Martine Aubry rencontre par hasard Nicolas Sarkozy.
Elle lui demande :
– Monsieur le Président, vous m'impressionnez, vous êtes toujours entouré de gens intelligents, comment faites-vous ?
– Nicolas : C'est très simple. Je les tiens constamment en alerte. Je leur fais passer régulièrement des petits tests, pour être bien-sûr que leur intelligence reste vive.
Aubry est stupéfaite : Ah oui ? Comment faites-vous cela ?
Le Président s'empare du téléphone. Il dit à Martine Aubry : C'est très simple, je vais appeler Xavier Bertrand.
– Bonjour Xavier !
– Bonjour Monsieur le Président !
– Xavier, j'ai un petit test d'intelligence pour toi. C'est l'enfant de ta mère et de ton père, mais ce n'est ni ton frère, ni ta soeur. Qui est-ce ?
– Xavier répond : Ben c’est moi !
Nicolas : Bravo, c'est juste ! Merci Xavier, à la prochaine.
Nicolas raccroche.
Aubry est impressionnée.
De retour à son domicile, elle décide de mettre en pratique la technique de Nicolas. Elle téléphone à François Hollande : Bonjour François, c'est Martine. J'ai un petit test d'intelligence pour toi.
– François : OK Vas-y.
– Martine : C'est l'enfant de ton père et de ta mère, mais ce n'est ni ton frère, ni ta soeur. Qui est-ce ?
– François : Oh ! Attends un petit peu. Je n'étais pas préparé à cette question. Je note. Laisse-moi quelques minutes pour réfléchir. Je te rappelle. D'accord ?
– Martine, un peu déçue tout de même : Pas de problème !
François s'empresse alors d'appeler Dominique Strauss-Kahn : Bonjour Dominique, c'est François. Je ne sais pas ce qui lui prend, mais Martine veut me faire passer un test. Tu peux m'aider ?
– DSK : Pas de problème, qu'est ce que tu veux savoir ?
– François : C'est l'enfant de ton père et de ta mère, mais ce n'est ni ton frère, ni ta soeur. Qui est-ce ?
– DSK : ben c’est moi !
– François Hollande : Aaah, ok, merci Dominique !
François s'empresse de rappeler Martine :
– Allo Martine, tu peux me reposer ta question ?
– Martine : Oui bien sûr. C'est l'enfant de ton père et de ta mère, mais ce n'est ni ton frère, ni ta soeur. Qui est-ce ?
– François : C'est Dominique Strauss-Kahn !
– Martine Aubry : Perdu ! C'est Xavier Bertrand !
une blague…une blague….che pas moi….
tiens en parlant de Hollande, j’ai recu un lien mis a la poubelle par erreur de manip, une bonne partie de son equipe de campagne…sont des arabes, et il est designe presque vainqueur aux elections avec 60%. si c’est vraiment lui…sauve qui peut….
tu aurais remplacé “arabes” par “juif” et ton commentaire aurait été censuré! Je me suis fait censurer pour moins que ça sur ce site, un site soit disant Islamophobe MAIS opposé toutes haine anti-arabe… soit disant.
C’est exact. Nous sommes opposé à toute haine anti-arabe, parce que nous pensons que l’être humain en tant que tel doit être respecté et mieux encore, protégé contre la haine. Nous sommes islamophobes car l’islam est une religion qui porte en elle la conquête et la mort – elle en fait la preuve au quotidien, et parce que l’islamophobie est un devoir.
Et en réalité, si l’on y regarde de plus près, les iraniens, qui représentent le plus grand danger pour l’Occident, ne sont pas des arabes.
“une bonne partie de son equipe de campagne…sont des arabes” pourquoi alors ce commentaires n’a pas été censuré?
Parce que je sais faire la différence, et peu le peuvent, entre la langue de bois et le racisme.
merci JP
@krav maga, il faut apeller un chat, un chat. tu y vois un inconvenient?
Bonsoir Jean-Patrick, je vous envoie ce lien à publier.TRÉS IMPORTANT!
http://m.youtube.com/#/profile?autoplay=True&bmb=1&channel_id=0&desktop_uri=%2Fuser%2Fpkarsenty2012&gl=FR&help=False&livestreaming_tutorial=False&start=0&tab=&user=pkarsenty2012&v=rCCQTKcZF3c&view=videos&ytsession=%7B%7D
Il y a une liste de six ou sept vidéos dans ce lien. Lequel est important ?
C’est la chaine de Philippe Karsenty,où on voit Arlette Chabot faire “l’aveu” sur la mort du petit Al Dhura à Gaza.C’est une vidéo réalisé sans trucage, mais en utilisant les méthodes de France 2
à force de lire leur CORAN, sans savoir en interpréter le vrai sens, ces socialos en ont perdu tout sens de l’intelligence “pure”.
