Le très beau château des Chirac où sont organisées des fêtes somptueuses,
payées par le département sur ordre de François Hollande.
« Est-ce que les Français peuvent citer une seule chose qu'il (François Hollande) aurait réalisée en trente ans de vie politique ? Une seule ? » Ségolène Royal.
« Moi je vote Hollande », Jacques Chirac.
Nous savons, pour en avoir été alerté par la cour des comptes, que la Corrèze, département de François Hollande, a le triste record d’être le département le plus endetté de France, soit trois fois plus que la moyenne nationale.
Il en coûte exactement à chaque corrézien 100 euros par mois de son budget pour éponger la gestion catastrophique du candidat de gauche, chouchou du moment.
Explication : la cour des comptes indique que l’endettement de la Corrèze était déjà très élevé en 2008, lorsque François Hollande en est devenu Président.
François Hollande a t-il pris les mesures qui s’imposent pour désendetter sa région, lorsqu’il a pris connaissance de la situation que lui a laissé son prédécesseur ? Bien au contraire !
Selon le rapport, il y avait, en 2007, 831 employés au conseil général. En 2009, un an après son arrivée, donc un an après avoir constaté que le déficit hérité était très élevé, il y avait 1218 employés dans les bureaux du conseil général !
Et c’est sans compter les petites caprices de Monsieur Hollande.
En 2008, donc avant même de regarder les comptes (à supposer qu’il ait jamais demandé à les regarder) il a offert 5400 ordinateurs tout neufs pour les collégiens de 5e et leurs professeurs, et il a recruté quatre techniciens pour assurer le bon fonctionnement de ces ordinateurs. « Et puis on ne compte plus les réceptions au château de Bity (note de JPG : château des Chirac où de somptueuses fêtes sont données, payées par la collectivité, ce qui fit dire à Jacques Chirac « moi je vote pour Hollande ») », raconte, amère, une habitante de la région qui a vu son budget mensuel fondre de 100 euros pour payer les largesses du « seigneur socialiste ».
"Je vote pour Hollande !"
La cour des comptes : François Hollande a creusé le déficit qui « s’est encore fortement accru en 2009 ».
Le Conseil Général a reconnu : « Nous avons hérité de cette dette que nous avons cherché à freiner ». En langage socialiste, freiner la dette, c’est multiplier par 1,5 le nombre de fonctionnaires – logique.
Mais pour réduire la dette, c’est bien connu, embaucher 50% de fonctionnaires supplémentaires n'est pas suffisant, et il faut également augmenter les dépenses : début 2011, alors que la crise économique fait des ravages partout en France, et que, rappelons-le, la Corrèze est déjà le département le plus endetté de France, François Hollande (près avoir offert 5400 ordinateurs aux élèves de 5e) offre 4000 Ipad aux collégiens de 6e et à leurs professeurs (je vous laisse faire la multiplication : 4000 X 499 Euros).
On ose à peine imaginer ce que François Hollande, s’il devient Président de la République, fera pour « freiner » le surendettement de la France.
Phénomène intéressant en tous cas, et qui confirme ce que le Professeur Guy Millière martèle inlassablement : en France, le débat économique se situe entre Keynésiens et Marxistes.
Je ne suis pas loin de penser que les français, dont 29% disent vouloir voter pour François Hollande, aient également une conception soit Keynésienne, soit Marxiste, de l’économie.
C'est formidable, en tous cas, de constater ce sens du sacrifice pour maintenir le train de vie de l'économie mixte socialiste, au point qu'ils sont prêts à payer toujours plus d'impôts.
Il serait tellement vulgaire de juger François Hollande sur la réalité de sa gestion corrézienne, quand ses promesses sont si rassurantes.
Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
mais alors certains commentaires sont contradictoires !
Noooon??
a ecouter les socialistes francais sur l.election de 20012 s.ils arrivaient au pouvoir il n.y aurait plus de pauvres plus de riches en france et tt seraitr pour le mieux selon eux mais qu.ontils fait apres pres de 14 ans de pouvoir: vrai ils ont creer le rmi la cmu et les 35heures socialement c.est tres bien j.enai mm profite ce qui d.ailleurs m.evitais de chercher du travail et c.est le cas de bcp de francais et autres mais ils ont qqmm creer plus de 3000000 de chomeurs hors eremistes c.est ca les socialistes
Avant Hollande c’était Jean-Pierre Dupont (UMP) qui a mis la corrèze dans la merde (n’ayont pas peur des mots)…
Votre article est faux un Ipad ne coute pas 990€ et surtout pas quand ils sont achetés en grosse quantité. L’entreprise dans laquelle je bosse les a touché à 150€/unité pour une commande de 1000 pièces donc 4000 pièces y’a encore moyen de négocier… Et je préfère à avoir à payer 100€ pour l’équipement des écoles que pour la rénovation d’une église ou d’une mosquée par exemple…
Ben voyons ! Voilà notre troll du jour!
Loin de moi l’idée de faire un Troll… En mettant en avant le fait qu’avant le PS c’était l’UMP qui gérait la Corrèze, je voulais juste démontrer que les politiques sont tous les mêmes. Ils endettent leur région ou leur pays mais de manières différentes. La gauche avec la culture, l’éducation… et la droite avec le capitalisme (je schématise je sais). Je suis d’orientation politique plus de gauche cependant je ne suis pas Pro Hollande (ça n’était pas le but de mon message). Et je suis assez intelligent pour reconnaitre que face à la crise actuelle “la gauche” n’aura pas les “capacités” à l’enrayer. Il faut prendre des décisions impopulaires que seule “la droite” saura prendre (ça me fait quand même un peu mal d’écrire ça).
Concernant les IPAD je vous assure que si il les a payer 990€/pièce les 4000 il s’est fait anarquer et je vous le concède ça fait peur pour la suite.
Cordialement
Très bien mais dans ce cas relisez mieux mon article. J’explique que les prédécesseurs avaient déjà gaspillé l’argent des contribuables mais que Hollande a fait pire, bien pire. Quand aux iPad la remise quantitative maximum est autour de 12% (pour la société qui les a commandé pour Hollande)
Mais Jean Patrice c’est la crriiiiseeeee l’excuse pour les uns vaut pour les autres voyons…
Vérifiez un peu vos sources, un iPad 16 Go coûte 489 € TTC, sans aucune remise. 990 € c’était la rumeur sur Internet avant que l’appareil soit lancé… en 2009 ! Au final lors de la commercialisation le prix fut moitié moins cher.
Oups, corrigé (vous aussi faites erreur, c’était 499 euros). Le gaspillage de Hollande n’en est moins lamentable.
Non, vous aviez raison au départ Monsieur Grumberg, les I pads quand ils ont été achetés, valait bien ce prix là , ils ont baissé depuis. De plus, je ne sais pas pourquoi mais quand une collectivité achète du matériel, il est toujours facturé plus cher qu’aux particuliers. et ce n’est pas parce que les premiers étaient mauvais qu’il faille être encore pire. ce raisonnement qui dit: oui mais ceux d’avant n’étaient pas bons, c’est de leur faute si nous sommes des nuls est vraiment nul à chier.
où alors ils ont gonflé la facture pour en mettre une partie dans leur poche, c’est encore assez courant !!!!
Wolverine, quand vous dites rénovation d’une église, c’est en général de la restauration d’un monument historique qu’il s’agit ; autrement dit, de la préservation du patrimoine national français.
En revanche, il n’y a pas de rénovations de mosquées,seulement des constructions nouvelles, sans aucun intérêt patrimonial, pour ne parler que de ce type d’intérêt-là.
Au temps pour moi concernant la rénovation d’une mosquée j’aurais effectivement dû utiliser le terme construction. Mais le principe reste le même. Je préfère être endetté pour que mes enfant aient de quoi étudier “correctement”.
je profite que l’article a été remonté pour relire les commentaires. Je pense que le public dépense sans se poser trop de questions et qu’il est illusoire d’imaginer qu’une remise ait été négociée.
Roselyne Bachelot quand elle achète des vaccins contre la grippe H1N1 pour tout un pays n’est pas foutue de négocier correctement son contrat et se retrouve à accepter des clauses totalement abusives, comme le transfert de responsabilité pour le risque médical du producteur vers l’acheteur, et n’a pas de clause de rupture décente !
Souvenons-nous également d’un projet, il n’y a pas si longtemps, d’équiper les 736 députés européens d’ipad, “pour un budget de 5 millions d’euros”. Faites le calcul, c’est dix fois le prix public.
Merci d’avoir censuré mon commentaire.
Chez vous la liberté d’expression s’arrête quand on relève les erreurs de vos articles ?
Je vous emmerde. Vous ne relevez pas des erreurs, vous tentez de desinformer et de noyer les faits : Hollande a saigné sa région et il ne doit sa survie politique qu’au refus des journalistes à examiner ses actions.
“Je vous emmerde” ! Tiens donc, on peut parler (écrire) gras, voire insulter. Dommage.
Ça, au moins, a le mérite d’être franc et direct.
J’adore !! MDR
Bravo a Grumberg pour le “je vous emmerde”. C’est rafraîchissant. Marre du politiquement correct.
Jean-Paul, pour avoir une liberté d’expression faut-il encore avoir quelque chose de valable à dire.
Bonjour Jean-Patrick,
ton article tape juste, et l’ump et le ps sont à renvoyer dos à dos, même si le ps, avec l’autre fromage mou aura sans doute le pompon, car il enverra, en tant que président du pays, bien plus plus vite la France dans le mur…
Mais était-il nécessaire d’écrire les premiers mots de ta réponse ?
Je pense, en tout cas, que le ps va passer…à cause entre autre d’une abstention record !!
Mais, comme je l’ai écrit ailleurs, c’est un mal nécessaire pour que les Français ouvrent les yeux !!surtout sur la menace islamiste !!!
