Michel Garroté – Certes, il faut toujours respecter la présomption d’innocence. Certes, certains médias, tels Médiapart, le Nouvel Observateur, et, même, dans certains cas, L’Express, ne sont pas toujours fiables, tant leurs allégations sont à la fois partielles et partiales. Cela dit, Sarkozy, qui est le président le plus bavard et le plus inculte de toute l’histoire de la Cinquième République, ne s’en tirera pas comme ça. Je dois avouer que ses récentes gesticulations, d’abord en Libye, où il fut grotesque, puis à l’ONU (concernant le statut des palestiniens), où il a extrait un énième gros lapin de son petit chapeau, dans le seul but de se faire passer, lui, pour le génial Français qui, après avoir sauvé la Libye, allait sauver le Proche Orient, je dois avouer que toutes ces gesticulations accompagnées de haussements d’épaules et de rictus nerveux, me sont devenus insupportables.
–
Car, au-delà de l’aspect purement gesticulatoire, les initiatives de Sarkozy – sur le plan international – deviennent un véritable fléau, pour tout le monde, notamment pour les USA, l’Allemagne, la Chine et la Russie. Si Sarkozy s’imagine sérieusement, que son art du baratin superflu, aura autant d’effet sur le plan mondial, que sur le plan français, alors il se trompe lourdement. Car à Washington, Berlin, Moscou et Pékin, l’on commence à en avoir par-dessus la tête, du petit illusionniste, sérieusement atteint, au niveau du bocal, atteint par le virus – incurable et sans vaccin efficace à ce jour – de la folie des grandeurs. Sarkozy n’est pas De Gaulle. Sarkozy n’est pas non plus Louis de Funès. Il n’est donc ni grand, ni drôle.
–
En comparaison de Hillary Clinton et de Binyamin Netanyahu, Sarkozy est un nain politique ayant atteint depuis longtemps son seuil d’incompétence. Et il est devenu un poids pour son propre camp : l’UMP. Je commence à croire que les Français veulent voir à L’Elysée, avant toute chose, une personne sereine, genre François Fillon (qui n’a même pas le droit de se présenter…) ou François Hollande (qui pour l’instant serait le favoris selon des sondages…). Ce n’est même plus un choix stratégique à long terme que les Français désirent. Ce que les Français désirent, c’est simplement une pause, un temps de répit, un retour à la gestion courante des affaires économiques et sociales en cours. La possible réélection du nabot arrogant donne aux Français de l’urticaire. D’ici avril 2012, ils pourraient même finir par péter les plombs et descendre dans la rue.
–
Dans ce contexte, sur lexpress.fr, Thierry Dupont et Matthieu Deprieck écrivent notamment, de façon assez équilibrée (extraits ; cf. lien en bas de page) : « L'Elysée avance qu'il n'a jamais dirigé la campagne de celui qui était alors Premier ministre, et qu'il n'en était que le porte-parole. C'est vrai. Son titre officiel ne recouvrait que le porte-parolat. Toutefois, de nombreux articles de l'époque soulignent son poids dans le dispositif balladurien. A commencer par un récit deL'Express en septembre 1994 intitulé "L'incontournable M. Sarkozy". Dès les premières lignes, on y lit : "A l'approche de la présidentielle, rien ne peut se décider sans lui". A tel point que l'auteur, Michel Faure, en conclut : "Il dirigera la campagne d'Edouard Balladur dès que le Premier ministre s'engagera dans la course à l'Elysée" ».
–
« La même année, Ghislaine Ottenheimer consacre une enquête au système Balladur. Elle écrit : "Dans cette course au pouvoir, Sarkozy a pris le rôle du propagandiste et Bazire celui du machiniste. C'est une conjuration plus qu'une bataille politique. Les deux gamins les plus puissants de France, qui à 39 et 37 ans contrôlent les principaux leviers de commande". Le communiqué de la présidence (ndmg – diffusé tout récemment) affirme que "le nom du chef de l'Etat n'apparaît dans aucun des éléments du dossier". C'est faux.Médiapart a publié des pièces, qui évoquent à plusieurs reprises le nom du chef de l'Etat. Deux d'entre elles s'intéressent à la création de la société luxembourgeoise Heine, une entreprise chargée de traiter les commissions versées aux dirigeants étrangers, susceptibles de souscrire aux contrats d'armement français ».
–
« Dans ces documents, exploités par les policiers français et luxembourgeois, il est clairement écrit que la création de Heine s'est faite après accord de Nicolas Sarkozy, alors ministre du Budget, et Nicolas Bazire, alors directeur de cabinet d'Edouard Balladur. Le rapport d'information rédigé par l'Assemblée nationale en fait également mention. Dans son communiqué, la présidence écrit : "Il n'a été cité par aucun témoin ou acteur de ce dossier". C'est faux, si l'on en croit Médiapart. En décembre 2010, le juge Renaud van Ruymbeke entend un ancien membre de la DGSE, Alain Juillet. Ce dernier lui explique avoir été mandaté en 2008 par l'Elysée pour prendre contact avec Jean-Marie Boivin, mandataire de Heine, la société chargée de traiter les commissions ».
