Publié par Jean-Patrick Grumberg le 23 février 2012

Ce qui devait arriver arriva.

A force, à Champigny et ailleurs, d’attiser les haines contre Israël avec ces trains de mensonges sur des massacres de palestiniens qui n’existent que dans leurs cerveaux communistes (après tout, le parti d’Hitler s’appelait bien "Parti National Socialiste des Travailleurs Allemands"), de stigmatiser de jeunes arabes qui forcément épousent la souffrance inventée des arabes de là bas, et qui forcément s’en prennent aux juifs qui leur tombent sous la main,

A force de se livrer à une propagande anti-israélienne soutenue, qui, en attisant la haine d'Israël, pousse à l'acte antijuif,

A force, au Conseil Municipal de Champigny, de faire preuve d'un activisme antisionisme démesuré,

D’organiser des voyages à Gaza, de voter des motions pour la libération du terroriste franco-palestinien Salah Hamouri, du soutien, par le maire Dominique Adenot lui-même, d’une flottille illégale, dont la seule raison d’être est de briser un blocus sécuritaire, et permettre à l’Iran de livrer aux terroristes du Hamas des missiles pour « se faire du juif », 

A force de coopération et de solidarité avec le camp palestinien d’Al Fawwar à Hébron, d’où viennent de nombreux terroristes,

Puis de vouloir faire du terroriste Barghouti un citoyen d'honneur,

A force de semer la haine, la Mairie de Champigny a récolté ses fruits :

Le 4 février 2012 à 20h30, à l'intérieur de la Salle de Cinéma "66" de Champigny sur Marne, au cours de la projection du film « LA VERITE SI JE MENS 3 » les spectateurs ont rapporté au BNVCA (Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme) que des « individus » ont crié et répété « à Mort Les Juifs », perturbant la séance, obligeant la direction du cinéma à interrompre la projection du film et à appeler la police (qui n’a, conformément aux ordres reçus pour éviter les émeutes, procédé à aucune interpellation de flagrant délit).

Voici la partie de témoignage que le BNVCA a recueilli

« le film "la vérité si je mens" a débuté, et un groupe de jeunes s'est mis à crier deux fois de suite "à mort les juifs". Il y a eu une émeute, et la séance a été interrompue. Le responsable de l'établissement a aussitôt contacté la police. Ces derniers sont intervenus, ont pratiqué à la vérification de pièces d'identités, puis le groupe a été relâché. Une main courante a été déposée. »

Le BNVCA a demandé au Procureur de la République d'ouvrir une enquête, et à la Police de tout mettre en oeuvre pour retrouver les auteurs des faits et les mettre à la disposition de la justice.
Le BNVCA constate que la haine antijuive persiste en dépit des mesures prises par l'Etat et les Institutions.
Les propos antisémites se sont banalisés. Pour le BNVCA, la propagande anti-israélienne soutenue, voire relayée par des élus politiques, des universitaires et des syndicalistes, constitue la source principale de ce fléau, car en attisant la haine d'Israël, elle pousse à l'acte antijuif.
Le BNVCA a chargé le cabinet d'avocat de Maitre Baccouche d'engager les poursuites.

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© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

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