Je suis assis au café, à un des bouts du monde, en train de commencer ma journée de travail pour Dreuz.info.
La sono passe la chanson de Joséphine Baker « j’ai deux amours », créée en 1930 par Joséphine Baker, avec des paroles de Géo Koger et d'Henri Varna sur une musique de Vincent Scotto, et superbement reprise par Madeleine Peyroux.
Hier je me suis forcé à regarder jusqu'au bout une vidéo de haine du rappeur millionnaire Morsay, que je ne vous ferais pas l’injure de vous montrer.
Deux mondes : celui de la haine et celui de l’amour.
Je vous dédie cette vidéo, chers lecteurs de Dreuz, en espérant qu’elle apportera un soleil intérieur à votre journée.
Jean Patrick Grumberg
Merci JPG pour ces minutes de nostalj’!
On appellait ça » la revue nègre »! Il n’y avait pas alors de loi mémorielle, de loi Gayssot pour qu’un MRAP, une LDH ou un SOS machin intentent un procès à un parfumeur de talent -GUERLAIN- , coupable d’avoir dit que dans sa jeunesse il « avait travaillé comme un nègre »;
Il est vrai qu’à l’époque la justice « indépendante » n’était pas toute de gauche. Elle n’aurait pas osé se compromettre en recevant la plainte insultante de ces branquignols de gauche.
On voit chaque jour les dégâts qu’a pû faire cette « indépendance » des magistrats avec Eva Joly, archétype de ces dérives partisanes tueuses de nos Libertés.
Aux Milandes, en Dordogne, Joséphine Baker avait fondé une maison d’accueil pour ses nombreux enfants, tous adoptés.
La gauche compassionnellel n’avait pas encore été inventée!
Il me semble me souvenir que Guerlain n'a pas été tant attaqué pour avoir dit avoir travaillé comme un nègre, que pour avoir ajouté : "Je ne sais pas si les nègres ont toujours tellement travaillé, mais enfin.." Il est passé d'une citation certes devenue politiquement incorrecte, mais qui fait partie de notre patrimoine, travailler comme un nègre, faire un travail d'arabe, avare comme un juif, PD comme un turc, à un commentaire que je juge un peu raciste (mais pas non plus au point d'en sacrifier l'auteur à la vindicte), en ce sens ou le seul fait d'être noir suffit à disqualifier toute la race noire.
Vous avez raison sur la phrase, mais est-ce que cette fausse « raison » faussement raciste devarit « suffir » à faire condamner des paroles ordinaires, dans ce qui fut le pays des Droits de l’Homme?
Avant 1990, ces personnes au taux de mélanine supérieur au nôtre étaient, pour nos compatriotes des DOM-TOM, des Français à part entière. Pour les étrangers à la peau noire venus directement d’Afrique, ils étaient Français s’ils acceptaient de respecter nos lois de Laïcité, sinon ils restaient des étrangers.Leur couleur de peau ou de cheveux n’intervenait pas et l’on ne parlait pas de race, mais du refus de l’intégration pour ces gens.Point!
C’est la loi scélérate Gayssot, je le répète, a permis ces dérives judiciaires. Le terme de racisme façon MRAP ou LDH recouvre désormais la nationalité, les opinions politiques et les croyances, même les plus barbares. C’est la réhabilitation du délit de blasphème que nos anciens avaient mis 1789 ans à jeter bas!
Un député noir-mais-pas-nègre d’un département d’Outre-Mer aurait-il été instrumentalisé par le péhesse pour « dénoncer » les propos du Ministre de l’Intérieur, sans la loi Gayssot ?
Le coup de la gaffe de Guerlain est bidon. Cela n’avait rien de spontané. C’était voulu, tout comme les vomissures du martiniquais Letchimy contre Guéant. Les deux comédies ont le même but : réveiller le feu mis aux Antilles Françaises afin d’accélérer la sortie de ces régions du droit commun institutionnel.
Personnellement j’ai quelques amours, dont Israël, mais surtout Pa
Le coup de la gaffe de Guerlain était bidon. Il n’y avait rien de spontané dans cette comédie, tout comme les vomissures du martiniquais Letchimy contre Guéant plus récemment. Le but de ces honteuses comédies était de remettre le feu aux Antilles Françaises qu’on croit devenues tellement fébriles, et uniquement en vue de les éjecter du droit commun institutionnel. Le boulot de Sarko quoi.
Personnellement j’ai quelques amours et en premier Eretz Israel mais désolé Paris n’en fait plus partie.
Vous me copierez 200 fois: « Il n’y a pas de races; il n’y a qu’une race, la race humaine. »
Et vous amenderez en conséquence votre phrase fautive (ça, ça risque d’être amusant).
Vous aussi jouez avec les mots ?
Je retombe par hasard sur la réponse de 3,141592635.
Il ne joue pas sur les mots, il commet une erreur.
