Le Président iranien Mahmoud Ahmadinejad, décrit parmi ses proches comme un homme pieux, a semble t-il une attirance, ou préférence sexuelle, pour les filles pré-pubères ou en début de puberté.
Ahmadinejad a lancé un appel pour marier jeunes filles dès 16 ans, lors d’une cérémonie de célébration des “militants du mariage”.
En réponse à la hausse de l’âge moyen des unions en Iran ces dernières années, le président iranien veut que son pays change "d'état d'esprit" afin de marier les filles à l'âge de 16 ans.
Il a également été rapporté que le président a fustigé l'âge moyen du mariage en Iran, qui est actuellement de 24/26 ans.
Pour justifier ses propos, il explique : qu'“Il n’y a pas de raison que l’âge du mariage soit (actuellement) de 26 ans pour les garçons et de 24 ans pour les filles".
Selon le quotidien gouvernemental Jam-e-Jam, le pédophile Perse estime que l'âge idéal du mariage pour une femme est 16 ans.
Ce dirigeant moyenâgeux semble vouloir occulter le fait que chez lui, les femmes sont violées et torturées en série, justement parce que les autorités iraniennes ont encouragé, ces dernières années, le mariage précoce comme moyen de combattre ce qu’ils appellent “la propagation de l’immoralité chez les jeunes”.
Dans ce pays, l'illettrisme touche la moitié des femmes, contre "seulement" un tiers des hommes. La torture et les mauvais traitements que subissent les femmes sont monnaie courante, en Iran.
En 2003, le gouverneur du Khûzistân annonçait que quarante-et-une femmes de sa région avaient été tuées dans des assassinats pour l’honneur, toutes étant âgées, au moment de leur calvaire, de moins de vingt-et-un ans.
On trouve d’autres exemples de transgression de la sacralité de la femme dans le rapport officiel des Nations Unies, rédigé par Yakin Erturk en 2006.
Le rapport s'intitule : "Intégration des droits de l’Homme pour les femmes et Perspective d’un sexe : De la violence contre les femmes, Rapport du Rapporteur Spécial sur la violence contre les femmes, Cas et Conséquences, Mission en République Islamique d’Iran. Il décrit notamment les horreurs du traitement infligé aux femmes détenues dans les prisons. Avant leur exécution, les détenues vierges sont mariées de force à des officiels, qui les violent, sur la base du raisonnement abject selon lequel, après leur exécution, elles iraient en enfer pour ne pas avoir conservé leur virginité.
En juin 2005, une jeune femme été condamnée à l’énucléation des deux yeux par voie chirurgicale, pour une infraction commise alors qu’elle avait seize ans.
En Iran les jeunes filles de 16 à 20 ans sont vendues. Elles sont enlevées, emmenées sur le marché de Téhéran, puis vendues à des marchands Iraniens et étrangers. Dans ce dernier cas, la destination la plus courante est le Golfe persique.
Les riches pédophiles des pays arabes voisins épousent ces filles, puis les revendent, "après usage", à des intermédiaires Pakistanais, pour finir dans des bordels appelés "kharabat".
L'accroissement de la prostitution et du commerce des filles, en Iran, est lié à celui des fugues. La rebellion des filles contre la rigueur intégriste, l’absence de liberté, les abus domestiques et les mariages forcés y contribuent. Mais la fuite vers plus de liberté mène à plus d’abus et à l’exploitation, et quatre vingt dix pour cent des filles iraniennes qui fuguent se retrouvent prostituées. À Téhéran seulement, on compte 25.000 enfants des rues, la plupart des filles. Les proxénètes chassent les fugueuses et les écolières vulnérables dans les rues et les parcs.
L’Iran détient le taux le plus élevé de suicides au monde. Chaque année, sept mille personne se suicident, la majorité étant des femmes. Les libertés élémentaires, comme le droit de choisir ses vêtements, ou de prendre part à des activités artistiques ou culturelles, sont interdites.
