Michel Garroté – Sur dreuz.info, Jean-Patrick Grumberg, Guy Millière et moi-même écrivons régulièrement, depuis des années, que la France est minée par les idéologies étatistes et antilibérales. Et nous écrivons depuis des années que la caste politique française – quoi qu’elle puisse alléguer en périodes électorales – est totalement indifférente aux souffrances des Français. Lorsque Guy Millière écrit cela, des esprits vexés dans leur orgueil national mal placé, lui disent qu’il n’a qu’à quitter la France, s’il n’est pas content. Lorsque Jean-Patrick Grumberg écrit cela, des esprits vexés dans leur orgueil national mal placé, lui disent que puisqu’il a quitté la France pour s’installer en Israël, il n’a qu’à se taire.
Lorsque moi j’écris cela, des esprits vexés dans leur orgueil national mal placé, me disent que je n’ai rien à dire vu que je vis en Suisse. Notez bien que dans les trois cas de figures, très différents les uns des autres, c’est toujours le même orgueil national mal placé qui nous demande de fermer notre bouche. La réalité, c’est que les analyses publiés depuis 2007 sur dreuz.info ont systématiquement tendance à se confirmer dans les faits. La réalité, c’est que, de temps en temps, l’on trouve, dans la France de 2012, mieux vaut tard que jamais, quelques chroniqueurs audacieux qui osent écrire, aujourd’hui, ce que nous écrivons depuis six ans. Et si d’aventure, ces chroniqueurs, eux aussi, ont écrit avant 2012, ce que nous-mêmes écrivons depuis longtemps, alors ils n’ont pas été découverts, ils n’ont pas été remarqués, ils n’ont pas été mentionnés, ils n’ont pas été lus et ils n’ont pas été entendus. Mais il semblerait que cela a peut-être légèrement changé.
Ainsi, l’ancien conseiller de Sarkozy et écrivain, Maxime Tandonnet écrit (extraits adaptés ; cf. le premier lien en bas de page) : « Je trouve qu’il y a quelque chose d’excessif et de malsain à cogner en permanence sur les banques et le système financier comme le font allègrement la plupart des candidats à l’élection présidentielle. Il est facile d’accuser les banquiers de tous les maux de la création et de les jeter en pâture à la foule. La responsabilité de la crise est largement partagée : gouvernements depuis trente ans qui ont fait fausse route en creusant les déficits et la dette, syndicats qui ont bloqué tant de réformes indispensables pour défendre les privilèges de caste, électeurs quand ils ont donné leurs voix à des irresponsables, etc ».
Maxime Tandonnet : « Les banquiers, les capitalistes ont bien sûr leur part de responsabilité, mais ils essayent de faire leur travail comme tout le monde et il est inique de vouloir les traîner dans la boue. Cette recherche du bouc émissaire à travers la figure du financier, renvoie à un vieux fond idéologique mêlant anticapitalisme et antisémitisme tel que l’exprimait Jules Guesde, le père du marxisme français en 1885 : ‘La République n’existera qu’au jour où Rothschild sera devant un peloton d’exécution’. Aimer le peuple – ai-je envie de dire aux candidats de tous bords spécialistes du lynchage verbal – c’est le respecter, le traiter en adulte, et non lui faire jouer le rôle d’une meute en mal de gibiers de potence ».
Maxime Tandonnet (extraits adaptés ; cf. le deuxième lien en bas de page) : « D’après les sondages, le taux d’abstention pourrait atteindre 30%. Si on y ajoute le vote en faveur de candidats dits antisystème, Mme Le Pen 15%, M. Mélenchon 15%, cela donne 60% d’électeurs qui ne se reconnaissent pas dans les institutions, dans la classe dirigeante. 40% des Français seulement croient en la politique. Ce constat désastreux ne s’explique pas seulement par la crise économique mais par le comportement des élites dirigeantes et cette impression toujours plus profonde de coupure entre la France ‘d’en haut’ et la France ‘d’en bas’. Un simple exemple, anecdotique mais parlant : celui des voitures de fonction avec chauffeurs qui dispensent les membres des cabinets ministériels de prendre les transports en commun. Quelle erreur ! Comment sentir un pays, son peuple, en étant coupé de sa vie réelle ? »
Maxime Tandonnet : « Je pense qu’il est impossible de comprendre ce qui se passe en France, sans prendre le métro ou le bus aux heures de pointe. Une mesure toute bête, toute simple : supprimer, sans aucune exception, les voitures de fonction avec ou sans conducteur. A-t-on bien réalisé que dans un mois, la France sera peut-être le seul pays au monde avec la Corée du Nord et Cuba à avoir des ministres communistes à son gouvernement ? (Je ne compte pas la Chine, pays le plus capitaliste de la planète). Le communisme ? Entre Lénine, Trotski, Staline, Mao, Pol Pot, soixante millions de morts, au bas mot. Et nous risquons de retrouver dans quelques jours à des postes clés aux commandes de l’Etat, des ministres labellisés communistes. Ce qu’on éprouve, ce n’est pas de la peur : les chars soviétiques ne sont plus là pour menacer la liberté; mais une sorte de honte, de sentiment de ridicule, d’absurdité. Seuls au monde avec la Corée du Nord et Cuba », conclut Maxime Tandonnet.
