Yuri Bezmenov, également connu sous le nom de Tomas David Schuman, est décédé en 1993. Il fut agent du KGB avant de faire défection au Canada en 1970.
Il consacre la dernière partie de sa vie à informer les américains sur les procédés du communisme pour assurer la perversion de l’Amérique, et ces procédés trouvent un écho dans une partie des procédés utilisés par l'Islam pour atteindre les mêmes objectifs, et dont vous trouverez un témoignage dans la seconde vidéo, qui n'est hélas pas encore disponible en Francais.
Voici un extrait de sa conversation avec Edward Griffin en 1984, sous titrée en Français.
Seconde vidéo, qui expose, aujourd'hui, aux Etats Unis, les procédés de subversion utilisés par l'islam :
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
Le texte (en Anglais) se trouve ici http://uselessdissident.blogspot.com/2008/11/interview-with-yuri-bezmenov.html
L’intégrale de la conversation aver Edward Griffin est ici : http://www.youtube.com/view_play_list?p=4CDAB99FAB5980BA
Brigitte Gabriel, chrétienne née au Liban, libérée par les Israéliens et finalement émigrée en Amérique, sait de quoi elle parle lorsqu’elle dénonce l’islamisation de son pays.
Cette conférence pendant laquelle elle s’élève passionnément contre l’endoctrinement de nos enfants, tant au niveau universitaire que secondaire, s’est tenue récemment dans une église protestante du Tennessee, et deux autres sont en préparation pour le mois de mars.
Je savais l’Education infectée, mais pas à ce point et je ne m’étonne plus du nombre de parents qui retirent leurs enfants de l’enseignement public. La clique Obama essaie d’ailleurs actuellement d’interdire l’enseignement à domicile.
SOS racisme, le MRAP, l’UE, la France…
notre liberté dépend une fois de plus des États-Unis : cela commence à devenir une habitude !
c’est encore pire pour les subventions dans les universités anglaises. Aux États-Unis, cela fut encouragé par George Bush.
la deuxième vidéo est effrayante ! Mais nous avons la même chose dans nos classes
Quelle pèche cette Brigitte Gabriel,il faudrait l’ engager comme porte-parole a l’Elysèe avec Philippe Karsenty comme Prèsident !
Quant à Bezmenov son tèmoignage est la description exacte de ce qui s’ est passè en Israel de 1978 a 1993 , du dèbut de chalom akhshav aux accords d’oslo. La stupiditè politique des israeliens et des juifs est proverbiale…
http://webresistant.over-blog.com/article-yuri-bezmenov-la-manipulation-de-l-opinion-en-occident-46263416.html
LA FRANCE AUX ORDRES D’UN CADAVRE
Le dernier livre de Maurice Druon (La France aux ordres d’un cadavre), ne manque pas de tonus pour dénoncer, avec courage et lucidité, la permanence de l’influence marxiste en France.
Tout a commencé il y a 80 ans lorsque, à Tours, les mouvements socialistes, au lieu de s’unir, comme il était convenu, pour le bien du genre humain, se scindent en deux tendances comparables aux mencheviks et aux bolcheviks : d’une part, la S.F.I.O. proprement dite et, d’autre part, la Section Française de l’Internationale communiste, devenue presque aussitôt le Parti communiste français, avec sa filiale syndicale, la Confédération Générale du Travail Unitaire (C.G.T.U.). Depuis, une grande partie de l’Histoire de la France se décide à Moscou et s’applique, grâce à des intermédiaires dévoués, à Paris. C’est le point de départ du dernier livre (La France aux ordres d’un cadavre, Éditions du Rocher et de Fallois, octobre 2000) de l’académicien Maurice Druon qui n’est autre chose qu’un diagnostic implacable de la France d’aujourd’hui. C’est la soumission continue de notre pays aux ordres de Moscou et à la pensée marxiste qui provoque l’ire de Druon. C’est la servilité de tous ces valets, de Thorez à Marchais, en passant par Duclos, qui a poussé l’académicien à écrire ce brûlot.
