Des centaines d'habitants ont fui leurs habitations dans le nord-ouest de la Tunisie, car un village entier a été occupé par des salafistes.
Dans le village de Sejnane, situé à l’extrême nord tunisien (gouvernorat de Bizerte), les islamistes ont imposé l’application stricte de la Sharia, la loi coranique. Ils ont édifié une prison sur des terres étatiques, dans laquelle ils emprisonnent les contrevenants à la Sharia.
Ils ont chassé les vendeurs et consommateurs d’alcool, fermé les magasins de cassettes et CD musicaux. Toutes les libertés individuelles ou presque, ont été révoquées.
Toutes toutes les jeunes filles doivent porter des robes longues et se couvrir la tête à l'école. Tous les élèves qui ne se présentent pas dans une tenue vestimentaire « règlementaire » sont renvoyés chez eux, a déclaré le chef spirituel Cheikh Abou Ayyad al-Tunisi.
Les salafistes ont également décidé que les enseignants masculins ne pourront pas enseigner dans les écoles de filles, et les femmes ne seront pas autorisées à enseigner dans les écoles de garçons.
Les hommes sont obligés de porter la barbe, et de faire la prière à la mosquée du village.
Par ailleurs, des « patrouilles de la pudeur » circulent en ce moment même dans le village et forcent les femmes à se couvrir la tête. Elles inspectent les voitures pour empêcher les couples non mariés de s'isoler.
Dans une requête urgente publiée par le quotidien Le Maghreb le 5 janvier 2012, et adressée au Président de la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme, les habitants de Sejnane demandent l’intervention de la société civile auprès du gouvernement, et de l’armée nationale pour les protéger des islamistes.
Des journalistes étrangers, notamment ceux de France 24, ont été empêché samedi 7 janvier d"entrer au village par un barrage établi par les insurgés salafistes.
Le silence des dirigeants islamistes, notamment Enahdha, face à ces dépassements insupportables, et surtout leur peu d’empressement à les dénoncer de manière claire et sans ambiguïté, encourage les abus des islamistes qui se réclament de l’idéologie la plus radicale de l’islam.
Les atteintes se multiplient un peu partout, et prennent aujourd’hui des formes diverses, qui vont des agressions verbales en direction des femmes, aux rituels de prière en pleine rue, jusqu’aux agressions physiques à l’encontre des adversaires politiques, et à l’occupation tapageuse des espaces publics.
En Tunisie pro-islamiste, les salafistes sont également à l'origine de la fermeture de la faculté de La Manouba, près de la capitale. La direction de la faculté de lettres de la Manouba, avait décidé la fermeture de l'établissement après des incidents provoqués par des manifestants islamistes salafistes qui contestent l'interdiction du Niqab à l'université.
Les partisans du Niqab (voile islamique intégral), qui occupaient depuis un mois les locaux de la Faculté de Lettres, ont quitté les lieux cette semaine, a annoncé le doyen de la Faculté, Habib Kazdaghli, saluant « une victoire de la loi et de la démocratie ».
Des incidents similaires ont eu lieu dernièrement à la faculté des lettres de Sousse (centre-Est du pays) et à l'université de Gabès (Sud), où les salafistes ont imposé la ségrégation des sexes dans le restaurant universitaire.
Le pessimisme est de mise, car il n’est pas nécessaire d’être expert en politique pour comprendre ce qui se trame dans les coulisses de la révolution tunisienne.
Lors d’un meeting populaire, en novembre 2011, Hamadi Jebali, actuel Premier ministre tunisien, a promis que « Jérusalem sera libérée de l’occupation juive ». Il a précisé que le processus de libération commencera par l’établissement du califat tunisien.
Le nouveau Président tunisien, Moncef Marzouki, a quant à lui appelé, le mois dernier, les Juifs tunisiens à revenir s'installer dans le pays. Aujourd'hui, quelque 1500 Juifs vivent encore en Tunisie, la plupart sont membres de la vieille communauté de Djerba. Israël est par ailleurs inquiet du sort de cette communauté réduite au silence.
