Algérie plus a appris de sources proches de sa famille, que Ahmed Ben Bella, après avoir été hospitalisé en Algérie, a été transféré début janvier par avion spécial dans un hôpital parisien.
L’ancien président de l’Algérie indépendante, terroriste dès 1949, responsable de crimes contre l’humanité, selon le député UMP Thierry Mariani, accueilli en France pour se faire dorloter … cela laisse rêveur.
Les massacres d’Oran du 5 juillet 1962, « les musulmans, notables, anciens combattants et en général ceux qui avaient participé d’une façon ou d’une autre à l’administration du pays furent rackettés, arrêtés, torturés, forcés de céder leurs biens, le plus souvent tués et leurs filles violées », décrit Mariani, c’est le FLN, et donc Ben Bella.
Les crimes atroces des fellaghas, les assassinats barbares, les tueries de Ben Bella, les attentats du Milk Bar ou de la Corniche, sont donc le tableau de chasse qui explique le silence des médias ?
Les milliers de Harkis assassinés au couteau sur la place publique, Ben Bella.
« Il y a eu, dans l’année suivant le cessez-le-feu, plus d’enlèvements et d’assassinats de musulmans pro-français, de juifs ou civils européens que durant toutes les années de guerre précédentes. Les spécialistes estiment à cent mille les victimes de ces massacres commis sur des populations désarmées,toutes assassinées dans des circonstances atroces » ajoute t-il.
Mariani souligne « le caractère réfléchi et prémédité d’une telle politique d’élimination fondée sur des critères religieux, ethniques et politiques », orchestrée jusqu’à « la disparition complète de la population européenne, de la population juive et des populations berbères ou arabes chrétiennes ». Et rappelle qu’en quelques semaines, « ce sont plus d’un million de non-musulmans qui fuirent le pays, victimes de la stratégie d’épuration ethnique pratiquée par le FLN »
Nous souhaitons à Ben Bella un bon traitement médical, un bon rétablissement et un bon retour chez lui, car l’intérêt supérieur de la nation prime, et la France a encore besoin de lui. François Hollande s’est en effet rendu en Algérie fin 2010, et il a rencontré l’homme aux mains pleines de sang (photo).
François Hollande, qui a passé huit mois à l'ambassade de France à Alger à sa sortie de l'Ena, avait expliqué lors de ce déplacement souhaiter restaurer et entretenir les relations de la France avec le FLN. S’il est élu à la présidence de la République, ce sera une de ses tâches importantes.
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enfin, JP, ou veux tu que Ben aille se faire soigner?
dans l’hospice de la planete, cad la France !
quand a (au fromage de) Hollande, meme pas elu, il commence deja, ca promet pour la suite……….
Qu’elle tête de c..n ce flamby!
C’est qui, qui va payer, après ce que doit la sécu. algérienne ?
En colère mais pas surpris … les gouvernements français adorent ce genre de brutes !
Si Hollande est élu par le peuple Français après ça, c’est que l’on ne verra pas le bout de 2012.
Leur crache dessus !
Inaldin’ mouk ! (putain de leurs mères !)
A vomir ! Tous les salauds de la terre, les terroristes bourrés de pognon couvert de sang, volé à leur peuple et à nous viennent en plus se faire soigner ici aux frais des contribuables dont les impôts n’arrêtent pas d’augmenter. Vous avez dit Honneur ? Respect des morts et des victimes ? Abject ! Tous nos « chefs » d’état ont encouragé ce « tourismes médical » ou de fin de vie avec les hommages de l’état en cadeau. Et les journaleux qui font silence ou violon selon la déraison d’état.
J’arrête, ça fait trop monter ma tension.
Se mettre 5 millions d’électeurs dans la poche pour peut-être en perdre 15 millions…
Si c’est sa façon de calculer, il faut en effet s’inquiéter de son programme économique !
L’arrogance de Hollande semble sans limite. J’espère que les élections vont lui apprendre à compter !
Et rappelle qu’en quelques semaines, « ce sont plus d’un million de non-musulmans qui fuirent le pays, victimes de la stratégie d’épuration ethnique pratiquée par le FLN »
………………………..en un peu plus de quelques semaines on pourrait donc vider Gaza…
et…en quelques mois (soyons généreux) la Samarie et la Judée seraient nettoyées de la foultitude d’ assassins et de squatters qui fait caguer l’humanité depuis 40 ans ….
oh! my God!!
quelle Tentation …
et quel bel exemple a suivre ..trés vite
Je me suis battu pour l’algérie française, normal l’Algérie a été fondée par La France. Ils ont « eu » leur indépendance et maintenant ils nous sont dépendants et on les a encore sur les bras.(Pas de gène cette élite algérienne qui vient constamment se faire soigner à nos frais dans nos Etablissements de santé. Ils faudra construire un Ambroise Paré à alger). La France de Louis XIII à Napoléon III s’est singulièrement peu occupé du flan sud et des barbaresques de Méditerranée orientale. Il est vrai qu’ils ne risquaient pas de prédire les 19,20è et 21è siècles.
Commentaire réaliste.
Je ne peux que vous renvoyer à la lettre qu’à écrite le Professeur Savelli à Monsieur, Bouteflika ,Président de la République algérienne.
La lecture est édifiante et permet de remettre les choses en place.
—
« Monsieur le Président,
En brandissant l’injure du génocide de l’identité algérienne par la France, vous saviez bien que cette identité n’a jamais existé avant 1830. Mr Ferrat Abbas et les premiers nationalistes avouaient l’avoir cherchée en vain. Vous demandez maintenant repentance pour barbarie : vous inversez les rôles !