Les fondamentalistes islamiques d’Iran ne sont pas simplement des musulmans conservateurs. Ce sont aussi des pédophiles. La pédophilie est ici protégée par la religion. L’islam, il ne faut pas l’oublier, ni le passer sous silence, considère comme légitimes les unions avec les jeunes filles pré-pubères. Ceux qui prônent une application rigoriste de la loi islamique ne considèrent pas la pédophile comme une maladie, ou une déviance, ou une perversion. Elle est, au contraire, classée comme un culte et une vertu. D’où le commerce de filles, si florissant dans les pays islamiques.
Dans une dictature basée sur la religion comme en Iran, des milliers d’adolescentes sont mariées chaque mois, de force ou de gré, alors qu’elles ont à peine 16 ans. Les filles ne sont qu’une marchandise en Iran, une marchandise à la disposition des hommes.
Le guide suprême Khamenei avait prononcé un discours, le 27 juin 2010, à la mosquée Abuzar de Téhéran, dans lequel il expliquait clairement que “le principal devoir d’une femme est d’enfanter”.
En Iran (et chez les chiites en général), on applique, de plus, le mariage temporaire, ou provisoire (Sigheh) : un homme signe un contrat de mariage avec une femme ce qui l’autorise à coucher avec elle et de se séparer d’elle aussitôt qu’il le désirera (1).
Les mariages temporaires, rejetés par les musulmans sunnites, ont été autorisés par le prophète Mahomet, notamment pour permettre de supporter l’éloignement lors des conquêtes. Il a ensuite été interdit par le deuxième calife de l’islam, Omar, mais les dignitaires chiites, par défiance, l’ont toujours considéré comme légitime. Ce mariage permet d’assouvir ses besoins sexuels en dehors du mariage permanent, dans un cadre religieux.
Le mariage de plaisir est surtout prisé par les hommes mariés, qui peuvent contracter ce genre d’union sans limitation.
Les consommateurs mâles préfèrent en l’occurrence les plus jeunes, les fraîches, et la majorité des victimes sont des adolescentes. Plusieurs Ayatollahs et députés conservateurs profitent de ce fléau sexuel.
« Le mariage provisoire est une règle de Dieu. Nous devons l’encourager vigoureusement », a déclaré le ministre iranien de l’Intérieur Mostafa Mohammadi, à la télévision d’Etat en 2005.
Le niveau élevé du chômage (28% des jeunes de 15 à 29 ans, 43% des femmes de 15 à 20 ans), incite souvent les filles à accepter ces opportunités.
En Iran, on doit ressentir l’infini mépris que les filles et les femmes iraniennes ont pour leur Président pédophile.
Ftouh Souhail , Tunis
Loin de moi l’idée de relativiser la gravité et l’ignominie ce genre de pratiques, mais s’agissant de filles âgées de 16 ans, je ne crois pas que pédophilie soit le terme approprié.
Non, les autorités iraniennes ne sont ni obscurantistes ni cruelles. La preuve : on pratique l’énucléation de façon chirurgicale.Assez de calomnies contre le régime iranien et ses dirigeant éclairés.
Selon l’article 1075 du Code Civil des mollahs : « Le mariage temporaire (Sigheh) est légal pour une durée variant de une heure à quatre-vingt-dix-neuf ans. L’homme peut contracter autant de mariages temporaires simultanés qu’il le désire. Il peut cesser le contrat quand il le veut. La femme ne le peut pas. ». Voir aussi la Constitution de la République islamique (articles 1210, 1041 et 1075).
Si cela ne s’appelle pas de la prostitution gratuite…Je me fais enfermer directement dans un hôpital psychiatrique…!
Les femmes musulmanes sont traitées pire que des animaux en Europe…!