Votre dialogue confirme qu’ils ne savent en ânonner que les sourates.
De parfaits adeptes du clonage mental.
La brebis Dolly Aubry ne s’étant pas révélée très maline, tous ses clonés en empruntent l’absence d’intelligence personnelle. :o)
Bon les sondages ne sont pas parfait mais de là à se tromper tellement, je doute !
http://www.sondages-en-france.fr/sondages/Elections/Pr%C3%A9sidentielles%202012
C’est incroyable mais sur cette photo on voit que Hollande ressemble à Mitterrand !
On dirait carrément Thierry Le Luron, en moins comique, encore que….
je la connais mais elle est toujours aussi génial à entendre
Le véritable visage d’Erdogan l’islamiste
Erdogan et les Arabes : La religion au service du commerce et de l’OTAN
La popularité de Recep Tayyip Erdogan et du «modèle turc» semblent à leur apogée au
Proche-Orient et en Afrique du Nord, deux régions qui connaissent depuis un an des
bouleversements politiques d’une grande ampleur (1). L’accueil, qui a été réservé au
Premier ministre turc en Egypte (2), en Tunisie et en Libye, lors de la visite qu’il a
effectuée dans ces trois pays en septembre 2011, indique qu’une partie de leur opinion
(3) voit en l’Etat turc «islamisé» un exemple à suivre, car conciliant «l’authenticité»
et la modernité, d’un côté et, de l’autre, le «développement» économique et l’attachement
à l’indépendance vis-à-vis des grandes puissances.
Telle qu’elle peut être déduite par d’innombrables articles publiés dans la presse,
l’image de la Turquie pour l’opinion arabe pro-turque est celle d’une force montante, qui
entend doubler son essor économique (17e meilleur PIB en 2010, selon le FMI) d’une
indépendance politique accrue vis-à-vis de l’OTAN, de l’Union européenne (UE) et du si
encombrant partenaire israélien. Le Premier ministre turc doit sa bonne fortune arabe à
sa dénonciation régulière du blocus imposé par Israël à la bande de Ghaza. Il la doit
aussi aux campagnes turcophiles d’élites issues, pour certaines, des Frères musulmans,
qui rêvent d’une «turcisation» de pays comme l’Egypte qui, pour les besoins symboliques
de la cause «néo-ottomane», présentent le «modèle turc» comme une réincarnation tardive
du Califat disparu en 1924.
Ces élites sont d’autant plus engagées dans la défense de ce «modèle» que leur proximité,
réelle ou feinte, avec les dirigeants de l’AKP, peut être fructifiée politiquement – et
même électoralement. Il n’est pas inutile de relever, à ce propos, que tous les Frères
musulmans ne voient pas d’un œil favorable les tentatives de la Turquie de rebâtir son
leadership dans la région. Lors de la visite d’Erdogan en Egypte, un responsable égyptien
de cette confrérie, Essam Al Aryane, a déclaré : «Nous voyons en lui un des dirigeants
les plus en vue de la région, mais nous ne pensons pas que son pays, à lui seul, puisse
la diriger ou planifier son avenir (4).»
Les succès turcs sont-ils des «succès islamistes» ?
Pour les élites arabes turcophiles (5), les positions anti-israéliennes d’Erdogan
indiquent une mutation qualitative de la politique extérieure turque. C’est sans doute
vrai, mais ces positions ont des antécédents qui datent, paradoxalement, de l’époque du
«pouvoir laïque» radical. Quand la Turquie voulait renégocier ses relations avec son
allié euro-américain (ou gagner à sa «cause chypriote» de nouveaux soutiens), elle se
tournait souvent vers le Monde arabe. Ainsi, pendant la Guerre d’octobre 1973, elle a
interdit à l’armée américaine d’utiliser ses bases situées en territoire turc pour aider
Israël. Deux ans plus tard, en 1975, elle a reconnu l’OLP en tant que représentant
légitime du peuple palestinien (6). En décembre 1980, en pleine tension avec la
Communauté européenne, et afin de souligner sa proximité politique avec ses voisins
arabes suite à l’annexion de Jérusalem-Est, elle a ramené ses relations avec Tel-Aviv au
niveau de «représentation des intérêts», bien en deçà du niveau de «représentation
consulaire» qui était le leur depuis 1949.
Les élites arabes pro-turques évoquent les succès économiques de la Turquie (un taux de
croissance de 9% en 2010, selon le FMI, et un taux prévisionnel de 6,6% en 2011, en dépit
des turbulences que traverse l’économie internationale) comme le fruit de la «bonne
gouvernance» de ces deux partis et de l’efficacité industrieuse de la nouvelle
bourgeoisie conservatrice qu’ils ont contribué à faire émerger.
