Les mauvaises nouvelles venant de la Maison Blanche se succèdent à un tel rythme que parfois il m’arrive d’être las de les énumérer.
Mais comme je dois constater que nul en France ne les évoque, sinon pour les présenter sous un jour si biaisé et si imprégné de stupidité aseptisée, que j’ai l’impression que les journaux français parlent d’une administration Obama que je ne connais pas, et dont je n’ai jamais entendu parler, car elle n’existe que dans les colonnes du Monde, du Figaro, de l’Express et de quelques autres publications, qui sont à l’information ce que l’insulte est à la politesse, je dois me faire violence et en parler quand même.
En quelques jours donc, le merveilleux Président que le peuple américain a élu en 2008 s’est employé un peu davantage à sinistrer son propre pays, à dévoyer ses institutions et à mettre le monde un peu davantage en danger. Comment ?
D’abord en décidant de coupes dans le budget de la défense américaine. Ensuite en procédant à des nominations en violant la constitution des Etats-Unis. Enfin en décidant de suspendre la construction de l’oléoduc XL Keystone.
Commençons par le budget de la défense. Le 6 janvier dernier, Barack Obama a décidé d’amputer celui-ci de cinq cents milliards de dollars, ce qui débouchera sur une réduction du nombre de membres des forces armées de quinze pour cent, et conduira à l’interruption de plusieurs programmes d’équipement et d’innovation technologique. Obama a parlé de la nécessité de « tourner la page sur une décennie de guerre », comme si le monde était soudain devenu plus paisible. Il a évoqué aussi une « nouvelle stratégie militaire ».
L’ancienne stratégie consistait pour les Etats-Unis à disposer des capacités, si nécessaire, de mener deux guerres à la fois. La nouvelle stratégie ? Les Etats-Unis ne pourront plus mener qu’une guerre à la fois. Si une agression survient ailleurs ? Les Etats-Unis pourront faire de la « gesticulation ».
Nul doute que la Chine, la Russie et l’Iran sont très impressionnés. C’est sans doute pour cela qu’Ahmadinejad a fini par envisager d’accéder à la demande d’Obama, qui souhaitait récupérer le drone dont s’est emparé la République islamique : l’Iran va rendre le drone, mais à l’échelle de 1/80, sous la forme d’un jouet, un drone miniature que l’Iran a commencé à fabriquer pour les collectionneurs du pays qui veulent se moquer des Etats-Unis. Obama ayant deux enfants, il pourrait, très poliment, demander à Ahmadinejad un deuxième jouet, comme cela Sasha et Malia ne seront pas jalouses l’une de l’autre, et leur papa pourra leur faire un cadeau à chacune.
N’ayant aucune confiance en la « gesticulation » éventuelle, les pays du Golfe et l’Arabie Saoudite ont commencé à se rapprocher de la Chine.
Obama tourne la page effectivement. La présence militaire américaine au Proche-Orient appartiendra bientôt au passé. L’armée américaine est en train de perdre ses potentialités opérationnelles et sa capacité de dissuasion. Obama met, en supplément, la vie des militaires américains en danger, car un soldat moins bien équipé, dans une armée réduite, est plus vulnérable.
Passons aux nominations. Le Président des Etats-Unis peut procéder à des « recess appointments », nominations en période de vacances parlementaires, lorsque l’urgence l’exige et que le Congrès n’est pas en session : il doit sans cela faire ratifier toute nomination par le Congrès. Obama a procédé voici quelques jours, alors que le Congrès n’était pas en vacances parlementaires, à plusieurs nominations dont il savait à l’avance qu’elles seraient refusées par la Chambre des représentants républicaines.
L’une de ces nominations est celle d’un directeur au Consumer Financial Protection Bureau. L’homme choisi est un fidèle d’Obama, Richard Cordray. Son rôle sera de superviser toutes les opérations financières impliquant des prêts aux entreprises et aux particuliers. Le Consumer Financial Protection Bureau a été créé dans le cadre de la loi Dodd-Frank de réforme du secteur financier, loi que les Républicains contestent vivement en ce qu’elles donnent au gouvernement fédéral une position de pouvoir sans précédent sur tout le secteur financier. Les Républicains ont déposé des recours à la Cour Suprême en invoquant l’inconstitutionnalité de la loi Dodd Frank. Obama a donc nommé quelqu’un pour faire fonctionner une agence lui donnant une emprise sur la finance avant que la Cour Suprême se soit prononcé sur la constitutionnalité de la loi censée créer l’agence, contre l’avis de la Chambre des représentants, en invoquant des vacances parlementaires qui n’existaient pas.