C’était le Maghreb ou l’Ifriqiya, de la Libye au Maroc. Les populations, d’origine phénicienne (punique), berbère (numide) et romaine, étaient, avant le VIIIème siècle, en grande partie chrétiennes (500 évêchés dont celui d’Hippone / Annaba, avec Saint Augustin). Ces régions agricoles étaient prospères.
Faut-il oublier que les Arabes, nomades venant du Moyen Orient, récemment islamisés, ont envahi le Maghreb et converti de force, « béçif » (par l’épée), toutes ces populations.
« Combattez vos ennemis dans la guerre entreprise pour la religion….Tuez vos ennemis partout où vous les trouverez » (Coran, sourate II, 186-7). Ce motif religieux était élargi par celui de faire du butin, argent, pierreries, trésor, bétail, et aussi bétail humain, ramenant par troupeaux des centaines de milliers d’esclaves berbères ; ceci légitimé par le Coran comme récompense aux combattants de la guerre sainte (XLVIII, 19, 20) .
Et après quelques siècles de domination arabe islamique, il ne restait plus rien de l’ère punico romano berbère si riche, que des ruines (Abder-Rahman ibn Khaldoun el Hadrami , Histoire des Berbères,T I, p.36-37,40,45-46. 1382) .
Faut-il oublier aussi que les Turcs Ottomans ont envahi le Maghreb pendant trois siècles, maintenant les tribus arabes et berbères en semi esclavage, malgré la même religion, les laissant se battre entre elles et prélevant la dîme ,sans rien construire en contre partie.
Faut-il oublier que ces Turcs ont développé la piraterie maritime, en utilisant leurs esclaves. Ces pirates barbaresques arraisonnaient tous les navires de commerce en Méditerranée, permettant, outre le butin, un trafic d’esclaves chrétiens, hommes, femmes et enfants. Dans l’Alger des corsaires du XVI ème siècle, il y avait plus de 30.000 esclaves enchaînés.
D’où les tentatives de destruction de ces bases depuis Charles Quint, puis les bombardements anglais, hollandais et même américain….
Les beys d’Alger et des autres villes se maintenaient par la ruse et la force, ainsi celui de Constantine, destitué à notre venue, ayant avoué avoir fait trancher 12.000 têtes pendant son règne.
L’esclavage existait en Afrique depuis des lustres
Faut-il oublier que l’esclavage existait en Afrique depuis des lustres et existe toujours.
Les familles aisées musulmanes avaient toutes leurs esclaves africains.
Les premiers esclavagistes, Monsieur le Président, étaient les négriers noirs eux-mêmes qui vendaient leurs frères aux Musulmans du Moyen Orient, aux Indes et en Afrique (du Nord surtout), des siècles avant l’apparition de la triangulaire avec les Amériques et les Antilles, ce qui n’excuse en rien cette dernière, même si les esclaves domestiques étaient souvent bien traités.
Faut-il oublier qu’en 1830, les Français sont venus à Alger détruire les repaires barbaresques ottomans qui pillaient la Méditerranée, libérer les esclaves et, finalement, affranchir du joug turc les tribus arabes et berbères opprimées.
Faut-il oublier qu’en 1830, il y avait à peu près 5.000 Turcs, 100.000 Koulouglis, 350.000 Arabes et 400.000 Berbères dans cette région du Maghreb où n’avait jamais existé de pays organisé depuis les Romains.
Chaque tribu faisait sa loi et combattait les autres, ce que l’Empire Ottoman favorisait, divisant pour régner.
Faut-il oublier qu’en 1830 les populations étaient sous développées, soumises aux épidémies et au paludisme. Les talebs les plus évolués qui servaient de toubibs (les hakems), suivaient les recettes du grand savant « Bou Krat » (ou plutôt Hippocrate), vieilles de plus de 2.000 ans .
La médecine avait quand même sérieusement évolué depuis !
La France a soigné toutes les populations du Maghreb
Faut-il oublier qu’à l’inverse du génocide, ou plutôt du massacre arménien par les Turcs, du massacre amérindien par les Américains, du massacre aborigène par les Anglais et du massacre romano-berbère par les Arabes entre l’an 700 et 1500, la France a soigné, grâce à ses médecins (militaires au début puis civils) toutes les populations du Maghreb les amenant de moins d’un million en 1830 en Algérie, à dix millions en 1962.
Faut-il oublier que la France a respecté la langue arabe, l’imposant même au détriment du berbère, du tamashek et des autres dialectes, et a respecté la religion (ce que n’avaient pas fait les Arabes, forçant les berbères chrétiens à s’islamiser pour ne pas être tués, d’où le nom de « kabyle » – j’accepte).
Faut-il oublier qu’en 1962 la France a laissé en Algérie, malgré des fautes graves et des injustices, une population à la démographie galopante, souvent encore trop pauvre, – il manquait du temps pour passer du moyen âge au XX ème siècle – mais en bonne santé, une agriculture redevenue riche grâce aux travaux des Jardins d’Essais, des usines, des barrages, des mines, du pétrole, du gaz, des ports, des aéroports, un réseau routier et ferré, des écoles, un Institut Pasteur, des hôpitaux et une université, la poste…
Il n’existait rien avant 1830. Cette mise en place d’une infrastructure durable, et le désarmement des tribus, a été capital pour l’Etat naissant de l’Algérie .
