Michel Garroté – Lorsque les membres du Fatah et du Hamas fournissent des « informations » aux journaleux de service, ceux-ci relayent ces « informations » telles quelles, question de ne pas se faire déformer (le faciès), s’ils refusent de relayer ce qui ne sert qu’à désinformer (le public). Cela fonctionne ainsi depuis plus de soixante ans. Couvrir « l’information » depuis Ramallah et Gaza, c’est comme ceci que cela se passe et pas autrement. En revanche, lorsque ces mêmes journaleux citent une source israélienne, ils mettent des guillemets partout ; et ils insistent – lourdement – sur le fait que l’information est à prendre avec des pincettes, vu qu’elle est d’origine israélienne et donc – forcément – suspecte.
On pratique ainsi la défiance envers la démocratie israélienne ; et la confiance envers la non-démocratie palestinienne. C’est le monde à l’envers et il en va ainsi depuis soixante-trois ans. Le paradigme a été purement et simplement inversé. Et il faudra – sans doute – plusieurs décennies pour remettre ce paradigme à l’endroit. Ce n’est pas – en effet – pour demain. Car la soi-disant « cause palestinienne », en soixante ans, n’a cessé de prendre de l’ampleur, en Europe en général, et, en France en particulier.
Même scénario pour le « printemps arabe ». En ce mois de décembre 2011, les médias constatent, avec amertume, que le pseudo-printemps arabe est en réalité un rude hiver islamique. L’on va jusqu’à légitimer les Frères musulmans en alléguant qu’ils seraient plus « modérés » que les salafistes. C’est un peu comme si l’on avait prétendu, il y a soixante-dix ans, que Benito Mussolini était plus « modéré » qu’Adolf Hitler.
Depuis deux jours, la dictature syrienne se livre à des opérations militaires avec un message on ne peut plus clair : « Si nous devons sombrer, Israël sombrera en même temps que nous ». Il ne semble pas, à ce stade et pour l’instant, que nos journaleux de service soient particulièrement inquiets de la menace existentielle qui pèse – en ce moment même – sur le peuple juif israélien. Pourtant, vue d’Israël, la situation concrète sur le terrain est jugée hautement inquiétante.
Ainsi, aujourd’hui, lundi 5 décembre 2011, en fin de matinée, Meir Ben-Hayoun informait : Le Président de la Commission parlementaire de la Défense et des Affaires étrangères, le député Shaoul Mofaz (Kadima) met en garde qu’une confrontation militaire avec la Syrie est très réelle. « D’autant que le processus d’agonie du régime d’Assad avance, le paramètre de confrontation avec Israël croît » a affirmé ce matin Shaoul Mofaz. Lors d’une interview accordée à Galei Tsahal, Mofaz a déclaré : « au crépuscule du régime d’Assad, il est fort probable qu’il tente de dévier l’attention sur les massacres qu’il perpétue envers son peuple vers une confrontation avec Israël ».
Meir Ben-Hayoun : En Israël, on a suivi avec attention les manœuvres de l’Armée syrienne à l’Est de la Syrie où on a exercé des tirs de missiles de longue portée. Lors de ces exercices, l’Armée syrienne au tiré au moins un missile Scud-B d’une portée de 300 kilomètres en direction de la frontière avec l’Iraq (voir photo en haut de page). Des roquettes sol-sol de calibre de 300 mm et 600 mm d’une portée de 150 à 200 kilomètres ont également été tirées dans le cadre de ces exercices, concluait, en fin de matinée, Meir Ben-Hayoun.
Cette nuit, Shraga Blum, de son côté, avait signalé : Un signe qui ne trompe pas sur l’inquiétude qui augmente au sein du pouvoir syrien, le président Assad a fait procéder samedi à de grandes manœuvres militaires à l’est du pays, qui ont inclus notamment le lancement de missiles sol-sol « Scud ». La pression internationale se faisant de plus en plus forte, les autorités syriennes ont voulu montrer qu’elles sont prêtes à mettre à exécution les menaces proférées au mois de mai par Rami Makhlouf, le cousin de Bachar El-Assad qui avertissait « que la déstabilisation de la Syrie par l’extérieur entraînerait celle de toute la région et d’Israël en premier lieu ».
Shraga Blum : Les missiles Scud-B lancés par l’armée syrienne ont une portée de 300 km et peuvent donc toucher des objectifs en Israël ou en Turquie. De manière inhabituelle, les médias syriens ont eu le « droit » de diffuser des images de ces manoeuvres qui étaient sans aucun doute un message destiné à la communauté internationale. Un communiqué de l’armée (syrienne) a annoncé plus tard « que tous les objectifs visé par les missiles et roquettes ont été atteints, ce qui prouve le niveau de qualité et de précision de l’artillerie syrienne ». Autre élément qui montre que la situation commence à être hors de contrôle, une partie de la direction du Hamas basée à Damas a quitté récemment la Syrie ne laissant sur place que quelques dizaines de « personnes », concluait, cette nuit, Shraga Blum.
J'ai souvent écrit que je ne soutiens ni la dictature syrienne, ni ses opposants islamistes. Cela dit, si la dictature syrienne tente d'anéantir Israël, alor je soutiens – évidemment – ceux qui anéantiront, préventivement, la dictature syrienne et son arsenal.