Les autres nominations sont celles de membres du National Labor Relations Board, chargé de superviser les activités syndicales aux Etats-Unis.
Les trois membres nommés par Obama sont Sharon Block, Terence F. Flynn, et Richard Griffin. La Chambre des représentants, à qui les noms avaient été soumis, avait énoncé un refus, arguant que les personnes concernées étaient des membres permanents d’organisations syndicales et seraient donc juge et partie. Obama a passé outre en invoquant là encore des vacances parlementaires qui n’existaient pas.
Ce ne sont pas les premières fois qu’Obama viole la Constitution pour avancer vers les buts qu’il s’est fixé.
Il transforme un peu plus les Etats-Unis en ce que le journaliste David Freddoso a appelé un pays soumis à un « gangster government ». Encore quelques années d’Obama, et la réponse que Benjamin Franklin donnait, à une personne qui lui demandait quelles institutions étaient créées par la Constitution des Etats-Unis, « Une république, si vous pouvez la préserver » trouvera tout son sens : la république américaine appartiendra au passé.
L’avoir confié à un gauchiste venu des bas fonds de Chicago montrera que c’était la confier à quelqu’un qui ne voulait pas la préserver.
Venons en à l’oléoduc XL Keystone. Cet oléoduc est en construction depuis plusieurs années, et constituait un projet d’une importance stratégique majeure pour l’approvisionnement énergétique des Etats-Unis et pour le futur énergétique du monde. Des associations écologistes américaines avaient protesté contre sa construction et avaient fait pression sur la Maison Blanche pour que les travaux soient interrompus. Les syndicats, eux, faisaient pression pour que les travaux se poursuivent, car l’achèvement de l’oléoduc devait permettre la création de vingt mille emplois directs et de deux cent mille emplois indirects. En décidant de suspendre indéfiniment la construction, Barack Obama a décidé de donner raison aux associations écologistes. Sachant qu’il mécontenterait les syndicats, il a, selon diverses sources, acheté leur silence en pratiquant les nominations forcées et non constitutionnelles au National Labor Relations Board. Les grandes centrales syndicales ayant reçu quatre cent millions de dollars dans le cadre du « plan de stimulation » de 2009, qui a vraiment bien stimulé leurs comptes en banque, et le syndicat des travailleurs de l’automobile (UAW), l’un des plus importants d’entre eux, ayant reçu des milliers d’actions de General Motors et de Chrysler, dont il est, depuis, partiellement propriétaire, nul dirigeant syndicaliste ne protestera.
Cela fait donc deux cent vingt mille emplois perdus, du chômage supplémentaire, des investissements gaspillés.
Cela crée une situation de tensions sans précédents avec le Canada. Cela s’ajoutant à l’interdiction de toute exploration pétrolière sur le sol américain et dans le golfe du Mexique édictée par Obama, va rendre les Etats-Unis davantage dépendants du pétrole du Venezuela et du Proche-Orient. Le Canada va vendre son pétrole à la Chine et non aux Etats-Unis.
Les tensions autour du détroit d’Ormuz font monter le prix du baril. Le prix de l’essence à la pompe aux Etats-Unis a déjà presque doublé depuis l’élection d’Obama : il va sans doute faire des bonds vers le haut dans les prochaines semaines. Réussir en un seul geste à accroître le chômage, à faire baisser le pouvoir d’achat, à accroître la dépendance du pays par rapport à d’autres pays en général ennemis des Etats-Unis, à brouiller les relations avec le Canada et à renforcer la Chine, le Venezuela et l’Iran est une forme de prouesse que seul un homme tel qu’Obama pouvait accomplir. Le porte-parole de la Maison Blanche a évoqué des « énergies innovantes » de l’après pétrole qui vont créer des emplois : un correspondant présent dans la salle aurait pu lui parler de Solyndra, l’entreprise censée fabriquer des panneaux solaires qui n’a rien fabriqué du tout, et qui a coûté cinq cent millions de dollars de subventions qui se sont consumés dans une banqueroute frauduleuse. Il y a des dizaines de Solyndra aujourd’hui, et quasiment aucun emploi créé. C’est ce qu’on appelle se moquer du monde.
Dans la presse française, on a parlé de tout cela, disais-je. Sur le ton du journaliste domestiqué qui fait le beau en tirant la langue et en se mettant sur ses pattes de derrière devant son maître.
