L’introduction en bourse de Facebook a créé plus de 1000 millionnaires en dollars, 1000 employés dont les parts dans la société les ont propulsé dans le monde envié des riches.
Mais avec cet enrichissement en capital arrivent les impôts sur leurs profit. Capital Gain en Anglais.
A cela une parade, les dons aux œuvres caritatives, déductibles des impôts dans certaines conditions.
Mark Zuckerberg, le propriétaire de Facebook a fait un don en 2010 de 100 millions de dollars à l’école publique de Newark, et a souscrit au programme Giving Pledge qui distribue une part des bénéfices de Facebook à des causes humanitaires.
Le capitalisme a créé 1000 nouveaux millionnaires de Facebook, et autant de nouveaux philanthropes.
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© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
Si j’avais de l’argent, je serais capitaliste ;-))) et alors ? On connaît tous des « blindés » communistes !
Dans la liste des « combles » on pourrait rajouter celui-là, non ? ;-)))
Zugerberg … il envoie des pépétes à Israel ? Il n’en dit rien, il vaut mieux pour lui, … avec tous les cafards, il pourrait craindre !!!
c’est pas en europe que cela arriverais!! sauf peut etre en allemagne ,et encore. bon, les crevards gauchos assistés vont encore y aller de leurs mauvaises jalouseries!
pardon pour le hors sujet. Cher Patrick vous devriez informer vos lecteurs sur la dernière édition du » Point » tout un dossier sur la shoah et les nouvelles révélations historiques sur le programme nazi contre le juifs.
Je n’ai que feuilleté l’article avant de lire le tout ce week end. Et je peut dire que c’est déjà poignant.
http://www.lepoint.fr/html/lepoint/en_kiosque.jsp
D.J
Pardon; cher Jean-Patrick et non patrick.
D.J
Neuf fois sur dix j’apprécie la concision incisive de vos articles. Mais le raisonnement binaire (0-1 informatique oblige)et l’enthousiasme réducteur dont vous faites preuve ici est intellectuellement malhonnête quant à l’oubli des millions de paramètres qui rendent le capitalisme aussi esclavagiste que tous les autres systèmes à ce jour.
Pour le reste, la Tsedaka remplace avantageusement la soit disant philanthropie.
esclavagiste le capitalisme ? Vous n’êtes pas souvent allé aux Etats Unis. J’y ai vécu en vrai capitaliste, et je n’ai pas eu d’esclaves. J’en ai très peu rencontré d’ailleurs. En revanche, en Russie…
Monsieur Grumberg, j’habite tout près au Canada et j’y vais souvent aux Etats. En terme de délabrement moral et social ça empire plutôt bien…la comparaison avec la Russie reste binairement inepte. Je ne m’intéresse pas au nombre d’esclaves que vous auriez pu avoir ou pas pu avoir mais à ce que de tels systèmes peuvent promouvoir comme modèle d’esclaves consentants de manière soft ou brutale.
Ce qui m’étonne c’est l’extraordinaire docilité des employés d’Enron floués de leur cotisations et présentement ceux de Caterpillar en Ontario.
Si refuser une baisse de salaire de 50% d’une entreprise hyper bénéficiaire relève du gauchisme
ad kahn.
Je partage ma vie entre les Etats Unis et Israël. Je ne connaissais pas la catégorie des esclaves consentants. J’aime apprendre des concepts nouveaux.
«En terme de délabrement moral et social ça empire plutôt bien…»
Pour vos camarades qui ont soigneusement organisé ce « délabrement », sans doute. Mais ne vous réjouisssez pas trop tôt, tout n’est pas encore dit.
Les laics critiquent la charité et les gauchistes critiquent la philanthropie pour éviter de mettre la main à la poche ou de retrousser leurs manches bénévolement. C’est tellement plus facile de tourner le dos et de rejeter la responsabilité de secourir le voisin sur « le gouvernement ».