J’apprécie particulièrement ce site, mais, sans vouloir t’ennuyer en aucune façon, tu devrais sans doute éviter, comme tu sais bien le faire d’habitude, de commencer une réponse de cette manière…
Je suis très impressionné par votre CV et alors que dire de votre analyse en 30 lignes… C’est du très haut niveau !
La démonstration qui se résume à :
1/ Je suis endetté
2/ J’embauche des fonctionnaires
3/ J’achète des ipad
4/ Conclusion : je serai mauvais président de la république
J’avoue avoir rarement vu une telle qualité dans l’analyse.
Toutes mes félicitations !
C’est un supporter de la droite qui m’a communiqué votre analyse…j’en ris encore :-))))
ahahahahah
OK, j’avoue, ma démonstration est nulle. Je la refais pour vous, avec des corrections qui vous conviendront, j’en suis sûr.
1/ Je suis surendetté
2/ J’embauche des fonctionnaires
3/ J’achète des ipad aux Français
4/ Conclusion : je serai un excellent président de la république
Vous ne voulez vraiment pas répondre sur l’embauche de fonctionnaires qui n’est pas un caprice idéologique, mais une nécessité partagée par tous les départements, et due au transfert de personnel TOS et DDE qu’impose la décentralisation?
Si non, tant pis, mais j’aurais apprécié.
Non je ne veux pas répondre sur le fait qu’en France il y a déjà au moins deux fois trop de fonctionnaires, pour assurer des tâches qui ne devraient pas être toutes de leur ressort, avec une paperasserie administrative étouffante et inutile. Non, je ne veux pas répondre sur ce caprice idéologique du toujours plus d’Etat sans l’autorisation des citoyens.
Ça c’est une chose, et vous avez évidemment le droit de vos opinions quant au modèle politico-social français.
Le mettre spécialement sur le dos de Hollande dans le cadre de sa gestion de la Corrèze est par contre une tartufferie.
Vous n’oubliez pas ce tout petit détail que région surendettée veut dire citoyens surendettés. S’il avait à cœur (ou conscience parce que ses derniers commentaires économiques me font penser qu’il n’y comprend rien, et se contente de lire ce que d’autres lui écrivent) de défendre le bien être de la population, il aurait du les désendetter. Ceci n’est pas discutable. Au lieu de cela, il leur a mis plus de dettes sur le dos.
C’est sûr, il aurait dû se torcher avec les actes de décentralisation et les jeter au visage de Sarkozy.
Cela dit, à mon avis, Hollande comprend très bien ce qui a trait à l’économie. Même si ce n’est pas spécialement un thuriféraire de Smith et Hayek, il est diplômé de l’ENA et HEC notamment. Ça ne veut pas dire que c’est un bon économiste, mais ça assure qu’il a au moins de solides connaissances dans le domaine (en tout cas plus que Sarkozy qui est avocat).
Le fait qu’il semble ne rien y comprendre lorsqu’il en parle, je crois que c’est dû à son charisme dont même notre ancien conseiller fédéral Merz n’a aucune raison d’être jaloux.
Pouvez vous m’expliquer que vous n’avez pas remarqué que la France recule depuis 40 ans, que le pouvoir d’achat des français est au 15e rang des pays les plus riches ? L’ENA et HEC ne savent pas mettre en place les conditions pour que les français soient plus heureux, et ils sont à la 47 place mondiale, sur 180.
Les connaissances des enarques et des HEC, en économie, sont un handicap: ils ne savent pas diriger une entreprise, seule organisation créatrice de richesse.
Je n’ai pas dit que ça faisait de lui un bon économiste, mais bien qu’il n’était pas un benêt qui répétait sans comprendre ce qu’un autre avait écrit pour lui.
Et je ne compte pas exposer ici des nuances sur ce que je considère être des différences fondamentales entre la gestion d’un état et celle d’une entreprise.
Bref, si cela vous convient, je vous propose, sans animosité aucune, de mettre un terme ici à cet échange, qui n’apportera plus grand chose, me semble-t-il.
“Vous ne voulez vraiment pas répondre sur l’embauche de fonctionnaires qui n’est pas un caprice idéologique, mais une nécessité partagée par tous les départements, et due au transfert de personnel TOS et DDE qu’impose la décentralisation?”
L’augmentation des embauches au sein des collectivités est un phénomène récurrent depuis de nombreuses années, il y a eu depuis 1998 environ 40% d’augmentation des effectifs.
Ici, la gestion de Hollande est remises en cause mais sincèrement, vous n’êtes pas obligé de vous arrêter à la Corrèze, il y a l’embarras du choix au niveaux des régions gérer par le PS…
Frais de cigares, cadeaux en tout genre, je vais citer quelques exemples :
-on peut évoquer les 32 000 PC portables offerts aux élèves de seconde dans le Languedoc Roussillon (aux couleurs rouges). But afficher, avoir un ordinateur portable en cours. Problème, il n’y a pas suffisamment de prises en cours. Bilan, on retrouve les PC restent à la maison et sont mis en vente sur Internet…
-Dans le Var, le conseil général accorde à ses agents, 59 jours de congé par an (12 de plus que ce qui est prévu par la loi). Par ailleurs, les arrêts maladie représentent en moyenne 18,6 jours d’absence par agent et par an, soit 13,6 millions d’euros pour 4330 salariés.
-La personnalisation des TER de Haute-Normandie, 0,6 millions d’euros pour imprimer des auto-collants géants afin de recouvrir toutes les rames.
enfin bref, c’est juste quelques exemples, il y énormément de gâchis…
Au pouvoir d’une petite minorité corrompue, la démocratie substitue l’élection par une masse incompétente, écrivait GB Swhaw.
Cet aphorisme prend tout son sens avec la république des profs soixant’huitards de Jospin, qui nous a conduit directement aux primaires du péhesse. Une bonne dizaine de fonctionnaires de la politique qui se sont battus comme des punks se disputant un joint. Résultat de la foire d’empoigne : Hollande vainqueur par jet de l’éponge de celui qui était désigné dès avant le vote : DSK!
L’incompétence du pehesse en matière d’économie n’est plus à démontrer. Ils ont deux ou trois “pointures: DSK, Lamy pour ne citer qu’eux, qui “gèrent” le fric des multinationales au mieux des intérêts des dites.MAis il n’ont personne pour servir les intérêts du populo. Personne! On a vu Aubry et les 35 heures, Mitterrand et la retraite à 60 ans, qui ont conduit à la désertification industrielle de la France.
Sur le plan des libertés, on n’a encore rien vu! Eligibilité et Vote des étrangers, CMU étendue à tous les clandestins, dépénalisation des drogues…
Et puis la mort de la laïcité versus péhesse. Hollande a déjà recruté Dounia Bouzar pour rédiger l’épitaphe de la loi de 1905. Glavany ex ministre de l’agriculture mais maître à penser, a édicté les “dix commandements” Si!Si! pour faciliter l’arrivée massive d’étrangers!
Une perle des dix commandements du péhesse:
“La différence donne des droits !” Rien que ça!
Les devoirs des immigrants dans le pays qui les accueille, Glavany ne sait pas ce que c’est !
On savait qu’ils voulaient une France carpette -ou tapis de prière, mais là, on va être servis!
Merci JPG pour ce rappel!
Peut-on rajouter que G Dalongeville ex-député péhesse, décrit dans « Rose mafia » un système de corruption, « un dispositif habituel, avec enveloppes d’argent en espèces, marchés truqués et clientélisme » mis en place dans le Nord, écrit-il, en assurant que Hollande, 1er secrétaire ne pouvait en ignorer l’existence.
Pour paraphraser un autre grand auteur J Prévert, « quelle importance qu’ils défendent une mauvaise cause, puisqu’ils sont de mauvaise foi !- Et qu’est-ce que ça peut faire qu’ils soient de mauvaise foi puisque c’est pour une mauvaise cause ! »
Oui c’est devenu la France serpillière. Je réitère : pas de chefs dans ce pays depuis des décennies. Mais cette absence profite aux petits chefs et leurs délires.
pour les prochaines élections, j’ai l’impression d’avoir à choisir entre la peste et le choléra.
Dans tous les cas, c’est gaspillages divers et anti sionisme imbécile.
Pas le moral !
JP, Hollande est ce comme le fromage? (dixit feu Fernand Raynaud)
si oui, c’est le genre bien coulant alors…MDR
le pire c’est qu’il serait capable de passer cet asticot !
La France est au bord du précipice.
Avec Hollande, elle fera un grand pas en avant !
ah ah excellent …
Oui, mais c’est un plagiat
La Corrèze, Chirac en tête(ou en queue ), est gouvernée à gauche puisqu’on ne peut différencier la droite molle et la gauche clientéliste!d’où la réflexion de Chirac qui ne voudrait pas que ça change, lui qui a une retraite dorée, un non lieu et”plus de mémoire”blanc bonnet et bonnet blanc comme disait l’autre!!!!!!!!La noblesse n’a pas été abolie à voir le train de vie de ces messieurs,comme celui des députés inutile de l’Europe !
Si les socialos m etaient contes ! et flamby , dit culbuto , dit “couilles molles” par tartine brochen , pardonnez moi cette grossierete qui vient d elle et non de moi , dit minolette , dit … dit … on n en finirait pas des qualificatifs de ses “amis” socialistes , et c est cet ectoplasme que l on presente aux Francais pour etre President de la Republique si ils arrivent a se debarasser de Sarko ? ca fait froid dans le dos , est il donc possible que les Francais restent sans reaction aucune devant le naufrage de la France ? 1ere mesure debattue au Senat depuis que la majorite est passee a la gauche : droit de vote pour les etrangers , comprenez , les africains et les magrebins , ceci est il vraiment la 1ere mesure et la plus urgente a prendre pour essayer de sortir la France de la merde dans laquelle l UMPS nous a mit depuis bientot 40 ans ? ces gens la sont ils vraiment Francais ? ils ne pensent qu aux millions d electeurs que cette mesure va leur apporter , ils livrent a l islam la finance , et la mondialisation ,la France sur un plateau , meme pas besoin de combattre , nos elus gauchistes et UMPS la leur livre pieds et poings lies , quelle honte , dieu quelle honte , et nous auront Flamby parceque les medias ne font pas leur travail , qui est tout simplement d informer les Francais , coupables les medias , oui , sans aucun doute car sans eux , les Francais seraient correctement informes et pourraient voter en consequence , mais des medias veules et a la botte , pleins d ideologie inculquee depuis des annees , tout cela est bien triste et serre le coeur , pourquoi nos anciens se sont ils donc battus , ont ils laisse bien souvent leur vie ? pour rien et nous meme qu allons nous donc laisser a nos enfants ? une patrie soumise a la finance et a l islam sans combattre .