Faut-il oublier que les colons français ont asséché, entre autres, les marécages palustres de la Mitidja, y laissant de nombreux morts, pour en faire la plaine la plus fertile d’Algérie, un grenier à fruits et légumes, transformée, depuis leur départ, en zone de friche industrielle.
Faut-il oublier que la France a permis aux institutions de passer, progressivement, de l’état tribal à un Etat nation, et aux hommes de la sujétion à la citoyenneté en construction, de façon, il est vrai, insuffisamment rapide. Le colonialisme, ou plutôt la colonisation a projeté le Maghreb, à travers l’Algérie, dans l’ère de la mondialisation.
Personne ne vous demande repentance pour avoir laissé péricliter l’Algérie…
Faut-il oublier qu’en 1962, un million d’européens ont dû quitter l’Algérie, abandonnant leurs biens pour ne pas être assassinés ou, au mieux, de devenir des habitants de seconde zone, des dhimmis, méprisés et brimés, comme dans beaucoup de pays islamisés. Il en est de même de quelques cent mille israélites dont nombre d’ancêtres s’étaient pourtant installés, là, 1000 ans avant que le premier arabe musulman ne s’y établisse.
Etait-ce une guerre d’indépendance ou encore de religion ?
Faut-il oublier qu’à notre départ en 1962, outre au moins 75.000 Harkis, sauvagement assassinés, véritable crime contre l’humanité, et des milliers d’européens tués ou disparus, après ou avant, il est vrai, les excès de l’O.A .S., il y a eu plus de200.000 tués dans le peuple algérien qui refusait un parti unique , beaucoup plus que pendant la guerre d’Algérie.
C’est cette guerre d’indépendance, avec ses cruautés et ses horreurs de part et d’autre, qui a fondé l’identité algérienne. Les hommes sont ainsi faits !
Monsieur le Président, vous savez que la France forme de bons médecins, comme de bons enseignants. Vous avez choisi, avec votre premier ministre, de vous faire soigner par mes confrères du Val de Grâce.
L’un d’eux, Lucien Baudens, créa la première Ecole de médecine d’Alger en 1832, insistant pour y recevoir des élèves autochtones.
Ces rappels historiques vous inciteront, peut-être, Monsieur le Président, à reconnaître que la France vous a laissé un pays riche, qu’elle a su et pu forger, grâce au travail de toutes les populations, des plus pauvres aux plus aisées – ces dernières ayant souvent connu des débuts très précaires -. La France a aussi créé son nom qui a remplacé celui de Barbarie.
Personne ne vous demandera de faire acte de repentance pour l’avoir laissé péricliter, mais comment expliquer que tant de vos sujets, tous les jours, quittent l’Algérie pour la France ?
En fait, le passé, diabolisé, désinformé, n’est-il pas utilisé pour permettre la mainmise d’un groupe sur le territoire algérien ? Je présente mes respects au Président de la République, car j’honore cette fonction ».
Un citoyen français,
André Savelli,
Professeur agrégé du Val de Grâce.
Décidément la France(surtout nos hommes politique)non contente de sefaire sodomiser elle paye en plus la vaseline.
Comment voulez vous que l’on nous respectent..PPFFFF
bravo !! bien dit !!hélas nous sommes vraiment cons
J’espère qu’il crève ce chien ,une ordure en moins çà ne fait
pas de mal….
Offensant pour le peuple chien, qui bien souvent se montre plus digne que celui des hommes…
“Nous souhaitons à Ben Bella un bon traitement médical, un bon rétablissement et un bon retour chez lui…, »
Je me retiens, quant à moi, de dire ce que je souhaite à cet individu, et cela n’est rien encore comparé à ce qu’il endurera après avoir comparu devant Celui qu’on ne trompe pas. Espérons que l’évènement ne se fera pas trop attendre.
Dans ce cas, il recevra des obsèques nationales, en France.
Je n’en doute pas un seul instant, il y a eu un précédent avec l’ignoble Arafat, alors pourquoi pas M. Ben Bella !
@ Atkiva: ça s’appelle du second degré, pas d’inquiétude, jpg n’a pas viré sa cuti.
Je le sais bien, j’ai le plus grand respect pour M. Grumberg.
Il a déjà bouffé sa grand mère en blaffe, et vendu les restes sur le marché d’alger! Avec hollande il aura un peu plus de rabe.
Que la France paie la facture? Non, bien entendu.
Mais de l’accueillir dans l’un de nos hôpitaux, ça ne me choque pas plus que ça.
A faire un « procès » à cette personne (qui a très certainement du sang sur les mains et de la haine dans le coeur), autant le faire lorsqu’il sera soigné.
De plus, cela fera un coup de pub sur la qualité de certains de nos hôpitaux.
Ceci n’est que mon opinion, m
« Cela fera un coup de pub sur la qualité de certains de hos hôpitaux ».
Surtout s’il en ressort les pieds devant.
Personne n’est à l’abri d’une petite infection nosocomiale. On croise les doigts!
Payer la facture? non, bien entendu.
Mais que le gouvernement accepte d’accueillir cette personne (qui a probablement du sang sur les mains et de la haine dans le coeur), ça ne me choque pas plus que ça.
A faire son « procès », autant le faire lorsqu’il sera en bonne santé. D’ailleurs, il aurait fallu le faire il y a bien longtemps!
Je comprends la déception, voire la rage de certains lecteurs mais cette visite médicale aura au moins l’avantage de faire de la pub à notre industrie médicale.