© Michel Garroté Rédacteur en chef de www.dreuz.info
http://www.juif.org/go-news-164179.php
http://www.juif.org/go-news-164165.php
encore une fois et sans surprise, c’est Israël qu’on accuse et qu’on menace (EN PREMIER LIEU, car vient ensuite l’Occident, juste après !)…
je suis quand même un peu soulagé de ne pas être Juif, ni Israëlien:
-persécutés depuis leur individualisation en tant que « Peuple élu »,
-accusés de tous les maux dans quasiment tous les pays et régions où ils étaient présents (je n’ai jamais rien lu ou entendu les accusant « du temps qu’il fait », mais je ne serais vraiment pas surpris de tomber un jour nez-à-nez sur de telles accusations…),
-plusieurs fois réduits en esclavage,
-plusieurs fois chassés des terres qu’ils occupaient,
-plusieurs fois massacrés voire au moins une fois « génocidés en masse » (pour les massacres, ils ne datent pas des années 40 ! il y a eu de nombreux pogromes anti-Juifs tout au long de l’Histoire, dans de nombreux pays notamment en terres catholiques),
-constamment diffamés, jugés et condamnés, agressés de toute part, y compris jusqu’à la tombe par certains « français » et autres néo-nazis (ce qui peut inclure bien sûr des Blancs, de VRAIS fascistes bien antisémites, je n’accuse pas les musulmans d’être les seuls impliqués dans de tels actes !) qui saccagent tombes et cimetières juifs (en france par exemple),
j’en passe et des meilleures…
bref, je pense qu’être Juif, ça n’a jamais été facile ni été une sinécure…!
ATTENTION, mon post ne signifie nullement qu’il n’y a jamais eu d’ordures chez les Juifs !!! comme partout, on trouve des bons et des mauvais.
seulement, certains peuples/communautés/religions donnent à penser qu’ils abritent un plus fort taux des uns ou des autres que les autres peuples/communautés/religions.
et je suis convaincu que les Juifs ne sont pas le peuple/communauté/religion abritant le plus fort taux d’ordures…
merci de votre commentaire si honnête c’est tellement rare et précieux aujourd’hui où les tenants politicaux/médiatiques des « Droits de l’hommisme »Français sont devenu les spécialistes en falsifications, manipulations et trucage des faits présents et historique. Israël en bon JUIF DES NATIONS doit disparaitre au plus vite et pour cela le premier outil est bien sur la déligitimation politique de cet état
bonjour, merci pour votre commentaire.
seulement, en le relisant par hasrd, en cherchant autre chose, je suis pris d’un doute:
quand vous dites « Israël en bon JUIF DES NATIONS doit disparaitre au plus vite et pour cela le premier outil est bien sur la déligitimation politique de cet état », faut-il prendre celà pour votre avis (et donc, vous seriez CONTRE Israël, et auriez mal compris mon post), ou au contraire, faut-il voir là la politique arabo-musulmande et de leurs alliés bobos/collabos occidentaux, à laquelle, comme moi mais aussi tant d’autres, vous vous opposez ?
comprenez-moi, votre dernière phrase peut se comprendre de 2 fzçons très opposées…
amicalement
excusez mon trait « ironique » mais quand j’écris « le Bon juif des Nations » c’est bien sur en réaction et contre cette bronca mener (pour vous paraphraser) par « la politique arabo-musulmande et de leurs alliés bobos/collabos occidentaux, » contre « israël nation des Juifs » pays souverain.
ainsi que contre cet antisémitisme d’un autre age qui, comme un cancer, ronge les pays européens qui n’ont de cesse de le condamner encore et encore….. notre arme est donc l’ironie pour oeuvrer à leur déligitimation et les ridiculiser dans leur haine viscérale à l’encontre exclusive des « juifs »
pas de souci, nous sommes bien d’accord alors.
seulement, quand j’ai lu votre dernière phrase, je l’ai prise au mot, et donc quand vous dites « vous avez raison (…) Israël doit disparaître etc », je me suis dis « merde, qu’est-ce que j’ai bien pu dire qui soit autant interprété à l’envers ?! »
le doute est dissipé, pas de souci.
bonne journée, amicalement
Le dictateur syrien n’a pas beaucoup d’alternatives:
– soit il finit comme Khadafi
– soit il s’exile
– soit il sort la carte ultime: la haine des arabo-musulmans contre les juifs qui « occupent » la République? la Royauté? palestinienne…
Bref, s’il veut s’attirer la sympathie des foules moyen-orientales, puisque l’on sait maintenant par la preuve des urnes que les arabes veulent juste en majorité plus d’islam et donc tout ce qui en découle.
Ce serait intéressant de sonder les égyptiens, tunisiens etc…
question: désirez vous qu’une coalition arabe et/ou musulmane s’organise pour délivrer une bonne fois pour toutes les palestiniens du joug sioniste?
