Michel Garroté – Certains élèves français vont désormais étudier l’histoire de France uniquement de 1850 à 1962. Le baptême de Clovis, la victoire à Poitiers, le millénaire capétien, l’émancipation des Juifs en France, la France contemporaine de 1962 à 2011, les présidences de la Ve République, l’histoire économique, tout cela ne fera donc plus partie de l’histoire. En tous les cas, tout cela ne fera plus partie de l’histoire pour une partie des élèves et des lycéens français. Désormais, trois heures seront consacrées à la Seconde guerre mondiale. Cette guerre a provoqué la Shoah avec six millions de Juifs exterminés. Et cette guerre a causé en tout, 50 millions de morts, entre 1939 et 1945.
A la Libération, le général donna, en une seule une phrase, l’absolution collective à l’ensemble des Français, alors que 99% d’entre-eux, pendant plus de quatre ans, s’étaient montré très réceptifs à l’idéologie pétainiste. Tout cela sera donc enseigné en trois heures. Je suppose que la Guerre dite froide – avec ses 100 millions de victimes à l’échelle planétaire entre 1917 et 1992 – sera traitée encore plus rapidement que la Seconde guerre mondiale : une heure ou deux. Je suppose que les conquêtes islamiques – par le sabre – effectuées, en quatorze siècles, ne seront pas abordées du tout, au nom de la « lutte contre l’islamophobie ».
J’ai souvent constaté qu’un élève de Terminale en 2011 a le même niveau que celui d’un élève de Troisième au début des années 1970. En quarante ans, l’enseignement a donc régressé. Un élève âgé de 18 ans en 2011 a le niveau d’un élève âgé de 15 ans en 1971. Félicitations. Applaudissements. Et cela sera encore pire à l’avenir. Les jeunes français entreront en première année d’université sans vraiment connaître les causes profondes de la Guerre 1914-18, de la Seconde guerre mondiale, de la Guerre froide et de la Guerre du djihad menée depuis le début des années 1990 contre les pays libres et laïcs de culture judéo-chrétienne. Du reste, cela agace quelques-uns.
Ainsi, Yannick Le Gruiec, avec une tribune publiée dans Marianne2, déplore (extraits adaptés ; lien en bas de page) : « Deux ou trois heures pour étudier la guerre de 1914-18. Et trois heures et trente minutes, contrôle compris, pour étudier la Seconde guerre mondiale. C'est désormais le temps dont disposent les professeurs d'Histoire-Géo pour faire ingurgiter ces deux grandes parties de notre passé aux lycéens. La réforme du lycée a entraîné la disparition de l’histoire-géographie des enseignements obligatoires. Les classes étudiaient le monde contemporain du milieu du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui (1850-2011). La même période a donc été condensée pour être étudiée en un an ».
Yannick Le Gruiec : « Pour justifier le temps réduit consacré à l’étude d’événements aussi fondamentaux que les guerres mondiales, la colonisation ou bien les régimes totalitaires, l’histoire contemporaine a été divisée en grandes rubriques fourre-tout (la « guerre », la « République », le « totalitarisme ») qui regroupent des petits morceaux d’histoire. Concrètement, le thème intitulé « la guerre au XXe siècle » englobe comme supports d’étude les deux guerres mondiales, les organisations internationales nées à la suite de ces deux conflits (SDN et ONU), la guerre froide et différents conflits depuis 1990 : 17 heures pour l’ensemble du thème. Chaque « support d’étude » est problématisé ».
Yannick Le Gruiec : « La Première Guerre mondiale est abordée sous l’angle de l’expérience combattante dans une guerre totale mais, au final, les élèves ont bénéficié de deux-trois heures pour étudier 1914-1918. Avec un peu de bonne volonté de la part de leur professeur, un tout petit plus pour la Seconde Guerre mondiale : trois heures et trente minutes, contrôle compris. La genèse et l’affirmation des régimes totalitaires (soviétique, fasciste et nazi) peuvent être abordées en deux-trois heures. L’étude de la France pendant la Seconde Guerre mondiale, en deux ou trois heures, est problématisée ainsi : les combats de la Résistance contre l’occupant nazi et le régime de Vichy et la refondation républicaine ».