Or, les politiques économiques du Refah-AKP s’inscrivent dans la continuité de celles
appliquées dès la première moitié des années 1980 par le gouvernement de Torgut Özal et
qui, elles aussi, visaient la construction d’une économie orientée vers l’export, plus
attractive pour les capitaux étrangers (en pleine crise financière mondiale, le volume
prévisionnel des IDE en 2011 est de 10 milliards de dollars !).
Les exportations turques, de 3 milliards de dollars en 1980, sont passées à 28 milliards
en 2000, à 46 milliards en 2003 et à 113 milliards en 2010. Leur croissance reflète une
formidable extension du tissu industriel turc. Surtout, elle impose à la Turquie de
rechercher, dans son environnement immédiat (Proche-Orient) et plus ou moins éloigné
(Afrique du Nord), de nouveaux débouchés pour sa production industrielle (94% du total de
ses exportations en 2008). Cette recherche est d’autant plus impérative que paraît
s’éloigner, pour l’instant, la perspective de l’adhésion à l’UE à laquelle l’AKP n’a pas
renoncé, tout attaché qu’il soit à l’«identité musulmane».
Un débouché miraculeux pour l’industrie turque
Il est légitime de s’interroger si les islamistes ne sont pas les meilleurs exécutants du
projet de conquête des marchés des pays arabes par les hommes d’affaires turcs de toute
obédience, et ce, grâce à l’exploitation des liens culturels et religieux entre la
Turquie et ces pays. Il n’est pas exclu que la coïncidence entre la «panne» de
l’intégration à l’UE (l’évocation par l’ancien responsable de l’Elargissement de l’UE,
Olli Rehn, en mars 2007, de l’éventualité de l’arrêt des «négociations d’adhésion») et la
confirmation de la popularité de l’AKP (la victoire aux législatives anticipées de
juillet 2007) ait achevé de persuader de nouveaux secteurs de la bourgeoisie turque que
ce parti défend leurs intérêts au-delà de leurs espérances.
Vue sous cet angle, celui des intérêts du capitalisme turc – et bien qu’elle s’accompagne
d’une crise réelle des relations avec Israël –, l’expansion turque dans la région arabe
est principalement économique. Elle pourrait être considérée comme une concrétisation
partielle du rêve du MSP (Parti du salut national), fondé en 1973 par le père de
l’islamisme turc Necmetin Erbakan qui, comme le rappelle le politologue français Jean
Marcou, «(préconisait) la construction d’un marché commun musulman, où la Turquie
pourrait écouler ses produits» (7).
Pour Erdogan «les relations turco-arabes dépassent les intérêts économiques vers des
horizons plus larges, qui concernent les visions stratégiques et les préoccupations
communes, au premier plan desquelles figure la question palestinienne» (le quotidien
égyptien Al Shourouk, 12 et 13 septembre 2011). Il n’empêche que lors de sa visite en
Egypte, en Tunisie et en Libye, il était accompagné de dizaines de chefs d’entreprise.
Contrairement à ce que pourrait le laisser croire le soutien d’Erdogan au sit-in de la
place Al Tahrir au Caire, en février 2011, les islamistes turcs se sont toujours peu
souciés de ce que pouvaient penser les peuples du Monde arabe des régimes qui les
gouvernent.
Bien avant le Printemps arabe, la présence des firmes turques en Egypte et en Libye (8)
se renforçait et la promesse d’une conquête commerciale d’autres pays arabes se
dessinait, surtout après la proclamation, en janvier 2011 (soit quelques semaines avant
l’intifadha égyptienne), de la constitution d’une zone de libre-échange entre la Turquie,
la Jordanie, la Syrie et le Liban. Dans le cas de la Libye, cette politique a eu pour
éloquent symbole l’acceptation par Erdogan du «Prix Kadhafi des droits de l’homme» le 1er
décembre 2010, deux mois et demi seulement avant les premières manifestations contre le
pouvoir du despote libyen.
Difficile autonomie vis-à-vis de l’OTAN
Si l’on met de côté les discours sentimentalistes qui voient en la Turquie l’embryon d’un
nouvel Empire ottoman, son émancipation des entraves de l’alliance stratégique avec l’UE
et les Etats-Unis paraît d’autant plus difficile qu’elle est contrariée par ce pacte
tacite entre l’AKP et le capitalisme turc, qui n’a pas encore fait son deuil de
l’intégration à l’UE (46% des exportations turques en 2008). Et quand bien même une
radicalisation «anti-occidentale» de l’AKP serait possible, beaucoup de temps serait
nécessaire à celui-ci pour édifier un bloc turco-arabe solide dans un contexte régional
des plus troubles. Jusqu’à présent, la détermination de la Turquie à améliorer ses
relations avec le Monde arabe n’est pas entrée en contradiction avec sa loyauté envers
ses «amis» européen et américain.