Devinez qui l’emporterait du oui ou du non et dans quelles proportions…
C’est incroyable cette manie de rendre Israël responsable de tous les problèmes du monde. Les révoltes internes syriennes n’ont aucun rapport avec Israël. Si pour détourner l’attention du peuple et faire pression sur les menaces d’intervention de l’OTAN, le seul moyen efficace est de projeter le spectre de l’anéantissement d’Israël, pour calmer les esprits, cela relève d’un chantage lâche et de bas niveau.
Apparemment, la menace de faire sombrer Israël dans le néant, au cas où la Syrie subirait les foudres d’une ingérence étrangère, ne semble pas inquiéter l’Occident outre mesure. Cette déclaration de guerre à l’encontre d’Israël serait juste considérée comme une tentative d’arrêter toutes velléités belliqueuses de la part de l’Occident et l’empêcher à intervenir militairement dans les affaires internes de la Syrie. Le problème c’est que le Syrien n’a pas la réputation d’être un farceur et il pourrait bien mettre ses menaces à exécution. Après Khamenei et Ahmadinejad, voilà Bachar El Assad qui rentre dans la ronde menaçante des Chefs d’Etat prêts à détruire Israël, au cas où l’Occident projetterait des attaques préventives contre leurs pays respectifs. Il n’y manque plus qu’Erdogan !
Cette indifférence occidentale à l’égard du sort d’Israël est coupable, voire criminelle. Les médias obéissent aux pouvoirs en place et les journalistes ne respectent aucune éthique, sinon celle de croire aux mensonges distillés par les ennemis d’Israël et nier la vérité exprimée par la seule démocratie au Moyen Orient : Israël . Plus un mensonge est répété, plus il devient crédible aux yeux des foules, les ennemis d’Israël l’ont bien compris et ils en usent et abusent sans modération.
Encerclés par les menaces, qui fusent de toutes parts, Israël a besoin de tout le soutien possible et imaginable.
Que D.ieu veille sur Son peuple!
Nous avons déjà vécu la conversion de Saddam Hussein (Baas et laïc) qui s’est brusquement prosterné et a envoyer des scuds sur Israël.
L’histoire n’est qu’un renouvellement…
entre vouloir vitrifier Israël et pouvoir le vitrifier , il y a de la marge .
LEMOINE
Il est a espérer que cela n’arrivera pas car je plains le pays qui voudra se livrer a cet exercice. De grands malheurs s’abattra sur lui.
Cyril
Je ne suis pas sûr que les arabes coalisés soient prêts a saigner pour les arabes-palestiniens.
23bixente23
Je vous endosse a 100%. Moi je suis Canadien et AMI du peuple Juif, je dis que s’ils sont en danger d’être exterminer par les arabes, ils n’ont qu’a venir s’installer chez nous. Nous serions même gagnant avec un peuple aussi intelligent et a tout point de vue d’ailleurs.
Ne vous en faîtes pas pour Israèl, c’est quand on l’attaque qu’il est le plus fort, encore faut-il que le machin (ONU) lui permette de finir le travail pour qu’enfin l’ennemi ne prétende pas encore une fois à une « victoire » divine. Il n’y a pas pire publicité pour galvaniser des foules islamiquement fanatisées LAISSEZ LEUR GAGNER CETTE GUERRE et le monde se portera mieux.
C’est la « riposte disproportionnée » que vous désignez. Vous aurez compris comme d’autres que « riposte disproportionnée » veut dire : interdiction de gagner.
Votre article, c’est du grand n’importe quoi !
Et les commentaires sont à l’avenant…
Comment la Syrie pourrait-elle « vitrifier » Israël, c’est plutôt l’inverse qui risque de se produire !
Il faut atterrir !
Shalom
veut, pas peut, relisez avant de publier des âneries.
Mr.Grumberg,
Voici, à mon sens, un Magnifique Article trouvé sur LibertyVox, par François Celier, peut-être accepterez-vous de le publier (?) dans l’intérêt des Lecteurs et pour le bien d’Israél!
Un peu long, certes, mais tellement beau et empreint de Vérité qu’on ne peut éviter de le lire jusqu’au bout!
JE CITE:
« …Conscient du peu de probabilité d’être lu par les Autorités Politiques de l’Union Européenne auxquelles je m’adresse, l’écho de cette missive peut néanmoins susciter quelque intérêt auprès de ceux qui vont la filtrer au passage d’Internet, puis la ranger dans le coffre à oubli des citoyennetés d’en bas dont je suis.
Caïn, fut le premier criminel de l’espèce humaine ayant conscience du bien et du mal. Après lui, au cours des millénaires et des civilisations successives, sa postérité se répandra jusqu’à nos jours. Il est remarquable d’observer que toutes nos aléatoires mutations historiques d’Empires, de Royaumes et de Nations demeurent profilées en type pyramidal, selon le schéma initial de ce premier meurtre matriciel. De lui seul déclineront toute exemplarité, puissance et modus vivendi par transmission psychogénétique, par mimétisme naturel et par diffusion didactique sur des peuples assujettis. Le Pouvoir d’autonomie politique, plus ou moins clérical dans l’ombre des clochers, temples ou mosquées, représentera une constante de l’Autorité dominante sur toute croyance relevant de l’attrait fétichiste idéologico-religieux du genre humain.