On a évoqué la « nouvelle doctrine » militaire d’Obama. En s’extasiant, bien sûr. On a parlé des nominations : en disant qu’Obama avait joué un bon tour aux Républicains ultra conservateurs (c’est un mot nouveau : comme il y avait des lessives qui lavaient plus blancs que blanc, il y a maintenant, pour la presse française, des politiciens conservateurs plus que conservateurs). La Constitution ? Qu’est-ce qu’un journaliste domestiqué en a à faire, de la Constitution américaine ? Et si Obama la transformait en chiffon de papier, je suis sûr que cela ferait des heureux à la rédaction du Monde et de l’Obamazoom. On a parlé de l’interruption de l’oléoduc XL en recopiant docilement la propagande issue du Bureau ovale : si Obama a pris cette décision (excellente, bien sûr, aux yeux d’un journaliste français roulant en Velib fourni par le grand Bertrand Delanoë), c’est à cause de ces immondes républicains qui ont voulu précipiter la décision au nom du profit, l’abominable profit.
Stupidité aseptisée, disais-je ? C’est encore bien trop gentil. Devrais-je écrire crétinisme criminel ? Je ne vois pas d’autres mots pour qualifier ceux qui saluent l’affaiblissement de l’armée qui défend la stabilité et la liberté du monde, la mise à mal d’une Constitution qui a fait des Etats-Unis depuis deux cents ans la « puissance de la liberté », la destruction de dizaines de milliers d’emplois et le renforcement de diverses dictatures anti-occidentales.
Dois-je le répéter ? J’ai vraiment hâte d’être en novembre, et j’espère vivement qu’un candidat républicain interrompra l’ascension de l’Arturo Ui du vingt-et-unième siècle.
Obama s’est rendu à Disneyworld jeudi, pour promouvoir le tourisme. S’il pouvait redevenir un simple touriste, le tourisme américain et mondial s’en porterait mieux. Disneyworld, comme Disneyland, s’ouvre sur Main Street USA, un hommage à l’Amérique de toujours, celle qu’Obama s’efforce de détruire.
Suis-je le seul à trouver qu’Obama n’est vraiment pas à sa place en ce genre de lieu ? Je préférerais voir Mickey Mouse président. C’est un personnage de fiction, comme Obama. Mais à la différence d’Obama, il n’a pas été doté de mauvaises intentions, et son créateur, lui, aimait l’Amérique.
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Guy Millière pour www.Dreuz.info
A propos de Keyston, Greg Gutfeld de « The Five » a sa solution.
http://www.foxnews.com/on-air/the-five/index.html?playlist_id=1040983441001&intcmp=features#/v/1402862389001/celebs-win-a-loss-for-america/
dire que les kennedy ont été abattus pour beaucoup moins que cela !!!!!!
Monsieur Millière, merci pour votre article.
Je connais les Etats Unis de l’intérieur et de l’extérieur, comme vous je suppose. Je suis déconcerté devant la grande partie des médias européens, vecteurs de la pensée unique.
Nous avons besoins de plumes plus acérbées et moins serviles de la tendance gauche-verte qui afflige la vieille Europe, laquelle est à l’image du paquebot Concordia de la Cie Costa, dirigé par un incompétent et se brisant sur un rocher.
Ma prière est que les Etats Unis trouvent un commandant en chef véritable et non pas un crooner qui se produit au pays des rêves, en l’occurence à Magic Kingdom d’Orlando. En fait Disney World se trouve à Kissimmee et non Orlando, ce qui fait l’objet d’un jeu de mot aux US: Kissimmee de jour et kiss me de nuit. Je ne sais si Mr Barry Obama connaît ce jeu de mot, mais il a besoin d’une presse très lèche pour faire avaler ses remèdes empoisonnés.
Merci pour votre réponse. J’aurais sans doute du écrire Kissimmee. Je ne l’ai pas fait, car je pensais que le nom Orlando était plus localisable pour l’auditoire francophone. Je me rends souvent à Orlando (et Kissimmee), mais je ne connaissais pas le jeu de mots. Newt Gingrich a dit qu’Obama aurait dû se faire prendre en photo avec Goofy et quelques autres personnages, et que cela aurait pu ressembler à une photo du gouvernement. C’est trop gentil pour Obama et son cabinet. Mitt Romney a dit qu’Obama aurait dû prononcer son discours à Fantasyland. C’est, là encore, trop gentil pour Obama. Ce qu’accomplit Obama n’a rien d’un conte de fées…
Vivant aux US et lisant aussi la presse française, je peux certifier que vous avez 100% raison…et vous êtes bien courageux de ne pas vous fatiguer à dénoncer cette horreur. Hélas, le pire est probablement à venir. En effet Mohamed Ben Obama met les bouchées doubles pour couler les USA et donc l’Occident qu’il hait par-dessus tout de peur qu’il ne soit pas réélu.