Pour ce qui me concerne, pour ce qui nous concerne, nous autres contributeurs et contributrices de dreuz.info, les chroniques de Maxime Tandonnet confirment nos propres analyses. Et pour ce qui me concerne plus personnellement, je note que comme je l’avais redouté et annoncé, la gauche française et l’extrême-gauche française (la droite et l’extrême-droite françaises aussi, mais de façon moins vindicative et sectaire), renouent avec les thèses complotistes et conspirasionnistes mêlant anticapitalisme et antisémitisme telles qu’elles furent développées dans la deuxième moitié du 19e siècle et la première moitié du 20e siècle. Avec les présidentielles, la politique française revient au millénaire passé, au 19e et au 20e siècle. La France est au bord du gouffre ; et elle est sur le point de faire un grand pas en avant, comme disait l’autre.
http://maximetandonnet.wordpress.com/2012/04/08/reflexions-diverses-suite/
http://maximetandonnet.wordpress.com/2012/04/06/reflexions-diverses-de-fin-de-campagne/
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Le problème est que la solution à la crise c’est l’annulation des dettes qu’on fait les vieux sur le dos des jeunes !
point.
en faisant de l’inflation ou en l’annulant…
Un exemple: l’immobilier c’est du vol des jeunes par les vieux riches !
Les vieux qui on fait venir des travailleurs car ils préféraient être au chômage que balayer……..dans les années 70.
Les mêmes qui ont installé l’islamo nazisme en gardant leur poste.
25% de voteur pour le pen chez les moins de 23 ans ! ils ont tout compris.
Merci bien à la génération née après la guerre. Avec de pareils parasites malfaisants, on comprend la dangerosité de l’immortalité.
Sur le fait que ce sont toutes les élites françaises qui sont pourries, même aux endroits où on s’y attend le moins :
Congrès UOIF : Islam en détresse recherche évêques complaisants
Par Ivan Wilk le 10 avr, 2012 @ 8:11
Tribune libre
La corruption des élites françaises n’aura pas touché que la politique, l’art ou les media. Elle s’est sournoisement infiltrée sous la mitre de quelques évêques et pasteurs catholiques qui, depuis les années 70, se sont avidement rués vers le n’importe quoi généralisé, confondant allègrement la liturgie avec Fun Radio, la doctrine sociale de l’Eglise avec le Petit Livre Rouge, et le Magistère avec… Mais savent-ils encore ce qu’est le Magistère ?
S’étonnant ensuite que leurs ouailles désertent leurs paroisses, ne comprenant pas pourquoi les autrefois féroces anticléricaux ne prenaient même plus la peine de tirer sur ce qui ressemblait furieusement à une ambulance défoncée et sans sirène, ils ont multiplié les entreprises hasardeuses : de grands rassemblements festifs où des rombières à guitare poussaient la chansonnette pour moins de haine et plus d’amour, à des prises de position intempestives sur le méchant pas beau Front National, ils ont lamentablement tourné calotte, pour la plus grande consternation des catholiques qui avaient réussi à le rester sans tomber dans le delirium tremens.
Depuis quelques temps, ces quelques évêques – que nous nommerons dans cet article, foi de délateur – ont trouvé un autre dérivatif. Alors que des morceaux de chrétiens torturés et assassinés parsèment les rues et quelques campagnes d’un certain nombre de pays, ces zélés serviteurs de la bonne parole (pas la Bonne Nouvelle) se jettent sur toutes les occasions de dire n’importe quoi sur l’islam, et de préférence d’imbéciles sentences entretenant un lien direct avec la pure invention ou les mensonges officiels.
C’est ainsi que nous avons découvert avec amusement – ayant désormais dépassé le stade de l’étonnement – que Monseigneur Dubost, évêque d’Evry et le Père Roucou, responsable du service des relations avec l’islam, se sont rendus aujourd’hui au congrès de l’UOIF. Il s’agirait pour eux d’assister à une table ronde baptisée « le dialogue intellectuel et culturel : un préalable pour un changement durable », avec deux imams (de l’UOIF – mais oui !), à savoir Azzedine Gaci et Tareq Oubrou. Les motivations de Monseigneur Dubost ? « Depuis les événements de Toulouse et Montauban, je sens une grande nervosité et une peur chez les musulmans. Dans ces moments, il est important de montrer que des liens existent et redire les conditions de ces liens. Pour les créer, il faut le respect des lois de la République et la liberté de professer en public et en privé l’enseignement de son culte ».Espérons qu’il est encore capable de sentir la « grande nervosité » et « la peur » des chrétiens irakiens, égyptiens, pakistanais ou soudanais. Celle des juifs, également, peut-être. Si tant est que leur survie importe encore.
Pour information, le Père Roucou, qui n’a décidément peur de rien, comparait, en 2010, le voile intégral à …la soutane ! « J’y vois le besoin d’affirmer une identité dans une société mondialisée. C’est vrai, aussi, avec les jeunes prêtres qui portent une soutane. » Ledit Roucou pontifiait sans rire sur « l’exemple » d’un pèlerinage islamo-chrétien dans les Côtes-d’Armor. Au programme de la chose ? «Table ronde, samedi après-midi. Messe, dimanche, suivie de la lecture de la sourate 18. » Vous avez bien lu.
Quant à Monseigneur Dubost, il déclarait sur RTL, le 7 mars dernier, au micro d’Yves Calvi : « Ca ne me dérange pas du tout de manger halal. »
Nous ne nous étonnerons donc pas que des évêques, dont les prêches nous font quelquefois penser qu’ils n’ont pas ouvert le catéchisme de l’Eglise catholique, n’aient pas non plus lu le Coran ou croient que Mahomet est à la paix dans le monde ce que Lanza del Vasto est à la non-violence.