J’ai choisi la liberté en allant vivre en Amérique capitaliste après avoir passé plus de 30 ans en Europe gauchiste, alors ne venez pas me faire rire avec votre « capitalisme esclavagiste ».
Et PVI, en Amérique il n’est pas de compagnie si petite soit-elle qui puisse se dispenser de contribuer financièrement ou autrement à une ou plusieurs oeuvres charitables de son choix. Individu ou entreprise, tout le monde donne : son argent, son travail, son sang, en fonction de ses moyens.
« tout le monde donne : son argent, son travail, son sang, en fonction de ses moyens. »
Et oui, comme quoi, la bonne conscience aussi a un coût.
Du moins ces soi-disant « acheteurs » de bonne conscience en ont-ils une.
j’ai jamais entendu qu’un esclave pouvait devenir lui-même entrepreneur quand il le désirait.
Et toutes personne dans les sociétés capitalistes a le droit de se retirer du système quand bon lui semble. Rien n’empêche personne de se retirer dans la nature en abandonnant le système capitaliste librement et vivre dans une grotte comme un cro magnon.
Un esclave est pas définition prisonnier de sa condition d’esclave. Il doit obéir à son maître point. Un employé dans une société capitaliste peut envoyer son patron chi…si il a envie.
D.J
Ce n’est pas le capitalisme mais les valeurs personnelles de chacun qui génèrent la philanthropie car si c’était le cas tous les capitalistes seraient des philanthropes et malheureusement on en est loin.
Il y a les capitalistes-entrepreneurs. Bravo à ceux-ci.
il y a aussi les anti-capitalistes fossoyeurs d’entreprises.
Nos gauches FR beuglent-elles à la désindustrialisation ? Où faut-il en trouver des acteurs inconscients, hors le rôle connu de nos syndicats-à-la-con?
Cherchez-les dans l’action schizophrénique des européens acquis aux thèses « réchauffement climatique » et un fatras de mesures anti-économiques que génèrent ces zozos ! EuropeEcologie y figure à l’avant-plan. Par la coercision idéologique et juridique qu’ils propagent, ces marsiens verts saccagent tout ce que d’autres s’évertuent à construire afin de résister aux assauts de pays à bas salaires (néanmoins armés de compétences industrielles devenues indéniables).
L’article suivant me vient d’un député européen anglais. Bonne réflexion, frenchies?
The De-Industrialisation of Europe by editor
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Name the guilty men: EU Environment Commissioner Janez Potocnik
We might as well hang up a sign in the airports: « Closed for Business ». While EU leaders pontificate about prioritising growth and jobs, we have climate mitigation policies in place that massively raise energy costs and force industries, companies, jobs and investment out of the EU altogether. In the name of environmentalism, we force them to go off-shore, to jurisdictions with lower environmental standards.
It’s a whole spectrum of energy-intensive businesses. Metals like steel and aluminium — a highly energy-intensive industry. Cement. Chemicals. Glass. Paper and wood-processing. We talk about « rebalancing the economy towards manufacturing » and in the next breath propose « a floor price for carbon ». Then we wonder why industry sails off into the sunset.
I have been writing about this for years, but it was brought home to me with added force at a dinner-briefing last night hosted in Brussels by EUROFER, the European Steel Association. Normally at these events there are speeches/briefings/presentations followed by a debate with interventions from the floor. In this case, after a couple of speeches, attention turned to dinner and the debate never happened. My carefully-crafted question was condemned to languish un-asked, so I’ll ask it now.
« Mr. Chairman, the Commission spokesman rightly pointed out that the EU today faces a crisis of low growth, low productivity and competitiveness, and high unemployment. Yet this is at the end of a decade devoted to the Lisbon Process, which aimed hubristically to create in Europe ‘the most competitive knowledge-based economy in the world’. Doesn’t this massive failure suggest that there may be something fundamentally wrong with the EU’s model of economic integration, rather as the current €uro crisis suggests something fundamentally wrong in the architecture of the Single Currency?
