Michel Garroté – Chut. Ne le dites à personne. La revue de presse LSB, signale, aujourd’hui, vendredi, que, je cite, « Nicolas Sarkozy était hier en visite à Marseille où, selon plusieurs dépêches, il s’est rendu au chevet du policier gravement blessé. Au terme de sa visite, le policier Éric Lales est mort : « Au terme de sa visite à l’Hôtel de police de Marseille, le président de la République a annoncé ce matin, à l’issue de sa rencontre avec les forces de l’ordre, le décès du policier Éric Lales, 37 ans, du commissariat d’Aix, qui a été victime d’une rafale de kalachnikov après une course-poursuite, à hauteur de Vitrolles sur l’A7 dans la nuit de dimanche à lundi 28 novembre. Le président de la République s’était rendu au chevet du sous-brigadier quelques heures auparavant ».
Mais la revue de presse LSB révèle : « Sauf que, un témoignage vient remettre en cause cette version. L'ancien policier Marc Louboutin raconte : « Tu veux savoir si, pour des raisons de communication politique, Sarkozy a décidé de l’heure de la mort d’un homme ? Eric Lalès était dans un état désespéré depuis hier après-midi. Après une discussion avec les médecins, sa femme a demandé à ce qu’on le débranche. Il était en état de mort clinique, de mort cérébrale. L’annonce de sa mort est tombée en même temps que celle de la visite de Sarkozy : tu imagines que ça tombait mal. Les réseaux sociaux de policiers ont pleuré sa mort hier soir à partir de 23h. Comment se fait-il que le président de la République puisse « partager les derniers instants » de ce policier 20 heures plus tard ? Les politiques ont demandé à ce que la nouvelle ne soit pas annoncée. Sarkozy n’a pas vu Eric Lalès vivant ». A l’hôpital, un membre du personnel confirme anonymement », conclut la revue de presse LSB.
Michel Garroté Rédacteur en chef de www.dreuz.info
Sarkozy est un charognard !
Se faire le relais de cette “polémique”, c’est minable.
Ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle “face de rectum” !!!!
Sarkozy, eh?
Demandez à Google ce que veut dire “szar” en hongrois.
Vu? Maintenant demandez ce que veut dire “koszi”. Voilà. Tout est dit, non?
Je trouve? Szar = merde en hongrois et koszi = saleté
Que me reprochez-vous de trouver, sinon les faits?
Sarkozy devrait changer de spin doctor sinon c’est bientôt lui qui sera mort (politiquement) .
Je conçois qu’on ne puisse pas aimer le Président tant sur sa personne que sur ce qu’il fait.
Mais affirmer que ” …Sarkozy a décidé de l’heure de la mort d’un homme […]” est étonnant et scandaleux (cela, ne veut pas dire que je sois pro-Sarkozy).
Il serait temps de relever le débat politique !
eh, c’est ça la politique
Polémique sur la mort du policier à Marseille: la mise au point de l’hôpital
Interrogé par LEXPRESS.fr, le professeur Claude Martin, chef du service de réanimation à l’hôpital Nord de Marseille, veut également faire taire la polémique et rétablir la chronologie des évènements. “Par respect pour la femme de ce patient qui a été d’une grande dignité.”
Mercredi, en fin de journée, l’état d’Eric Lalès, déjà très préoccupant, se serait encore aggravé. “Après une discussion avec l’équipe médicale, j’ai reçu la femme du patient afin de lui expliquer qu’il était désormais passé d’une période de soin à une période de fin de vie.” Eric Lalès a donc été extubé le soir même, “et non débranché puisqu’il ne l’a jamais été”. Son décès n’était plus qu’une question d’heures. “Mais il n’a jamais été en mort encéphalique. Pour preuve, il avait une respiration spontanée”.
Le lendemain, selon le médecin, le président de la République est venu rendre visite au policier vers 10h. “Je l’ai accompagné moi-même”, précise Claude Martin. A peine 50 minutes plus tard, la respiration puis le coeur d’Eric Lalès se sont arrêtés. Le chef de service insiste, “l’équipe de réanimation ne se permettrait pas de prolonger la vie d’un patient pour qui que ce soit”. (…)
Après le décès du policier de la BAC, certains de ses collègues critiquent la “mise en scène” autour de l’annonce de sa mort par Nicolas Sarkozy. Le chef de service de réanimation rétablit la chronologie.