Peur sous-jacente de mourir idiot. Chaque génération engendrera des hommes éclairés par la lumière de la connaissance, bien que celle-ci comportât une face obscure, pour lutter contre le pouvoir des politiques. Ce dernier est fondé sur la violence criminelle, la ruse des traqueurs de tout opposant et le secret désir de revenir vers des antériorités primitives archaïques et omnipuissantes. De jure et de facto sera la contingence d’une lutte sans fin, se déroulant entre le bien et le mal, entre l’éthique de la vie et la culture de la mort, telle celle des islamikazes actuels.
En observant les domaines d’influences négatives et conflictuelles qui font trembler la peau du monde, cette lutte est foncièrement récurrente, quel que soit le degré de civilisation atteint. Si philosophiquement éclairé paraisse-t-il, seul un très faible pourcentage de personnes inclinent à se ranger loyalement sous la bannière du bien de son prochain. Métaphysiquement. Autrement dit, conscient d’être sous le regard de l’Éternel et d’agir au mieux de l’entendement de la Parole qu’il adresse patiemment aux hommes, par la Torah et les Évangiles. Par contre, un pourcentage infiniment élevé d’individus auto-suffisants, arrogants, verbeux ou vociférant, se vouent à la violence d’un pouvoir mortel, tels les amants d’un mal humain qui les ronge. Pris en sandwich entre ces deux rapports disproportionnés, d’innombrables pleutres et passifs sont terrés en eux-mêmes. Quand bien même s’estimeraient-ils gens de bien, leur lâcheté à ne rien dire de la criminalité qui les environnent font leur indignité. A l’étalon de mesure biblique, ils se mettent hors-la-foi et l’espérance, minés par le ressentiment et la jalousie qu’ils manifestent, à l’encontre notamment d’Israël. Par exemple, en optant pour un pseudo peuple palestinien inventé de toute pièce par les services du colonel Nasser et par le KGB des années de 1960. Leur adhésion à cette énorme escroquerie intellectuelle et politique les conduit à se ranger sous la bannière de la désinformation, par amour du mensonge qui les habite. Ils savent fort bien que les juifs, dont Jésus demeure l’excellence, sont les témoins gênants de l’existence de l’Éternel. Dès lors, ils se rangent, irrationnellement, comme étant de la postérité de Caïn. Celle-ci représente l’engeance majoritaire qui gangstérise le développement des sociétés contemporaines, gangrène et piétine sans vergogne toutes les pages historiques et géopolitiques valeureuses.
La première déficience de notre espèce provient du crime primordial (typologie de Caïn) ; la seconde, celle de l’appât du gain des couleurs de l’argent de Mammon qui le distribue aux cupides ; la troisième concerne le désir de corrompre tout ce qui est juste et méritoire ; la quatrième est le goût du secret et des manigances tissées à nœuds serrées. Ayant rejeté l’Éternel du haut des cathédrales de l’orgueil, des mosquées aux doctrines gothiques et des buildings contemporains crevant le ciel symboliques de Babel, d’arrogants bonimenteurs cathodiques Babéliens distillent des menteries à leurs audimats chloroformées. En fait, victimes innocentes ou complices, tous ont opté pour une autre paternité : celle du Malin, alias le Diable. Occultant sa nature meurtrière ; sachant qu’il ne peut supporter un iota de vérité, sa personnalité leur paraît appropriée à leurs appétences. Ainsi, sachant que le Malin profère le mensonge par sa seule respiration d’être, ses féaux ne sont pas sans ignorer qu’IL parle de sa propre essence. Au fond des consciences génétiquement altérées, personne n’ignore désormais qu’il est le Père du mensonge. Bref, il plaît au plus grand nombre. Par ce choix volontaire, ce joueur de flûte les oriente vers le monde de l’obscur. (2) Jean 8, 44
L’autonomie et la puissance du Pouvoir politique apparaissent prédominées par le crime. Très tôt, l’Éternel Créateur, qualifia Rois, Chefs d’États, Potentats et Tyrans de : Criminels ! Depuis lors, justifiant cet attribut tranchant, d’innombrables témoins s’empressent d’agir, à l’exemple d’Autorités criminelles comme modèles référentiels. Sans vergogne, ils dénaturent toute justice reposant sur le Droit naturel de la vie, jusqu’à parvenir à l’inverser : crimes rituels archaïques ; crimes de raison d’État (collatéralisés et cautionnés par des décrets et artifices spécieux) ; crimes d’honneur et d’horreur à l’encontre des femmes ; crimes de foi mystique (dédouanés par l’Église moyenâgeuse ou le Coran mahométan) ; crimes conceptuels d’intellectuels schizophrènes par livres rouges ou verts-croissants d’idéologies sanguinaires. Ils en fut toujours ainsi pour les adeptes de croyances aux dominations de dieux mythologiques ou de dieux vivants. Mages et Mystères, Pharaons et Califes, Führers imprécateurs et dictateurs tyrannosaures.