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Ftouh Souhail pour www.Dreuz.info
Qu’est-ce qu’ils ont baisé le « meilleur-d’entre-nous »…
La France va se faire jeter de Tunisie et c’est très bien, il faut les laisser à leur triste sort, leur renvoyer leurs ressortissants à 40% pourris et ne plus aller se rôtir les corones chez ces ploucs qui ne rêvent que de nous renvoyer nos devises sous forme de plomb !
Ils sont chez eux. C’est le résultat d’une volonté électorale … résultat encensé aussi par une forte proportion des Tunisiens de France. Ils ont voté pour un mieux-être, et ils l’ont, ou sont en cours de l’avoir.
Que peut-on leur souhaiter, sinon de profiter de ces nouveaux bienfaits …. pour eux.
Certes, mais qu’ils aillent en profiter en Tunisie définitivement !
vous êtes complètement déglingué…!!! Vous dites; « Ils ont voté pour un mieux être et il l’ont » et encore: « on peut leur souhaiter de profiter de ces nouveaux bienfaits ». Mais vous habitez sur quelle planète…? Ils ont de plus en plus la nostalgie de l’époque Ben-Ali et suivez de plus prés ce qui se passe là-bas au lieu d’écouter tous les autres médias pourris.
Cet article n’est pas surprenant, par contre il ne laisse rien augurer de bon.
Cet émirat, probablement le premier d’une série d’autres, marque l’arrivée de l’hiver islamique.
S’il y a des réactions gouvernementales, sans doute seront-elles molles.
Comme l’écrit alahune, Juppé,le « meilleur-d’entre-nous » a été baisé.
Nul doute qu’il trouvera -si nécessaire- des mots pour expliquer qu’il s’agit de salafistes « modérés », avec lesquels un dialogue intéressant peut avoir lieu etc…
La Libye voisine semble prendre le même chemin, avec dans la foulée les rivalités claniques et inter-libérateurs.
à Ftouh Souhail : soyez prudent, même s’il est plus que probable que vous ayez pris des dispositions.
Je ne comprends pas que la revolution de la jeunesse pour la liberte ait ete confisquee par un systeme pire que le precedent.Je vois mal comment une societe aussi evoluee et moderne va accepter cette regression. Est- ce que dans un temps plus ou moins long n’y aura-t-il un risque de guerre civile ?
Dans ces pays, les femmes sont souvent le dernier rempart contre cette carence d’humanité.
J’avais une idée plus guillerette et souriante du « printemps » ou serions-nous en train de passer à une nouvelle ère glaciaire?
Lettre ouverte à la sénatrice socialiste Bariza Khiari,
Qui ose parler d’un » bon » islam ?!
Publié le 29 août 2011 par Hamdane Ammar –
Tout d’abord, excusez mon audace, car j’ai beaucoup hésité avant de vous
écrire, pour soulever le problème de l’Islam et pour répondre aux
déclarations que vous avez faîtes sur la chaine de télévision parlementaire.
En effet, vous avez dit qu’il y a une grande différence entre votre Islam et
celui qui fait débat actuellement à travers le monde.
Sachez Madame la Sénatrice, que je ne partage pas vôtre point de vue.
Je crois savoir, si mes sources sont fiables, que vous avez les mêmes origines
que moi : berbères. Eh bien, ouvrons les manuels d’histoire. L’Islam s’est
propagé en Afrique du nord par l’épée et il a soumis nos ancêtres communs
par la terreur, en appliquant à la lettre le Djihad. Sinon comment m’expliquer que Okba
le conquérant était devenu le libérateur et Koceyla, le patriote, était devenu l’ennemi de
son propre pays, passant aux oubliettes de l’histoire ?