Apres avoir coulé l’économie des US, la NASA ainsi que les principaux programmes de la DARPA il vient de porter un coup mortel à l’outil militaire, le seul capable d’assurer la sécurité de l’ensemble de l’Occident. Mais j’ai bien peur qu’il ne soit en train de nous préparer le pire : sa rhétorique de confrontation entre Américains d’avis différents n’a plus rien d’un débat démocratique mais prend un tour de plus en plus violent. Faire « monter » les uns contre les autres de cette façon dans un pays où il y a tant d’armes est soit irresponsable, soit calculé. Il n’est pas impossible qu’il cherche à provoquer une guerre civile pour réaliser le rêve de tout frère musulman : la destruction de l’Occident « de l’intérieur et de leurs propres mains ».
Quand on a pour maitre de ceremonie , un prestidigateur capable, en moin d’un mandat presidentiel , d’augmenter la dette du pays de 500% , on ne peut s’attendre a ce que celui-ci ait un sursaut de conscience economique en fin de carriere . Obama est ce qu’il a toujours ete , le beau visage de l’amerique liberale qui force le reste de ses concitoyens a se repentir pour les pêches de son passé , Obama englobe pour cette amerique liberale , le visage du proletaire , victime de la cruauté de l’homme blanc conservateur , raciste voir même sioniste , il est le noir musulman que l’on stigmatise , il est celui qui fait mentir les intentions du crime et du terrorisme , ainsi , le moyen oriental musulman devient aux yeux du peuple americain , ce pour quoi il pretendait se battre en tuant des milliers d’innocents le 11/9 ; une simple victime de cette amerique cruelle et de ses alliés qui tentait seulement de faire regner la justice en punissant les coupables .
Cher Guy enfin au moins un Français qui a compris la philosophie de Obama. Il a hérité ce mal de son père qui était anticolonialiste et considérait les Etats Unis comme un pays truand qu’il faudrait détruire. En réduisant sa force militaire, le travail et les entrepreneurs il compte ainsi aider les syndicats, indirectement augmenter le chômage et rendre pauvre le peuple américain. Dans son discours au Caire il expliquait qu’il voulait donner aux pays musulmans la possibilité de monter la pente.
Merci, cher Emile. J’explique cela dans le premier livre que j’ai consacré à Obama: La résistible ascension de Barack Obama (d’où mon allusion à Arturo Ui). Je suis en train de finir le deuxième en ce moment.
Cher Guy, merci pour ton aimable reponse. J’aimerais bien lire ton livre. Je ne sais pas comment l’avoir. A mon tour si tu le desires je peux t’envoyer un de mes livres qui parle surtout de la deuxieme guerre mondiale en Tunisie ou ma famille avait passe des moments desgreables. Bon courage pour ton deuxieme livre au sujet de Obama. Qu’en penses-tu de nos amis republicains ? Je ne vois pas des calibres. Helas la presse americaine est tendancieuse, elle protege Obama.
Non GUY vous n’etes pas le seul à penser qu’Obama n’est pas à sa place!! Je pense meme que volontairement ou » inconsciemment »(j’ai quand meme quelques doutes), qu’il sabote son pays .Le resultat n’est pas subliminale,il est patent et visible!!!Depuis le debut de sa mandature il n’a eu de cesse de se rapprocher des pays islamiques,qui l’ont ballade ,le pire d’entre eux etant l’iran,à qui il tendit la main plus d’une fois,pour le resultat pitoyable que l’on sait.Il est grand temps qu’il s’en aille.
OUI, totalement d’accord.
OBAMA est un président très dangereux pour les Etats unis mais pas seulement, pour l’Europe qui a toujours besoin des valeurs que ce pays défendait et qui n’est plus.
On pourrait penser qu’Obama est un incapable et alors là on est gentil. Pour moi, il est bien pire car il est conscient des conséquences des mesures qu’il prend. GRAVISSIMO pour le monde occidental.