Pour le chercheur à l’IRIS Didier Billion, il n’y a nul «risque de basculement d’alliance
de (cet Etat), qui sait très bien qu’(il) peut avoir un rôle important dans la région
parce que, justement, (il) continue à faire partie de l’OTAN et qu’(il) a des relations
de négociations, certes très compliquées, avec l’Union européenne (9)». Le régime
d’Erdogan a fourni deux récentes preuves de sa subordination stratégique à l’OTAN. La
première a été la décision prise le 1er septembre 2011 (la veille de l’annonce du gel de
la coopération militaire avec Israël), d’autoriser le déploiement, sur le sol turc, d’un
système de radars expressément destiné à parer le danger d’attaques iraniennes contre
l’Europe.
La seconde preuve a été son attitude changeante vis-à-vis du conflit en Libye : après
s’être opposé à l’intervention militaire internationale dans ce pays, il s’est résigné à
participer à la surveillance des côtes libyennes, tout en œuvrant à faire passer cette
contribution à l’effort de guerre atlantiste pour une «mission humanitaire» (soigner les
blessés à bord des navires de guerre turcs). L’étroitesse des liens de la Turquie à ses
vieux alliés explique également que ni les Etats-Unis ni l’UE ne montrent de signes de
peur de l’exportation du «modèle turc» en Tunisie ou en Egypte. Que ces pays soient
gouvernés par des islamistes ne les effraie pas tant qu’ils ne contestent pas l’hégémonie
euro-américaine au Proche-Orient et en Afrique du Nord, à défaut d’accepter la présence
des forces de l’OTAN sur leur territoire.
Notes :
(1) Cet article a paru dans le numéro 32 de la revue Afkar-Idées
(http://www.afkar-ideas.com) et est publié ici avec son aimable autorisation.
(2) Un des slogans qui ont accueilli Recep Tayyip Erdogan lors de sa visite en Egypte, en
septembre 2011 est «Nous voulons l’Erdogan arabe» («Pourquoi il n’y a pas d’Erdogan
arabe», Wahid Abdelmadjid, le quotidien panarabe Al Hayat, 25 septembre 2011).
(3) Selon une enquête menée par un think tank turc (août et septembre 2010), 66% des 3000
ressortissants de sept Etats du Proche-Orient interrogés jugent que «la Turquie peut être
un exemple» en ce qu’elle serait «une synthèse entre islam et démocratie». La Turquie et
les révolutions arabes, Didier Boillon (chercheur à l’Institut des relations
internationales et stratégiques, IRIS, France), Le Monde, 5 mai 2011.
(4) Al Jazeera Net, 15 septembre 2011.
(5) L’éditorialiste islamiste égyptien, Fahmi Howeidi, est, en Egypte, un des
représentants de ces élites turcophiles.
(6) Nous devons ces rappels de l’histoire des tensions entre la Turquie et Israël à
l’article de Jean Marcou, professeur à l’Institut d’études politiques de Grenoble,
intitulé Turcs et Arabes : vers la réconciliation ? (Qantara, n°78, janvier 2011,
dossier : «Turcs et Arabes : une histoire mouvementée»).
(7) Voir la note n°6.
(8) Quelque 200 entreprises turques opèrent en Egypte et 75 en Libye. En Tunisie, c’est
une entreprise turque qui gère l’aéroport international d’Enfidha-Hammamet après l’avoir
construit pour 550 millions d’euros. (Cf. «La Turquie recherche une influence politique
et surtout économique dans les pays du Printemps arabe», le site de Radio France
internationale, 16 septembre 2011).
(9) Cité dans l’article de Monique Mas, «La diplomatie turque à l’heure des révolutions
arabes», (www.rfi.fr, 12 septembre 2011).
certes JPG ”nous sommes opposé à toute haine anti-arabe parce que nous pensons que l’être humain doit être respecté et protégé contre la haine .Mais est-ce que l’islam étant une religion comme beaucoup d’autres ne pourrait pas avoir des gens qui respectent la vraie religion ? oui je suis contre ceux qui l’utilise pour donner la mort mais alors n’est-ce pas être haineux envers ceux qui dénoncent ces sanguinaires anti-blancs ? sans faire du racisme ? je suis agnostique d’origine et, oui les iraniens sont des descendants perses et les français sont les descendants de qui ? il faut m’expliquer JPG merci