Une mondialisation politico-économique de la planète s’ordonnance sous nos yeux. Bien qu’ils soient rarement entendus, il y eut toujours des hommes vigilants et patriotes pour dénoncer la mise en pièces des anciennes nationalités et identités culturelles. Ils nous alarment sur cette planétisation forcée de populations vouées à la soumission d’un homme fort qui apparaîtra tantôt, selon les Écritures bibliques ou coraniques (Califat mondial). Ils discernent les manœuvres d’universalisation matérialiste, technologique, culturelle et politique (ou de jihad totalitaire), consistant à faire céder tout barrage de protection frontalière et identitaire, par dislocation et néantisation des sociétés traditionnelles, faisant passer ce grand œuvre d’homogénéisation pour une nécessité évolutionniste. Par ailleurs, dévoués à cette tache grandiose, les agents du mal sont légions. Sur toutes les contrées et villes qui aspirent à s’édifier en sociétés humanistes, par des agissements criminels, elles influencent les fonctionnaires corrupteurs en place et s’emparent progressivement de tous les leviers de commandes. Stratèges politiciens, propagandistes et mafieux en connivence, ils planifient leur volonté dominatrice en l’instaurant par le puissant levier de la peur dans les consciences citoyennes craintives ou affaiblies. Le marketing d’idéologie consumériste ou technicienne des après-nous le déluge (ou islamiste des sans-fou-la-mort), orchestré par les médias et leurs politiques de couards, amènent les peuples à se combattre sans nécessité ni espace vital à conquérir. C’est pourquoi il est primordial de livrer combat contre le Malin, cet invisible Janus et son double, le maître du mensonge. C’est pourquoi il est urgent de le débusquer des cercles politiques les plus corrompus, de les assigner au tribunal de la conscience publique internationale.
Nul n’est à l’abri de ces légions. David, le berger qui devint un roi exemplaire, agréé de l’Éternel, vit cet esprit criminel œuvrer en lui-même… L’esprit criminel de Caïn s’étant emparé de sa conscience (désactivée par le désir de la femme d’un de ses officiers) l’entraîna à commettre un acte meurtrier. En dépit de son réel et profond repentir, son châtiment fut terrible, jusqu’à vouloir s’ôter la vie. Il ne fut gracié qu’ in-extremis. Indépendamment des langues boiteuses et des esprits tordus des politiciens, il convient de rappeler que la gestion d’une nation doit toujours se porter sur les actions, l’équilibre, le développement de ses rapports internes ou externes de sa société. Correctement pratiquée, la politique doit s’exercer pour tout ce qui a trait à une somme d’individualités comptables et identifiées. Son principal exercice demeure une gestion théorique la plus équilibrée qui soit de la cité, en tenant compte des impondérables conflits, cataclysmes naturels ou technologiques, famines endémiques et autres fléaux imprévisibles. La politique est un exercice à haut risque.
La deuxième déficience du profilage humain depuis Caïn fut l’esprit de corruption, des mœurs et de l’intellect, qu’il soit laïc ou clérical. Dans le défunt XX ième siècle, nous assistâmes à la chute vertigineuse de tous repères éthiques et moraux. Les silences plombés qui prévalaient sous Vichy, révélèrent qu’une haine profonde dévorait l’esprit des élites intellectuelles franco-allemande… De nos jours, beaucoup d’intellectuels, universitaires, écrivains, chroniqueurs, lauréats de Prix Nobel et journalistes continuent de cautionner les maux protéiformes de la planète. La langue (le verbe) a l e pouvoir de la vie et de la mort (Bible et Torah). Que nul n’oublie jamais à quel point les intellectuels occidentaux sont entachés. Ils ont du sang juif, tziganes et autres identités humaines inscrit dans leurs mains et de leurs écrits. A priori, il semblerait que l’esprit de la corruption soit nécessaire pour conquérir, garder ou se maintenir au pouvoir. Or, les textes anciens nous rappellent que le pouvoir corrompt qui que ce soit, même des hommes d’exception. Se livrant à leur nature de n’écouter que le doute mensonger qui les habite : « Dieu a-t-il dit ? », les hommes de pouvoir sont donc amenés à contester le Créateur et sa Parole.
Nos sociétés empiriques sont toutes empreintes d’un esprit de corruption ruisselant naturellement du haut des pyramides sociétales vers les petites gens d’en bas. Parfois un homme-roi, Chef d’État ou de gouvernement s’insurge contre lui-même et les mœurs qui l’environnent. Dans un sursaut de lucidité contre l’odeur du mensonge qui l’infecte, il se dresse en se disant : J’agirai désormais en droiture de cœur contre tout germe corrupteur, non par ma seule conscience, génétiquement entachée, mais avec la force de mon intelligence et de ma volonté. Las, pour quelle raison agiraient-ils contre leur nature contaminée ? Seule une « nouvelle naissance » y parviendrait. Or celle-ci procède de Dieu.
La troisième déficience à considérer serait celle du pouvoir de l’argent. Il est reconnu, par l’Histoire que celui qui est amoureux de son coffre-fort, découvre un jour ou l’autre l’abyssale insatisfaction occasionnée par l’amas de ses biens. Il sait qu’il ne sera jamais aimé en retour par l’affection sincère et la loyauté de ses proches. A contrario, celui qui, s’étant enrichi par ses talents et ses efforts méritoires, offrirait ses biens et son savoir à des œuvres d’édification et de compassion pour le plus grand nombre, les consacrerait comme une offrande agréée par l’Éternel. Il réintègrerait, peut-être à son insu, alors la lignée de l’esprit d’Abel.