C’est tout simplement iinsoutenable…c’est du viol organisé…!!!!
un petit extrait du coran pour illustrer tout ça:
Sourate 65 : Le divorce (At-Talaq)
1. Ô Prophète ! Quand vous répudier les femmes, répudiez-les conformément à leur période d’attente prescrite; et comptez la période; et craignez Dieu votre Seigneur. Ne les faîtes pas sortir de leurs maisons, et qu’elles n’en sortent pas, à moins qu’elles n’aient commis une turpitude prouvée.[…]
4.Si vous avez des doutes à propos (de la période d’attente) de vos femmes qui n’espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n’ont pas encore de règles.[…]
Dans le text integral on remarque sla femme n’a jamais son mot à dire. Au mieu il est demandé à l’homme d’être un peu gentleman Les lois iranienne ne fond que
un petit extrait du coran pour illustrer tout ça:
Sourate 65 : Le divorce (At-Talaq)
1. Ô Prophète ! Quand vous répudier les femmes, répudiez-les conformément à leur période d’attente prescrite; et comptez la période; et craignez Dieu votre Seigneur. Ne les faîtes pas sortir de leurs maisons, et qu’elles n’en sortent pas, à moins qu’elles n’aient commis une turpitude prouvée.[…]
4.Si vous avez des doutes à propos (de la période d’attente) de vos femmes qui n’espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n’ont pas encore de règles.[…]
Dans le text integral on remarque sans peine que la femme n’a jamais son mot à dire.
Au mieux il est demandé à l’homme d’être un peu gentleman.
Les lois iranienne ne fond que retranscrire cette barbarie.
Le Code civil iranien est apparemment traduit sur alaviandassociates (legal counsels, attorneys-at-law), et, concernant le mariage temporaire, j’y lis simplement :
Article 1075 – Marriage is called temporary when it is for a limited period of time.
Article 1076 – The duration of the temporary marriage must be definitely determined.
En revanche le site iran-resist donne (Statut des femmes iraniennes) donne la version de l’article 1075 qui est citée dans le texte de Ftouh Souhail.
D’accord avec Marcoroz sur le fait qu’épouser une fille de 16 ans n’est pas de la pédophilie. Reste que, d’après l’article 1210, l’âge de la puberté (permettant le mariage) est de neuf ans lunaires (= huit ans et neuf mois) pour les filles, et là les deux sources sont en accord (et de même Human Rights Watch, et d’autres). Bien entendu, Mahomet, le “beau modèle”, avait consommé son mariage avec Aïcha à cet âge, selon le recueil de hadiths de Bukhari.
Le mariage temporaire est pratiqué couramment dans les lieux de pèlerinage iraniens, comme Qom et Mashhad, où des femmes rencontrent des hommes près des sanctuaires, sans que cela puisse évidemment se comparer aux antiques hiérodulies. Elles peuvent signaler leur disponibilité par des conventions diverses, comme de faire les cent pas à des endroits connus, de retourner l’étoffe de leur voile. Ce mariage temporaire n’existe pas chez les sunnites, mais selon certaines traditions, Mahomet l’aurait lui-même pratiqué, et selon d’autres traditions, il aurait été interdit depuis le calife ‘Umar. En Iran, un mariage temporaire blanc permet à hommes et femmes de se côtoyer. Mais il n’est pas nécessairement blanc, et Khomeini en a dit ceci : “Les jeunes filles et les garçons qui fréquentent les classes mixtes dans les écoles, lycées, universités et autres établissements d’enseignement et qui, pour légaliser cette situation, veulent recourir au mariage temporaire, peuvent le faire sans la permission du père. Il en est de même si le garçon et la fille s’aiment mais ont des scrupules à demander cette permission”. Le mariage temporaire est présenté comme une solution élégante aux besoins naturels (de l’homme), évitant de tomber dans le vice tout en évitant les rigueurs de l’ascèse. Il permet évidemment de renommer ce qu’on appelle ailleurs “prostitution”, encore un exemple de ce que j’appellerais le humpty-dumptyisme. D’ailleurs en Iran tout indique que la prostitution, de filles de plus en plus jeunes, jusqu’à 10 ans (et la consommation de drogue, une des plus élevées du monde), a augmenté massivement.
Mon Dieu……quelle horreur !
pour info,
l’âge de la liberté sexuelle en France est 15 ans 3/4
l’âge légal du mariage est de 18 ans
la puberté d’une femme a lieu vers ses13/14 ans (les medecoins confirmeront)
donc, ces allégations mensongères et diffamatoires sont absurdes.
pour ce qui est du mariage temporaire iranien., l’islam l’interdit en règle général.
conclusion : la bête noire des sionistes : l’iran…