Publié par Jean-Patrick Grumberg le 4 mars 2011

Mercredi dernier, un homme a ouvert le feu, à Francfort, sur un bus de l'armée américaine, tuant deux militaires et blessant deux autres.

Cette attaque tragique confirme que le terrorisme n'existe plus.

Obama a commenté le drame en rappelant le sacrifice et le danger que courent les soldats de l'armée américaine partout dans le monde. Il n'a rien dit d'autre. 

Le criminel est musulman, il hurlait “Allahu akbar” pendant qu'il tirait sur le bus, ainsi que “Jihad! Jihad!”. Si Obama n'y a fait aucune allusion, c'est certainement que le criminel ne comprenait pas les mots qu'il prononçait. Il devait les avoir entendu dans une série télé. D'ailleurs il ne peut y avoir aucun rapport entre cette tuerie, l'islam et le terrorisme, puisque l'islam est une religion de paix et d'amour. Dans le cas contraire, Barack Obama l'aurait dénoncé, c'est évident.
 
En fait, le terrorisme a commencé à disparaître à peu près lorsque Obama est arrivé au pouvoir.
 
En juin 2009, à Little Rock, Abdul Hakim Mujahid Muhammad, un musulman qui revenait du Yemen, tuait un militaire et en blessait un autre. Il dit à la police que s'il y avait eu d'autres soldats présents, il les aurait tous tués. Dans sa déclaration, Obama se dit très attristé par cet acte de violence, et il ne fit aucune référence au Jihad ou au terrorisme.
 
Le 5 novembre de la même année se produit le massacre de Fort Hood. Quatorze soldats sont assassinés et trente autres sont blessés. Le meurtrier s'appelle Nidal Malik, il est musulman, et il échangeait des emails avec un imam, qui lui expliquait le lien entre la terreur et la spiritualité. Là encore, il faudrait avoir l'esprit tordu pour y voir le moindre rapport avec une guerre de religion de l'islam contre les chrétiens et les juifs. La preuve, Obama déclara que le meurtrier était un "loup solitaire".
 
Quelques jours plus tard, le 25 décembre, un passager du vol Northwest Airline vers Detroit, Umar Farouk Abdulmutallab, lui aussi musulma, et qui a lui aussi fait un séjour au Yemen dans un camp d'al Qaida, cache une bombe dans ses sous vêtements et tente, sans succès, de la faire exploser en plein vol. Obama parlera d'un "désastre humain" heureusement évité, mais pas de terrorisme.
 
Six mois plus tard, un musulman du nom de Faisal Shahzad échoue à faire exploser sa voiture en plein Times Square, un des quartiers les plus denses de New York. Lorsqu'il affirma au tribunal qu'il était un mujahid, un soldat musulman, et qu'il voulait venger l'occupation du sol musulman par les américains, il devait certainement faire de l'humour, car Obama avait expliqué, juste après l'incident, qu'il s'agissait d'une victime de la société qui n'arrivait plus à payer le crédit de sa maison.
 
Obama va retirer ses armées d'Afghanistan et d'Irak. Il a promis de réduire son arsenal nucléaire. Il faudrait lui souffler de dissoudre l'armée américaine, elle n'a plus raison d'être. Il y a la paix sur terre, nous sommes tous frères.
 
Jean-Patrick Grumberg
 
Source : 
http://www.washingtontimes.com/news/2011/mar/3/obamas-state-islamic-denial/

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