VOUS AVEZ ETE A BONNE ECOLE A L UMP… FORMATAGE REUISSIT JE VOUS EN FELICITE
QUEL HONTE DE PLUBLIER CE TYPE DE MESSAGE PARTISANT ABSOLUMENT PARTIAL
ON VOIS BIEN QUE VOUS NE SOUFFREZ PAS DE LA POLITIQUE DE MR BONNAPARTE SARKOSY VOUS MR
NOUS LE PEUPLE NOUS VOYONS CHAQUE JOUR L AVENIR DE NOS ENFANTS S ASSOMBRIRE GRACE A L APPLICATION BETE ET TRAGIQUE DU CALCUL MATHEMATIQUE DU NOMBRES DE POSTE D ENSEIGNANTS, DE L ABANDONS DE LA FORMATION DES PAUVRES JEUNES ENSEIGNANTS QUI FUIENT L EDUCATION NATIONNAL ET DEGOUTENT NOS ENFANTS DD ECOLE, UN SYSTHENE ELITISTE QUI GENERE CHAQUE JOURS DE NOUVEAUX FUTURE CHOMEURS NON FORMER EXCLUS DE LA SOCIETE CAR PAUVRES OU EN DIFFICULTES
EN PLUS MR SARKO RETOURNE SE VESTE, UNE POLITIQUES A LA PEOPLE UNIQUEMENT REACTIVE A FAITS DIVERS DONC LES DECRETS D APPLICATIONS NE SORTENT PAS
VOUS CONNAISSEZ AUSSI LE GASPILLAGE FACONS UMP /
LA GRIPPE A, LES COATCHS, LES CONSEILLES ET RAPPORTS EN OR MASSIF… SANS PARLER DE CETTE CAMPAGAGNE ELECTORALE QU’ON LUI PAILLE CASH AVEC NOS IMPOTS, NOS RETRAITES…..
MAUS QU IMPORTE SE SONT TOUS DES HOMMES POLITIQUES N EST CE PAS!!!!!
VOUS PREFERE UN HOMME SANS PAROLES SANS PROGRAMME SANS VERGOGNE A UN PEU D ESPOIR HUMANISTE ET REALISTE….DOMAGE
Et sur le sujet soulevé, vous n’avez bien entendu rien à dire.
Ce message est en lettres capitales, ce qui selon la netétiquette est de la grossièreté. Comme hurler dans les oreilles des gens lorsd d’une conversation. Pourquoi ne supprimez-vous pas les messages grossiers qui, en plus, n’ont rien à voir avec le sujet de l’article à savoir que Hollande n’est rien d’autre qu’un Giorgos Papandreou à la française. J’ajouterais que quelque soit la nullité de Sarkozy, qu’entre deux nuls, il faut choisir le moindre.
La Grèce a été mise en faillite par la droite (faut relire l’histoire), et la Corrèze était déjà en déficit.
Si investissement pour rattraper des défauts antérieurs il faut nécessairement du temps pour revenir à l’équilibre. Parlons de l’avenir, pas du passé d’autant que le programme du PS n’est pas si incohérent que vous le dites, sauf pour les + nantis. 15 ans de droite et fiscalité en déroute, d’où le recourt à l’emprunt et le creusement du déficit, avec le pompon pour NS. Gauche ( que je souhaite) ou droite il faudra payer, mais avec la droite, ce seront les plus faibles qui paieront.
Vous voulez relire l’histoire ou la refaire ? La Corrèze n’était pas déjà en déficit. Elle était en surendettement. Et vous savez ce que cela veut dire, une région en surendettement ? Cela veut dire que chaque habitant est surendetté et devra payer pendant très longtemps.
Vous pouvez tenter de noyer le poisson, mais vous ne changerez pas la vérité : la gauche n’a que faire du bonheur des citoyens, et Hollande est pire que les autres. Il avait pour devoir absolu de réduire l’endettement forcé des gens, et qu’a t-il fait ? Il l’a augmenté.
Les français vont peut être élire un type qui va plonger encore plus loin dans leur portefeuille et les appauvrir une peu plus, pour assurer la survie d’une idéologie.
Maintenant, ne parlez pas d’investissement quand vous ne savez pas de quoi vous parler. Prendre l’argent dans la poche des entrepreneurs privés et des créateurs pour que l’Etat l’investisse, ça ne crée pas plus d’investissement. Cela déplace les décisions d’investissement du privé, nécessairement créatif de richesse et d’emploi, vers l’Etat, toujours peu capable et mal avisé.
On avait déjà Louis XIV qui disait : “l’état c’est moi !”
Aujourd’hui on a Perez Ier qui nous dit : “le peuple c’est moi !”
Remarquons qu’il en va de ceux qui utilisent les majuscules pour écrire comme de ceux qui montent le ton pour s’adresser aux autres, ils sont désagréables et mal dégrossis.
Oh là là… Hey Perez tu finis ton Pastis et tu dégages.
à vous lire le problème de l’éducation ne vient pas du président actuel
l’education nationale est le deuxieme employeur mondial
la reforme des universite ça vous dit quelquechose?
comment proposez vous des postes juste à la hausse même quand le nombre d’eleve decroit? à priori vous revez encore d’état providence toujours plus de fonctionnaire, en oubliant que nos impots les payent, toujours plus de solution publique mais il faut aussi savoir dire stop je veux m’en sortir pas etre assisté
Nous avions éliminé un candidat qui avait projeté un plan de cinq ans, ce plan marchait bien,
Nous, vous l’avez viré au bout de trois ans par vote…BALLADUR.
Pourquoi vouloir tout faire en un quinquennat, ils faut minimum le double.
Essayons ou nous allons au naufrage
Je mélange politique et le reste excusez moi, j’en suis confus.
Merci de votre réponse.
Pat.
Titre pas assez ambitieux. Le risque serait : “fera tomber la France PLUS bas que la Grèce”
Aussi bas, c’est déjà pas mal non ;-(
Article très pertinent, merci JP pour ce rappel
les deux candidats me rappellent une vanne : deux types discutaient dans leur bureau. l’un deux dit à son copain: tu sais , j’ai envie de sortir avec notre nouvelle collègue. l’autre dit : oui mais t’as pas vu?…
l’autre: quoi?qu’est-ce qu’il-y-a?
le premier :baaah elle n’est pas belle
l’autre: elle n’est pas moche non plus
Le vieux chef qui se tenait un peu plus loin et qui n’était pas intéressé leur dit : c’est vrai qu’elle n’est ni belle ni moche
l’un des deux lui demande alors: baaah si elle n’est ni belle ni moche , elle est quoi , alors?
Le chef : elle est horrible
ne jamais dire de mal de Flanbie one !!!
parce que dans ce cas vous êtes prit pour un sales UMPISTE “de merde” et on vous accusera de tout les mots du mondes “{([pires que les juifs …)]}”
lol
je le voie tout les jours à mon travail ..sarko ceci sarko cela et le beau flambie et quand on leur met sous le nez (la merde du ps des vert et de flanbie ) oui mais c est la faute de sarko …..
votre article dans le fond est inintéressant et nous montre une fois de plus l’étendue du QI et les prouesses d’un flanbie !
Maintenant je le dit toujours blanc bonnet, bonnet blanc et il est fort triste d avoir en France le choix entre 2 clowns
Cela fait 10 ans que la droite est au pouvoir 10 ans !!!! Et les gestion sarkosiste des comptes publics est totalement ahurissante !!! Comment peut on encore justifier une grande majorité des niches fiscales et l’appel au marché pour l’emprunt d’etat ??? Ah mais oui j’oubliais ça aussi c’est purement ideologique !!! Je ne defends pas Hollande mais la “droite” (…) n’avait qu’à faire son mea culpa et admettre avoir fait beaucoup d’erreur en 10 oui 10 ans !! du pseudo courage sur les retraites alors que tout le monde sait qu’ils n’ont rien refoirmé en profondeur, une politique fiscale clienteliste qui asseche les finances de l’etat et une vulagrité qui n’a eu d’égale que leur faculté à dire tout et son contraire en fonction des sondages grassement payé par le contribuable !!! Alors assez des analyses des comptes partisanes parce qu’à ce jeu je crois que c’est 1 partout la balle au centre !!
Parlons un peu des alliés* du péhesse !
Le 26 Février dernier sur LCP :Objectif Élysée de Moatti,Mélanchon était face à l’excellent Yvan Rioufol. (Et à C.Fourest qu’il vaut mieux oublier en cette journée de la femme face à l’islam!)
Le coucou des cocos a obstinément refusé de parler de l’islamisation de notre pays malgré les demandes soutenues d’Y Rioufol. Refus de condamner vaut acceptation de cette invasion brutale de l’espace politique et public par une croyance barbare. Ce négationisme du fascisme vert de plus en plus insupportable au citoyen lui a valu la puissante réplique d’Y Rioufol : « vos propos de gauche et ceux de droite sont balayés par le « coup d’état des réalités » (Ras le bol de l’islam !!!)
Le squatter du nid des cocos a osé répondre sur les prières des rues autorisées par Delanoë, Vaillant, Huchon mais hélas, trop longtemps par Sarko et Hortefeux: « Les prières dans les rues ça n’est pas un problème de laicité, c’est juste un problème de circulation !!! »
Si cette trahison majeure, insupportable de la Laïcité et de Nos libertés fondamentales n’était pas si gravissime pour la France et pour nous nous qui sommes chrétiens, juifs, athées mais qui rejetons tous l’islam politique et l’islamisme guerrier, on pourrait en rire et dire avec Audiard «Je suis ancien combattant, militant socialiste et bistrot. C’est dire si j’en ai entendu des conneries dans ma vie… » !