Yannick Le Gruiec : « Les documents officiels pour guider les professeurs précisent « qu’il convient de rappeler » les principes du régime de Vichy et de sa politique. Cela se limitera à un rappel d’un quart d’heure. Vichy a donc disparu du lycée pour les élèves français. Quant à la Commune elle passe à la trappe. Mai 68 et mai 1981 aussi, car l’histoire de France s’achève en 1962 (ndmg – alors que nous sommes bientôt en 2012…). Pour la majorité des élèves l’histoire n’ira pas plus loin. La chronologie a été largement abandonnée car ces thèmes rassemblent des « questions » très distinctes (le 11 septembre 2001 est rangé dans le même thème que la Première Guerre mondiale de 1914-18) ».
Yannick Le Gruiec : « Le professeur qui suit les thèmes dans l’ordre proposé (et c’est difficile de faire autrement) abordera en premier le génocide des populations juives pendant la Seconde Guerre mondiale (thème : la guerre), un peu plus tard le régime nazi (thème : le totalitarisme), puis encore plus tard l’affaire Dreyfus (thème : la République). C’est le flashback comme outil méthodologique. Bonne chance à tous les élèves pour bien comprendre les causes de l’extermination des Juifs européens. Certains élèves n’aborderont ni la mondialisation, ni l’Asie de l’Est. Par contre, ils auront étudié leur ville, leur région et l’Union européenne » (fin des extraits adaptés de la tribune de Yannick Le Gruiec publiée dans Marianne2 ; voir le lien vers la source en bas de page).
Pour ce qui me concerne, j’ajouterai, en guise de conclusion, que la planète en 2011 compte sept milliards d’habitants ; que la plus grande zone économique du globe, c’est aujourd’hui la Zone Pacifique, avec les Amériques, la Chine, le Japon et l’Asie du Sud-est ; que l’Europe ne survivra pas sans l’Afrique et inversement ; que la vérité historique, la mémoire historique et la culture historique sont indispensables à la survie de chaque Nation ; que vu sous cet angle, la France de 2012, avec Sarkozy ou avec une autre personne à la Présidence de la République, semble plutôt mal partie. La vérité, la mémoire et la culture sont infiniment plus importantes que la lutte contre la crise économique.
La France a besoin d’un candidat ou d’une candidate à la présidentielle qui ait à la fois de l’humilité, de la hauteur de vue et de la sérénité. Or, à ce stade et pour l’instant, les gens qui se bousculent au portillon de l’Elysée sont – toutes et tous – d’une affligeante médiocrité. Depuis au moins quarante ans, la politique française n’attire plus que les petits calibres à grande gueule. Je peux m’imaginer qu’à la longue, cela deviendra proprement insupportable pour les Françaises et les Français qui, quoi que je puisse écrire par ailleurs, constituent un peuple dont je me sens proche et auquel je souhaite – c’est quand même le minimum – d’être, un jour, à nouveau respecté par ses élus.
Michel Garroté
Rédacteur en chef de www.dreuz.info
http://www.marianne2.fr/Reforme-du-programme-d-Histoire-le-nazisme-en-trois-heures_a213856.html
J’ai souvent constaté qu’un élève de Terminale en 67 (c’est mon cas) a le même niveau que celui d’un élève de Troisième au début des années 1997.
A l’âge de 59 ans, je vois la dégringolade comme si 1 siècle de « toujours pire » était passé.
Merci pour la piqûre de rappel qui restera dans les oubliettes de l’histoire pour un grand nombre.
Pour preuve: l’accès aux études valorisantes après le bac est réservé aux seuls candidats qui le réussissent avec mention AB ou B.
Nous subissons un génocide intellectuel et culturel.
Force est de constater que les « expériences » éducatives de nos gouvernements se poursuivent.