Que des évêques et responsables catholiques débattent avec les musulmans (comme avec n’importe qui d’autre) ne pose dans l’absolu aucun problème théologique ou moral. Qu’ils aient à cœur de favoriser la paix est respectable et à encourager. Qu’ils débattent (mais en vérité uniquement, et sur des bases historiques, philosophiques et dogmatiques sérieuses) avec des musulmans, également. Mais qu’ils se rendent à un congrès plébiscité par des criminels qui ont fait du massacre des mécréants une mission personnelle, voilà qui nous semble sujet à caution.
Monseigneur Vingt-Trois, sur Europe 1, déplorait hier les polémiques lancées par le FN, notamment celle sur le halal. On attend de lui qu’il déplore les propositions du PS sur l’euthanasie, ou celles du Front de Gauche sur la régularisation des clandestins. On espère qu’il déplorera également le viol de la trêve de Pâques au Nigéria, où un attentat à la bombe, commis près d’une église, ce dimanche, a fait vingt morts et plusieurs blessés dans la ville de Kaduna.
Le cardinal Philippe Barbarin, accessoirement primat des Gaules, déclarait, le 4 janvier 2011, qu’il lui arrivait, au chevet de mourants musulmans, de réciter la châhada. Qu’on se rassure, il indiquait également qu’intérieurement, il conservait ses convictions catholiques (ouf). Un bon conseil pour les coptes, donc, de la part d’un évêque français…Convertissez-vous, mais intérieurement, vous pouvez rester chrétiens. Les fesses au chaud et les mains sales : éternel credo de la trahison. De quoi faire ricaner violemment le regretté Léon Bloy.
N’en restant pas là (il faut croire qu’il voulait vraiment taper la discute bien-pensante), le sieur Barbarin déclarait dans Le Monde : « Une loi peut être modifiée ou abrogée, si la réalité sociale change. Les musulmans étaient très peu nombreux en France, en 1905. Aujourd’hui, on dit qu’ils représentent 10 % de la population, et dans certains endroits, il y a plus de monde à la mosquée le vendredi qu’à l’église le dimanche ! Quand les musulmans demandent pourquoi l’Etat aide l’Eglise catholique, en finançant l’entretien des édifices construits avant 1905, alors qu’il n’aide pas la communauté musulmane, on peut leur opposer le texte de la loi, mais il reste que leur question est légitime. (…) L’islam est compatible avec les lois de la République, à condition que les musulmans le veuillent. »
Les musulmans ? Sans nul doute. L’islam ? Autant dire que le totalitarisme est compatible avec la démocratie. Mais ce qui, en théorie, est ubuesque, nous semble en pratique, de nos jours, tout à fait applicable: un évêque récitant la châhada est l’illustration vivante de l’absurdité encensée.
Soyons honnêtes : l’amnésie intellectuelle et morale de certains clercs n’est pas l’apanage de ce quelque chose de pourrissant en terre de France. Nous importons et exportons la bêtise : en 2008, déjà, des évêques catholiques de Grande-Bretagne demandaient l’ouverture de salles de prières musulmanes dans les écoles catholiques…
Quant à leurs collègues suisses, sans doute jaloux, ils firent du zèle lors de la votation contre la construction de minarets : « Pour les évêques, la décision du peuple représente un obstacle et un grand défi sur le chemin de l’intégration dans le dialogue et le respect mutuel. On n’est manifestement pas parvenu à montrer au peuple que l’interdiction de la construction de minarets ne contribue pas à une saine cohabitation des religions et des cultures, mais au contraire la détériore. La campagne, avec ses exagérations et ses caricatures, a montré que la paix religieuse ne va pas de soi et qu’elle doit toujours être défendue.»
Pour finir sur une note pleine d’humour, le Père Roucou (toujours le même), s’est plaint, dans Libération, du succès rencontré par le témoignage de Joseph Fadelle (musulman irakien converti au christianisme qui raconte son témoignage dans Le Prix à payer), dans les termes suivants : « Les prêtres conseillent ce livre à leurs paroissiens. Fadelle lui-même est invité à donner des conférences partout. Et pas simplement pour parler de son itinéraire qui est tout à fait respectable, mais pour dire que l’islam est l’œuvre du diable. On sent se renforcer chez les catholiques – comme chez l’ensemble des Français – un courant d’hostilité à l’islam. »
Qui a dit, « qu’ils s’en aillent, tous ! » ?
Cette tribune est publiée en partenariat avec Riposte Laïque.
http://www.ndf.fr/identite/10-04-2012/congres-uoif-islam-en-detresse-recherche-eveques-complaisants#.T4QS7dmHEe6
Par Thor, quelle saine colère ! Magnifique.
J’ai vu aux infos un bled en région parisienne qui lance la construction d’une sorte de « place des religions », avec mosquée, synagogue, église, temples …
Les abrutis sont contents d’eux. Pour l’instant, le seule construction avancée est … la mosquée, à la grande satisfaction visible du barbu responsable, qui jure par allah que tout ceux qui viendront s’installer sont les bienvenus.
Il est grand temps de transformer le « courant d’hostilité » en grans coup de pied au cul !
Merci pour cette tribune: texte magistral!
