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Iran – Préparer la guerre pour mieux l’éviter ?
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Par Michel Garroté
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Lundi 28 juin 2010 – 16 Tammuz 5770
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Si je récolte et que j’étudie, les informations fournies par les meilleurs analystes du Moyen Orient, notamment, ci-dessous, Stéphane Juffa ( sur http://menapress.org/), cela donne à peu près ceci (je reproduis des extraits de l’analyse de Stéphane Juffa de façon synthétique et résumée) :
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Il y a déjà une activité militaire israélienne sur l’aéroport de Tabuk en Arabie Saoudite. Des hélicoptères israéliens ont déchargé des équipements sur cet aéroport saoudien, équipements israéliens destinés à attaquer l’Iran.
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L’Arabie Saoudite a accepté d’ouvrir son espace aérien aux avions israéliens en vue de la préparation d’une attaque possible contre l’Iran.
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Il n’existe aucun Etat sur terre à désirer plus ardemment que l’Arabie Saoudite l’anéantissement des capacités nucléaires de l’Iran.
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Les Saoudiens n’éprouvent aucune sympathie particulière pour Israël, mais ils ont une très haute estime pour son habileté militaire.
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De plus, les Saoudiens sont parfaitement conscients de ce que les Israéliens sont des gens fiables, qu’ils n’ont aucune visée sur leurs richesses, qu’ils ne tenteront pas de déstabiliser leur monarchie, ni d’influer en aucune manière sur leur population. Tout ce qui intéresse les Israéliens, c’est la destruction du projet atomique iranien.
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Sans profondeur stratégique, Israël ne peut rien contre l’Iran. En cas d’attaque, l’armée de l’air israélienne ne décollera pas depuis Israël pour bombarder les objectifs iraniens. C’est trop loin, cela donnerait l’occasion aux Iraniens de se préparer, les bombardiers arriveraient sur leurs cibles pratiquement à sec de carburant, avec des quantités minimales de bombes, et seraient contraints d’avitailler au-dessus ou à proximité de territoires hostiles. De plus, les Israéliens seraient dans l’incapacité de porter secours aux équipages qui auraient dû s’éjecter et ils n’auraient pas de terrains où poser des appareils touchés.
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Le bon sens veut que les avions israéliens décollent, pour la très grande majorité d’entre eux, depuis des aéroports situés en Géorgie, en Arménie, en Azerbaïdjan, dans les Emirats et en Arabie Saoudite.
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Préparer la guerre pour mieux l’éviter ?
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Source :
Stéphane Juffa, http://menapress.org/
jeudi 24 juin 2010, ‘Si vis pacem…’ (info # 012406/10)
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‘Si vis pacem, para bellum’ = Si tu veux la paix, prépare la guerre…
Quoi de plus vrai en ce moment…
Amour, Respect & Honneur
Ritter Yves
Oui mais quels seront les représailles ???
ci vis pacem para bellum, mais pour une fois, vu les cinglés d’en-face, ci vis pacem gere bellum
C’est vrai ce que vous dites, l’Arabie Saoudite est sournoise, elle s’introduit dans le monde occidentale comme un serpent vénéneux en construisant des mosquées et autres institutions comme l’OCI qui s’infiltre par étape, c’est une forme de menace a long terme mais très efficace si le monde occidentale n’y m’est pas fin d’urgence, mais le retour de bâton sur les têtes des Saoudiens a déjà commencé depuis des années avec les attentas géants commis par leurs propres population et par Al-Qaïda, a du les mettre sur leur garde, la peur des représailles américaines après les attentats du 11septembre 2001 on calmer leurs désirs d’gémonies musulmanes sur toute la région, d’où leurs rapprochement avec les états unis et Israël, attaquez l’Arabie Saoudite aujourd’hui na aucun sens.
Le grand danger à présent est sans aucun doute possible l’Iran, l’hégémonie Iranienne est double, l’hégémonie religieuse et militaire, avec l’arme atomique, tout leurs objectives seront probablement atteint, le proche et le moyen orient seront sous la menace perpétuelle, si l’entité ayatholique détenait l’arme absolue, les conséquences dramatiques qui s’en suivraient seront incalculable. Je suis d’accord avec Ines sur le fait établie depuis plus ans que la grande masse des iraniens est intelligente et recherche la paix, elle ne sera pas malheureuse si l’Iran est attaqué, et si le gouvernent et le régime religieux fanatique et mafieux sautent et l’Iran redevient une république démocratique, beaucoup plus facilement que l’Irak, d’où la nécessité impérieuse de détruire les infrastructures nucléaires de ce maudit régime.