Et à faire venir encore plus de candidats aux soins gratos, non merci, c’est moi qui paye, entre autres.
@Souhaitons lui de tomber sur un interne fils de harki qui lui expliquerait, scalpel en main, comment ses séides, sur ses ordres , ont massacré les pères, oncles ou tantes dudit interne !
Quel immonde chiotte qu’est devenu la France ! La france de sarkosy et de Hollande est une sale putain
Bonne idée !
Why not ?
je vomis toute cette classe politique qui a vendu son ame au diable et aux arabes (c’est pareil), qui est prete encore à donner un bonnus aux algeriens pour quelques votes, tous ces hommes politiques, des vendus, des traitres à la France et aux Francais ont perdu leur honneur.
Arafat soignè a Clamart, Ben Bella soignè au Val de grace ? Toutes les ordures preferent la medecine française.Le trou de la Sècu va devenir un gouffre avec la quantitès d’ ordures de cette èspèce a soigner.
hollande : vieille pute gauchiste, j’espère que ta famille subira les atrocités commises par cette ordure, je suis un ancien appelé d’algérie , j’irai chi..er sur ta tombe et celle des tiens. La france est dirigées par des putes et des maquerelles , quel dégout je ressens en pensant à mes frères d’armes hachés menus et autres atrocités. Ces gens qui nous dirigent n’ont aucune moralité l’honneur ils ne connaissent pas , j’espère qu’ils auront la fin qu’ils méritent , le lampadaire ou l’égorgement.
Attendez il y a pire!!!message reçu aujourd’hui il va falloir prendre les armes contre ces traitres de l’umps
Les « Dieux » de la politique sont tombés sur la tête !!!
· Attention Sarko ! Le 14 juillet 2012, tu ne seras peut être plus là pour recevoir et applaudir tes « invités !!! » mais les anciens combattants et rapatriés encore vivants seront présents pour manifester leur opposition.
· PS: Merci à Dominique SOUCHET, député de Vendée, pour son intervention écrite du 8 mars 2011 auprès du ministre de la Défense et des Anciens Combattants.
> · Un vrai scandale
> · L’armée Algérienne invitée au défilé du 14 juillet 2012
· C’est la honte du siècle… Merci de transmettre à tous ceux qui étaient en Algérie… et à tous les autres ! ! !
· Honteux et Scandaleux !!!
· Projet de Défilé de l’ armée algérienne sur les Champs Elysée le 14 Juillet 2012
· C’est à se demander si nos « hauts fonctionnaires » sont bien issus d’une école Républicaine !!!
· Proposer que l’Algérie puisse faire défiler des troupes le 14 juillet sur les Champs Elysées est du niveau de la haute trahison !
· Une armée battue sur le terrain, ne peut se glorifier d’une indépendance acquise de politiques français parjures à la parole donnée!!!
· Chers amis,
· – Je fais part de ce message à » La voix du Combattant 18, rue Vézelay 75008 PARIS
– Quant à vous , chers amis , merci de le diffuser largement : Article dans l’ Hebdomadaire « Le point » N° 1964 du 6 mai 2010
– FRANCE-ALGERIE : symbole à double tranchant :
– L’ambassadeur de France à Alger, Xavier DRIENCOURT aurait proposé à Nicolas SARKOZY d’inviter
· l’armée algérienne à défiler sur les Champs Elysées le 14 JUILLET 2012.
· L’Algérie fêtera cette année-là le cinquantenaire de son indépendance.
– La FRANCE a vraiment perdu toutes ses valeurs et sa dignité.
– Quel respect pour nos Soldats tués, pour certains membres de nos familles assassinés ou égorgés,
· pour tous les attentats aveugles qui touchaient enfants et femmes..
– 48 ans après l’indépendance le non respect de nos lois républicaines par une immigration qui ne veut pas s’intégrer
· mais qui bénéficie de nos droits,mettant leurs devoirs dans le compte pertes et profits.
– Notre drapeau tricolore brûlé place du Capitole à Toulouse, les drapeaux algériens exhibés sur les Champs Elysées après le match Algérie/Egypte, par des Français, sur le papier, mais d’origine algérienne.
· A quand le drapeau algérien sur l’Arc de Triomphe à la place de nos Couleurs.
· Je crois que la FRANCE continue sa descente aux Enfers et a vendu son âme au diable.
C’est d’autant plus incroyable que hier, le Sénat a gauche à voter la pénalisation des propos contre les harkis.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/01/19/97001-20120119FILWWW00654-penalisation-des-injures-aux-harkis-votee.php
Une chose est sûre: je ne laisserai jamais personne dire que la France est une putain. Vous m’entendez ?
Que faites vous au juste à ceux qui disent que la France est une putain ? Ils sont dans vos banlieues, ils l’écrivent sur les murs, le chantent dans les chansons de rapp.
j’espère qu’avant de crever, il réalisera qu’il était entouré de médecins juifs pied-noirs; est-ce que l’hôpital dhimmi va lui servir des repas hallal? S’il y a une aide-soignante-résistante, souhaitons qu’elle lui glisse un peu de porc dans ses plats!
Il se croit déjà président ce pantin !
en quelque sorte oui….
Pour Hollande, hier Ben Bella. Aujourd’hui Hessel.
Le ratissage à coup de grands sourires et de congratulation mutuelle continue :
Les indignés, les militants « flottilles pour la paix », les héros des « guerres de libération », tout ce que la France compte de propalos et d’anti-isréliens.