« un évêque récitant la châhada est l’illustration vivante de l’absurdité encensée »
Nous vivons dans le monde de l’absurde et ces religieux catholiques en sont la preuve vivante.
Pendant que ces « Chrétiens » font des « mamours » en France aux musulmans, qui, je le rappelle, rejettent le Christ, donc le christianisme, leurs frères en Christ, en terre d’islam, se font brûler vifs, crucifier, torturer à mort et ce au nom d’allah « le miséricordieux » !!! Sont-ils à ce point absorbés par la volonté de ne pas ostraciser les membre de l’UOIF, qu’ils restent sourds aux cris de souffrance et appels à l’aide des Chrétiens Martyrs en terre d’islam ? Leur devoir de prêtres n’est-il pas de venir en aide aux Chrétiens persécutés, et non d’assister à la conférence d’une organisation, qui a invité des prêcheurs de haine psychopathes obsédés par une seule idée fixe : terminer le travail commencé par un très grand malade mental du XXe siècle, objet de toute leur admiration : Adolph Hitler ! Ces deux naïfs ne savent-ils pas que les prédicateurs invités par l’UOIF ne respectent aucune de nos valeurs chrétiennes, qu’ils sont opposés à nos valeurs démocratiques, sauf comme moyens pour les détruire, n’aspirent qu’à la « pax islamica » et souhaitent instaurer la justice selon la charia. Ignorent-ils, ces naïfs,que ces islamistes ne pensent qu’à exterminer les infidèles, dont ils font partie, à tuer les apostats, les homosexuels, à conquérir Rome, la capitale des Catholiques, la capitale des Croisés, car elle a déclaré la guerre a l’islam et implanté les frères des singes et des porcs en Palestine afin d’empêcher le réveil de l’islam. (source : Yunis Al Astal – L’islam va conquérir Rome VOST FR par isralove) Cet « érudit » musulman et député du hamas n’est pas le seul à délirer de la sorte et les prêtres catholiques devraient mieux s’informer sur les mouvements « musulmans » qu’ils soutiennent si fraternellement !
Par exemple, savaient-ils que » l’un des conférenciers, qui a échappé à l’interdiction, un certain Salah Sultan, un Egyptien, membre de » l’Union Internationale des Savants musulmans », est un antisémite pur jus, nourri à la haine d’Israël, qui n’hésite pas à appeler publiquement, lors d’émissions télévisées, à la destruction d’Israël, à tuer tous les « sionistes » présents sur le territoire égyptien ? Sont-ce les valeurs de paix et de justice qui ont été défendues lors du congrès de l’UOIF, vu le pédigrée des invités ???
Les cardinaux Barbarin et André XXIII ont-ils eu l’occasion de lire la déclaration d’Amar Lasfar, le recteur de la mosquée de Lille Nord, le grand ami de sœur Martine : » Dans l’islam la notion de citoyenneté n’existe pas, mais celle de communauté est très importante, car reconnaître une communauté, c’est reconnaître les lois qui la régissent. Nous travaillons à ce que la notion de communauté soit reconnue par la République. Alors, nous pourrons constituer une communauté islamique, appuyée sur les lois que nous avons en commun avec la République, et ensuite appliquer nos propres lois à notre communauté » (Amar Lasfar cité dans « La cité mode d’emploi » Homme et migrations) En d’autres termes, vivement que la charia remplace les lois mécréantes de l’état français.
« L’Assimilation suppose pour les populations islamiques se fondre à terme dans la population. Ceci est exclu car cela signifie l’abandon de la loi islamique […] Il n’y aura pas de dérogation à cette règle ». Amar Lasfar, conférence à l’Alliance régionale du Nord, 9 octobre 1997 (Source : observatoire de l’islamisation)
Les prélats et prêtres catholiques qui s’allient à l’islam empruntent le chemin de satan, ils soutiennent les ennemis du Christ et deviennent ainsi les complices des adeptes d’une idéologie totalitaire, dont l’objectif premier est d’effacer Israël et le peuple Juif de la surface de la terre. Qu’ils aient alors le courage et la franchise de ne plus s’appeler « chrétiens », mais futurs adeptes d’allah, car nul ne peut se définir comme Chrétien et en même temps pactiser avec une « religion » qui appelle à la soumission et/ou au meurtre des Juifs et des Chrétiens.
Il n’y a rien de plus absurde, de plus illogique, de plus incompréhensible qu’un Chrétien qui fraternise avec les prêcheurs islamistes, dont l’hystérie anti-juive frise la folie meurtrière au point de vouloir éradiquer Israël, le pays où naquit Jésus, de la surface de la terre et exterminer son peuple, le peuple Juif.
Malheureusement, les évêques de France dissimulent aux chrétiens français la réalité des persécutions de chrétiens dans le monde musulman, sans compter les autres religions.
Puisque le christianisme reconnaît le mensonge par abstention, on peut donc dire que les évêques de France sont d’immenses menteurs. Et les principaux collaborateurs à la persécution des chrétiens dans le monde musulman. Des évêques de cour, comme il y a des juifs de cour. Et ils refusent également de dire ce qu’est réellement l’islam, notamment d’un point de vue théologique, pour montrer aux catholiques les différences avec le christianisme et le judaïsme, tout cela pour ne pas altérer l’harmonie qui règne dans la société française, et favoriser le vivre ensemble. Comme si leur rôle était d’abord politique.