Qui se souvient du prince Koceyla en Algérie ? Personne,
parce qu’il était Chrétien ! Mais une ville du sud algérien porte le nom
d’Okba pour le glorifier. Qui dit mieux ?
Ce ‘valeureux’ chef musulman Okba, pour mieux humilier et rabaisser plus bas
que terre nos ancêtres amazighs, à son retour dans son pays, emmena dans ses
bagages 25.000 adolescentes berbères comme butin de guerre, séquestrées au
cours de ses razzias qui furent vendues comme esclaves sexuelles sur les
marchés de Damas. Et j’en passe mais sans oublier la diabolisation bien
orchestrée de la Reine Kahina, par les envahisseurs de la Numidie qui
perdure jusqu’à nos jours.
Quant au Coran, c’est l’auberge espagnole, on peut y faire le marché à la
carte, suivant le goût et l’odeur du moment. La religion islamique est une
vraie lessiveuse des esprits…
Madame la Sénatrice, et avec votre permission, évoquons le sort réservé à la
femme en Islam. Et commençons par Mahomet, lui-même, ne s’est-il pas marié
avec Aïcha, la gamine de neuf ans, alors qu’il en avait cinquante deux ou
cinquante trois ? N’avait-il pas pris comme épouse Zineb, la femme de son
fils adoptif Zaïd, après l’avoir contraint à se séparer d’elle, par un
verset coranique ? Et combien d’épouses et de femmes esclaves, avait-il
possédé durant sa vie ?…
C’est une question que je me pose et que je vous pose et j’attendrai votre
réponse pour aérer mon esprit embrouillé.
Quant au statut de la femme,l’Islam a scellé son sort depuis 14 siècles.
Il n’y a qu’à voir ce que les versets coraniques ordonnent en ce qui concerne le témoignage,
l’héritage, la polygamie, le mariage, le divorce à son sujet…. N’est-il pas écrit dans
le Coran : « les hommes sont supérieurs aux femmes parce que Allah leur a
octroyé la supériorité sur elles. Par conséquent, il donne aux hommes le
double de ce qu’il donne aux femmes. Les maris qui souffriront de la
désobéissance de leurs femmes, peuvent les châtier : abandonner leur lit et
même les frapper. Il n’a pas été légué à l’homme pire calamité que la femme.»
Arrêtons de nous voiler la face et de radoter que c’est un complot ourdi par
nos ennemis que nous avons appris à ânonner haut et fort pour dédouaner
l’Islam de la situation d’infériorité qu’il a infligé à nos mères, à nos
épouses, à nos sœurs, et à nos filles depuis 14 siècles. Mais pour ma
part, je crois que nous parlons de l’Islam sans connaître sa matrice, la
bédouinité.
Je pourrai soulever d’autres questions qui fâchent, à l’exemple de
l’esclavage qui est codifié par l’Islam, le sort des juifs et des chrétiens
qui deviennent des dhimmis.
Quant au sort du renégat, il est vite expédié, car il est du devoir de
chaque musulman de lui couper la tête. On devient musulman par héritage et
pour l’éternité… Où sont passés les droits de l’homme et où passée la
liberté de conscience, de confession en territoires islamiques dont se
gargarisent les intellectuels musulmans confortablement installés en
Occident, terre par excellence des Infidèles, qui squattent à longueur
d’année certains plateaux de chaînes de télévisions avec la complicité des
journalistes en quête d’audimat ?
Mais moi, j’ai des trous de mémoire, excusez-moi, j’ai oublié qu’il y a une
vraie douceur de vivre en terre Chrétienne mille fois mieux qu’à la Mecque.
Alors de grâce, ces censeurs de conscience qui croient dur comme fer que
l’Islam est humaniste, pourquoi s’accrochent-ils contre vents et marées à
demeurer en Occident alors qu’ils seraient mieux lotis en terre d’Islam pour
adorer Allah en toute quiétude sans qu’ils soient gênés par le comportement
immoral des Occidentaux comme ils ne cessent de le radoter, aux pays du porc
et du vin?