Hollande aura t’il une pensée émue pour la famille Ortéga d’Oran (Mers el Kebir) en faisant des risettes au « grand » Ben Bella.
La maman fut tuée par le FLN à la hache en essayant de protéger son petit garçon. Celui-ci, saisi par les pieds, eu la tête fracassée contre un mur. La petite fille qui arrivait en courant du jardin, les bras chargés de fleurs, subit le même sort que son frère.
Le meurtre d’enfant devant les parents de cette manière particulièrement barbare n’est pas un cas unique.
A Oran, une autre famille (dont je ne me souviens plus du nom) fut égorgée après le viol des femmes et l’assassinat des enfants en bas âge frappés contre le mur de leur maison. La grand-mère qui vivait avec eux fut attachée à califourchon sur le poële à charbon jusqu’à ce que mort s’en suive…
Pourquoi les responsables de ces crimes abominables n’ont-ils pas été traduits devant une cour de justice ou éliminés ?!
bonjour barakat, je reprends votre dernière question à mon compte, et j’avoue que la même interrogation me tarabuste! J’habite à coté de Tel Aviv et on peut établir un parallèle entre toutes les gauches du monde et leur doctrine ouverte à toute forme de dhimmitude et de collaboration. La droite, au nom de la raison d’état n’a pas fait mieux, il n’y a ni raison ni justice en ce bas monde!
Nos hommes politiques sont des prostitués et sont prêt à tout pour arriver à leur fin (c’est pas nouveau).
La venue de ce salop est une honte pour le Français pas pour (le politique). Reste que, quand je lis certain commentaire, il y a encore parmi nous des anciens combattants d’Algérie alors qu’attendez-vous … pour aller lui rendre la monnaie de sa pièce ??? A cet enfoire !
qui paye ??? c ‘est la seule question intéressante maintenant. il faudra bien demander un jour à la sécurité sociale le détails de ses créances sur les pays étrangers et en particulier le maghreb
C’est un scandale de plus, la France n’a plus de C……..
hélas.
Si par malheur HOLLANDE le mou, nous pouvons dire pauvre France. Je me souviens trés bien en Novembre 54, je faisais mon service, je me trouvais dans les AURES quand MITTERRAND déclara l’Algerie c’est la FRANCE. Ce même guignol démis de ses fonctions le général GILLES commandant les troupes aéroportées dans le Constantinois pour avoir giflé le sous-préfet de Batna qui lui donnait des ordres impossibles. Vous voyez avec les socialos que des catastrophes.
Après 14 ans de socialisme qui a mis la Fran,ce à plat , Comment les Français seraient aussi b^tes pour revenir au socialisme qui prévoit de vendre la FRANCE.
Faut-il être MAZO
je suis écoeurée de voir où on en arrive.une seconde nuit du 4 aout serait bien nécessaire, mais pas avec les mêmes cibles.et ils sont tous à mettre dans le même panier et à jeter par dessus bord. bons pour leurs frères requins
Appelé du contingent, blessé au combat, invalide à 60 %, je lui crache à la gueule, ainsi qu’à ceux qui l’accueillent au mépris de tous nos morts.
L’ETAT ALGERIEN AVANT 1830 : UNE REALITE POLITIQUE INTERNATIONALE
Suite au commentaire de ce illuminé Théo, je porte à votre connaissance les précisions suivantes:
Il est écrit que l’Etat Algérien existait bien avant l’invasion colonialiste française. Ains, Mustapha LACHEREF, imminent professeur et ex-ministre de l’Education écrivait, dans son livre publié en 1965 par les Editions de Minuit et intitulé «L’Algérie, Nation et Société», que l’Algérie était, lors de son invasion, un Etat indépendant, reconnu internationalement, avec lequel nombre de grandes puissances, y compris le jeune pays qu’étaient alors les Etats-Unis d’Amérique, avaient signé des traités et entretenaient des représentations diplomatiques apurées de plus.
Récemment, une autorité supérieure a cru bon de remettre en cause cette version avérée de l’Histoire de l’Algérie et qui a servi d’argument aux leaders de la guerre de Libération nationale contre les autorités coloniales qui affirmaient :
– qu’elles avaient conquis un pays qui n’appartenait à aucun Etat organisé reconnu et
– qu’elles gouvernaient légitimement et légalement l’Algérie, et – que son intégration au territoire métropolitain était justifiée à la fois historiquement et juridiquement.
L’ALGERIE AVANT L’INVASION COLONIALE : UN ETAT MUSULMAN TRADITIONNEL
Peut-on dire que l’Algérie d’avant 1830 était un Etat moderne ? Loin de là ! Mais on ne peut nier son existence, dans le cadre de ce qu’on peut appeler la conception islamique de l’Etat à l’époque, conception qui, évidemment, n’a rien à voir avec la vision nationale et nationaliste actuelle de l’Etat. Il est connu que, dans ce système étatique, où la religion avait plus d’importance que l’attachement à un groupe ethnique, linguistique ou culturel, le musulman se sentait chez lui dans n’importe quel Etat de ce que certains ont appelé le «Commonwealth musulman». Les Musulmans pouvaient se déplacer sans grandes formalités d’un Etat musulman à l’autre, s’y installer et y travailler, sans contrainte ni limite aucune. Les carrières politiques, administratives et d’enseignant de Abderrahmane Ibn Khaldoun (1332-1406), comme d’Abou Abbas El-Maqqari (15781632), qui se sont étendues du Maghreb à l’Egypte, constituent des exemples de cette liberté de mouvement et de résidence qui a précédé de très longtemps les arrangements régionaux modernes.