Deux prêtres dans la lignée du père Arbez (qui est suisse et donc pas concerné par l’épiscopat français), le père Pagès qui a fait beaucoup de vidéos sur l’islam, et le père Jourdan qui a écrit « Dieu des chrétiens Dieu des musulmans », se sont retrouvés en délicatesse avec l’épiscopat français et Mgr Vingt-trois, qui n’a pas réussi à virer le premier malgré le fait d’avoir essayé, mais a réussi à envoyer le deuxième aux Philippines où il est moins dangereux.
Je me suis longtemps demandé comment des Français intelligents, cultivés, éduqués… avaient pu devenir des collabos. Quand je regarde nos élites et le peuple français, je comprends mieux comment des gens bien ordinaires ont pu laisser faire l’horreur : acceptant petit à petit de plus en plus d’abominations, de mensonges, et toujours soucieux de leur tranquillité et de leur confort personnel, sans compter leur image publique dans les médias et chez les intellectuels qui est une véritable obsession.
Il n’est pas seulement absurde le chrétien pro-islam, il est complètement ignare, renégat, apostat et bouché à l’émeri s’il n’a pas compris que juste derrière les juifs, si ce n’est simultanément, viennent les chrétiens dans l’ordre du massacre.
Très bon résumé
@MG: aimer les gens et les traiter en adultes, je vais vous dire ce que c’est. C’est faire en sorte que la société leur permette de se réaliser, de prendre des risques et de les laisser gagner (ou perdre), non pas en les dopant en subsides afin d’en faire des vitrines d’une pseudo-réussite avant de les tuer ensuite en impôts sous les fallacieux prétextes de protection (protection de quoi? des banlieues? du chomage? de drzz?) et de soi-disant justice (à sens unique). C’est leur donner à eux et à leurs enfants un enseignement digne de ce nom, càd. où l’esprit critique, l’excellence et l’initiative sont au coeur de l’apprentissage. Mais on peut toujours rêver. Hier je voyais à France 4 et puis à France 2, les spots électoraux de la « droite » et du « centre ». Je n’ai vu défiler que des marxistes prétotalitaires. A vomir. Il ne manquait plus que la fanfare pour l’Internationale. Alors maintenant la France serait au bord du gouffre? Eh bien, qu’elle tombe dedans. La France est la risée de l’Europe, avec la Wallonie et la Biélorussie. C’est tellement beau le socialisme à la générosité débordante de misère. Et on en redemande.
fera t-elle le bon pas ?
let’s wait and see
Lorsque des esprits vexés dans leur orgueil national mal placé, nous disent de quitter la France c’est pour foncer + vite dans le mur et museler la résistance
Et la suite n’est pas mal aussi …
http://maximetandonnet.wordpress.com/2012/04/10/melenchon-et-limmigration/
Je suis allé jeter un coup d’oeil raopide sur le blog de M. Tandonnet.
J’en reviens assez surpris que ce monsieur n’ait pas réussi à ouvrir les yeux de son patron, à lui insuffler une vraie culture de patriote, avec les pieds bien posés sur le sol.
Je ne sais pas combien de M. Tandonnet il y a dans l’entourage des sphères du pouvoir, sans doute beaucoup, mais il apparaît qu’ils ne sont là que pour faire joli, propre sur soi et bien élevé. Ils ont comme un lustre de cristal dans un grenier, ils n’éclairent que le grenier.
La Corée du Nord ou Cuba, quels modèles !
Dans quelques semaines, la France va faire pire que ce que vous décrivez M. Tandonnet, elles sera affublée de ministres communistes ET de ministres islamistes.
La France, seul pays islamo-communiste du monde !
Jean-François Copé :
« La France délivre près de 140 000 visas par an, pour environ 200.000 demandes. Le taux de refus diminue, nous délivrons de plus en plus de visas de circulation et nous avons fait un effort important pour améliorer les conditions d’accueil, notamment par le recours au prestataire Visa France. L’Algérie bénéficie en outre d’un régime favorable pour les visas de longue durée et pour le séjour, conformément aux accords de 1968 que nous sommes prêts à améliorer encore… »
http://www.islamisation.fr/archive/2011/10/13/cope-et-fillon-convergent-pour-augmenter-l-immigration-adger.html
qu’a fait Sarkozy depuis 5 ans ????
repassez vous son discours:
http://www.dailymotion.com/video/xbgm2p_nicolas-sarkozy-objectif-metissage_news
que la France aille dans le gouffre, je m’en tape !
c’est un sondage pris sur le vif dans la rue, que je voudrai voir.
je reste persuade que plein de francais, repondraient qu’ils vivent pas trop mal, qu’ils vont partir en vacances, et que au fond ils se sentent bien. j’ai des amis francais, non juifs, qui ne donnent absolument pas l’impression de marcher dans l’obscurite.
Il faut vite aller chez l’occuliste car je crains que vous en aillez bien besoin.
Jacques, je suis ravie de savoir que beaucoup de français ont les yeux ouverts car, personnellement, j’ai la même impression que Robert le hero.
« le taux d’abstention pourrait atteindre 30%. Si on y ajoute le vote en faveur de candidats dits antisystème, Mme Le Pen 15%, M. Mélenchon 15%, cela donne 60% d’électeurs qui ne se reconnaissent pas dans les institutions »
Monsieur Tandonnet commet là une faute importante : on ne peut additionner le taux d’abstention avec les intentions de vote issues de sondages, ce sont des pourcentages de populations différentes. Démonstration :
30 % d’abstention, ça signifie que sur 100 Français inscrits sur listes électorales, 30 resteront chez eux.