Quant à moi, je les invite à me rejoindre dans l’enfer de
l’arabo-catastrophisme, je les y attendrai avec du lait et des dattes tout en leur souhaitant
la bienvenue au club des damnés de la terre, car de Tanger jusqu’à Djakarta, je n’aperçois
qu’aliénation culturelle, haine, sous-développement, misère et désolation.
J’arrête de divaguer mais pas avant de vous avoir dit, Madame la Sénatrice,
que la femme n’a pas le droit de fouler le paradis où elle sera remplacée
par les houris.
Heureux le musulman qui accédera au ferdaous, le jour du jugement dernier,
car il aura à sa disposition soixante douze houris et des rivières de vin ( verset coranique).
Et je vous défie de m’apporter les arguments contraires.
Arrêtez de faire de la manipulation, car tôt ou tard la vérité éclatera et
les Français de gauche découvriront le vrai visage de cette religion
basée sur les mensonges, l’exclusion et la barbarie quand ils seront devenus
des dhimmis mais ce jour-là, il sera trop tard.
Veuillez agréer, Madame la Sénatrice, l’expression de ma haute considération.
Hamdane Ammar
Merci Mr Hamdame Ammar pour votre post mais rassurez vous il y a beaucoup de gens qui pensent comme vous et j’en fais partie,malheuresement nous somme dirrigé par de lâches et des abrutis et je parles de tous les
politiques gauches confondus (il y a quelques exceptions mais trop peu)si on y ajoute certains journaleux ou les pseudo spécialistes on aura fait le tour.
L’islam n’est pas une religion mais une association de
malfaiteurs et de malfaisans et ce que je vois actuellement c’est la France qui pourri de l’intérieur
et qui à force d’abandonner ses valeurs chèrement acquises va revenir àu moyen-âge ….
Je serais curieux de savoir si la sénatrice a répondu et, dans l’affirmative, quoi ?
J’aimearais bien qu’en France on applique les mêmes règles à rebours à l’encontre des islamiste modérés en surface que d’aucuns persistent à nommer musulmans …
Quand je pense que les idiots tunisiens qui habitent en France et qui ont voté pour les islamistes j’halucine…
Maintenant qu’is ont eu ce qu’ils voulaient qu’ils dégagent
….parasites
Il va avoir du mal à assurer avec ses bijoux en 1000 morceaux… Ca me rend bien triste… 🙂
Bon soir, ou plutôt bonne nuit, Ftouh Souhail,
« Le nouveau Président tunisien, Moncef Marzouki, a quant à lui appelé, le mois dernier, les Juifs tunisiens à revenir s’installer dans le pays » écrivez-vous à la fin de cet article qui, par ailleurs, fait frémir.
Si je comprends bien cette phrase, elle signifie que Moncef Marzouki a invité les juifs tunisiens ou ex-tunisiens disséminés à travers le monde, à revenir dans le pays, c’est-à-dire en Tunisie « libérée » de Ben Ali.
Or « Arutz Sheva » du 20 décembre 2011 a annoncé exactement le contraire. Je copie l’article :
http://www.israelnationalnews.com/News/Flash.aspx/227437#.Tvo2bFvAzpg
Arutz Sheva, 20/12/2011
Tunisian President Calls to Jews to Make Aliyah
The new Tunisian President Dr. Munsaf al-Marzuki calls to local Jews to immigrate to Israel, says Chief Rabbi of Gerba, Rabbi Haim Bitan, after a meeting with the president.
According to Rabbi Bitan, Marzuki takes a strong interest in the Jews, and relates to them as citizens with equal rights.
Donc selon « Arutz Sheva » le nouveau Président invite gentiment mais fermement les juifs tunisiens à déloger du pays qu’ils estiment faussement être le leur et à monter en Israël. (Il considère apparemment qu’Israël est la vraie patrie des juifs – un bon point pour lui).