–
« Boivin menaçait alors de révéler tout ce qu'il savait, à moins d'être dédommagé à la hauteur de ses espérances. Selon Médiapart, une de ces lettres de chantage avait été adressée à Nicolas Sarkozy. Enfin, le communiqué émis par le Château rappelle que le chef de l'Etat "avait (à l'époque) manifesté son hostilité" au contrat passé avec l'Etat pakistanais. C'est effectivement ce qu'il ressort du rapport d'information de l'Assemblée nationale. "Sur un plan technique, la direction du Budget a toujours été opposée au contrat de vente de sous-marins au Pakistan. Nous étions en effet inquiets de la situation financière de ce pays", déclarait, devant les députés, Patricia Laplaud, alors à la direction du ministère du Budget. Dans Libération, le journaliste Guillaume Dasquié soutenait la même version en novembre 2010 », concluent, sur lexpress.fr, Thierry Dupont etMatthieu Deprieck.
–
Michel Garroté http://drzz.info/ & Sources citées
–
C’est vrai que N Sarkozy ne fait pas partie de “leur” monde, à ces énarques,sciences-poïstes et autres médiacrates, TOUS ou peu s’en faut sont partie intégrante de cette gauche caviar devenue gauche pétard. Il est petit, Sarko,il n’a pas aimé “la princesse de Clève”, peinture d’un monde de nobliaux anté révolutionnaire aujourd’hui disparu, il porte une rolleix comme Dray sa Patek, il met parfois des Ray ban…il doit être exécuté par cette boboïtude là, la cause est entendue.
Pour nous autres,véritables citoyens de progrès et gens de Gauche, écoeurés par la mitterrando-jospinie bientôt suivie de la pantagruelesque chiraquie, nous qui avions voté Sarkozy en 2007, il s’agissait de restaurer un état de droit dans notre pays,de faire respecter nos lois Laïques et républicaines, de faire cesser les pogroms anti-Français et anti-Judaïques dans nos villes et nos banlieues, d’arrêter l’invasion islamique qui détruit la France… N Sarkozy n’a tenu aucune de ces vaines promesses. Pire, il a ridiculisé, affaibli ce socle fondateur de notre Nation : La LAÏCITÉ, à Riad, à Latran, à Paris. Les timides tentatives de Copé et de Guéan d’interdire (rires verts!) les simagrées du vendredi sur la voie publique ou les voiles islamique arrivent bien trop tard!
Et puis, avec un BHL devenu conseiller particulier, le soutien aux “révolutions arabes” est en train d’emporter ce qui restait en France de Révolution de 1789 et de 1871… et l’espoir d’une paix au moyen Orient avec.
que dire de plus très beau commentaire émis par une personne très intelligente merci
la solution !
Je suis juif et je voterai Marine Le Pen
Le coup de gueule d’Uncle contre les bienpensants.
Depuis quelques mois, la meute médiatico-politique est lâchée. Leur agressivité est à la hauteur de la cote de popularité de Marine Le Pen. Agissant sur ordre du pouvoir ou parce qu’ils sentent que leur ère s’achève, par instinct de conservation, telles des bêtes aux abois, ils mordent et griffent pour tuer.
Voter FN, je l’entends à longueur de journées depuis, c’est faire partie du camp du mal, d’une race à part, celle des primaires, imbéciles, racistes, antisémites, fascistes, nazis, xénophobes, bas du front, moisis, c’est avoir peur de l’autre, c’est sortir tout droit du ventre fécond de la bête immonde que l’on croyait morte, gisant dans les cendres du troisième Reich, c’est forcer le camp du bien à revivre le cauchemar des heures les plus sombres de notre Histoire.
Ces heures les plus sombres, je les connais messieurs les ricaneurs. Oui, il se trouve que je suis juif et que ma famille, comme tant d’autres, a fait la douloureuse expérience de la guerre et des camps de la mort.
Mon engagement politique a toujours été marqué par le rejet de tout ce qui de près ou de loin relevait du totalitarisme : Nazisme, fascisme, communisme et, aujourd’hui, islamisme.
Mes parents m’ont élevé dans des valeurs simples, mais essentielles à leurs yeux, de patriotisme, de respect et d’amour de la France, d’admiration de sa grandeur, son Histoire, sa littérature, son art, ses vins, ses paysages et terroirs, ses traditions, ses clochers, son élégance, sa diversité culinaire, ses fromages et tout un ensemble de choses jugées probablement désuètes et ringardes aujourd’hui. Dans la voiture, lorsque nous partions en vacances, ce ne sont pas des comptines que notre père, ancien résistant, nous faisait chanter, mais des chants patriotiques et révolutionnaires. Ils étaient de gauche, d’une gauche qui défendait les travailleurs, protégeait les plus faibles et les nécessiteux, une gauche pour qui progrès social rimait avec amour sacré de la patrie. Mais il est loin le temps où la gauche levait le glaive en s’exclamant « quoi ces cohortes étrangères feraient la loi dans nos foyers »… Il y a longtemps qu’elle a rallié les « Tyrans et les perfides ».