15 % d’intention de vote pour MLP, ça signifie que sur 100 Français qui se déplaceront pour voter ET qui ne voteront ni blanc ni nul … 15 voteront MLP
En admettant qu’il n’y ait pas de vote blanc ni nul, 15 % pour MLP, ça ferait en réalité 10,5 % des inscrits.
Du fait qu’il y aura des bulletins blancs et des nuls, ça fait encore moins.
J’ai pris l’exemple de MLP, c’est bien évidemment vrai pour chaque candidat.
L’esprit de l’article reste valable : entre l’abstention, les votes blanc et nul et les scores des candidats du FN et du front de gauche, il ne reste plus grand monde qui adhère aux programmes UMP/PS.
« La France est minée par les idéologies étatistes et antilibérales « .
————–
Tout à fait et ça ne risque pas de s’arranger vu que à quelques détails près, tous les candidats propose le même programme, plus l’Etat, plus d’Etat et plus d’Etat.. un Etat obèse, quoi :
–>
http://www.youtube.com/watch?v=i9N9MB5zFNw
Nicolas Doze est l’unique journaliste du PAF à mettre les pieds dans le plat. N’en cherchez pas un autre, il n’y en a pas.
Et pourtant, si vous faites une requète sur son nom, vous trouverez des centaines de sites où on le présente comme un dangereux hyper libéral fou !
C’est pas demain la veille qu’on va apprendre où est la porte de la sortie !
Garroté & Co écrivent ici : [la caste politique française – quoi qu’elle puisse alléguer en périodes électorales – est totalement indifférente aux souffrances des Français.]
Je trouve ici bien abusif l’usage du terme « souffrances »!
Remarquons :
La FRANCE est dotée d’un système de démocratie représentative. Ce système nous rend juges et parties. Rappelons le vieux dicton: « Le peuple a les politiciens qu’il mérite ». Exact? D’un extrême à l’autre toutes les « classes » y sont ainsi présentes. La FRANCE resterait-elle la république de tous les paradoxes?
1) Français? Bien sûr TOUS sont moulés dès leur plus jeune âge dans un nombrilisme à nul autre pareil. La Grandeur de la France, la RF, la FR, la F….., blabla. A tel point que du bas en haut de l’échelle sociale, TOUS (des surdoués aux politiens et jusqu’aux pires crétins) se considèrent « JE, fils/fille d’un peuple élu ». Après une France à la Louis XIV « L’Etat c’est moi » puis l’établissement plus récent de la force freudienne du Moi et du SurMoi pour tout un chacun, nous revoici TOUS placés en une nouvelle souffrance? Tiens! Serait-elle la seule sur terre?
2) Souffrance et misères sont universelles, à des degrés divers. Oserais-je comparer le sort des castes FR avec celles de l’Inde? Texto de WIKI : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_de_castes_en_Inde
[[Selon Émile Durkheim, en Inde : « Le régime des castes se définit : 1° par la spécialisation héréditaire ; 2° par l’organisation hiérarchique ; 3° par la répulsion réciproque ». Selon la plupart des sociologues, même s’il existe des hiérarchies dans toutes les sociétés, le système des castes est propre à l’Inde.
La modernisation de la société indienne tend à estomper la séparation des personnes, bien qu’elle reste forte dans les zones rurales, là où vit toujours la majorité de la population indienne, et parmi les couches les plus défavorisées de la population.
Le système des castes a été fortement combattu par plusieurs réformateurs indiens, le plus connu d’entre eux est Bhimrao Ramji Ambedkar, rédacteur de la constitution de l’Inde et lui-même intouchable mahar avant de se convertir au bouddhisme.
Il a été théoriquement aboli et toute discrimination est interdite par la loi indienne. Même si le varna coïncide souvent avec la prospérité sociale, cela n’a rien de systématique.]]
Modernité de part et d’autre : FR de 1789 = Inde depuis 1947 ?
3) Retour aux politiques. De ceux de la France à ceux de partout ailleurs (en nos démocraties représentatives). « Chacun est sensé connaître les lois » ai-je lu il y a longtemps. TOUS doivent autant savoir jauger qui sont les politiciens qu’ils élisent. Non? Politiciens, ces faiseurs de lois (et parfois maîtres ès abus). TOUS nous devons connaître le système et devenir adeptes à le faire évoluer. Non? En finale, sur QUI rejeter les fautes? Sur eux? Sur nous?
Juste retour aux paradoxes : doit-on s’étonner que nos élus nous ressemblent si étrangement? 😛
Je suis bien d’accord avec vous Wolff.
Il est trop facile de limiter le problème français à sa classe politique.
Quand je vois autour de moi (j’ai 21 ans), la culture globale, la lucidité, l’ouverture (bon je ne le dis pas mais presque l’intelligence ne fait) de ma génération c’est à faire peur.
Beaucoup de clichés, peu de lectures, pas de philosophie, pas de culture, aucune ouverture sur le Monde, et surtout aucun effort pour acquérir tout cela.
Alors oui les politiques ne sont ni plus ni moins qu’une représentation plus haute en couleur de la société française.
Après je pense que cette tendance à la non-intelligence n’est pas innée.
Elle est inculquée (ou imprimée, programmée) dès l’enfance par un certain nombre d’institutions dans les cerveaux. Et les médias, le tissu social maintiennent les cerveaux dans cet état la majeur partie de leur vies.