L’autre visage de l’Histoire apparaît clairement dès le Front populaire (terme inventé par Thorez) lorsque celui-ci est instauré pour servir la politique étrangère de l’URSS. Habiles, les communistes, en suivant les ordres de Staline, refusent de participer au gouvernement mais font adopter les réformes qui se révéleront catastrophiques pour l’économie française : baisse de la durée hebdomadaire du travail (elle visait à résorber le chômage, ce qui se révéla faux, déjà !), création de l’Office du blé, nationalisation de la Banque de France, nationalisation des industries de l’armement. Ce gouvernement ne dura que onze mois mais ses effets furent durables…
Pendant l’Occupation, les communistes creusent leur nid. Après avoir été les alliés d’Hitler (on oublie trop souvent en France que le PCF a été le seul parti allié du national-socialisme), ceux-ci deviennent leurs ennemis mais aux ordres de Moscou et dès la Libération réclament leur dû. Ils n’eurent pas l’armement dans le gouvernement de Gaulle, ni l’Intérieur, mais en compensation Thorez reçut la Fonction publique. Et c’est le 5 octobre 1946 que Thorez fait signer la loi sur le statut des fonctionnaires qui est encore valable aujourd’hui. Elle était faite pour que l’administration soit pléthorique et que les procédures soient toujours lentes et, surtout, à ce qu’on ne puisse jamais réformer l’Etat.
Peu de lois ont été aussi solides ! C’est la loi Thorez qui a installé le pouvoir syndical qui ampute celui des ministres, elle a créé les Commissions paritaires qui donnent aux syndicats une large part d’autorité, généralement paralysante, sur la gestion des personnels et la marche même des services (quand un ministre prend sa charge, il doit obligatoirement réserver trois précieuses heures pour entendre les représentants syndicaux exposer leurs revendications). Cette loi a représenté la création de l’Etat schizophrène qui survit encore aujourd’hui.
« Si la France décline, constate Druon avec lucidité et amertume, si elle n’occupe plus en Europe et dans le monde la place et le rang qui devraient être les siens, c’est en grande partie parce qu’elle est malade de sa fonction publique. Ses organes essentiels souffrent d »une infection pernicieuse ». Si la France est malade, c’est à cause de son administration énorme, de ses 20 000 emplois fictifs (des fonctionnaires mis à la disposition des syndicats alors que ceux-ci ne représentent plus que 6,1 % de la population active), de l’argent colossal qui est englouti par l’Etat.
Pourquoi s’obstine-t-on à sauvegarder des entreprises nationalisées qui coûtent très cher aux contribuables ? Ce sont les syndicats qui veillent : à la SNCF, il n’y a pas moins de 3 000 préposés, payés par l’entreprise, qui ne s’occupent de rien d’autre que du « dialogue social », et de gérer les dix à trente préavis de grève quotidiens, en période « calme », et jusqu’à cent dans les moments de crise. Si l’URSS a prôné le « stakhanovisme », les services publics français encouragent le « stakhanovisme » à l’envers. Moins on travaille, mieux on sera récompensé !
Dans un pays où l’égalitarisme fait figure de loi fondamentale, les riches s’exilent à l’étranger, avec les jeunes en quête d’ascension sociale, et les assistés augmentent. Comment ce pays pourrait-il être prospère quand les charges qui pèsent sur le contribuable s élèvent à 62 % du revenu moyen individuel ? Quel avenir pourrait-il avoir quand 20 % des élèves sont incapables de lire et d’écrire à la sortie de l’école primaire? « Désapprendre » a été et reste le mot d’ordre de l’éducation en France depuis que les syndicats s’en sont emparés et depuis que Marx et Lénine ont remplacé Tocqueville.
Une centaine de pages suffit pour rendre compte d’un désastre lorsqu’elles sont écrites avec colère, mais aussi avec beaucoup de talent, par un écrivain reconnu surtout pour ses talents de romancier. Et cette fois-ci, il ne s’agit plus d’un roi maudit, mais d’un pays qui paraît maudit, à la solde d’un cadavre idéologique qui bouge encore.
le NYT, vient de publier un article critique sur l’intimidation systématique des journalistes au moyen de la Loi contre l’espionnage par l’administration Obama :
http://www.nytimes.com/2012/02/27/business/media/white-house-uses-espionage-act-to-pursue-leak-cases-media-equation.html?_r=1&ref=todayspaper
Cette loi a été utilisée 3 fois depuis qu’elle existe par les administrations fédérales (l’exécutif). C’est la sixième fois qu’Obama y a recours en moins de quatre ans.