Le New York Post vient de publier une information exclusive que nous reproduisons sur Dreuz.info, après que la police de New York ait terminé l'interrogatoire de la totalité des employés de l'hôtel Sofitel, et le visionnage de plus de quarante huit heures de vidéo du circuit intérieur de l'hôtel, où l'on voit Strauss-Khan quitter l'hôtel précipitamment, et sans s'arrêter à la réception pour régler sa note.
Une source qui a eu accès aux comptes rendus des interrogatoires révèle qu'à son arrivée à l'hôtel, Strauss-Kahn a tenté de séduire la réceptionniste affectée aux VIP, et qui était chargée de le conduire dans sa chambre. Une fois arrivés en haut, DSK lui a proposé de le rejoindre dans sa chambre pour partager une coupe de champagne après son travail à la réception. La jeune femme a décrit aux autorités l'invitation de "déplacée", et l'a vertement refusé.
Le lendemain, Dominique Strauss Kahn tentait sa chance sur une autre employée de l'hôtel, qui l'avait enregistré le jour de son arrivée. Il lui a proposé de la suivre dans sa suite pour partager une bouteille de Dom Pérignon. La jeune femme a déclaré aux enquêteurs que la proposition était "limite limite", et qu'elle a refusé cette "invitation sordide".
A aucun moment DSK ne leur a proposé ouvertement d'avoir une relation sexuelle, indique la source, mais les témoins ont toutes les deux insisté sur le fait que les avances étaient "franchement déplacées".
Draguer ainsi le personnel hôtelier, en France, n'est pas considéré comme un délit, ni même une faute. Ce peut être même considéré comme un talent ou une qualité. Mais nous sommes aux Etats Unis, et la culture est différente. De la même façon que les français réclament des musulmans de France qu'ils respectent leurs coutumes, les français doivent respecter celles des pays dans lesquels ils se rendent. Il peut sembler invraisemblable qu'un homme qui habite Washington, qui travaille aux Etats Unis, et dont la fille vit à New York ait eu un si grand mépris pour ces règles de comportement.
Ces nouveaux témoignages vont peser lourd contre Strauss-Kahn.
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Ces deux témoignages ne renforcent aucunement les accusations de viol et d’agression sexuelle.
Ils ne font qu’illustrer un faible que DSK reconnaissait lui- mëme, son attirance invétérée pour les charmes féminins.
Fort heureusement, on peut supposer que tous les dragueurs ne sont pas des violeurs.
A ce stade de l’affaire en tout cas, ces deux témoignages tardifs ressemblent plutôt à de simples friandises …
Tant pis pour lui. Il n’avait qu’à savoir se tenir. Quant à sa femme qui n’avait que pour ligne d’horizon, les toits de l’Elysée, et bien, elle aurait du commencer par lui faire avaler quelques cuillères de bromure au lieu de lui laisser faire n’importe quoi.
Si à ce niveau, on ne sait plus se tenir et commander à ses sens, c’est qu’on est le dernier des imbéciles. Dieu merci, les américains viennent de nous délivrer de ce parfait voyou. Grâce leur en soit rendue.
Comme toujours ce sera la parole d’un puissant médiatique sur la scène politique mondiale qui va gagner contre la parole fragile d’une jeune femme qui péniblement avait trouvé semble-t-il la sécurité comme refugiée ( non politique mais des agressions des hommes de son village puisqu’elle était veuve avec son enfant ) les avocats de DSK vont donc démontrer que cette femme était consentante pour de l’argent ou bien ? sous la menace peut-être de la réexpédier avec son enfant dans son pays d’origine??? mais ça nous ne le saurons jamais. C’est pour cela que ses avocats, si confiants de la tournure des événements affirment ( très malins !) <> En sommes pour ma part si tu as de l’argent et le pouvoir dans n’importe quel pays le gros gagnera presque toujours sur le petit. Quant à la petite journaliste romancière agressée et dont la maman est une personnalité de gauche, elle me fait bien sourire…pour plusieurs raisons…
“après que la police de New York ait terminé” -> Après que la police de New York A terminé, pas “ait” !