Il aura vécu ses derniers instants auprès du président de la République. Gravement blessé dans une fusillade fin novembre à Vitrolles, le sous-brigadier de police Eric Lalès est décédé ce jeudi, à 37 ans. Ses obsèques auront lieu lundi, à l’Hôtel de police de Marseille, en présence du ministre de l’Intérieur Claude Guéant. “Il laisse une jeune femme veuve et deux petites filles orphelines”, a déclaré Nicolas Sarkozy.
C’est en effet le président de la République, depuis l’hôtel de police de Marseille, qui a annoncé officiellement le décès du policier de la BAC, au chevet duquel il s’était rendu ce jeudi dans la matinée.
“Je me suis rendu à l’hôpital, c’était ses derniers instants de vie, je veux dire bien sûr toute ma compassion à ses parents, à sa famille, pour ses collègues aussi”, a indiqué Nicolas Sarkozy.
Rétablir la chronologie
Le décès du policier, dans un état critique depuis plusieurs jours, en la quasi-présence du président de la République n’a pas manqué de soulever des interrogations. Depuis jeudi, la polémique enfle sur la blogosphère, notamment sur Plume de presse. Sur son profil Facebook, l’ancien policier Marc Louboutin revèle son malaise. “L’État peut-il décider de l’heure officielle de décès d’un policier de terrain mort en service? Question pas si anodine qu’il peut sembler…”, écrit-il.
Une controverse dont l’hôpital Nord de Marseille s’indigne dans un communiqué publié ce vendredi. “Suite à la diffusion d’informations erronées concernant la prise en charge et les circonstances du décès du policier hospitalisé dans l’un des ses établissements, l’AP-HM tient à faire part de son étonnement et de son indignation quant à la polémique naissante à ce propos.”
Interrogé par LEXPRESS.fr, le professeur Claude Martin, chef du service de réanimation à l’hôpital Nord de Marseille, veut également faire taire la polémique et rétablir la chronologie des évènements. “Par respect pour la femme de ce patient qui a été d’une grande dignité.”
Mercredi, en fin de journée, l’état d’Eric Lalès, déjà très préoccupant, se serait encore aggravé. “Après une discussion avec l’équipe médicale, j’ai reçu la femme du patient afin de lui expliquer qu’il était désormais passé d’une période de soin à une période de fin de vie.” Eric Lalès a donc été extubé le soir même, “et non débranché puisqu’il ne l’a jamais été”. Son décès n’était plus qu’une question d’heures. “Mais il n’a jamais été en mort encéphalique. Pour preuve, il avait une respiration spontanée”.
Le lendemain, selon le médecin, le président de la République est venu rendre visite au policier vers 10h. “Je l’ai accompagné moi-même”, précise Claude Martin. A peine 50 minutes plus tard, la respiration puis le coeur d’Eric Lalès se sont arrêtés. Le chef de service insiste, “l’équipe de réanimation ne se permettrait pas de prolonger la vie d’un patient pour qui que ce soit”.
“On est en campagne, mais il y a des limites”
Ces déclarations lèveront-elles les doutes exprimés à Marseille par des policiers se plaignant de cette “mise en scène matinale”, selon les mots de Philippe Capon, secrétaire général de l’UNSA Police?
Lui en a discuté durant le déjeuner, ce jeudi, avec d’autres policiers. Il se dit “choqué” par l’annonce, telle qu’elle a été faite, de la mort de son collègue. “Ça fait gros truc monté. On est en campagne présidentielle, mais il y a des limites.”
Même s’il n’avait pas grand espoir qu’Eric Lales se remette, d’autant que des séquelles irréversibles avaient été annoncées, Philippe Capon se pose des questions. “On nous dit qu’il est quasiment mort en tenant la main du Président. La probabilité était tout de même très faible. Alors, cela s’est peut-être passé comme ça mais l’idée qu’on l’a débranché m’a en effet traversé l’esprit.”