Homme de foi ou incroyant, la seule attitude estimable d’un homme d’aujourd’hui consiste à faire face aux mensonges, à la désinformation, aux propagandes idéologiques, aux intimidations sur sa vie, au chantage à la répudiation des siens, aux calomnies médiatiques et aux atteintes à son honneur. L’ Éternel exhorte chacun de nous à celle d’un combat frontal : vérité contre mensonges, intégrité contre cupidité, courage contre lâcheté et plus encore, dénoncer le fléau de l’indifférence et de la passivité. L’ Éternel Je Suis sera toujours aux côtés de ces hommes-là.
Après avoir examiné les affects meurtriers, l’inclination à corrompre et celle de l’appât du gain, cette réflexion aborde une autre défaillance des fils de Caïn, sommés de combattre pour leur survie antée et post diluvienne parmi des populations archaïques, selon la bible. Elle se définit par la ruse du chasseur et le goût du secret pour acquérir et centraliser du pouvoir sur des tribus humaines croissantes en nombre. Outre les Chefs d’États, de Gouvernements et des Ministres des Armées de nombreux pays démocratiques occidentaux, cette réflexion s’adresse également aux Directeurs, Patrons et Agents des Services Secrets des 193 nations onusiennes. Par les textes des patriarches hébreux, nous savons qu’il n’y a rien de secret qui ne doivent être connu et c’est heureux, car innombrables sont les conséquences dévastatrices qui en découlent.
Depuis les premiers combats des fils de Caïn, les guerres feutrées que se livrent continûment les armées de l’ombre, avec leurs dizaines de milliers de fonctionnaires et d’agents de terrains se prévalant d’être couverts par le sceau du secret, sont continues. Ces compagnies et groupes d’intervention opérationnelles : espionnage, infiltration, extraction d’agents, kidnapping d’opposants, intoxication, missions de tueurs effaceurs d’existences, etc. Tous sont sélectionnés et entraînés à être des armes de guerre redoutables, programmées à d’infinies malignités et dénuées d’état d’âme. Méconnues du public, ils forment les colonnes vertébrales invisibles des Pouvoirs en place. Ils sont la trame discrète de services-actions généralement inavouables. Objets de puissance et d’absolution politique, leurs actions d’ingérences préventives et sécuritaire, impliquent toujours la déstructuration psychologique de leurs victimes. En quelque sorte, ils constituent l’armature cachée de la gouvernance des États. Sans leurs œuvres inavouables, point de puissance !
Maudit soit celui qui frappe en secret ! Nous informe le psalmiste. Cette parole ne se trouve pas dans l’informelle déontologie des Services Spéciaux dont les bureaux et officines, nichés à l’écart ou dans les sous-sols des États, sont généralement connus sous la modeste appellation de Services de Renseignement Quel humaniste, philosophe ou historien pourrait rendre compte en vérité du nombre d’interrogatoires, de tortures effroyablement variées et de crimes abominables qui s’y commettent depuis des siècles, jours et nuits, encore et toujours, sous prétextes de sacro-saintes raisons et secrets d’États ? Livres, films, vidéos et séries TV ayant traits au monde de l’ombre ont pour objet de distraire et de banaliser l’inhumanité des pratiques de cette engeance professionnelle, parfois héroïsée par des stars. N’avons-nous pas le devoir de savoir puis d’informer les innombrables victimes potentielles (que quiconque peut devenir), sur l’extrémisme silencieux, les attributs et les capacités de nuisances des pouvoirs occultes du Renseignement ? Cautionnés et agréés par leurs ministres de l’Intérieur ou des Affaires Étrangères, tous roués dialecticiens inférant sans sourciller qu’il y ait parfois d’inéluctables dommages collatéraux. Une formule aussi fourbe que celle de Dieu reconnaîtra les siens. A ma connaissance, le seul homme spirituel agissant en secret sans être désavoué par l’Éternel fut Joseph d’ Arimathée, homme juste et courageux qui, dans un contexte d’agitation politique due à l’occupation romaine, était disciple de Jésus en secret (Jean 19.38). Il serait le modèle à suivre pour des millions de disciples contemporains particulièrement menacés en pays musulmans et autres despotismes idéologiques.