A moins de sombrer dans la plus profonde schizophrénie, lorsqu’on réalise que l’on est globalement d’accord avec ce que dit Marine Le Pen et en complet désaccord avec ce que disent ses adversaires de gauche ou de droite, lorsque l’on constate que les idéaux défendus par son parti sont dans la droite ligne de ce qui a forgé votre identité politique, vos valeurs et vos engagements, eh bien, on se doit d’ouvrir les yeux, de passer outre des années de conditionnement et de lavage de cerveau anti-FN, et de soutenir le parti qui incarne vos idées.
Oui, ils me font doucement rire ceux qui brandissent le drapeau du « Front républicain » et du « Cordon sanitaire » pour « faire barrage » au Front National. On ne les entend pas réclamer un Front Républicain contre les communistes, trotskystes, maoïstes, léninistes, polpotistes, castristes, chavezistes et autres marxistes en tout genre et aux mains pourtant tachées du sang des dizaines et dizaines de millions de morts, victimes de leur insupportable et infâme barbarie, fruit d’une idéologie totalitaire abjecte faisant encore régner la terreur sur une partie du monde, ce qui ne semble pas déranger les Drucker, Ruquier et toute cette clique puante de Canal+ qui reçoit à qui mieux mieux toute cette gauche criminelle.
Pas de cordon sanitaire pour nous protéger des socialistes, de cette gauche et de tout ce qu’ils ont compté de collabos pendant la seconde guerre mondiale, les Marcel Déat, Laval, Doriot, François Mitterrand, décoré de la Francisque des mains de Pétain pendant que d’autres, comme le Colonel De La Rocque, Croix de Feu, pourrissait dans un camp de concentration en Allemagne pour avoir dit non à cette abjection ! Ah les pourris ! Ah qu’ils ont l’indignation sélective et l’âme tranquille tous ces donneurs de leçons ! Tous ces « résistants » ! Vous en voulez des « heures les plus sombres » ? Vous en avez été les acteurs privilégiés ! Et je ne parle même pas des communistes qui, jusqu’en août 1941 étaient les alliés d’Hitler !
Ce n’est pas Jean-Marie ou Marine Le Pen qui se sont jetés dans les bras du Maréchal ou du Führer ! Et c’est cette gauche qui me traite aujourd’hui de facho ? Laissez moi rire !
Et vous tous, les usurpateurs qui prétendez parler « au nom des juifs », vous les gens du Crif qui ne représentez que vous-mêmes, de la Licra qui faites régner la terreur antiraciste et mémorielle en pourchassant des gens comme Eric Zemmour, oui, vous tous membres des associations communautaires qui vous permettez de passer outre vos fonctions en imposant votre propre idéologie qui n’est pas celle de tous les Français Juifs, vous de radio J qui avez infligé à Marine Le Pen cet affront de l’inviter puis de la jeter comme une malpropre, je vous le dis tout net : c’est terminé ! Game Over ! Votre chantage ne marche plus !
Vous prétendez aimer Israël mais vous appelez à voter pour des partis de gauche ou de droite pour qui Israël n’est qu’une parenthèse bien encombrante, pour l’UMP ou le PS, tous complices d’Eurabia pour quelques gouttes de pétrole, des contrats juteux et qui mènent une politique qui fera disparaître Israël ! Pour des gens qui aiment les juifs, morts, mais haïssent ceux qui, en Israël, bien vivants, se battent pour que leur pays et leur peuple survivent. Et vous nous dénieriez à nous, Français, le droit de vouloir que la France survive en tant que nation et en tant que peuple ? Je vous invite à la cohérence ! Ce n’est pas Marine Le Pen qui est tombée dans les bras du criminel Mahmoud Abbas qui fait offrir des gâteaux à son peuple pour fêter le massacre de la famille Fogel ! C’est Prasquier, président du Crif, Nicolas Sarkozy, président en exercice, et toute cette gauche palestinophrène ! Croyez vous que le FN fera pire ? Mais vous plaisantez ! Croyez vous que les Juifs rasent les murs dans certains quartiers en n’osant même pas porter une Kippa parce qu’ils craignent les militants du FN ? Allons donc !
J’aime la France, ma patrie, et je ne veux pas qu’elle meure ; là est ma priorité. Je suis français, patriote, juif, je voterai Marine Le Pen et, pardonnez moi cette grossièreté, messieurs du camp du bien, je vous emmerde.
© Uncle pour LibertyVox