* Les verts ont leurs 500 signatures et joly fera 1%; Arthaud qui collecte la manne publique pour son parti de gauchistes a aussi ses 500 parrains.Mélanchon aussi avec ses 10%, a ses parrainages, come eux, au titre d’alliés du péhesse. Marine le Pen et ses 20% rame comme une lépreuse et n’aura aucune voix de ces élus péhesses qui constituent l’écrasante majorité des élus. Est-ce très démocratique et normal, ce tripatouillage, Mossieu le futur président normal?
La gestion de Hollande en Corrèze est catastrophique ! Certes. La gestion de Sarkozy est catastrophique aussi !!
Leur politique économique a toutes les chances d’être la même (même les experts de BFM TV le disent !! délire fiscal de part et d’autre… mais c’est pas grave c’est pour de faux croient-ils savoir)
Reste que quand on n’a pas d’argent, il vaut mieux avoir des idées, un peu de morale pour être un minimum crédible et ne pas avoir mis par terre le pays d’abord…
A ce jeu de quilles là, si on en veut pas voter pour la seule candidate qui propose une VRAIE alternative de sortie de crise, il faut choisir le moins pire des deux, c’est-à-dire Hollande.
Et de toutes façons, la France est exactement dans la même situation que la Grèce avec un déficit commercial très lourd et croissant….
Libres propos de Norman Palma, économiste et philosophe du 12 février 2012
Remarques préliminaires.
La crise monétaire que connaissent les pays périphériques de la zone euro, est telle, qu’on peut parler d’économie de la peur. Ce qui est contraire au rôle que doit jouer la monnaie. Puisque son but est d’assurer les échanges et permettre la croissance économique. Mais, cet état des choses n’est pas le résultat de l’hyper inflation, comme cela a été le cas dans les pays où la monnaie tend à se dissoudre, à cause de l’augmentation inconsidérée de sa base monétaire, comme lors de la Révolution française, avec les assignats.
Avec l’euro, nous avons affaire à une monnaie plutôt stable. L’ancien Président de la Banque Centrale Européenne, Jean-Claude Trichet, aimait le dire dans son inimitable pidgin english : We have kept price stability ! Impecable ! Impecably ! Car il est clair que ce système monétaire a été construit en vue d’assurer la stabilité des prix. Certes, l’euro a connu une phase d’appréciation très importante entre le 26 octobre 2000 et le 15 juillet 2008, lorsqu’il est passé de 0,8226, pour 1 euro, à 1,6038 dollars pour 1 euro. Mais, cette période d’appréciation ne fut pas considérée comme un malheur. On pensait à l’époque que ce phénomène était le résultat du fait que l’euro était une monnaie très puissante, dont le rôle était de prendre la place de l’US dollar, pour devenir la monnaie dominante sur le marché international. Mais la crise de la dette grecque d’octobre 2009 et particulièrement la crise liée à cet événement, en mai 2010, a montré que l’euro n’était pas un écu protecteur et que la possibilité de son effondrement n’était pas une perspective absurde.
Rappelons que la grande crise internationale que nous avons connue depuis le 9 août 2007, nous est arrivée des États-Unis. Les « Big two », les deux grandes institutions de refinancement hypothécaire, Fannie Mae et Freddie Mae avaient titrisé quelque chose comme 5.400 milliards d’hypothèques subprime – très rentables, mais pas très solvables – et les ont vendues à partir de Wall Street à New-York et de la City de Londres. Les banques et les assurances les plus riches des États-Unis et de l’Europe se sont gavées de ces produits financiers et se sont trouvées au bord de la faillite ; pour certaines ce fut la faillite, comme pour Bear Stearns et Lehman Brothers.
Normalement les « Big two » étaient garantis par l’État Fédéral, mais cette garantie n’a joué que pour les grandes banques américaines. Les banques européennes ont été sauvées par les États qui assurent leur sécurité. Ainsi, chaque État a dû prendre en charge le sauvetage de son propre système bancaire. Au niveau international, les banques qui ont souffert le plus, furent les banques des pays développés. Les banques des pays émergents n’avaient pas encore suffisamment de moyens pour participer à cette fête de produits frelatés. C’est la raison pour laquelle nous allons assister alors, à la montée des pays émergents.
La première vague de la grande crise que nous connaissons aura comme conséquence, comme nous venons de le signaler, une fragilisation de l’économie des pays les plus riches, dont les pays du G5 : Les États-Unis, l’Allemagne, le Japon, le Royaume-Uni et la France. Mais, ce fut le billet vert qui fut la victime la plus importante. Ce qui explique le fait que l’euro va se trouver à 1,6038 dollars le 15 juillet 2008
C’est alors que les grandes banques centrales – la BCE, la Banque de Chine, la Banque du Japon, la Banque d’Angleterre, la Banque Nationale Suisse, la Banque du Canada, etc., etc. – vont intervenir pour acheter des US dollars, en vue d’éviter l’effondrement de cette monnaie. Cette politique de soutien du dollar fut préparée par les Accords entre grands banquiers centraux qui eurent lieu à Tokyo, le 17 mars 2008. Le fait est que cette politique – qui fut organisée par le Secrétaire d’État Hank Paulson – a eu comme résultat la raréfaction des dollars à l’échelle internationale. Ce qui aura comme incidence la réduction brutale des échanges sur le marché international. Phénomène qui sera enregistré par le Baltic Dry Index (BDI). Plus précisément, l’indice du transport maritime des produits secs en vrac, comme le charbon, les métaux et les céréales. Or, d’après cet indice, le moment le plus élevé des échanges sur le marché international s’est produit le 20 mai 2008, avec 11.793 points.
La véritable inflexion va se produire le 15 juillet 2008. Le fait est que le 14 septembre 2008, cet indice était à 2.464 points, et le 25 septembre 2008, il était à 2.170 points. Mais, ce n’est que le 5 décembre 2008 que la BDI va toucher son point le plus bas, après une chute de plus de 95 %, à 663 points.
Cette grande contraction des échanges sur le marché international – plus importante que celle du début des années trente, qui fut de 60 % -, ne fut pas le résultat de la chute de Lehman brothers, la banque d’affaires de Wall Street, comme le soutient le discours dominant. Il s’agit, bien plutôt, de la conséquence de cette politique du sauvetage du billet vert, que nous venons de souligner. Comme nous le verrons par la suite, le dollar va se renforcer pendant cette période. Le 27 octobre 2008 il sera à 1,2326 dollars pour 1 euro et restera depuis lors la monnaie dominante grâce aux achats massifs des pays émergents qui vont connaître pendant cette phase une croissance économique considérable.
Le fait est que la politique de relance du G-20, du 2 avril 2009, va permettre une nouvelle reprise du BDI ; lequel se trouvera à 7.700 points, le 2 juin 2009. Puis, la politique d’achats massifs des bons du Trésor sur le marché international (QE1 et QE2), va permettre à la Fed de maintenir et d’assurer la suprématie du dollar sur le marché international, tout en relançant les exportations des États-Unis.
Le choc de la crise des subprimes.
La crise des subprime aura comme conséquence la contraction du crédit dans les pays développés. Cette crise du crédit fera que la relance d’avril 2009 n’aura pas comme conséquence le rétablissement de ce multiplicateur. C’est particulièrement le cas des pays comme les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et les pays périphériques de la zone euro. C’est dans ces conditions que va se produire la crise des dettes souveraines de ces pays périphériques.
Cette crise, il convient de le comprendre, ne fut pas le résultat de l’existence d’un déficit budgétaire très important, comme certains tendent à le dire actuellement. Si nous regardons le cas de l’Espagne, par exemple, nous constatons que ce pays a eu en 2007, l’excédent budgétaire le plus important de la Communauté, avec un excédent de 32 milliards d’euros. Par contre, nous constatons que ce pays a eu cette année là, un déficit extérieur de presque 100 milliards d’euros. Comment expliquer la dérive de l’économie espagnole ? Tout laisse penser qu’on ne peut pas comprendre le processus critique de cette économie – et celle des autres pays périphériques -, si on ne tient pas compte des fonds européens. En effet, entre 1986 et 2006 l’Espagne a reçu, sous la forme des fonds structurels et des subventions agricoles, des sommes considérables qui seraient de l’ordre de 200 milliards d’euros. Simplement entre 2000 et 2006 les subventions que l’Espagne recevait étaient de l’ordre de 12,5 milliards d’euros par an. A partir de 2007 ces subventions ont été accordées aux nouveaux membres de la Communauté Européenne : les pays de la PECO, de l’Europe Centrale et Orientale.
Remarquons que pour le programme 2000-2006, l’Espagne était le pays qui recevait le plus de subventions. Actuellement, c’est la Pologne, le pays qui est le plus subventionné. Mais, malgré le fait que ces subventions sont passées en 2007, des pays du sud aux pays de l’est, l’Espagne a continué à recevoir des subventions importantes en 2007, à cause des retards dans les réalisations ou des retards des paiements. Par conséquent, c’est à partir de 2008 que l’Espagne va se trouver sans cet afflux monétaire. C’est la raison pour laquelle nous constatons que le budget espagnol va passer d’un excédent de presque 2 % du PIB en 2007, à un déficit de presque 12 % en 2010.
