Publié par Jean-Patrick Grumberg le 17 janvier 2012
Un homme a commis trois viols d’une extrême violence, en région parisienne, en l’espace de cinq jours fin décembre. 
 
La police parisienne traque le violeur en série. Elle a reçu instruction de garder le plus grand mutisme sur cette affaire qualifiée de « très sensible ». Très sensible ?
 
La réponse à cette question ne se déduit pas d’elle-même, tant les médias sont bâillonnés.
 
Jeudi dernier, Le Parisien publie un portrait robot du violeur. Immédiatement, la Police Judiciaire réagit : « Ce portrait ne ressemble pas à l'homme que nous recherchons, nous avons donc décidé de publier une photo du suspect », a indiqué au quai des Orfèvres, Christian Flaesch, directeur de la PJ. 
 
Pardon ? 
 
La police (pour que les choses soient claires, je précise que la police n’est que l’instrument de l’autorité politique) possède un portrait robot du violeur depuis fin décembre, portrait dont la publication permettrait d’aider à le localiser et l’appréhender, et il lui est interdit de le publier, alors que, selon les déclarations même de Flaesch, l’homme est dangereux ?
 
Pourquoi avoir fait courir, pendant quinze jours, un danger aussi grand aux parisiennes ?
 
Retour sur l’enquête. Voici ce qu’on nous dit :
 
Le 23 décembre dans la nuit, dans le 14e arrondissement, Camille, 29 ans, blonde aux yeux bleus, rentre chez elle. Alors qu’elle ouvre sa porte, un homme armé lui saute dessus, entre chez elle, lui soutire de l’argent et la viole, alors que des membres sa famille dorment dans la pièce à coté. Terrorisée, la jeune femme n’a pas opposé de résistance, explique la police. Il la force ensuite à se rendre à un distributeur pour lui faire tirer de l’argent. C’est à ce moment que les images seront capturées. Nous sommes le 23 décembre.
 
Le lendemain matin, dans le 16e cette fois, l’homme attaque une autre femme. Une autre blonde aux yeux bleus. Il lui prend sa carte bleue et tente de la violer. Elle se débat. Il la poignarde de 19 coups de couteau, et la viole. Laissée pour morte, elle rampe jusqu’à la loge de la concierge qui prévient la police.
 
Le 28 décembre, vers midi, l’individu aborde une jeune fille dans une cité d’Etampes. Il lui demande si elle connait Noumia (le prénom a été modifié). Puis il la force, avec son couteau, à monter chez elle. Là encore, la jeune fille se débat. L’homme la poignarde à deux reprises, tente de l’étrangler, et la viole.
 
Fait intéressant qui nous met sur une piste, l’homme, à chaque fois, s’excuse auprès de ses victimes de les avoir volées – mais pas de les avoir violées.
 
Voici maintenant ce qu’on ne sait pas :
 
Selon Atlas Shrug, qui cite un certain Cheradenine Zakalwe, lequel cite le Parisien, l’homme demandait à chacune de ses victimes sa religion et sa nationalité.
 
Si l’on met bout à bout les informations dont nous disposons, nous pouvons déjà nous souvenir que dans les pays nordiques, 100% de viols sont commis par des musulmans, au point que de nombreuses femmes – blondes – se teignent les cheveux en noir pour passer inaperçues.
 
J’ai publié ici il y a quelques semaines une vidéo de l’interview d’une policière scandinave qui expliquait que la couleur des cheveux et la tenue vestimentaire des femmes occidentales était perçue par ces violeurs musulmans comme une invitation, et qu’ils assimilaient un peu ces femmes à des prostituées. 
 
Cela pourrait expliquer pourquoi l’homme se déchaîne violemment et frappe de son couteau, ne comprenant pas pourquoi ses victimes se débattent.
 
Selon les préceptes stricts de l’Islam, selon la Sharia, auxquels heureusement l’écrasante majorité des musulmans désobéit, les femmes sont inférieures aux hommes, elles doivent se soumettre, et les frapper est autorisé, recommandé même dans plusieurs cas. Là encore, on peut supposer que le violeur parisien obéit à sa foi.
 
Enfin, le fait qu’il s’excuse d’avoir volé ses victimes, et pas de les avoir violées, conforte l’hypothèse : le Coran interdit le vol. Il est muet sur le viol, et dans les Etats islamistes, c’est la femme violée qui est punie – de mort, car elle a humilié sa famille.
 
Atlas Shrug déduit de cette suite de drames, que la police n’a pas immédiatement diffusé les photos du violeur (mettant en danger la vie d’autres jeunes femmes) pour des raisons politiques. Selon Atlas Shrug, si la police l’a caché, « c’est pour que les français n’aient pas l’idée de se demander s’il est vraiment si sage d’autoriser que la France soit colonisée par des migrants du tiers monde ».
 
Je constate, pour ma part, que ni SOS racisme, ni le MRAP ne sont élevés pour condamner la rétention, par la police, de la photo du violeur.
 
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous : 
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
 
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