On a l’impression que dans l’incapacité (ou incapables?) de réformer l’Education Nationale dans sa structure, la formation de ses professeurs, nos dirigeants font donc des « expériences » dans un des seuls domaines qui tenait plus ou moins la route les programmes.
On essaye d’enlever un machin, on rajoute un truc, un peu au hasard et sans grande réflexion en espérant, on ne sait jamais, que ça marche.
Au pire on donne au moins l’impression de faire quelque chose, tant pis si c’est une connerie.
Où sont nos futurs cadres qualifiés, le futur potentiel de notre pays, à la fois rigoureux, méthodique et créatif,dynamique,ouvert sur le monde, si on ne leur apprend pas à réfléchir?
Est-ce qu’on nous prendrait pas pour des cons par hasard?
C’est stupide et déprimant. Que vont devenir les générations futures sans passé cohérent. POURQUOI ces changements ? Je ne comprends pas ?????
Ne vous souvenez pas de ce principe selon lequel un peuple moins intelligent est plus docile et plus facile à gouverner ? Et que sans connaissance de son histoire, sans ses racines, on perd son identité ? Aucun hasard ici.
Totalement d’accord, et il n’y a pas qu’en France que ce phénomène se produit.
En supprimant la culture générale, de ses critères d’admission, Sciences Po (par exemple)formera des tas d’élites au rabais.
Ailleurs qu’à Sciences Po, la situation sera pire encore, puisque le nivellement « par le bas » devient la règle pour favoriser -à la fois- l’intégration de tous et l’égalité des chances.
La seule égalité vers laquelle « on » nous oriente, est l’égalité dans la connerie …
Quand tous les cons seront enfin égaux face à la connerie, le développement des sciences, des techniques, des arts et de tout ce qui fait l’homme seront morts.
très bonne réponse !
apprendre l’histoire ,réfléchir,ce serait TB, oui mais il semble bien que nos élus et responsables aient rejoint ceux là :
Quelle chance pour les gouvernements que les gens ne pensent pas .
Adolf Hitler
Le christianisme est la plus terrible peste qui se soit jamais abattue sur l’Allemagne
Himmler
Francis dit mais oui , et nos enfants d’autant plus facilement qu’ils seront ignorants ,mais il ne faut pas perdre courage car dreuz les instruit. C’est pas possible qu’ils durent plus que Vichy , je ne veux pas croire cela
mon beau frere, a envoye des le debut de la rentree scolaire
sa fille etudier ici en Israel. on la recoit de temps en temps, elle semble epanouie. motif: les eleves n’apprennent plus rien en France, ajoute a ca les classes remplies de qui on sait, les foutteurs de merde, les profs satures, l’ecole
en France est devenue un vrai fouttoir !
ps: a la longue il compte aussi envoyer le fils.
c’est bien Sarkozy qui a décidé d’alléger le programme d’Histoire de France au profit de , je cite, « l’ouverture aux autres civilisations ». Fin de citation !
Il faut savoir ce que l’on veut !
C’est aussi , mais ce n’est pas le sujet, Sarkozy qui inscrit la « théorie du genre » dans les programmes. C’est bien Sarkozy qui accepte que des associations homos fassent leur propagande en milieu scolaire.
les parents, les citoyens s’en moquent , alors !
Je n’ai pas trouvé le programme d’histoire en classes de Terminales. Ces programmes font, sauf erreur de ma part, toujours d’objet d’une consultation(Si j’ai raté quelque chose, merci de me renvoyer un ou des liens Eduscol).
C’est bien regrettable que cet article de Marianne2 ne renvoie à aucun lien qui permette d’en juger par soi-même.
Ces projets de programmes sont:
Pour les Terminale S sur:
http://media.eduscol.education.fr/file/consultation/33/8/terminale_projet_prog_2011_HG_S_170338.pdf
Pour les Terminales ES et L sont sur:
http://media.eduscol.education.fr/file/consultation/33/6/terminale_projet_prog_2011_HG_ES_L_170336.pdf
C’est franchement désolant de constater que l’enseignement de l’histoire soit devenu facultatif en Terminale S! (J’ai passé le bac C en 1969, et notre programme en histoire évoquant largement ces thèmes qui disparaissent pesait lourd dans les activités hebdomadaires.)