Si nous mettons de côté le cas de l’Irlande qui est un pays excédentaire, à cause du fait que ce pays a un impôt sur les sociétés de 12,50 %, tandis que les autres pays de la zone euro ont un impôt plus élevé – ce qui créé un rapport de concurrence déloyale -, nous constatons que des pays comme la Grèce, le Portugal, l’Italie et la France, se trouvent actuellement avec un déficit extérieur très important. C’est ainsi qu’en 2011, la France va se trouver avec un déficit commercial de 91 milliards de dollars, la Grèce avec un déficit commercial de 35 milliards de dollars et le Portugal avec un déficit de 20 milliards de dollars. Cela fait qu’actuellement, au sein de la zone euro, il existe des pays déficitaires et des pays excédentaires. L’Allemagne étant l’exemple le plus important de ces derniers, avec un excédent commercial pour 2011, de 216 milliards de dollars.
Certes, en ce qui concerne les pays déficitaires, il convient de faire la différence entre les pays qui ont un déficit structurel depuis avant la formation de la monnaie unique (1999) et les pays qui connaissent un déficit extérieur depuis une époque plus récente. A ce niveau là, on peut dire que des pays comme la Grèce, l’Espagne et le Portugal sont dans le premier cas, tandis que la France et l’Italie sont dans le dernier cas. C’est ainsi que si nous prenons l’exemple de la France, nous pouvons constater qu’elle a eu une balance commerciale positive en 1998, qui fut de 36 milliards de dollars. Ce n’est que depuis 2004 que la France connaît une balance commerciale négative, avec 6,2 milliards de dollars. Or, comme nous venons de l’indiquer ce déficit a augmenté considérablement depuis lors. Nous constatons un phénomène semblable, mais un peu moins important du côté de l’Italie. Pour cette raison nous devons nous poser la question de savoir : comment expliquer cette divergence entre la capacité concurrentielle des pays du nord de la zone euro et les pays du sud ? Et plus concrètement cette divergence de la capacité concurrentielle entre l’Allemagne et la France. Puis, nous nous poserons la question de savoir quel est le rôle du système de la monnaie unique au sein de ce processus.
De la crise dans la zone euro.
Si nous regardons la balance courante de la France et celle de l’Allemagne, nous constatons qu’en 1998 la France a eu un excédent de 36 milliards de dollars, tandis que l’Allemagne s’est trouvée, toujours selon cette balance, avec un déficit de 3,6 milliards de dollars. Il est clair que cette différence fut le résultat principalement du fait que la balance des services allemands était très déséquilibrée – et continue à l’être -, car ses dépenses touristiques sont plus importantes que ses recettes dans ce domaine. Ce qui ne fut pas le cas de la France, qui a eu, cette année là, une balance touristique plutôt équilibrée.
Mais pour éviter toute confusion, dans ce qui suit, nous allons faire référence principalement à la balance commerciale. Et de ce point de vue, nous constatons une dégradation considérable de la balance commerciale de la France. Les derniers chiffres, pour 2011, sont, à ce niveau là, particulièrement significatifs, comme nous venons de l’indiquer. En effet, cette année là, la France va se trouver avec un déficit de presque 70 milliards d’euros, tandis que l’Allemagne aura un excédent commercial de 158 milliards d’euros.
Donc, les chiffres sont tout à fait clairs : il y a bien un décrochage de l’industrie française. Nous savons, par exemple, à ce niveau là qu’il y a dix ans, les exportations françaises représentaient 55 % des exportations allemandes, contre 40 % aujourd’hui. (Les Échos, 9 octobre 2011, p. 36-38). De plus, nous savons que la part des marchés de la France dans la zone euro est passée de 17 % en 1998 à 13 % en 2010. (Ibidem). Il se pose, dès lors, la question de savoir comme expliquer cette montée en puissance de la capacité concurrentielle de l’économie allemande. La réponse est de plus en plus claire. Après l’intégration de l’économie de l’Allemagne de l’Est, l’économie allemande va se trouver face – à ce qui est par l’ordre des choses – à une arrière cour économique (« hinterland ») considérable : les pays de l’Europe centrale et de l’Europe orientale (PECO).
Or, ces pays se caractérisent par le fait d’avoir une main d’œuvre abondante, bien formée et bon marché. De sorte que spontanément, les industries allemandes vont commencer à pratiquer dans ces pays la sous-traitance. Ainsi, l’Allemagne externalise – sous la forme de la sous-traitance et non pas des délocalisations – une partie de plus en plus importante de sa production industrielle dans ces pays, où les coûts salariaux incorporés dans les produits allemands sont donc très faibles. De plus, à partir de la fin mai 2004, nous allons assister à l’intégration de ces pays dans la Communauté Européenne, ce qui a supprimé les barrières douanières et a permis la libre circulation.
Par conséquent, la réalité nous montre qu’en « dix ans la part de l’industrie dans le PIB français s’est écroulée de 24 à 14 %, alors qu’elle représente toujours 24,9 % en Allemagne ». (Expansion, décembre 2011, p.63). Donc, tout permet de soutenir qu’on ne peut pas comprendre la montée en puissance de l’économie allemande – qui,qui plus est, est actuellement l’économie la plus concurrentielle du monde, puisque son excédent commercial (216 milliards de dollars) est supérieur à celui de la Chine : 157 milliards de dollars -, si on ne tient pas compte de cette intégration de son arrière-cour économique. Bien évidemment, ce choc concurrentiel a été beaucoup plus puissant par rapport aux pays comme la Grèce, le Portugal et l’Espagne. Ceci d’autant plus que ces pays vont perdre à partir de 2007, l’essentiel des subventions européennes qu’ils touchaient et qui ont fait de ces pays des économies artificielles de consommation. Le fait est qu’à la hauteur de nos circonstances, on commence à comprendre que ces subventions mirifiques ont été de véritables cadeaux empoisonnés. Le spectacle de la paupérisation de la Grèce principalement nous montre clairement l’étendue du désastre.
Ceci dit, tout laisse penser qu’on ne peut pas comprendre d’une manière cohérente la montée en puissance de l’économie allemande si on ne tient pas compte de l’incidence du système de la monnaie unique, dans l’ensemble de cette économie régionale qui est la zone euro. En effet, ce système est fait de telle sorte qu’il favorise les pays excédentaires et pénalise les pays déficitaires. Ce que nous voyons clairement actuellement, car la différence est de plus en plus évidente, à moins de souffrir de cécité volontaire.
Il n’est pas, en effet, difficile de constater que les pays déficitaires, selon leur balance extérieure, souffrent de pénurie monétaire. Cette pénurie monétaire est le résultat du fait que puisque chaque pays a, en dernière instance, sa propre monnaie – en effet, le numéro des billets est précédé par une lettre, Z pour la Belgique, X pour l’Allemagne, U pour la France, V pour l’Espagne, S pour l’Italie et ainsi de suite -, la monnaie tend à émigrer des pays déficitaires vers les pays excédentaires. Puis, il y a le fait que les pays excédentaires – cas de l’Allemagne, particulièrement – ont la possibilité d’acheter à la BCE la possibilité d’augmenter leur base monétaire. De sorte que, au bout de quelques années, les pays excédentaires se trouvent avec une base monétaire plus importante que les pays déficitaires. De plus, ce phénomène est accentué par le fait que les pays excédentaires ont la possibilité d’emprunter sur le marché obligataire au taux le plus bas, tandis que le pays déficitaires tendent à emprunter à un taux de plus en plus élevé. Ce qui créé la différence de taux que nous constatons actuellement, et où l’Allemagne a le taux le plus bas, par rapport aux autres membres de l’espace euro.
En ce qui concerne la base monétaire de ces pays, nous savons qu’en janvier 2002 – au moment de l’apparition effective de la monnaie unique -, il y avait 605,5 milliards d’euros en circulation. Puis, fin 2010, il y avait 803 milliards d’euros et fin 2011, il y avait 864 milliards d’euros. Ceci montre clairement qu’il y a une augmentation de la base monétaire au sein de l’espace de l’euro. Bien évidemment, il faut tenir compte du fait qu’entre 2002 et 2011, il y a eu l’entrée de quatre nouveaux membres : la Slovénie (2007), Chypre (2008), la Slovaquie (2009) et l’Estonie en 2011. Mais, comme on peut le comprendre aisément, ce n’est pas l’adhésion de ces petits pays à la zone euro qui peut nous permettre de comprendre l’augmentation du stock monétaire que nous constatons.
C’est donc précisément cette asymétrie qui, dans la répartition de la base monétaire, nous montre la nécessité de dépasser cet ordre. De plus, il y a le fait que l’autonomie monétaire donne une souplesse plus importante. Ceci dans la mesure où elle permet non seulement de dévaluer la monnaie en cas de besoin, mais aussi de pouvoir piloter le taux du marché obligataire. C’est précisément ce que nous constatons dans le cas du Royaume-Uni. En effet, nous constatons la dévaluation de la livre sterling depuis 2009, ainsi que sa politique d’assouplissement monétaire : du « quantitatif easing » (QE). Ce qui fait que le taux du bon de 10 ans anglais est actuellement de l’ordre de 2 % – très proche du taux du 10 ans allemand qui est à 1,90 % -, tandis que le taux du bon français de même maturité est à 3 % et l’italien à 6 % en moyenne.
L’expérience monétaire nous montre que la souveraineté monétaire est un complément de la souveraineté politique. Un État ne peut pas assumer et assurer sa responsabilité – qui est le bien-être de sa communauté sociale – s’il ne dispose pas de la souveraineté monétaire. La logique de l’Être social nous montre que l’État est, en tant que producteur du droit, un producteur de la monnaie. Aristote nous rappelle, à ce propos, qu’en grec la monnaie s’appelle « nomisma », de « nomos », droit. Par conséquent, tout État s’objective dans son droit et sa monnaie. Mais, il faut comprendre que le particulier – en l’occurrence l’État – s’accomplit dans son universalité. Par conséquent, tout État se réalise dans la communauté des nations. Ceci de la même manière que la politique s’accomplit dans le cosmopolitique.
C’est suivant cette logique – axiologiquement parlant – qu’Ulpien (mort en 228) nous dit que : Jus a justitia appellatur : que le droit doit faire appel à l’idée de la justice. Ainsi, de la même manière que le droit fait appel à son universalité, à l’idée de la justice, de la même manière la monnaie doit se rapporter à la valeur d’échange objectivé : l’or. Dans la tradition, l’or était l’instrument principal de l’économie internationale et l’argent métal, l’instrument principal de l’économie nationale. Pour cette raison lorsque nous parlons de monnaie, nous disons, par exemple, en français, argent et « plata » en espagnol.