En cherchant plus profondément, en peut trouver des centaines d’exemples d’hommes célèbres dans ce cas, y compris en remontant plus loin dans le temps : celui de Roukn Eddine El-Wahrani (décédé en 1119), originaire d’Oran, qu’il quitta à la suite de la conquête almohade de la ville, et qui fut un auteur reconnu (voir Les Maqqamate Baghdadia), secrétaire et biographe de Salah Eddine El-Ayoubi.
LES POUVOIRS ETATIQUES DU DEY D’ALGER
Parler d’occupation turque est simplement à la fois un anachronisme et une erreur politique que l’on peut qualifier de très grave, car cette thèse infirme toute l’idéologie nationaliste sur laquelle s’est fondée la lutte de Libération nationale. Voici ce que dit sur les attributions du Dey un document historique de l’époque, confirmant ainsi la thèse du FLN de guerre, défendue avec une grande érudition par Mostefa Lacheraf : «Le Dey se regarde comme souverain indépendant, allié seulement de La Porte, dont il ne reçoit aucun ordre, mais seulement des Capigi-bachis ou envoyés extraordinaires qu’il ne voit jamais d’un bon œil. II est maître absolu, commande les forces de terre et de mer, dispose des emplois et des grâces, récompense et punit à son gré et ne rend compte de sa conduite à personne». (Dans «Le Contemporain en Egypte, «Tome 6, Editions Lavocat, Paris, France, 1831, p. 72)
LE TRAITE DE PAIX DE 1801
D’ailleurs, ce qui confirme le fait que l’Algérie était un Etat reconnu internationalement et non un simple démembrement de l’Empire ottoman, comme l’a avancé ce même haut responsable, c’est que le différend qui devait conduire à l’invasion et à l’occupation de l’Algérie a eu pour cause première le non-respect par la France du traité de paix signé entre celle-ci, alors gouvernée par un Directoire que dirigeait Bonaparte, et la Régence d’Alger, traité datant du 17 décembre 1801. Ce traité avait garanti le payement par le gouvernement français des créances des sujets algériens. Ces créances de 7 millions de francs (approximativement 10 milliards de dollars d’aujourd’hui) avaient été reconnues par la loi des finances française du 24 juillet 1820, mais n’avaient pas fait l’objet de versements au gouvernement de la Régence d’Alger (voir Alfred Nettement : «Histoire de la conquête d’Alger», Lecoffre fils et Cie Successeurs, Paris, 1867, p. 143).
UNE AFFAIRE DE DETOURNEMENT DE FONDS AU DETRIMENT DE LA REGENCE
Il ne s’agit pas de rentrer dans les détails de cette affaire, qui avait été compliquée par le fait que les intermédiaires que le Dey avait désignés avaient bien reçu une bonne partie de cette somme , mais l’avaient détournée à leur profit, et avaient bénéficié de l’asile en France, sans aucun doute grâce à de hautes protections qu’ils avaient monnayées – payements dans lequel Deval, le fameux consul français, avait sans doute perçu sa part.
LE PRIVILEGE PROTOCOLAIRE DU CONSUL FRANÇAIS A ALGER
Le fait est que Hussein, qui avait été élu Dey le premier mars 1818, profita d’une visite de courtoisie que lui fit Deval le 27 avril 1827, à l’occasion de l’Aïd el-Fitr, pour, semble-t-il, soulever cette question des dettes françaises et demander l’extradition de deux escrocs qui avaient trouvé refuge en France, en même temps que poser la question de l’armement en canons de la concession de La Calle, qui était supposée être un simple entrepôt commercial et se transformait peu à peu en forteresse française sur le territoire algérien.
Il semble bien que l’audience accordée à Deval, et à la veille de l’Aïd, était une audience privée et nul d’autre que les deux hommes n’était présent, à l’exception d’un officier du protocole du Dey. Car, suivant un historien français : «Dans tout le Levant, dans les visites de cérémonie, le consul français a le pas sur tous les autres consuls, depuis une altercation qu’il y a eu entre un consul anglais et un consul de France Le Dey avait décidé qu’à l’avenir, le consul de France irait seul, la veille de ces fêtes, faire seul son compliment. Lors du Baïram de 1827, Monsieur Deval, notre consul, s’était présenté comme à l’ordinaire…». (Le Contemporain en Egypte ; op.cit. p. 23).
NULLEMENT UNE RECEPTION PUBLIQUE
Donc, contrairement à ce qu’ont constamment affirmé de nombreux écrivains, nul autre diplomate que Deval n’était présent à cette audience ; de plus, corroborant le caractère privé de cette audience, toujours suivant Nettement, «M. Deval, qui parlait avec une égale facilité le turc et l’arabe, s’exprimait sans l’intermédiaire d’un interprète» (dans «Histoire de la conquête d’Alger», Lecoffre fils et Cie Successeurs,
Selon l’ancien chef du Gouvernement algérien, Rédha Malek, des agents israéliens ont collaboré avec l’OAS pour ép^^echer l’indépendance algérienne.
C’est ainsi, l’’ancien Chef du gouvernement, porte-parole des négociateurs des accords d’Évian, est revenu, dans un entretien à l’APS, sur l’implication d’Israël dans les activités criminelles de l’OAS.