NOTA:
J’ai beaucoup apprécié dans les remarques des internautes de Marianne2, en particulier celle de B Piot!
apprendre l’histoire aux jeunes……….l’histoire est pleine de bruits et de fureurs et elle pourrait donner aux jeunes de résister, de sortir du politiquement correct et surtout de réfléchir, de penser….. très mauvais pour tous les gouvernements qui connaissent bien l’adage : l’histoire est un éternel recommencement. le période actuelle a bien des ressemblances avec la situation précédent 1789, imaginez que les jeunes refassent une révolution !!!!!!!!!! alors pas d’histoire ou alors un minimum
Il faut bien commencer par « l’éducation » pour produire des tas d’imbéciles médiocres, sans possibilité de penser par eux-mêmes.Il faut former des gens « formatés » conçus dans le même moule, de futurs journalistes qui n’auront qu’à répéter ce qu’on leur commandera sans aucun discernement, ni jugement, des perroquets sans cervelle ou malfaisants. Dans quel monde vivront nos enfants et petits enfants ? A quand le sursaut? toutes les voix de la raison sont étouffées et la voie qui nous reste est bien étroite.
« Comment la France a-t-elle déclarée la guerre à l’Algérie ? »
Voilà la question que m’a posée une amie d’une quarantaine
d’année ! J’en suis resté sur le Q moi qui, comme beaucoup d’autres ,ai vécu cette période , si proche dans les coeurs , si loin dans le temps.
Enseignement : Réforme du programme d’Histoire
ça se passe avec Sarkozy et l’umps !
Deux ou trois heures pour étudier la guerre de 14-18, trois heures et trente minutes, contrôle compris, pour étudier la Seconde guerre mondiale… C’est désormais le temps dont disposent les professeurs d’Histoire-Géo pour faire ingurgiter ces deux grandes parties de notre passé aux lycéens. Retour sur cette réforme qui a tout changé avec l’enseignant Yannick Le Gruiec.
La réforme du lycée a entraîné la disparition de l’histoire-géographie des enseignements obligatoires en terminale S. Les élèves de première S suivent un nouveau programme qui est commun aux autres séries générales de L et ES. Les classes de première et de terminale étudiaient le monde contemporain du milieu du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. La même période a donc été condensée pour être étudiée en un an.
Le professeur qui suit les thèmes dans l’ordre proposé (et c’est difficile de faire autrement) abordera en premier le génocide des populations juives pendant la Seconde Guerre mondiale (thème : la guerre), un peu plus tard le régime nazi (thème : le totalitarisme), puis encore plus tard l’affaire Dreyfus (thème : la République).
Lire la Suite…sur http://www.fdesouche.com
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Michel Garroté ,
» Certains élèves français vont désormais étudier l’histoire de France de 1850 à 1962 . »
C’est à dire uniquement la période de l’Algérie française pour mieux les conditionner à vivre dans un sentiment de culpabilité .
Mais pourquoi ce débarquement de l’armée française en 1830 près d’Alger ?
Pour la neutralisation des pirates barbaresques qui écumaient la Méditerranée , qui capturaient et qui pillaient les habitants des côtes françaises et italiennes .
Pour nos rejetons , voici un bref résumé :
http://www.megaupload.com/?d=2TUUFOE3
MEILLEURS VOEUX 2012 à vous et à tous vos vos collègues .