Même colère chez un ancien collègue d’Eric Lalès, témoignant anonymement, qui dénonce une manoeuvre “honteuse”. Car selon lui, Eric Lalès “était déjà parti” dès la veille de la venue de Nicolas Sarkozy. Une information qu’il tient de “deux ou trois” de ses collègues, chargés d’appeler sa compagne puis de transmettre les informations aux autres.
“Ils le laissaient s’éteindre. Ce n’était plus qu’une question d’heure avant que le coeur ne s’arrête”, a précisé cette source anonyme. Lorsqu’il a entendu Nicolas Sarkozy annoncer le lendemain le décès de celui avec qui il avait travaillé à la BAC, il a “fait des bonds”. “C’est limite s’il n’a pas dit qu’Eric était mort dans ses bras”, s’emporte le fonctionnaire.
(…)
Une simple coïncidence malheureuse pour Diego Martinez, du syndicat Unité SGP Police des Bouches-du-Rhône. “Ce sont des moments qui ne se calculent pas, dit-il. Il est même indécent de penser à un odieux arrangement qui aurait calé ce malheur avec la visite du Président.”
Pour l’Elysée, la polémique n’a pas lieu d’être. “Son pronostic vital était engagé, c’est sûr, explique Franck Louvrier, le conseiller en communication de Nicolas Sarkozy. Mais le Président était à son chevet le matin, et c’est à l’issue d’une réunion à l’Hôtel de police de Marseille qu’il a appris son décès.”
(…)
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/polemique-sur-la-mort-du-policier-a-marseille-la-mise-au-point-de-l-hopital_1059611.html#xtor
On dira qu’il est mort parce que Sarkozy n’a pas trouvé de Karcher.
Votre propension gourmande à tenir pour exactes toutes les rumeurs rapportées par les collègues de ce policier et un ancien policier me fait sérieusement douter de la parfaite bonne foi de Dreuz.
Comme l’a signalé un commentateur ci-dessus, le médecin chef du service de réanimation de l’hôpital concerné a décidé de publier une mise au point.
Dans laquelle il apparaît que le policier n’a jamais été “débranché” dans la mesure où il n’a jamais été branché et qu’il n’a jamais été en état de mort cérébrale.
Mais dès qu’il est possible de coller une infamie sur le dos de Sarko, de tous les côtés extrêmes ou moins extrêmes, on ne se tient plus de joie.
@ Addis
“le policier n’a jamais été « débranché » dans la mesure où il n’a jamais été branché ” : il était intubé, donc généralement relié à un respirateur pour l’aider à respirer. On a enlevé l’intubation, et la respiration s’est arrêté 24 h plus tard : cela ressemble beaucoup à “débranché” ! Même si cela n’a rien à voir avec Sarkozy.
L’irritant, (l’Express) : “Lorsqu’il a entendu Nicolas Sarkozy annoncer le lendemain le décès de celui avec qui il avait travaillé à la BAC, il a « fait des bonds ». « C’est limite s’il n’a pas dit qu’Eric était mort dans ses bras », s’emporte le fonctionnaire.”
Sarkozy recycle tout ce qu’il peut, et c’est une nullité : il attend un décès pour fournir les fusils à pompe !
Résultats de 10 ans de baratin, discours, gesticulations et… immobilisme !
La droite doit présenter un autre candidat
Info :
Dans l’enfer du 93 : «Moi, flic de banlieue»
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/12/10/01016-20111210ARTFIG00005-dans-l-enfer-du-93-moi-flic-de-banlieue.php
Charognard ?
Sarkozy pilote de chasse ?
Vous voulez rire ?
Ce n’est pas parce qu’il a les ray-ban et la Rolex (ce n’est déjà pas la bonne montre, la bonne, c’est la Breitling) qu’il pourrait être pilote.
N’est pas pilote qui veut et lui, il est trop petit, il n’atteint les palonniers, même avec un coussin sous les fesses.