Mais, avec l’apparition du papier monnaie – lequel apparaît pour la première fois en Chine, en 1024, sous la dynastie des Song, puis sous la forme des billets de banque en Angleterre, en 1680 – le bimétallisme a eu tendance à disparaître, avec l’extension du papier monnaie. Ce phénomène va commencer à se produire concrètement en 1821 au Royaume-Uni. Au début des années 1870, c’est le tour de la France, de l’Allemagne et des États-Unis. Les autres nations suivront. Mais, la fin du bimétallisme aura comme conséquence le fait que l’or était utilisé pour garantir les échanges sur le marché international et pour garantir les monnaies. Ce qui veut dire qu’avec la fin du bimétallisme, nous avons assisté à une contraction de la base monétaire internationale. En effet, tout indique que l’or monétaire en circulation représentait le 2/3 de l’ensemble du stock monétaire. De sorte que la fin du bimétallisme représente la réduction d’un tiers de la base monétaire en circulation. Ce qui explique le développement des crises cycliques internationales que nous avons connu à partir de 1825. Ces crises de surproduction n’étaient non pas la manifestation du fait que le système capitaliste allait devenir une entrave au développement des forces productives, comme le croyait Marx, mais plutôt le résultat du fait de la réduction de la base monétaire, à cause, comme nous venons de le souligner, du dépassement du bimétallisme.
De la fin du système de la monnaie unique.
La crise de la zone euro montre clairement que le dépassement de ce système monétaire est une exigence de la pratique de la raison. Nous pouvons dire la même chose en ce qui concerne la zone F-CFA. Chaque État doit être en condition d’assumer sa propre responsabilité qui est celle de la création d’une communauté de citoyens, d’une communauté d’égaux, dans le nivellement social le plus optimal.
Cette sortie de la monnaie unique peut se faire : soit d’une manière ordonnée, soit comme conséquence des automatismes du marché, lesquels ne peuvent que provoquer la panique et la faillite généralisée. De là, la nécessité de désactiver ce système en permettant à la BCE de produire massivement de la monnaie pour acheter des actifs publics, sur le marché secondaire, des pays qui sont au bord de l’asphyxie monétaire. Ce qui est actuellement le cas de la Grèce et du Portugal et dans une moindre mesure de l’Italie et de l’Espagne.
Car, il convient de comprendre que la continuité de la politique actuelle ne peut que mener à la hinterlandisation des économies de l’Europe du sud y compris de la France et de la Belgique. En effet, dans le système actuel, la réduction du déficit public passe par l’augmentation des prélèvements et la réduction des salaires. Donc, par le démantèlement des restes de l’État providence et par la paupérisation du social, comme nous le constatons actuellement en Grèce.
Certains pensent que le chemin de sortie passe par le renforcement du fédéralisme. Or, il faut comprendre que la fédéralisation des régions du monde n’est pas le but de l’histoire. La fin de l’histoire est la création d’une communauté universelle des nations capable de se reproduire dans l’universalité des rapports. Le devenir-autre du monde ne mène pas à la démondialisation et à l’autarcie. La sous-traitance fait partie de la nouvelle division internationale du travail, tandis que les délocalisations ne peuvent que provoquer la désindustrialisation des nations. Phénomène que nous constatons actuellement en France.
Le devenir-autre du monde implique nécessairement la fin du néolibéralisme. C’est-à-dire de cet ordre qui va s’imposer à partir de l’émergence du règne de l’étalon dollar, en 1933. Car, il faut être conscient que l’apparition d’une monnaie nationale comme monnaie internationale, va donner naissance au privilège exorbitant et à la disparition de l’égalité des chances dans la concurrence internationale. Le rétablissement de l’égalité des chances, dans la concurrence internationale, passe nécessairement par le dépassement du règne du privilège exorbitant et le retour à l’étalon-or international.
Mais, la logique de ce processus passe, comme nous venons de le souligner, par le retour à la souveraineté monétaire. Car, après cette longue et terrible crise, les États vont se trouver dans la nécessité de se restructurer en vue de faire face aux conditions du nouvel ordre du monde. En effet, l’ordre de la post-crise devrait permettre la fin du nomenklaturisme et le rétablissement de la mobilité verticale. Le monde post néolibéral est au sens strict du terme le retour au libéralisme classique. Plus précisément, de cet ordre mondial autorégulé par l’étalon-or, où les pays excédentaires doivent fonctionner en libre échange, tandis que les pays déficitaires doivent pratiquer le protectionnisme. Mais, le règne de l’étalon-or international, implique l’équilibre budgétaire. Et cet équilibre passe par le défonctionnarisation de l’espace publique. De sorte à assurer la mobilité verticale, grâce à l’égalité devant le droit du travail. L’article 30 de la Deuxième Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793, nous dit, à ce propos : Les fonctions publiques sont essentiellement temporaires ; elles ne peuvent être considérées comme des distinctions, ni comme des récompenses, mais comme des devoirs.
La politique économique keynésienne a permis le maintien du nomenklaturisme, mais dans l’ordre de la post-crise les efforts budgétaires doivent aller dans le sens de la lutte pour le nivellement social et non pas pour la sauvegarde des droits acquis du nomenklaturisme. L’existence d’une caste de seigneurs de la chose publique est contraire à la logique de la communauté d’égaux qui est la finalité axiologique du social.
Le devenir-autre du monde.
L’économie de la peur dans laquelle s’enfonce notre monde, peut conduire à la peur de l’économie. Plus précisément, à la négation du crédit, voire à la négation de la monnaie elle-même. A ce propos, il convient de comprendre que le marché est la manifestation des besoins que nous avons les uns des autres. C’est, donc, une nécessité sociale qui conditionne l’existence du marché. Mais, le marché implique la monnaie ; aussi bien la monnaie internationale que la monnaie nationale. Au sens strict du terme la monnaie internationale est la méta-monnaie. Une monnaie internationale ne peut pas être une monnaie nationale. Car, dans ces conditions, comme nous venons de le souligner, le devenir international d’une monnaie nationale, ne peut que donner naissance au privilège exorbitant. Donc, au privilège d’acheter les biens et les services du monde, et, en plus, de pouvoir déterminer l’économie, le droit et la politique internationale. C’est précisément le privilège que possèdent les États-Unis depuis 1933. Et c’est cet ordre asymétrique qui a provoqué la crise que nous connaissons.
Barry Eichengreen, de l’Université de Berkeley, considère que le privilège exorbitant des États-Unis est le résultat du fait que ce pays procure au monde les liquidités nécessaires à son fonctionnement. Il estime que les bénéfices de ce privilège seraient de l’ordre de 1.000 milliards de dollars par an. En tout cas, c’est ce privilège qui fait que cette nation qui représente 4,5 % de la population mondiale, peut absorber 28 % des richesses internationales. Il est clair que la fin de ce privilège, ne peut que permettre au monde de la misère de pouvoir dépasser l’horreur de ses propres circonstances. Les statistiques des grandes organisations internationales comme le FAO, nous montrent qu’il y a actuellement plus de 1 milliard d’êtres humains qui souffrent de la faim et de la misère. Le dépassement du règne du privilège exorbitant et le retour de l’étalon-or ne peut que permettre le dépassement de cet état de choses. Créant ainsi les conditions d’outrepasser les circonstances structurelles qui déterminent l’émigration des affamés.
La lutte pour la justice dans le monde implique, par conséquent, non seulement le dépassement du règne du privilège exorbitant de l’US dollar, mais aussi l’outrepassement des systèmes des monnaies uniques : de l’euro et du F-CFA. Pour cette raison, nous pouvons dire que le devenir-autre du monde implique le retour aux monnaies nationales et le règne de l’étalon-or international.
Certes, ce devenir-autre implique, comme on peut le comprendre aisément, non seulement la fin de l’euro et la fin du règne du billet vert, mais aussi, à cause de cela même, la fin des distorsions qui se sont accumulées avec ces systèmes monétaires – qui sont des puissances perverties et pervertissantes -, comme, par exemple, le surendettement dans le système de l’euro et l’entassement absurdes des réserves en US dollar du côté des pays émergents.
Pour ce qui est de l’endettement dans le système de l’euro, il s’agit de comprendre que la fin de l’euro implique nécessairement la fin de cet endettement. Car, si l’euro est abandonné d’une manière concertée, il est clair que cette monnaie ne va pas subsister et s’apprécier considérablement comme certains le croient. En effet, la fin concertée de l’euro implique sa désactivation et, donc, une rapide perte de sa valeur. Une fin non concertée peut lui permettre une certaine période de survie dans le chaos, mais le retour à l’étalon-or international devrait le dissoudre rapidement. Mais, pour être plus précis dans la logique de ce processus, il s’agit de comprendre que la dette des pays de la zone euro peut être divisée, grosso modo, en deux parties : 1/3 circulant au niveau interne et 2/3 circulant au niveau international. La partie circulant au niveau interne devrait se trouver indexée en monnaie nationale : 1 euro = 1 franc ; 1 euro = 1 mark ; 1 euro = 1 peseta, et ainsi de suite, pour simplifier la comptabilité. Puis, il est clair que les nouvelles monnaies nationales vont connaître une période de faiblesse par rapport à l’US dollar et à l’or. Ce qui devrait réduire la valeur de la dette circulant au niveau interne. Puis, la partie circulant au niveau international devrait s’éteindre avec sa désactivation et avec le retour à l’étalon-or.
En ce qui concerne les réserves en US dollars qui sont actuellement détenues par les pays émergents, à plus de 80 %, tout laisse penser que l’effondrement du système de l’euro devrait provoquer une panique dans le marché obligataire. La montée du prix de l’or – plus précisément, la préférence pour l’or – devrait accélérer la perte d’efficacité de ces actifs. Dans ces conditions, les achats massifs de la Réserve Fédérale grâce à l’émission monétaire (QE), ne pourra pas empêcher la chute de ces valeurs.