The Wolff, je n’ai qu’un mot bravo!
@The Wolff: Michel Garroté voulait parler de la Sous-France, le nouveau pays des sous-chiens. C’est tout.
Sur l’attitude des politiques, je ne peux que vous conseiller de lire le discours d’Alexis de Tocquevllle :
« Je crois que nous nous endormons sur un volcan » (Discours à la Chambre des députés : 27 janvier 1848)
« M. de Tocqueville : Messieurs, mon intention n’est pas de continuer la discussion particulière qui était commencée. […] Le but qui me fait monter à la tribune est plus général. […] Messieurs, je ne sais si je me trompe, mais il me semble que l’état actuel des choses, l’état actuel de l’opinion, l’état des esprits en France, est de nature à alarmer et à affliger. Pour mon compte, je déclare sincèrement à la Chambre que, pour la première fois depuis quinze ans, j’éprouve une certaine crainte pour l’avenir ; et ce qui me prouve que j’ai raison, c’est que cette impression ne m’est pas particulière : je crois que je puis en appeler à tous ceux qui m’écoutent, et que tous me répondront que, dans les pays qu’ils représentent, une impression analogue subsiste ; qu’un certain malaise, une certaine crainte a envahi les esprits ; que, pour la première fois peut-être depuis seize ans, le sentiment, l’instinct de l’instabilité, ce sentiment précurseur des révolutions, qui souvent les annonce, qui quelquefois les fait naître, que ce sentiment existe à un degré très grave dans le pays. […]
Si je jette, messieurs, un regard attentif sur la classe qui gouverne, sur la classe qui a des droits et sur celle qui est gouvernée, ce qui s’y passe m’effraie et m’inquiète. Et pour parler d’abord de ce que j’ai appelé la classe qui gouverne, et remarquez bien que je ne compose pas cette classe de ce qu’on a appelé improprement de nos jours la classe moyenne mais de tous ceux qui, dans quelque position qu’ils soient, qui usent des droits et s’en servent, prenant ces mots dans l’acception la plus générale, je dis que ce qui existe dans cette classe m’inquiète et m’effraye. Ce que j’y vois, messieurs, je puis l’exprimer par un mot : les mœurs publiques s’y altèrent, elles y sont déjà profondément altérées ; elles s’y altèrent de plus en plus tous les jours ; de plus en plus aux opinions, aux sentiments aux idées communes, succèdent des intérêts particuliers, des visées particulières, des points de vue empruntés à la vie et à l’intérêt privés.
Messieurs, mon intention n’est point de forcer la Chambre à s’appesantir plus qu’il n’est nécessaire, sur ces tristes détails ; je me bornerai à m’adresser à mes adversaires eux-mêmes, à mes collègues de la majorité ministérielle. Je les prie de faire eux-mêmes une sorte de revue statistique des collèges électoraux qui les ont envoyés dans cette Chambre ; qu’ils composent une première catégorie de ceux qui ne votent pour eux que par suite, non pas d’opinion politique, mais des sentiments d’amitié particulière ou de bon voisinage. Dans une seconde catégorie, qu’ils mettent ceux qui votent pour eux, non pas dans un point de vue d’intérêt public ou d’intérêt général, mais dans un point de vue d’intérêt purement local. À cette seconde catégorie, qu’ils en ajoutent enfin une troisième composée de ceux qui votent pour eux pour des motifs d’intérêt purement individuels, et je leur demande si ceux qui votent, ceux qui votent par un sentiment public désintéressé, par suite d’opinions, de passions publiques, si ceux-là forment la majorité ; je m’assure qu’ils découvriront aisément le contraire. Je me permettrai encore de leur demander si, à leur connaissance, depuis cinq ans, dix ans, quinze ans, le nombre de ceux qui votent pour eux par suite d’intérêts personnels et particuliers, ne croît pas sans cesse ; si le nombre de ceux qui votent pour eux par opinion politique ne décroît pas sans cesse ? Qu’ils me disent enfin si, autour d’eux, sous leurs yeux, il ne s’établit pas peu à peu, dans l’opinion publique, une sorte de tolérance singulière pour ces faits dont je parle, si, peu à peu il ne se fait pas une sorte de morale vulgaire et basse, selon laquelle l’homme qui postule de certains droits politiques se doit à lui-même, doit à ses enfants, à sa femme, à ses parents, de faire un usage personnel de ces droits dans l’intérêt de tous ; si cela ne s’élève pas graduellement jusqu’à devenir une espèce de devoir de père de famille ? Si cette morale nouvelle, inconnue dans les grands temps de notre histoire, inconnue au commencement de notre révolution, ne développe pas de plus en plus et n’envahit pas chaque jour les esprits. Je le leur demande.
Or, qu’est-ce que tout cela, sinon une dégradation successive et profonde, une dépravation de plus en plus complète des mœurs publiques ? Et si, passant de la vie publique à la vie privée, je considère ce qui se passe, si je fais attention à tout ce dont vous avez été témoins, particulièrement depuis un an, à tous ces scandales éclatants, à tous ces crimes, à toutes ces fautes, à tous ces délits, à tous ces vices extraordinaires que chaque circonstance a semblé faire apparaître de toutes parts, que chaque instance judiciaire révèle ; si je fais attention à tout cela, n’ai-je pas lieu d’être effrayé ? N’ai-je pas raison de dire que ce ne sont pas seulement chez nous les mœurs publiques qui s’altèrent, mais que ce sont les mœurs privées qui se dépravent ? (Dénégations au centre.)