Il est revenu, en effet, sur cette révélation qu’il avait déjà faite dans son livre sur les accords d’Évian, précisant que des éléments terroristes israéliens de l’Irgoun de Menahem Begin se sont introduits en Algérie pour participer aux attaques terroristes perpétrées par l’OAS.
“Ces éléments s’étaient introduits sur le sol algérien pour contribuer à imposer la solution voulue par l’OAS à la question algérienne”, a-t-il déclaré. En plus de faire capoter les accords d’Évian, l’autre but de la présence d’éléments israéliens est, a-t-il révélé, de créer un État pour la minorité européenne au nord du pays.
“En 1960, c’était David Ben Gourion qui avait demandé, lors de sa visite à Paris, à de Gaulle de créer un État pour la minorité européenne au nord de l’Algérie”, a-t-il précisé.
Et, contrairement à l’effet escompté, les attentats de l’OAS ont réussi à précipiter le départ des pieds-noirs “au moment où l’attitude israélienne avait, aussi, dissuadé la minorité juive d’épouser les thèses indépendantistes du FLN, malgré l’engagement de quelques juifs algériens dans le combat pour la liberté”, a-t-il indiqué. D’ailleurs, même de Gaulle a demandé à Israël de cesser ces agissements. “C’était Charles de Gaulle qui avait envoyé un émissaire en Israël pour exiger de Begin d’arrêter d’envoyer ces éléments en Algérie”, a-t- révélé.
1. En perspective de la prochaine commémoration du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie, il m’est agréable de participer à élucider la réalité d’une France colonialiste, aveugle et négationniste qui a toujours voulu insinuer que l’Etat algérien n’existait plus avant la colonisation de 1830? Alors que ses troupes ont commis un viol caractérisé en débarquant ses ramassis de toute l’Europe pour venir donner un « leçon » au Dey d’ Alger quia commis « l’irréparable » en demandant à cette France arrogante de payer ses dettes concernant le blé algérien.
2.
2) Au sujet de cet Etat, il y’a lieu de préciser que l’Etat Algérien existait bel et bien avant cette colonisation meurtrière qui durée 132 ans?
Il a été établi que cet Etat existait bien avant l’invasion colonialiste française. Ainsi, Mustapha LACHEREF, imminent professeur et ex-ministre de l’Education écrivait, dans son livre publié en 1965 par les Editions de Minuit et intitulé «L’Algérie, Nation et Société», que l’Algérie était, lors de son invasion, un Etat indépendant, reconnu internationalement, avec lequel nombre de grandes puissances, y compris le jeune pays qu’étaient alors les Etats-Unis d’Amérique, avaient signé des traités et entretenaient des représentations diplomatiques apurées de plus.
Des historiens proches des colonialistes français affirmaient i:
– qu’elles avaient conquis un pays qui n’appartenait à aucun Etat organisé reconnu et
– qu’elles gouvernaient légitimement et légalement l’Algérie, et que son intégration au territoire métropolitain était justifiée à la fois historiquement et juridiquement.
3) L’ALGERIE AVANT L’INVASION COLONIALE : UN ETAT MUSULMAN TRADITIONNEL
Peut-on dire que l’Algérie d’avant 1830 était un Etat moderne ? Loin de là ! Mais on ne peut nier son existence, dans le cadre de ce qu’on peut appeler la conception islamique de l’Etat à l’époque, conception qui, évidemment, n’a rien à voir avec la vision nationale et nationaliste actuelle de l’Etat. Il est connu que, dans ce système étatique, où la religion avait plus d’importance que l’attachement à un groupe ethnique, linguistique ou culturel, le musulman se sentait chez lui dans n’importe quel Etat de ce que certains ont appelé le «Commonwealth musulman».
Les Musulmans pouvaient se déplacer sans grandes formalités d’un Etat musulman à l’autre, s’y installer et y travailler, sans contrainte ni limite aucune. Les carrières politiques, administratives et d’enseignant de Abderrahmane Ibn Khaldoun (1332-1406), comme d’Abou Abbas El-Maqqari (1578–1632), qui se sont étendues du Maghreb à l’Egypte, constituent des exemples de cette liberté de mouvement et de résidence qui a précédé de très longtemps les arrangements régionaux modernes.
En cherchant plus profondément, en peut trouver des centaines d’exemples d’hommes célèbres dans ce cas, y compris en remontant plus loin dans le temps : celui de Roukn Eddine El-Wahrani (décédé en 1119), originaire d’Oran, qu’il quitta à la suite de la conquête almohade de la ville, et qui fut un auteur reconnu (voir Les Maqqamate Baghdadia), secrétaire et biographe de Salah Eddine El-Ayoubi.