Question : Vous ai-je mal compris ? « Arutz Sheva » est-il mal renseigné ? Ou bien Moncef Marzouki se contredit-il ?
ALaHune
Bravo pour ce temoignage si lucide d’un musulman averti,avec l’espoir qu’il y en ait beaucoup d’autres pour se reveiller avant qu’il soit trop tard…
C’est très drôle de lire le commentaire de Myriam. Elle écrit :
« Bravo pour ce temoignage si lucide d’un musulman averti ! »
Non, il s’agit d’un Tunisien averti !
C’est comme si l’islam et, par conséquent, le musulman pouvait être lucide et aimer les juifs sans s’installer en dehors du cadre islamique.
Non Myriam, il ne faut surtout pas attribuer à l’islam et aux musulmans ce qui ne leur revient pas.
L’auteur de cet article est tout simplement lucide parce qu’il ose, justement, contredire l’islam et les musulmans.
Mais enfin… tous les musulmans n’ont pas la haine des juifs ! Heureusement…! Que la majorité des musulmans soit trop silencieuse ne fait pas débat, et que leur silence pose problème, à commencer par eux-même encore moins, mais de là à les accuser de manque de lucidité et de haine des juifs, je ne vois là que « racisme » – ou j’ai mal compris votre formulation.
La remarque de Myriam me paraît juste, car peu sont les musulmans qui dénoncent les excès de l’islam, et c’est ce qu’elle note.
De plus, le témoignage n’est pas celui d’un tunisien averti, mais d’un musulman tunisien averti. Ftouh est musulman, croyant et pratiquant, mais il aime la vérité et les hommes avant tout.
Cher Monsieur,
Vous comprenez qu’on ne peut être A et avoir les qualités qui sont à l’opposé de ce qui fait la quintessence de A.
Être musulman, c’est vénérer le Coran et Mahomet et donc adopter leur attitude humiliante des dhimmis, des soi-disant « protégés » juifs et chrétiens qui doivent payer la capitation en se rabaissant. En pays régis par l’islam, il n’y a point de citoyenneté pour les juifs.
Ne pas s’en tenir à ces enseignements, à ces pratiques et à cette vénération c’est être de moins en moins musulman. Mais voilà que les propos de Myriam et les vôtres voudraient encore attribuer les mérites de cette libération des carcans de l’islam, à cette idéologie irrespectueuse des êtres.
Rendez au courage des êtres l’hommage qui lui revient et ne l’attribuez surtout pas à l’islam.
Me suis-je mieux expliqué ?
« En pays régis par l’islam, il n’y a point de citoyenneté pour les juifs. ». Monsieur Hilout, vous dites n’importe quoi : en Egypte, il y a 70 Juifs.
Trêve de plaisanterie.
Comment qualifiez-vous ces musulmans qui ne vénèrent pas le Coran et Mahomet au point d’exiger l’application de la Sharia ? J’en connais, vous en connaissez, des dizaines. Comment appelez vous ces musulmans -certes ils sont peu nombreux mais nous en avons quelques uns, en France- qui luttent pour dénoncer l’islam politique et conquérant et exigent une lecture moins radicale du Coran, qui exigent une adaptation ?
Non, je ne peux mettre sur le même pied d’égalité le courage d’un non musulman et celui d’un musulman, lorsqu’il s’agit de dénoncer les monstruosités de l’islam. Le musulman qui se livre à cet exercice est bien plus courageux : il est plus exposé, il est plus proche, de par sa famille, les amis de ses proches, de la punition que les islamistes réservent aux dissidents.
Auriez-vous du mal à dire tout simplement Tunisiens, Egyptiens, Marocains, Français … opposés aux prescriptions islamiques ?