Une info qui corrobore les analyses de Guy Milliere : Quoi de mieux qu’un musulman pour représenter les US en Amérique latine :
20 janvier 2012
La diplomatie d’influence américaine enrôle Kareem Abdul-Jabbar
Du haut de ses 2,18 mètres, Kareem Abdul-Jabbar a régné sur le basket-ball états-unien au point d’être considéré comme le meilleur joueur de l’histoire au poste de pivot. Né Ferdinand Lewis Alcindor, en 1947, il s’est converti à l’islam en 1971. Quarante ans plus tard, il vient d’être nommé au poste d’ambassadeur culturel des Etats-Unis par Hillary Clinton.
Kareem Abdul-Jabbar endossera son nouveau rôle très prochainement à l’occasion d’une mission d’influence en Amérique du Sud où les Etats-Unis suscitent un curieux sentiment de rejet et d’attraction : « Je suis ravi et honoré de servir mon pays en tant qu’ambassadeur culturel pour le compte du Département d’Etat. Je suis impatient de rencontrer des jeunes du monde entier et de discuter des façons de mieux nous comprendre à travers l’éducation, le sport et une plus grande tolérance culturelle « .
Du 22 au 28 février, l’ancien sportif se rendra au Brésil afin de rencontrer la jeunesse vivant dans les quartiers déshérites de Salvador de Bahia et de Rio de Janeiro. Selon le Département d’Etat, Kareem Abdul-Jabbar mènera sa mission d’ambassadeur culturel tout au long de l’année 2012 dans plusieurs pays.
pas de l’histoire car c’est impossible a établir mais meilleur marqueur de points, ce qui n’est déjà pas si mal.
Allons Monsieur Millière,ne dites surtout pas que vous êtes las d’ énumérer ses bêtises, ces énumérations font mes délices car mes idées sur Obama sont identiques aux vôtres.J’ apprends avec plaisir que vous avez un autre livre en cours,je l’ attends………D.ieu fasse quele monde soit délivré de ce type, mais par moment j’ ai peur qu’il ne magouille pour se faire réélire.
Surtout continuez à le descendre, c’ est tout ce qu’ il mérite.J’ai des amis américains qui, hélas! sont démocrates et obamaniaques.Je ne parle plus politique avec eux.
Cordialement
Vous verrez en cas de réélection du messie qu’une fois que la situation sera suffisamment pourrie, il y aura d’infects cerveaux gauchistes pour nous concocter une nouvelle superstructure internationale englobant USA et EU et supprimant les derniers reliquats de démocratie en terre d’Amérique.
Ce genre de projets doit déjà exister dans des cerveaux malades et les tiroirs qui y sont associés…
Oui c’est ça Guy, c’est exactement ça. En ce qui concerne Keystone, même USA Today, & Huffington Post écrivent des articles qui sont loin d’être pro-Obama. Des milliards de taxe-revenue sont ainsi perdus, sans parler des emplois non crées. On n’a même pas besoin du pétrole Canadian, on a des milliards de barils de pétrole ‘untapped’ ! Peut-être essaye-t-il de s’autodétruire et nous avec ? On savait qu’Obama était un peu Loco, mais là il est devenu fou dingue. The Heritage Foundation rapporte que la production de pétrole/gaz sur terrains de l’état fédéral est de 40% de moins qu’il y a 10 ans.
Guy, ne crois-tu pas que cette décision lui coutera chère durant les élections ? On dirait presque qu’il le fait exprès.
Plus un mot depuis novembre 2009 sur le fait que le soi-disant « Président » ne l’est pas légalement, qu’il n’est qu’un usurpateur criminel parce que la Constitution exige que le Président, et le Vice-président, soient nés dans le pays de deux parents citoyens.
Alors que c’est cette violation-là de la Constitution qui permet toutes les autres, et qu’on ne comprend pas la passivité des Républicains face à ce saccage si on ne sait pas qu’ils en sont complices.
Par peur d’être taxés de « racisme » et surtout parce que leur candidat en 2008, John McCain, n’était pas éligible non plus, étant né au Panama.
Ce serait un tremblement de terre s’il s’averait exact qu’Obama est illegitime,enfin qu’il squatt la maison blanche!!!Mais les USA en ont vu d’autres,et ont la capacite de surmonter cette parenthese obamienne.Il semble vraiment curieux que son etat civil soit si conteste!!Dire pour seule defense et argumentaire que tout a disparu dans un incendie,me semble tres leger!!
Ce que les americains considerent avoir de plus precieux pour la bonne marche de leur pays c’est leur » constitution »,or il se trouve aujourd’hui qu’Obama joue les apprentis sorciers,tout comme ses freres des pays arabes,seulement eux ne sont ni ne seront jamais des democrates dirigeants de democraties.