« Isn’t it the case that our climate mitigation policies are increasing costs, undermining competitiveness, and forcing energy-intensive industries like steel to relocate off-shore? »
It used to be nothing more than excessive regulation and taxation that made the EU an unattractive place to do business. Added to that, in these days of recession, all Western economies have a ball-and-chain around their ankle, marked « DEBT ». But in a triple whammy, we in the EU have deliberately and voluntarily added a new ball-and-chain to the other leg. This one is marked « Leadership in the fight against climate change ».
The EU loves to talk about « leadership », in climate policy and elsewhere. They’ve failed to notice, though, that no one else is following. Climate alarmism is falling out of favour in the rest of the world. Obama has abandoned Cap’n’Trade — and his critics on the green-left accuse him of losing interest in the environment entirely. We’re told that China is leading in the development of green technology, but they’re still building a new coal-fired power station every week, while their solar-panel factories go bust for lack of demand.
There’s no percentage in being the first lemming over the cliff, but that’s the position that the EU finds itself in.
I mentioned « jurisdictions with lower environmental standards », but last night I was able to put a number on it. A senior EUROFER official told me that in Europe, production of a ton of steel involves a ton and a half of CO2 emissions. The same ton of steel made in China involves four tons of CO2. More than double.
So let’s get this straight. We have a policy which destroys growth, jobs, investment and prosperity, and at the same time it potentially doubles emissions. Like so much in the EU, this is a lose-lose-lose policy.
I have often remarked that while organisations and businesses continue to genuflect before climate orthodoxy, individual spokesmen will express private doubts, and last night was no exception. The conventional view is being hollowed out from inside: the sceptics are winning hearts and minds. My EUROFER interlocutor (whom for obvious reasons I shall not name) said « We at EUROFER are committed to the fight against climate change. But personally I think it’s nonsense ».
So there you have it. We are de-industrialising Europe in the name of climate change, a bizarre collective paranoid psychosis whose time has come — and gone.
This article first appeared on ConservativeHome.
editor | February 2, 2012 at 6:00 am | URL: http://wp.me/p4OuB-12G
Pour 1000 nouveaux millionnaires en dollars, combien de millions de crève-la faim, de miséreux, de presqu’esclaves ?
Le capitalisme donne des preuves manifestes de sa nocivité, autant que le communisme et autres tyranies
Ah c’est vrai j’oublie toujours qu’ailleurs il n’y a pas de mendiants, quel étourdi je fais. Quand aux esclaves je suppose que vous parlez des esclaves consentants d’un précédent commentaire. Brrr qu’elle cruauté ! Mieux vivre en Iran.
Vous avez raison, il faut revenir au système du troc – ce qui d’ailleurs ne va pas tarder avec l’arrivée des barbus au pouvoir en Europe.
Vous avez même mille fois plus raison que vous ne pensez, vu que mille millionnaires en monnaie de singe ça vaut zéro. In God they gonna have to trust bad….
In God we trust, indeed, as we have in the past and as we will in the future.
As for you, you may trust that whatever the hardships, we will overcome them.
Lorsqu’on assiste ( JT TV 13h TF1 ) au dernier cirque d’Arlette Laguillier intronisant sa « suite mentale », avec 1500 supporters beuglant à chaque souffle de la candidate (comme le firent 25000 autres rouges lobotomisés au Bourget), je me dis que le peuple français aurait bien besoin de faire preuve de jugement et d’un soupçon de mémoire!
Le souvenir des goulags ne semble pas même pas les tarauder! Que ne disposons nous d’un système permettant de les y envoyer faire un stage de quelques mois en guise de se ressourcement!
« Camarades …. le gras du capitalisme … blablabla… »
Vomissements émis sans souvenir du taux de graisse ayant enrobé des Kroutchev, Molotov, Brejnev et camarades, en cet temps bénis où ils méditaient sur la misère de leur peuple en sirotant les degré de leur vodka!
c’est Marc Gates en photo ??
bill zuckerberg est parti…
RAZAK !!!!!
C’est Marc BILL, parti sans payer l’addition….