C’est du Woodstock tout craché, sans musique Rock ni amour fraternel, et sans les anti-guerres…
Il y a la nudité, les capote-anglaises à volonté, et des activités douteuses sous les couvertures…
Les clodos rejoignent les « festivités » en quête de repas gratuits… payés par on ne sait qui. C’est à la fois une surprise party, une party pyjama, et une partouze. Ils ne savent pas trop pourquoi ils sont la – mais peu importe. C’est le pied !
Dave, 24 ans, et fugitif, sort la tête des piles de débris où il réside dans la rue « je me cache de la loi, se cacher ici n’est pas si mal, on me nourrit et je peux boire jusqu’à m’en rouler sous la table ».
Mélanie travaille pour le « Working Family Party » (organisation formée durant les années 90 par des membres d’organisations socialistes – The New Party – ACORN – SEIU – et autres syndicats). Elle est interviewée dans la rue : « Les organisateurs de démonstrations sont une coalition de syndicats et d'organisations communautaires militantes (…) nous voulons changer le capitalisme d’aujourd’hui et entrainer un changement révolutionnaire aux Etats Unis ».
Nancy Pelosi (leader minoritaire au congrès) surenchérit « Ces rassemblements sont composés de jeunes, ils sont spontanés, focalisés, et ils seront efficaces ».
Intéressant, non ?
Alors qu’ici, Pelosi comparait les Tea-Party aux Nazis… ou a du « bidonnage »
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Notez que les pancartes représentées sont faites maison (tout comme celles des défilés du Tea-Party) ; pourtant nous avons affaire à des organisations militantes. Illusion, mensonge et artifice.
Le clown de la Maison Blanche leur fait des clins d’œil – on savait bien qu’ils étaient copains – il n’a jamais au grand jamais fait de clins d’œil aux terroristes du Tea-Party.
Pendant ce temps-là, vendredi 7 Octobre, un sondage Gallup nous indique que 58% des américains sont mécontents de la performance d’Obama, contre 38% d’imbéciles heureux – oups pardon – 38% d’américains satisfaits de la performance d’Obama.
Nous vivons une période formidable.
Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Annika pour www.Dreuz.info depuis le Colorado
http://www.nypost.com/p/news/local/manhattan/it_nyc_lam_sterdam_bmE4vlV5aDUWhBRv9IbaiK#ixzz1aNzIGOx7
Rien ne vient de rien, une société n’est faite que d’hommes. Nous avons les politiques que nous méritons, sans personne qui accepte d’être esclave, pas de maitre. Chassons les fausses robes politiques et voyant ce qu’il reste après avoir enlevé la corruption ? pas grand chose j’en ai bien peur dans une société qui montre au grand jour des groupes de pressions installés à coté du gouvernement europeen !
Cordialement
« Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite » Joseph de Maistre. C’est une expression très dans le vent aux U.S. – et pour cause. Mais je ne suis pas tout à fait d’accord ; pas quand un état semi-répressif contrôle l’éducation nationale, les medias, la libre expression et le gagne-pain (comme c’est le cas de la France). Le peuple russe méritait il le goulag ? et les cambodgiens leurs ‘killing fields’ ? Toute forme de tyrannie a ses degrés bien sûr, pour les U.S. et en comparaison la nôtre est moindre. Néanmoins tout défi entraine une réaction, ce qui dans un pays immense prend du temps. Depuis l’élection d’Obama les américains se sont réveillés – et leur mentir sera bien plus difficile en 2012. Je vous conseille l’article de VDH « 10 leçons d’Obama » qui illustre parfaitement le réveil américain. Il faut connaitre le cœur de l’Amérique pour comprendre qu’il est bien plus que « pas grand-chose ».
Best regards,