La déstructuration méthodique du Droit International, les fadaises de non ingérence, les conventions Genevoises, les fallacieuses autodétermination des peuples, l’ Eurabia islamique, les dérégulations financières et commerciales, les propagandes d’intoxication des idées, les banalisations de la torture, les mise en place de régimes policiers, les lois d’exception, la surveillance numérique, etc., sont déjà les modus vivendi des régimes de demain. Toujours plus restrictifs, toujours plus féroces. Par ailleurs, la peur du terrorisme mondial, instauré depuis le 11 septembre 2001, ouvrit une voix royale à l’accoutumance de lois liberticides, à l’implication des armées dans le maintien de l’ordre civil ; à l’état d’urgence aux attentats majeurs ; à la déstabilisation de régimes existants par des insurrections et des révolutions orientales folkloriques bien que sanglantes. Elles sont stratégiquement préparées, accompagnées de propagandes violentes, jusqu’à ce que s’effondrent les gouvernements mous et collaborateurs de l’Occident. Tous ces évènements orchestrés dans l’ombre conduisent à une rupture inéluctable de l’équilibre géopolitique et économique du monde actuel. Préparé depuis le dernier centenaire, planifié par d’éminents stratèges d’un chaos préliminaire, l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial, du genre One World Government, se met en place. Serait-il l’ultime projet d’un messianisme laïc fondé sur le rationalisme dominateur de la pensée de Caïn ? Il se heurtera de plein fouet à d’autres visions eschatologiques.
Pour la recherche égoïste du profit individuel et sociétal, le capitalisme libéral est, par achèvement des anciens privilèges, un propagateur idéal pour une humanité devenue productrice et consommatrice. La morale économique des dirigeants a capitulé devant la loi du marché et la disparition des nations prochaines. En attendant, il ne reste pour perspective de fin de partie qu’une sorte de libéralisme économico-politique à dents de requins, prélude à l’apparition de l’homme fort d’une gouvernance mondiale. Dans notre époque de grands troubles et de confusions géopolitiques, face à cette réorganisation d’un nouvel agencement planétaire, le seul honneur, la seule dignité, le seul patriotisme d’un homme juste de notre temps consiste à affronter les mensonges d’États, la désinformation des médias, les propagandes idéologiques, les intimidations, le chantage et les menaces sur la vie. En fait, il s’agit d’un combat frontal sans merci : vérité contre menterie officielle et délation ; éthique et intégrité contre cupidité et domination ; courage contre laxisme et lâcheté et enfin, contre l’indifférence et la passivité ! Ce combat doit être culturel, politique, militaire, et spirituel pour ceux qui en ont conscience dans leur esprit.
Par sa transcendance, l’aune du seul critère de vérité estimable se trouve dans Genèse 12:3 : « Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ». Cette parole humiliante pour les puissants concerne un minuscule pays providentiellement rétabli et restauré après 2000 ans d’errance et de persécutions : Israël. Il y a donc bénédiction pour les nations qui le respecteraient et malédiction pour les autres… Il est vrai que ceux qui ont déjà éjecté l’ternel Créateur de leurs pensées, rejettent d’autant plus la renaissance de ce territoire par lequel Il s’est révélé au monde par ses porte-paroles prophètes. Aussi, les puissants contestent-ils agressivement ce morceau de terre et de même contestent-ils le nom d’Israël (même les chrétiens traditionnels s’en sont accaparés en s’affublant de Nouvel Israël). Plus que la notion morale de Bien et de mal, de vrai et de faux, de juste et d’injuste, il fallait ce singulier étalon de mesure pour être perçu en toutes langues et cultures. Celui de bénédiction ou de malédiction semble ad hoc pour les nations et leurs sujets. D’où jalousie et déchaînement de haine à l’encontre de la renaissance de l’ancestrale terre israélienne et du microcosme international que représente sa population hébraïco-juive. Il est clair que nous sommes parvenus à une époque tellement troublée que nous devons prendre position par rapport à cette question : bénédiction ou malédiction ? Il est impératif de nous situer personnellement selon cette injonction biblique radicale.
Israël… personne ne reste indifférent à ce nom : les hommes des nations prennent des positions pour ou contre son existence, c’est-à-dire pour ou contre les promesses que le créateur du monde veut réaliser à son égard. Concernant le peuple hébreu d’hier comme les juifs d’aujourd’hui, rien de ce qui leur arrive n’est insignifiant. C’est la raison profonde pour laquelle des hommes de bonne volonté, appelés à devenir des justes, se sont levés par le passé et se lèvent toujours plus nombreux de nos jours, pour la justice et la lumière de cette vérité. Ce pays minuscule est plus que jamais menacé à l’échelle de l’alter mondialisme et de son gauchisme inadapté qui subsiste. Néanmoins, il faut reconnaître que l’évolution de la politique israélienne, par sa gouvernance par trop démocratique, n’est pas sans défaut ni fautes de jugements. Israël n’est pas en phase avec ce que furent les anciennes ripostes, du temps des patriarches et des prophètes hébreux. Trop d’accommodements, de complaisances et de singeries de la danse vicieuse des nations politico-onusiennes ; trop de compromissions par son vouloir d’être un chantre en démocratie ; trop de tolérance laxiste et d’arrangements à l’égard de sa cinquième colonne intérieure (hostilité arabe, gauchistes et anti-sionistes de tous poils) ; manque de vision générale sur son avenir (en défaut de Thora) ; de scénarios d’anticipations géostratégiques, etc. Hors contexte d’époque et de mœurs, sans pour autant les cautionner (quoique ?), il conviendrait à ses guides politico-militaires de réexaminer les exhortations du Seigneur des armées d’Israël en temps de guerre. Or, Israël est en guerre.