C’est vous, JPG, qui avez raison. On parle de « races » noire, jaune ou blanche, mais toutes ces différences sont rassemblées dans l’ESPÈCE humaine.
La race est une notion subjective plus que scientifique! Entre certains hommes de même « couleur » ou de même »race », le patrimoine générique peut varier de 5% alors que nous avons encore 98% de gènes communs avec notre ancêtre direct, le chimpanzé.
Pour conclure sur le sujet, tous les membres d’une même espèce peuvent se reproduire entre eux, hybridant les différentes « races ». Celà dit, on ne dispose actuellement d’aucune information permettant de savoir si un humain de « race » blanche a copulé avec une chimpanzée, bien que nos patrimoine génétiques soient très proches. Une culture ou une « civilisation » trop différente, peut-être ?
ce n’est pas franchement raciste : en Afrique, les mentalités sont moins propices au travail qu’en Asie ou en Occident. Ce n’est pas raciste de faire des observations générales. Pour moi, le racisme, c’est le processus d’enfermement d’individus dans des caractéristiques réelles ou supposées de sa race.
Si je n’embauche pas un noir alors qu’il envoie des signes positifs, simplement parce que je me dis que, statistiquement, il risque d’être moins bon, alors là c’est un peu raciste parce que j’ai accordé plus d’importance aux à priori raciaux (ou ethniques, c’est un peu la même logique) qu’à ce que la personne me livrait en mode sympathique. Je trouve que ce racisme, qui fut le cheval de bataille de la gauche, a raison d’être combattu, mais pas trop sévèrement. En effet, nul n’est capable de sympathie pure et parfaite. Mais on sait que l’utopie est endémique à la gauche.
Le deuxième seuil de racisme, c’est quand on combat volontairement la sympathie pour répondre à une idéologie politique. Là, c’est plus grave parce qu’oàn se transforme soi-même en machine.
il y a une autre approche du racisme, sur laquelle, heureusement, tout le monde nous fiche la paix, et qui concerne le désir sexuel. Il y a des gens qui ne voudraient pas coucher avec un/une asiatique, un/une black, un/une blanche (quoi que tout le monde veut coucher avec une blanche). Mais pas avec un blanc. J’ai déjà entendu des femmes blanches dirent qu’elles ne désiraient pas les blancs : seulement, les blacks ou sud-américains…
En plus, chose étrange, c’est souvent des blondes, à ce que j’observe, qui aiment les blacks.
Les femmes noires, il y en a plein qui n’en veulent pas mais elles ont des atouts pour convaincre. Pareil pour les femmes asiatiques. Les hommes asiatiques, en revanche, sont peut-être les moins appréciés.
Qu’est-ce que c’est, ce phénomène : c’est du racisme?
Moi, tout ce que cela m’inspire, c’est que la question du racisme me dépasse complètement.
Bientôt on devra changer le titre « J’ai deux amours, mon pays et Paris » par: « J’ai deux amours, Mohamed et Kadour«
Je trouve l’opposition entre ces deux approches de notre hospitalité parfaitement démonstrative !
Il y a et il y aura toujours de la place chez nous pour ceux qui aiment notre pays mais aucune pour ceux qui ne clament que leur haine de notre mode de vie dont ils profitent à l’excès tout en nous jalousant après avoir pris conscience de leur nullité atavique !
ah on sent l’Audiophile la….une bouffee d’air frais.
« Il y a et il y aura toujours de la place chez nous pour ceux qui aiment notre pays »
C »est avec ce genre d’idées que l’on détruit une Nation, qui est bien plus q’un conglomérat de gens qui « aiment » la France.
Le vrai problème est la substitution de population, un peuple c’est d’abord des personnes d’ethnies proches, le reste n’est qu’illusions.
Merci de nous rappeler au souvenir de Joséphine Baker!
Et merci aussi de m’avoir fait découvrir le personnage de Morsay (cela dit, il est aussi millionnaire que fin lettré).
En deux minutes de recherche sur internet, on s’aperçoit très vite que c’est surtout un gros mythomane qui n’a d’importance que celle que lui accordent les milliers de personnes qui regardent ses vidéos avec délectation pour se foutre de lui.
Il correspond en tout point à la description suivante (premier texte de la page) : http://marieaunet.blogspot.com/2005_09_01_archive.html
sympa!
Bravo et Merci monsieur Grumberg. Votre hommage a Josephine Baker est tout a fait merite. Vous avez oubliee Dee Dee Bridgewater a placer en duo avec Madeleine Peyroux.
Et moi, artiste ecrivain, musicien et peintre que le sujet a inspire. La visite de ma galerie a mon adresse Facebook (Jean-Francois Margainaud)vous fera decouvrir le tableau que je lui ai dedie.
Josephine, belle, drole, talentueuse, genereuse.
La preuve vivante qu’il est possible en France d’avoir la peau noire et de connaitre le succes en portant l’amour et la joie de vivre en musique au lieu de faire du bruit avec la haine.