citations, cet extrait des lettres entre Karl Marx et Engels, des « militants d’extrême droite » je suppose…
En gros notre opinion est qu’il est très heureux que le chef arabe (Abd el Kader) ait été pris.La lutte des Bédouins était sans espoir, mais bien que la façon dont la guerre a été menée par des soldats brutaux comme Bugeaud soit très condamnable, la conquête de l’algérie est un fait important et propice au progrès de la civilisation. Les pirateries des Etats barbaresques que le gouvernement anglais n’a pas contrariées aussi longtemps qu’elles ne gênaient pas ses bateaux ne pouvaient s’arrêter que par la conquête d’un de ces Etats. Et la conquête de l’Algérie a forcé les beys de Tunis et Tripoli, ainsi que l’Empereur du Maroc à s’engager sur le chemin de la civilisation. Ils ont été obligés de trouver d’autres occupations pour leurs peuples que la piraterie, et d’autres moyens de remplir leur caisse que les tributs payés par des plus petits Etats d’Europe. Et si l’on peut regretter que la liberté ait été détruite, nous ne devons pas oublier que ces mêmes Bédouins sont un peuple de voleurs dont les principaux moyens d’existence consistaient à faire des incursions chez les uns et chez les autres, ou chez les villageois sédentaires, prenant ce qu’ils trouvaient, massacrant tous ceux qui résistaient, et vendant le reste des prisonniers comme esclaves. Tous ces peuples de Barbares en liberté semblent très fiers, nobles et glorieux, vus de loin, mais vous n’avez qu’à les approcher pour découvrir que tout comme les nations les plus civilisées, ils sont mus par la convoitise du gain; simplement, ils emploient des moyens plus grossiers et plus cruels. Après tout, le bourgeois moderne, avec la civilisation, l’industrie, l’ordre et les « lumières » qu’il apporte tout de même avec lui, est préf érable au seigneur féodal ou au pillard de grand chemin, et à l’état barbare de la société à laquelle ils appartiennent.
F. ENGELS, The Northern Star, 22 Janvier 1848, in Marxisme et Algérie,Textes de Marx et Engels présentés et traduits par Robert Gallissot et Gilbert Badie, UGE, 1976, pages 25-26.
Vous voilà tous bien inquiets ! La France n’est pas seule dans le cas, l’Europe d’ici 15 à 20 ans instaurera l’étude en première langue de l’arabe et en 2ème la langue du pays concerné. L’Histoire relatera celle des pays arabes « européens », leur islamisation, leurs conquêtes, leur économie politique, leur vie sociale sans oublier L’ETUDE DU CORAN et SA PRATIQUE obligatoire.
Allez-y criez au secours, personne ne vous entendra !!!!
Certes, tout ceci est bien navrant, mais le problème ne date sans doute pas d’hier. La plupart des français sont nuls en histoire, en géo, en maths, en grammaire, etc. S’il n’y a pas une curiosité naturelle pour ces matières, les programmes, même cohérents, n’y pourront pas grand chose.
Peut-être que ces absurdités de réformes auront même pour effet, par le sabordage de l’enseignement de l’Histoire qu’elles instaurent, de réveiller une volonté d’en savoir davantage en s’abreuvant à d’autres sources, qui sait?
Votre constat n’est pas original mais il est bon de lire ici aussi une déploration en regard de la politique menée sous un gouvernement dont on attendait tout autre chose! Je suis professeur et adhérant au Snalc, j’ai voté pour Sarko en espérant que la gaucherie pédagogiste serait repoussée. Je suis un idiot qui estime que le chef de l’Etat, le chef du Gouvernement et les ministres de l’EducNat sont des TRAITRES!
Tout ou presque va dans le sens de ce qui aurait été mis en oeuvre avec une présidence PS. La fin du collège unique a été refusée par Sarko, des pratiques nouvelles destinées à casser le cadre d’un enseignement disciplinaire ont été mise en place. La » société change, le métier aussi »: argument de crétins au pouvoir qui vendent leur camelotte.
Oui, l’Education nationale va très mal et Chatel est content de lui.
C’est aussi cela la France.
Le monomotapia ! Vous connaissiez ? Non ??? Comment c’est possible ?? C’est
très important !!!!!
MARINE LE PEN ET HOP !! SARK0-KRAPOTO BASTA ! ; AINSI : OUF! MONOMO T’AS PAS !
http://www.youtube.com/watch?v=WK99XB2nwb4