Les prophètes hébreux rappelleraient aux dirigeants de jadis comme aux généraux de Tsahal et du Mossad d’aujourd’hui une lapidaire exhortation à l’intransigeance : Tu fondras comme l’éclair sur tous les peuples qui t’agressent. Tes yeux seront sans pitié pour eux ; tu n’écouteras point leurs stratèges politiciens, leurs énièmes plans de trêves mahométanes, leurs pseudo paix de papier d’Oslo, de Genève, de New York, de Paris ou de Washington, de l’Union Européenne, de l’ONU ou du Vatican ; ce serait un piège pour toi car ce ne sont que machiavéliques sables mouvants de propagandes intéressées. Peut-être diras-tu en ton cœur, ces peuples et leurs armées coalisées sont cent fois plus nombreux que moi. Comment parviendrai-je à leur résister, à les contrer et les combattre ? Ne les crains pas, souviens toi de ce que je fis à pharaon et à toute l’Égypte, évoque les grandes épreuves subies par ton peuple et des hauts faits surnaturels que tes yeux ont vus, miracles et prodiges à main forte et bras étendu par lesquels, moi le Seigneur ton Dieu t’a délivré. Ainsi ferais-je encore à tous les peuples que tu pourrais craindre. Deut. 7-16/19 (texte paraphrasé).
Pour ceux qui sont en alarme, étant donné l’ampleur et la force des torrents de mensonges qui déferlent dans le concert des nations à propos de Palestinisme, d’éradication d’Israël, de jihad planétaire et de crise mondiale… propice au réaménagement du monde, ils doivent revoir leur entendement de l’actualité, déguiser leur esprit à la résistance et, comme l’Écriture les enjoint, sans hésitation ni débat d’âme, se revêtir de toutes les armes de l’esprit, s’engager corps et âme dans le combat, sachant intimement qu’ayant tout sous son contrôle, le Seigneur des Armées les couvre de sa main. C’est pourquoi il convient d’être au clair sur l’importance de l’enjeu des batailles à livrer, d’anticiper les risques et leurs conséquences. Notre attitude, notre détermination et l’évidence de nos convictions actées, constitueront un témoignage à même de galvaniser d’autres frères d’armes et d’esprit à nous rejoindre.
Les fronts sont nombreux : l’universalité du mensonge, les trahisons, les pièges et les menaces multiples. Dans la pratique de l’action de résistance, l’Histoire et la mémoire de nos aïeux nous rappellent que l’Éternel ne jette pas ses fils au feu des combats sans avoir été préalablement entraînés, sans avoir constaté par eux-mêmes le recours à sa force. Le salut vient des juifs ! Jean (4 :22) nous le rappelle sans détour. Quelle terrible ulcération cette parole doit-elle produire sur la peau et les neurones des anti-juifs et des anti-sionistes et des assoiffés de pouvoir. Bien que n’étant pas juif moi-même, par la grâce de l’Éternel, je m’honore d’être Pasteur sioniste et, pour l’amour de Sion, je ne me tairai point. »
FIN de CITATION.
Par François Celier, Pasteur et écrivain pour LibertyVox.
Pour une fois je serai plus optimiste que vous !
La « cause palestinienne » suivra la même glissade que celle du « printemps arabe ». Et tous ces bidules de propagande gauchiste rejoindront la poubelle de l’histoire dans un grand désastre à l’instar d’autres gadgets idéologiques comme le « réchauffement climatique », les « démocraties populaires », le « pays arc en ciel » d’Afrique du sud, l’immigration africaine « chances pour la France », le « tiers-mondisme », les « non-alignés »….etc.
Le temps travaille pour Israël.
C’est un pays qui se développe chaque année un peu plus tandis que les pays arabes s’effondrent chaque année un peu plus.
Les Arabes peuvent bien se radicaliser dans leurs habitudes de haine, ils n’auront jamais qu’un sabre de bois. Ils ne produisent pas de richesses, pas d’enseignement supérieur, bien au contraire ils retournent en masse vers la charia la plus pure sans voir que justement c’est l’islam qui rend con.
Et pendant ce temps Israël grandi en puissance.
Sympa SERGE BELLEY …
Personne n’exterminera plus ISRAEL ,ou alors il en coutera a ceux qui essaierons .
D’autres que vous font de gentilles propositions d’hébergement aux juifs d’Israel ,Hélas pour tous ,L’etat d’ISRAEL est un état JUIF ,pour longtemps et pour toujours !
Etant donnée sa prospérité avérée ,son pétrole et gaz déjà là ….Les canadiens qui le souhaitent peuvent commencer à investir en ISRAEL ,et meme a acheter une résidence secondaire a NATANYA ou ELAT ,il y fait quand meme meilleur qu’au CANADA!
Merci quand meme Belley ,je reste persuadé que celà partait d’un bon sentiment…
je vois le mal par tout.
et si…l’eu et le machin n’attendait que cela pour régler le problème syrien. dans la mesure où il n’y a pas de pays volontaire pour refaire le coup de la libye, personnellement je pense qu’ils n’attendent que cela : pousser la syrie à bout pour qu’elle mette ses menaces à exécution en attaquant Israël où mieux : qu’Israël se sentant trop menacé attaque en premier.
un beau roman ? peut-être mais à notre époque la réalité dépasse souvent la fiction