4) LES POUVOIRS ETATIQUES DU DEY D’ALGER
Parler d’occupation turque est simplement à la fois un anachronisme et une erreur politique que l’on peut qualifier de très grave, car cette thèse infirme toute l’idéologie nationaliste sur laquelle s’est fondée la lutte de Libération nationale. Voici ce que dit sur les attributions du Dey un document historique de l’époque, confirmant ainsi la thèse du FLN de guerre, défendue avec une grande érudition par Mostefa Lacheraf : «Le Dey se regarde comme souverain indépendant, allié seulement de La Porte, dont il ne reçoit aucun ordre, mais seulement des Capigi-bachis ou envoyés extraordinaires qu’il ne voit jamais d’un bon œil. II est maître absolu, commande les forces de terre et de mer, dispose des emplois et des grâces, récompense et punit à son gré et ne rend compte de sa conduite à personne». (Dans «Le Contemporain en Egypte, «Tome 6, Editions Lavocat, Paris, France, 1831, p. 72)
5) LE TRAITE DE PAIX DE 1801
D’ailleurs, ce qui confirme le fait que l’Algérie était un Etat reconnu internationalement et non un simple démembrement de l’Empire ottoman, comme a essayé de le faire croire des historiens et anciens colonialistes français, c’est que le différend qui devait conduire à l’invasion et à l’occupation de l’Algérie a eu pour cause première le non-respect par la France du traité de paix signé entre celle-ci, alors gouvernée par un Directoire que dirigeait Bonaparte, et la Régence d’Alger, traité datant du 17 décembre 1801. Ce traité avait garanti le payement par le gouvernement français des créances des sujets algériens. Ces créances de 7 millions de francs (approximativement 10 milliards de dollars d’aujourd’hui) avaient été reconnues par la loi des finances française du 24 juillet 1820, mais n’avaient pas fait l’objet de versements au gouvernement de la Régence d’Alger (voir Alfred Nettement : «Histoire de la conquête d’Alger», Lecoffre fils et Cie Successeurs, Paris, 1867, p. 143).
6) UNE AFFAIRE DE DETOURNEMENT DE FONDS AU DETRIMENT DE LA REGENCE
Il ne s’agit pas de rentrer dans les détails de cette affaire, qui avait été compliquée par le fait que les intermédiaires que le Dey avait désignés avaient bien reçu une bonne partie de cette somme , mais l’avaient détournée à leur profit, et avaient bénéficié de l’asile en France, sans aucun doute grâce à de hautes protections qu’ils avaient monnayées – payements dans lequel Deval, le fameux consul français, avait sans doute perçu sa part.
7) LE PRIVILEGE PROTOCOLAIRE DU CONSUL FRANÇAIS A ALGER
Le fait est que Hussein, qui avait été élu Dey le premier mars 1818, profita d’une visite de courtoisie que lui fit Deval le 27 avril 1827, à l’occasion de l’Aïd el-Fitr, pour, semble-t-il, soulever cette question des dettes françaises et demander l’extradition de deux escrocs qui avaient trouvé refuge en France, en même temps que poser la question de l’armement en canons de la concession de La Calle, qui était supposée être un simple entrepôt commercial et se transformait peu à peu en forteresse française sur le territoire algérien.
Il semble bien que l’audience accordée à Deval, et à la veille de l’Aïd, était une audience privée et nul d’autre que les deux hommes n’était présent, à l’exception d’un officier du protocole du Dey. Car, suivant un historien français : «Dans tout le Levant, dans les visites de cérémonie, le consul français a le pas sur tous les autres consuls, depuis une altercation qu’il y a eu entre un consul anglais et un consul de France… Le Dey avait décidé qu’à l’avenir, le consul de France irait seul, la veille de ces fêtes, faire seul son compliment. Lors du Baïram de 1827, Monsieur Deval, notre consul, s’était présenté comme à l’ordinaire…». (Le Contemporain en Egypte ; op.cit. p. 23).
8) NULLEMENT UNE RECEPTION PUBLIQUE
Donc, contrairement à ce qu’ont constamment affirmé de nombreux écrivains, nul autre diplomate que Deval n’était présent à cette audience ; de plus, corroborant le caractère privé de cette audience, toujours suivant Nettement, «M. Deval, qui parlait avec une égale facilité le turc et l’arabe, s’exprimait sans l’intermédiaire d’un interprète» (dans «Histoire de la conquête d’Alger», Lecoffre fils et Cie Successeurs,
9) Selon l’ancien chef du Gouvernement algérien, Réda Malek, des agents israéliens ont collaboré avec l’OAS pour empêcher l’indépendance algérienne.
C’est ainsi, l’’ancien Chef du gouvernement, porte-parole des négociateurs des accords d’Évian, est revenu, dans un entretien à l’APS, sur l’implication d’Israël dans les activités criminelles de l’OAS.
Il est revenu, en effet, sur cette révélation qu’il avait déjà faite dans son livre sur les accords d’Évian, précisant que des éléments terroristes israéliens de l’Irgoun de Menahem Begin se sont introduits en Algérie pour participer aux attaques terroristes perpétrées par l’OAS.
“Ces éléments s’étaient introduits sur le sol algérien pour contribuer à imposer la solution voulue par l’OAS à la question algérienne”, a-t-il déclaré. En plus de faire capoter les accords d’Évian, l’autre but de la présence d’éléments israéliens est, a-t-il révélé, de créer un État pour la minorité européenne au nord du pays.
“En 1960, c’était David Ben Gourion qui avait demandé, lors de sa visite à Paris, à de Gaulle de créer un État pour la minorité européenne au nord de l’Algérie”, a-t-il précisé.
Et, contrairement à l’effet escompté, les attentats de l’OAS ont réussi à précipiter le départ des pieds-noirs “au moment où l’attitude israélienne avait, aussi, dissuadé la minorité juive d’épouser les thèses indépendantistes du FLN, malgré l’engagement de quelques juifs algériens dans le combat pour la liberté”, a-t-il indiqué.
D’ailleurs, même de Gaulle a demandé à Israël de cesser ces agissements. “C’était Charles de Gaulle qui avait envoyé un émissaire en Israël pour exiger de Begin d’arrêter d’envoyer ces éléments en Algérie”, a-t- révélé.