Donald Tsang, le Gouverneur de Hong-Kong – et probablement la deuxième personnalité de la Chine – disait dernièrement à Davos, exprimant cette problématique de la crise monétaire qui se déroule devant nos yeux : « Je n’ai jamais eu aussi peur que depuis cette crise de l’euro ». (El País, 29-01-2012, p.2). Car, il ne faut pas oublier que la Chine et Hong-Kong détiennent actuellement quelque chose comme 3.620 milliards de dollars, dont 630 milliards de dollars sont en obligations des pays de la zone euro.
Ceci veut dire, par conséquent, que la crise de la zone euro peut déclencher une crise dans le marché obligataire et toucher l’ensemble de ce marché. Ce qui ne peut qu’annoncer le retour à l’étalon-or. Mais, il faut être conscient du fait que l’étalon-or ne peut pas à la fois garantir les échanges sur le marché international et garantir les monnaies en circulation. De sorte que les monnaies nationales devront être garanties par l’argent métal ou être tout simplement des monnaies juridiques, sans garanties métalliques. C’est-à-dire des monnaies garanties par les États.
En tout cas, pendant toute une période de transition les monnaies nationales peuvent ne pas avoir une garantie métallique. Ce n’est que dans une phase supérieure, lorsque les sociétés auront compris la nécessité de maintenir et d’assurer la mobilité verticale et que le système bancaire de dépôt sera entièrement nationalisé. Alors, les banques centrales pourront émettre des certificats argent et certificats or. Les premiers devant servir aux échanges dans le marché interne, et les seconds aux échanges dans le marché international.
Ceci, tout comme cela s’est passé avant 1873 aux États-Unis. Mais, à la seule différence que dans le futur, les États auront compris que la monnaie fait partie de la chose publique et que les banques de dépôts doivent être nationalisées, en vue d’assurer un crédit abondant et bon marché, tout en luttant contre toute forme de surendettement. De là, la nécessité de maintenir un taux d’usure, le plus bas possible en vue d’éviter le surendettement.
Rappelons, à ce propos, que pour Ron Paul, les banques privées doivent produire la monnaie : les certificats or et argent, car il est contraire à l’existence d’une Banque centrale. Par contre, nous considérons que les Banques centrales doivent non seulement jouer le rôle de producteur de la monnaie avec l’Institut d’émission et de préteur en dernière instance de l’État.
Le règne de l’étalon-or est le seul système capable d’assurer l’autorégulation englobante du marché international, pour éviter toute forme de concurrence déloyale et de dévaluations compétitives. Pour cette raison, comme le disait Karl Polanyi, cet ordre est le seul qui peut se permettre d’être à la fois juste et libre. De là, la nécessité de créer un Conseil de Sécurité Économique capable de lutter contre les paradis fiscaux et pour éviter toute forme de thésaurisation de l’or du côté des économies excédentaires. Car, comme nous le savons, toute politique de thésaurisation de l’or monétaire peut donner naissance au privilège exorbitant. Curieusement, Keynes a prévu cette possibilité du côté des États-Unis en 1923, mais il ne lui a pas donné suite. En effet, dans sa Réforme Monétaire de 1923, il nous dit : « Il ne faut pas que nous négligions la possibilité d’une démonétisation partielle de l’or par les États-Unis ». Op. cit., Éditions du Sagittaire, Paris, 1924, p. 104.
Ceci dit, le jour où les pays excédentaires se trouveront dans la trappe du dollar – avec des montagnes de bons du Trésor américains, sans aucune valeur -, alors, ils comprendront que le papier n’est pas un vrai instrument de réserve et que seul l’or peut jouer ce rôle au niveau international. Car, au niveau international on ne peut pas faire l’économie de l’or. Tout comme au niveau des nations on ne peut pas faire l’économie du crédit et encore moins l’économie de l’économie. Hier encore, Marx disait, à ce propos, que la monnaie et la valeur d’échange sont la manifestation de la vénalité et de la prostitution universelle. Pour sa part, depuis près de 23 siècles, Aristote nous dit que l’échange est consubstantiel à l’être social. Qu’il ne peut donc pas y avoir vie sociale sans échange et échange sans commune mesure. A présent, nous savons que l’or est la commune mesure universelle et que le papier monnaie peut jouer d’une manière satisfaisante le rôle de commune mesure nationale. Puis, il y a le crédit qui détermine le niveau d’efficacité de la monnaie et qui est la caractéristique essentielle des économies modernes. De là, la nécessité de reconstruire le Système Monétaire International, en vue de dépasser cette époque de crise et de misère universelle, où la cause principale de cet état de paupérisation grandissante est la perversion de l’ordre monétaire et la dislocation du sens de l’ordre social.
Certains spécialistes pensent que le retour à l’étalon-or peut se faire par la simple garantie or d’une monnaie existante. Comme par exemple, par la garantie or de l’euro. Ce qui devrait attirer l’épargne internationale et rendre cette monnaie la plus attirante et la plus forte du monde. Mais, ce processus est très problématique, car tous les pays membres de la zone euro n’ont pas les mêmes réserves. Par exemple, l’Allemagne dispose actuellement de quelques 3.400 tonnes, tandis que l’Irlande ne détient que 5 tonnes. Par conséquent, pour que ce processus puisse être réalisable, il faudrait que les pays, membre de cet espace monétaire, puissent avoir des sommes plus ou moins équivalentes.
Puis, il y a le fait que ce processus impliquerait le retour à la garantie or des monnaies nationales. Ce qui impliquerait le retour au système de l’étalon-or de 1873 à 1914. Plus précisément, à un ordre dans lequel l’or garantirait les échanges sur le marché international, ainsi que la valeur des monnaies. Ce qui conduirait au retour des cycles des crises de cette période.
Nous avons déjà souligné le fait que l’or ne peut servir que pour les échanges sur le marché international, tandis que les monnaies nationales devront être des monnaies juridiques – garanties par la prudence et la crédibilité des États – ou des monnaies garanties par l’argent métal. En tout cas, il nous semble que cette dernière forme ne peut être que la manifestation d’une étape ultérieure. Pendant une période de transition, plus ou moins longue, les pays devront se restructurer à l’aide de la monnaie juridique. Car, il ne faut pas oublier que l’effondrement du système de la monnaie unique va laisser des traces très profondes et que la fin du règne du billet vert va provoquer l’anéantissement des réserves des pays émergents.
En tout cas, il convient de tenir présent à l’esprit que l’éthique est le fondement du droit et que l’ordre social est du droit objectivé. Puis que le droit (nomos) est la base de l’économie (oikos-nomos) et du politique. Pour cette raison, nous pouvons dire que l’économie de la peur que nous connaissons est un monstre enfanté par l’éclipse de la raison, par le règne de la confusion des confusions. Mais, dans cet état de choses, l’économie de la peur peut conduire à la peur de l’économie, à la volonté de la négation de l’économie et à l’entrée dans une nouvelle nuit des temps historiques.
Parlons des signatures ! Seul, l’ensemble des partis de gauche a récolté leurs 500 signatures et seul, l’ensemble des partis de droite n’a pu ou n’a pas encore les 500 signatures ! ça veut dire quoi ? Eh bien ça veut dire que l’Esprit français a toujours été majoritairement de gauche (le social, l’assistanat, la soupe populaire, … ça fait bien d’être de gauche. Etre de droite c’est tabou car on les catalogue, on les taxe de “riches” et de racistes !
J’attends de voir la mesure communiste qui va consister à taxer de 75% tous ceux qui gagnent + d’1 million d’euros/an ! Leurs valises sont prêtes et ils ont ABSOLUMENT raison !!!
Mickaël Darmon sur la matinale de Canal+ a indiqué il y a plusieurs jours que FH envoyait des émissaires dans le monde du show biz et du sport, pour dire pas d’inquiétude on ne le fera pas.
Pour faire semblant on peut dire, ah mais c’était 1M euros de revenus par part fiscale et non pas par foyer, et puis mettre tout un tas de dérogations comme la France sait si bien faire…
Le communisme actuellement se situe à Bruxelles.
Et puis pour les partis de droite… il n’en reste plus beaucoup !!!
Si vous parlez de Sarkozy (?), il aura ses signatures n’est-ce pas ?
Si vous parlez de Bayrou (?), il les a/aura et ne peut qu’espérer que MLP ne les ait pas, car potentiellement c’est autant de gens qui voteront pour lui à défaut de choisir Sarkozy et Bayrou… et comme il a opportunément dit qu’il faudrait que les grands partis fassent quelque chose… mais sans donner des consignes à ses élus quand même !
Si vous parlez de Marine Le Pen (?) ou de Dominique de Villepin (?) ou de Corinne Lepage (?), là vous avez raison…
J’avais déjà réagi sur le sujet dans les commentaires d’un autre article, car je ne trouve pas convaincant du tout le procès que l’on fait à Hollande sur la Corrèze. En gros, vous lui reprochez la gestion de la dette corrézienne, cela en appuyant sur trois points : les budgets et emprunts pour le département, les ordinateurs pour les élèves, les fêtes chez les Chirac, et l’embauche de fonctionnaires. Pour les ordinateurs, je suis assez d’accord que ça n’est pas excessivement malin de faire ce genre d’achats dans un contexte pareil, même si cet achat est plus malheureux par le symbole que par le côté comptable.
Pour les fêtes au château, j’apprécierais des sources chiffrées, et pas juste le témoignage d’une habitante, qui ne repose que sur sa bonne foi. J’avais d’ailleurs écrit : Restent les fêtes chez les Chirac; c’est évidemment scandaleux de gaspiller de l’argent là-dedans, mais ça ne doit pas être non plus des sommes gigantesques : la chambre des comptes est tatillonne mais n’en parle même pas. Et à mon sens, si Chirac a déclaré vouloir voter Hollande, c’est plutôt parce qu’il hait cordialement Sarkozy.
