurrents? Si ça se trouve, c’est précisément cette déloyauté face au débat qui irrite depuis les origines.
Soyez un homme, pas une larve de plus.
Pour clore cette conversation: dire que les juifs d’Afrique du nord ont tous la même nostalgie serait abusif: demandez à ceux d’Oran par exemple. Mais il est vrai que de grande différences de sensibilités existent entre ceux de Tunisie (souvent de gauche d’ailleurs, au moins ceux qui s’expriment), du Maroc et d’Algérie. Et là encore peu de similitudes entre ceux de Constantine et d’Oran quant au ressenti envers les populations arabes. N’oubliez pas non plus que les juifs d’Afrique du Nord étaient “indigènes” lors de la conquête française et qu’ils avaient donc une longue mémoire existentielle locale, ce qui peut expliquer la “nostalgie” que même certains de mes compatriotes pieds-noirs éprouvent. Mais, en contre-point, l’arrivée du général Danrémond à Oran en 1831 fut accueilli par les accalamtions de la populations juive qui savait devoir être massacré sinon par les tribu du père d’Abd el Kader (Il en est resté le “pourim d’Oran”).
@JPG : n’ai-je pas, depuis le début, demandé à DÉBATTRE et à rencontrer vos arguments? Je l’ai assez dit à Rachel : si vous me convainquez de la légitimité de vos combats, je serai le premier à vous apporter mon soutien. Et je n’ai qu’une parole.
Remarquable article qui analyse et résume les problèmes de la France vis à vis de l’islam.
merci.