C’est cet type de confusion ou d’approximation linguistique qui permet à des militant musulmans et à leurs acolytes non-musulmans (ex Bertrand Delanoë) de mettre la main sur des cultures africaines, persanes, berbères, indiennes… pour les nommer « cultures d’islam » et de faire financer un ICI en plein Paris (Institut des Cultures d’Islam)
J’ai une série de tableaux que j’ai intitulée « Le phallus de Mahomet dans tous ses états ». Croyez-vous que mon prénom de Mohamed me permettra d’y être reçu comme une Mireille Mathieu chantant tous les zizis ?
Monsieur Hilout,
Votre analyse est parfaitement cohérente. Soit on est dans l’islam soit on se situe en dehors de l’islam. Certains musulmans tout à fait respectables n’acceptent pas bons nombres de « jurisprudences » de la charria. En cela, et au prorata de leurs revendiations, ils sont certes nés musulman mais sont néanmoins en dehors des canons de l’enseignement de l’islam donc « punissables » et en porte à faux avec la vérité islamique…si vérité il y a! On ne fait pas ses courses en dar al islma comme on le ferait avec un caddy chez Ramy Levy. La problématique du choix, la marloket, le pilpoul… ce ne sont pas leurs tasses de thé. ILs ne suivent pas les cours du Rav Dynovisz.TV,ils ne sont pas assez libres pour ca. La liberté c’est comme la musique,ça se travaille.
et les journalistes reprennent en choeur le bon mot d’islamisme modéré sans piger que c’était un sarcasme
Ils reprennent rapidement du poil de la bête. Des cons (français, européens, américains) leurs ont ouvert la porte, s’occupant,une fois encore, de ce qui ne les regardaient pas.
Je voudrais dire simplement combien je partage l’analyse de GERARD PIERRE et ajouter : Rendez vous est pris après les municipales de 2014 dans certaines régions de France, en particulier Roubaix et l’Ile de France ! ! ! ! ! Dormez braves gens, l’islam rampant est une chance pour la France ! !Personne ne veut voir que nous glissons avec la bénédictions de nos élus, vers une « balkanisation » du territoire national………..Quand la première enclave islamique sera instituée, il sera alors trop tard pour faire quoi que ce soit sinon que de se soumettre, mais nest-ce pas l’essence même de l’islam ? ? ? ? ?Alors aux futurs dhimmis, je dis dépêchez vous à apprendre quelques versets du saint coran ! ! ! ! !Kef-Ehmem.
@JPG
Cher monsieur,
Vous faites souvent référence à l’existence de musulmans qui ne sont ni fanatiques de charia ni de djihad. C’est vrai il y en a et tout le monde en connait au moins un. le problème et vous le savez mieux que moi, ils ne sont plus considérés comme musulmans et les autres musulmans doivent faire en sorte qu’ils rentrent le plus vite possible dans le rang, sinon, couic, leur sang devient LICITE. Tant qu’à être considérés comme apostats il serait nécessaire qu’ils aillent jusqu’au bout de leur réflexion et apostasient franchement comme d’autres l’ont fait avec un courage admirable (Wafa Sultan, Hayan hirsi Ali, Ibn Warraq et tant d’autres, anonymes, eux)
mais le risque est considérable et ce « coming out » est impensable en terre d’islam et pour longtemps encore…
Retour à la case départ, « l’islam est l’islam », point barre comme le dit si bien Erdogan. Et il n’y a pas de place pour ceux qui en ont une vision humanisée…
Quant à la haine du juif, consubstantielle à l’islam, elle ne pourra s’éteindre que par la disparition de l’un des protagonistes et de toute mon âme je ne souhaite pas que ça arrive un jour.
Pour terminer sur une note plus gaie, je suggère la création d’une pétition pour organiser un stage voyage d’étude dans le sud tunisien, pour nos élites islamophiles, la lumière du Bas Médoc en G.O.Eva Joly en pom-pom girl, Méluche en chef de claque (il en a une tête à…) etc, etc….