Pour les fonctionnaires, vous pointez du doigt l’embauche inconsidérée, mais n’aviez pas répondu à cette précision de ma part : d’après la chambre des comptes, il s’agit d’une augmentation principalement imputable au transfert des personnels TOS et DDE dans le cadre de la décentralisation. Si l’on va chercher des informations sur le nombre de fonctionnaires départementaux sur le site des chambres de comptes régionales, on s’aperçoit que c’est un peu partout pareil (j’ai essayé avec quelques départements au hasard, tant PS qu’UMP).
Et quant à la dette : La dette fin 2008 tient au budget voté avant l’arrivée de FH (en mars), et devait se monter à 300 millions. C’est lui qui l’a fait réduire à 290 millions. Ensuite, alors qu’elle avait été de 262% depuis 2003, son évolution est d’environ 18% sur deux ans, c’est à dire tout à fait dans la moyenne des départements (20% sur la même période). Et le préfet de Corrèze (nommé par Sarkozy), salue d’ailleurs une évolution économique très positive.
Sources ici, à décortiquer un peu, il s’agit des rapports de la Cour des comptes et de la chambre régionale des comptes, et de la réponse de FH : http://www.ccomptes.fr/fr/CC/documents/RPT/Rapport_public_thematique_gestion_dette_publique_locale_130711.pdf
http://www.ccomptes.fr/fr/CRC15/documents/ROD/LIR201006.pdf
http://www.ccomptes.fr/fr/CRC15/documents/ROD/LIO051010.pdf
Je sais que je recycle en partie d’anciens commentaires de ma part, et vous prie de m’en excuser, mais je n’avais pas été convaincu des quelques réponses qui m’avaient été formulées, notamment sur l’embauche de fonctionnaires.
Ce n’est pas tant que vous recyclez, c’est surtout que vous minimisez. Des petits riens par ci et des pas grands choses par là, alors qu’on est endetté jusqu’aux oreilles, n’ont pas le même poids que lorsqu’on a les moyens de ses légèretés.
Pour les ordinateurs, je vous l’accorde volontiers.
Mais pourquoi ne dites-vous rien de ce que j’ai soulevé quant aux fêtes chez les Chirac, aux embauches de fonctionnaires, et à la dette corrézienne en général, qui sont des points bien plus importants, pour les deux derniers, que les Ipad.
D’ailleurs on peut y ajouter les emprunts à taux variables, intelligemment contractés par le prédécesseur de Hollande, et qui plombent actuellement les comptes de Corrèze.
On reproche sans cesse à Hollande sa gestion de la Corrèze. Mais, honnêtement, qu’auriez-vous écrit si la situation avait été inverse, si Hollande avait été un candidat de droite et que les médias de gauche s’étaient déchaînés contre lui en omettant complètement que la gauche au pouvoir avant lui était responsable d’une magistrale explosion de la dette (multipliée par 8,5 en moins de dix ans, ça c’est une performance). J’imagine à quel point vous auriez accablé une telle presse, qui ne retient des faits que ce qui l’intéresse, et vous auriez eu raison.
"Mais, honnêtement, qu’auriez-vous écrit si la situation avait été inverse" : j'aurais non seulement, et honnêtement écrit que le bilan de Hollande est exemplaire, mais je l'aurais répété. Evidemment.
Car vous ne semblez pas avoir bien perçu l'idée que mon camp est celui de la vérité.
Ah, je savais que je n’aurais pas dû écrire ce dernier paragraphe; sans lui vous auriez peut-être répondu à tout le reste !
Pas mal de troll sur ce sujet… on ne peut déjà plus critiquer saint Hollande avant son élection apparemment.
Qu’est ce que ce sera après…
c est pas des troll 🙂
personne n aime sarko, meme a droite cela devient difficile ….
Pour saint Hollande il est rien juste un réceptacle, il fait et dit ce que le ps et les vert lui disent de faire (c es copains …) apres ce sera la meme chose et cela dit il n est pas dit qu il soit élus, pour le moment c es la droite qui gagne ! meme si cela en choque plus d un et ne fait pas plaisir au journaliste français en général.
AVEC HOLLANDE LA FRANCE SERA UN DES PAYS BAS
Et Dupont d’ajouter “je dirais même plus : “très très bas !! “
Je me suis branchée à l’arrivée de Fabius dans l’émission de France2 “Des paroles et des actes” qui était confronté à Sarkozy. Je viens de trouver cet article de l’AFP:
07/03/2012 à 14:05
Laurent Fabius évoque l'”agressivité doucereuse” de Nicolas Sarkozy
“Il a une sorte d’agressivité doucereuse, qui fait qu’il ne vous laisse pas beaucoup parler. Et donc, c’est difficile à faire passer” ce qu’on souhaite, a expliqué l’ancien Premier ministre socialiste sur BFMTV-RMC.
Nicolas Sarkozy, a poursuivi M. Fabius, a “passé son temps à casser du sucre sur les socialistes dans des termes extrêmement violents. Il faut développer ses arguments”.
“Ce qui est très important pour un président de la République, c’est se maîtriser soi-même et respecter les autres. Je ne suis pas sûr qu’il se maîtrise toujours lui-même”, a-t-il ajouté.
Qualifiant le débat de mardi soir d'”intéressant et incomplet”, M. Fabius s’est félicité d’avoir fait passer “deux ou trois messages”, dont celui selon lequel “M. Sarkozy a fait beaucoup de promesses qu’il n’a pas tenues”.
Mais, a-t-il regretté, “il y a des tas de choses qu’a dites M. Sarkozy… des contre-vérités, des choses totalement fausses” auxquelles il n’a pu répondre, “faute de temps”.
Si Hollande est de la même mauvaise foi et aussi menteur que Fabius, la France n’est pas dans la merde….. Car, contrairement à ce qu’il dit de ce débat, c’est lui qui q… entre les jambes! Incroyable comme les hommes politiques peuvent changer en mal. Fabius est franchement tombé de mon estime. J’ai horreur de la mauvaise foi! Et comme le dit fort bien Le Point.fr “Sarkozy laisse Fabius sans voix”.
J’aimerais que Jean-Patrick Grumberg m’éclaire sur ce qu’a dit Sarkozy en réponse à la question ultime du journaliste: – j’ai oublié son nom – Pourquoi cette tristesse dans les yeux?: La réponse fut: “en 2007 j’ai souffert dans ma vie privée” en 2012 “j’ai souffert dans ma vie privée” ? Que s’est-il passé dans sa vie privée en 2012? Serait-ce en rapport avec son enfant? Ne serait-il pas en bonne santé? J’ai beau chercher…… Merci pour votre réponse.
En revanche, je tire le chapeau à Nicolas Sarkozy pour avoir remis en place la journaliste de France Inter, je crois, dont je ne vois pas l’importance accordée dans cette émission – et en fin d’émission!
Erratum:
Car, …. débat, c’est lui qui est parti la q… entre les jambes!
Mr. Grumberg, c’est bien de s’intéresser à la Corrèze et à la gestion, désastreuse je vous l’accorde, de ses déficits sur cette période de 5 ans. Vous devriez vous intéresser à la France et à la gestion cataclysmique de ses déficits sur cette même période. Résumons: en 2007 la fonction publique compte 4.700.000 fonctionnaires, aujourd’hui 5.500.000 soit + 17%. L’Allemagne qui compte 83 M d’habitants ne compte que 4.500.000 fonctionnaires. La dette publique en juin 2007: 1.200 mds d’Euros, en juin 2012: 1.900 mds d’Euros soit + 58% !!! En 2011 le déficit budgétaire s’est élevé à 5.4% du PIB, ce qui veut dire que l’Etat a dépensé 2 fois ce qu’il a gagné. Alors oui Hollande est mauvais mais Sarkozy est pire, pire que tous ces autres candidats eux aussi incompétents. Alors si pour Hoillande c’est niet, pour Sarkozy c’est: à la porte !!
Bonjour Monsieur Grumberg,
Vos données sont peut être vraies mais si vous regardez concrètement les faits, le budget de la Corrèze a augmenté de 200% sous Chirac sans crise éco alors que 20% sous le mandat de Hollande avec un contexte de crise. Après ne vaut-il pas mieux investir cet argent dans le service aux concitoyens et l’éducation que pour des statues (ex : Carrez, conventions UMP ou dans des objectifs tels que la sécurité ou l’immigration).
Franchement pour quelqu’un qui se veut pertinent, je trouve votre article très partial et incomplet. Et pourtant, même si je suis proche du PS je ne suis pas d’accord sur tout avec les propositions de Mr Hollande.
Cordialement.
Deux remarques : on ne justifie pas des erreurs par celles des autres, et on ne prend pas, pour exemple, ceux qui font pire mais ceux qui font mieux.
Ensuite, 1% d’augmentation des dépenses quand on est surendetté, c’est un crime. Alors 20%….
laissons hollande faire ses preuves avant de l’enfoncer ..la Corrèze était endetter avant lui .alors ..vous croyez que Sarko c’est mieux …perso je ne suis pas de droite ,mais je dis encore ne pas juger avant de voir …se ne sera pas pire que la droite …
La Corrèze était endettée avant certes, mais Hollande l’a fait exploser au lieu de réduire les dépenses. Hollande a explosé le budget de la Corrèze. Il a explosé son budget de campagne. Devinette : qui sera le 3e ?
a chaque fois que les socialiste ont été aux pouvoir ,la guerre les dettes la migration ,nous les Français de plus en plus dans la misère les personnes âgées avec moins de 400euro par mois il faut aller a la permanence des assistantes sociale quand je constate les dépense c’est scandaleux honteux les 35heure des licenciement en masse quand au r m i considéré comme des pestiféré pour trouvé du travail il faut s’accrocher c’est abject ils maintiennent les gens ,dans la misère pour mieux les enrôler avec des belle promesse comme au moyen âge cesser d’être dupe