Publié par Michel Garroté le 31 août 2011

Je ne suis pas raciste. Et je ne peux pas être raciste. Car si j’étais raciste, je serais « auto-raciste ». Je serais raciste envers moi-même. Je serais raciste envers le pays où je suis né et où j’ai grandis, la Suisse. Je serais raciste envers le pays d’origine de mon père, l’Espagne. Je serais raciste envers le pays d’origine de ma mère, l’Allemagne. Je serais raciste envers les pays où j’ai librement choisi de vivre, notamment la France et le Pérou. Je serais raciste envers la trentaine de pays que j’ai visité.

Ma défunte mère a quitté l’Allemagne – et n’y est plus jamais retournée vivre – en raison de l’épisode hitlérien de ce pays. Le gouvernement français a octroyé à ma défunte mère – après la Seconde Guerre mondiale – une bourse d’étude qui lui a permis de faire des études en Lettres à l’université d’Aix-en-Provence. Puis elle a trouvé un job de traductrice et interprète à l’ONU, à Genève, en Suisse. Mon père s’est exilé d’Espagne sous Franco afin de ne pas finir fusillé. Il a effectué ses études à l’université à Paris. Puis il s’est exilé à Genève, en Suisse, où il a travaillé, comme diplomate, pour l’ONU.

Je ne suis pas raciste, mais je n’aime pas « l’antiracisme à la française ». Je n’aime pas « l’antiracisme à la française », car il est le fonds de commerce d’associations démagogiques, hypocrites et liberticides, car il fait le lit du racisme et le lit de l’extrême-droite. Voilà ce que j’avais sur le cœur et qu’en guise d’introduction, je désirais vous partager, en toute simplicité.

Le MRAP et SOS Racisme ont échoué, dans leur tentative, d’accuser « d’incitation à la haine raciale », Yves Calvi, présentateur de l’émission télévisée ‘C dans l’Air’ sur France 5 et divers participants à son émission, notamment le criminologue Xavier Raufer. Il y a six ans, le 11 février 2005, Yves Calvi consacre son émission de ce jour-là au thème « Délinquance : la route des Roms ». Les participants à ‘C dans l’Air’ du 11 février 2005 précisent, à plusieurs reprises, que l’émission fait allusion aux Roms délinquants et non pas aux Roms en général.

Or, aux dernières nouvelles, il semble que le MRAP et SOS Racisme ont été déboutés en première instance, en appel et en cassation. Leur fonds de commerce – le soi-disant antiracisme – ne rapporterait-il plus autant que jadis ?

Par ailleurs, l’on apprend que le président de SOS Racisme, Dominique Sopo, a écrit à ses adhérents, pour leur avouer que son machin soi-disant antiraciste rencontre des difficultés financières, suite au Concert tapageur « pour l’égalité » du 14 juillet dernier. Dans sa lettre aux adhérents, Sopo écrit : « En raison de la défaillance de certains partenaires, cette opération nous met dans une situation financière des plus délicates, dont l’association doit sortir le plus rapidement possible ».

Que signifient – concrètement – ces propos alambiqués ? SOS Racisme est-il, comme le pensent certains observateurs, au bord du redressement judiciaire ?

A cet égard, il faut ici rappeler que SOS Racisme touche, chaque, année un million d’euros, dont la moitié est constituée de subventions, autrement dit, de l’argent des contribuables. SOS Racisme bénéfice aussi, chaque année, d’aides matérielles des collectivités locales.

Le Concert tapageur de SOS racisme « pour l’égalité » du 14 juillet dernier a reçu une aide, de la mairie de Paris, de 160’000 euros, auxquels s’ajoutent une aide de la mairie de Paris à SOS Racisme de 30’000 euros pour un village dédié à SOS Racisme (ça veut dire quoi ?) et 40’000 euros pour le fonctionnement (le dysfonctionnement ?) de l’association. Sans oublier la mise à disposition gratuite du Champ de Mars pour le Concert du 14 juillet. En clair, 230’000 euros ont été pris aux contribuables parisiens rien que pour un concert.

Cerise (ou crise) sur le gâteau, SOS Racisme avait même fait une demande de 100’000 euros de subventions, auprès du Conseil régional Île-de-France, au bénéfice de son tam tam soi-disant antiraciste du 14 juillet.

Pour mémoire, en 2009, selon le Journal Officiel, SOS Racisme a empoché 904’596 euros de dons et de subventions. Mais SOS Racisme a dépensé plus d’un million d’euros. Son déficit serait de 305’701 euros (voir ci-dessous).

Afin de combler leurs déficits, la Mrapette et SOS Racailles vont réclamer305’701 euros (voir ci-dessus) de dommages et intérêts à DRZZ en raison de l’article que vous venez de lire et qui s’achève ici.

Copyright 2011 Michel Garroté – http://drzz.info/  http://dreuz.info/

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