Sil est besoin de piqûre de rappel, on pourrait envisager des sessions de perfectionnement au Pakistan, en Somalie ou autre paradis islamique…
Cordiales salutations et encouragements
temanyik ya souhil ! vous avez chercher la democratie et ben c’est bien fait pour vos gueules !!
Permettez-moi de me mêler au débat entre Myriam/Grumberg et Hilout.
L’argumentation de Pascal Hilout me semble lumineuse.
Etre musulman, c’est s’inspirer – que dis-je ! – suivre à la lettre le Coran et la Suna (la tradition du prophète Mahomet). Aussi bien le Coran que la Suna vous ordonne de ne point prendre pour amis des juifs ou des chrétiens, d’exiger d’eux une taxe spéciale, de les humilier ; de laisser aux « idolâtres » le choix entre la conversion et la mort ; de battre votre femme si vous la soupçonnez de désobéissance, etc.
Si vous ne faîtes rien de cela, si pour vous le Coran, les Hadiths et la Sira sont des paroles en l’air, qui même vous font horreur – alors oui, Pascal Hilout a raison : vous n’êtes pas musulman. Vous avez décidé de suivre la voie qui, vous avertit Allah, mène droit à l’enfer.
Vous ne pouvez pas prétendre être A (Coran + Mahomet) et faire B.
le procès contre l’islam n’est pas mon propos. Je dénonce l’islamisme conquérant, intolérant,liberticide.Quant à l’islam en tant que religion, je ne pense pas qu’elle échappera à son aggiornamento comme l’a fait le christianisme
même s’il y a des réticences pour aller dans cette voie de discussion et de réinterprétation du texte. Condamner dans son essence même la religion équivaut pour moi à la même démarche sectaire et totalitaire que l’extrèmisme. Dénier au musulman la capacité de s’autocritiquer au sein même de son espace identitaire me semble pour le moins réducteur sinon une faute morale. On peut être musulman ou se définir comme tel sans prendre à la lettre tout ce qui est écrit dans le Coran heureusement. C’est valable pour toutes les religions.
Il y a une trentaine d’années, nous avions beaucoup d’amis tunisiens et algériens, mes parents immigrés juifs de tunisie avaient forcément beaucoup d’affinités avec eux, çà a toujours été des gens charmants et respectueux. D’ailleurs, à l’époque les relations juifs arabes étaient tout à fait sereines, il n’y avait pas encore les boucheries hallal et les arabes achetaient dans les boucheries cacher.Les deux communautés s’entendaient très bien C’est à partir de 67 que tout s’est gâté, les relations n’ont plus du tout été pareilles. C’est la guerre qui a tout changé, c’était politique et non pas religieux. Et ensuite c’est l’islamisme en tant que mouvement politique religieux qui a radicalisé les positions.
Finalement l’ex president Ben Ali n’etait pas si mauvais a sa place. Au moins il n’y avait pas de tueries et de retrogradation de la mentalite, des us et coutumes et de l’economie du pays.
Par contre M. souhail, vous dites « Le nouveau Président tunisien, Moncef Marzouki, a quant à lui appelé, le mois dernier, les Juifs tunisiens à revenir s’installer dans le pays. Aujourd’hui, quelque 1500 Juifs vivent encore en Tunisie, la plupart sont membres de la vieille communauté de Djerba. Israël est par ailleurs inquiet du sort de cette communauté réduite au silence ». Marzouki reve en couleurs car j’espere bien que le millier de juifs resident encore en Tunisie vont vite faire leurs valises avant que les salafistes gangrenisent le pays. Israel est inquiet et je le suis aussi a tres juste raison. Mais peut-etre que Juppe notre cher trinistre va mettre un peu d’ordre, apres le Hamas, il va bien s’amouracher avec les salafistes. C’est un Homo-Sapiens courageux. Je lui souhaite de rester la-bas. Au pays des aveugles le borgne est roi.