Et remarquez, je ne dis pas ceci à un point de vue de moraliste, je le dis à un point de vue politique ; savez-vous quelle est la cause générale, efficiente, profonde, qui fait que les mœurs privées se dépravent ? C’est que les mœurs publiques s’altèrent. C’est parce que la morale ne règne pas dans les actes principaux de la société, qu’elle ne descend pas dans les moindres. C’est parce que l’intérêt a remplacé dans la vie publique les sentiments désintéressés, que l’intérêt fait la loi dans la vie privée.
On a dit qu’il y avait deux morales : une morale politique et une morale de la vie privée. Certes, si ce qui se passe parmi nous est tel que je le vois, jamais la fausseté d’une telle maxime n’a été prouvée d’une manière plus éclatante que de nos jours. Oui, je le crois, je crois qu’il se passe dans nos mœurs privées quelque chose qui est de nature à inquiéter, à alarmer les bons citoyens, et je crois que ce qui se passe dans nos mœurs privées tient en grande partie à ce qui arrive dans nos mœurs publiques. (Dénégations au centre.)
Eh bien ! messieurs, si vous ne m’en croyez pas sur ce point, croyez-en au moins l’impression de l’Europe. Je crois être aussi au courant que personne de cette Chambre de ce qui s’imprime, de ce qui se dit sur nous en Europe. Eh bien ! je vous assure dans la sincérité de mon cœur que je suis non seulement attristé, mais navré de ce que je lis et de ce que j’entends tous les jours ; je suis navré quand je vois le parti qu’on tire contre nous des faits dont je parle, les conséquences exagérées qu’on en fait sortir contre la nation tout entière, contre le caractère national tout entier ; je suis navré quand je vois que non seulement la puissance morale de la France s’affaiblit…
M. Janvier : Je demande la parole. (Mouvement.)
M. de Tocqueville : …Mais la puissance de ses principes, de ses idées, de ses sentiments. La France avait jeté dans le monde, la première, au milieu du fracas du tonnerre de sa première révolution, des principes qui depuis se sont trouvé des principes régénérateurs de toutes les sociétés humaines. C’a été sa gloire, c’est la plus précieuse partie d’elle-même. Eh bien ! messieurs, ce sont ces principes-là que nos exemples affaiblissent aujourd’hui. L’application que nous semblons en faire nous-mêmes fait que le monde doute d’elle. L’Europe qui nous regarde commence à se demander si nous avons eu raison ou tort ; elle se demande si, en effet, comme nous l’avons répété tant de fois, nous conduisons les sociétés humaines vers un avenir plus heureux et plus prospère, ou bien si nous les entraînons à notre suite vers les misères morales et la ruine. Voilà messieurs, ce qui me fait le plus de peine dans le spectacle que nous donnons au monde. Non seulement il nous nuit, mais il nuit à nos principes, il nuit à noire cause, il nuit à cette patrie intellectuelle à laquelle, pour mon compte, comme Français, je tiens plus qu’à cette patrie physique, matérielle, qui est sous nos yeux. (Mouvements divers.)
Messieurs, si le spectacle que nous donnons produit un tel effet vu de loin des confins de l’Europe, que pensez-vous qu’il produit en France même sur ces classes qui n’ont point de droits, et qui, du sein de l’oisiveté à laquelle nos lois les condamnent, nous regardent seuls agir sur le grand théâtre où nous sommes ? Que pensez-vous que soit l’effet que produise sur elles un tel spectacle ? Pour moi, je m’en effraye. On dit qu’il n’y a point de péril, parce qu’il n’y a pas d’émeute ; on dit que, comme il n’y a pas de désordre matériel à la surface de la société, les révolutions sont loin de nous. Messieurs, permettez-moi de vous dire, avec une sincérité complète, que je crois que vous vous trompez. Sans doute, le désordre n’est pas dans les faits, mais il est entré bien profondément dans les esprits. Regardez ce qui se passe au sein de ces classes ouvrières, qui aujourd’hui, je le reconnais, sont tranquilles. Il est vrai qu’elles ne sont pas tourmentées par les passions politiques proprement dites, au même degré où elles ont été tourmentées jadis ; mais ne voyez-vous pas que leurs passions, de politiques, sont devenues sociales ? Ne voyez-vous pas qu’il se répand peu à peu dans leur sein des opinions, des idées, qui ne vont point seulement à renverser telles lois, tel ministère, tel gouvernement, mais la société même, à l’ébranler sur les bases sur lesquelles elles reposent aujourd’hui ? Ne voyez-vous pas que, peu à peu, il se dit dans leur sein que tout ce qui se trouve au-dessus d’elles est incapable et indigne de les gouverner ; que la division des biens faite jusqu’à présent dans le monde est injuste ; que la propriété y repose sur des bases qui ne sont pas des bases équitables ? Et ne croyez-vous pas que, quand de telles opinions prennent racine, quand elles se répandent d’une manière presque générale, quand elles descendent profondément dans les masses, elles amènent tôt ou tard, je ne sais pas quand, je ne sais comment, mais elles amènent tôt ou tard les révolutions les plus redoutables ? Telle est, messieurs, ma conviction profonde ; je crois que nous nous endormons à l’heure qu’il est sur un volcan (Réclamations.) ; j’en suis profondément convaincu. (Mouvements divers.)
Maintenant permettez-moi de rechercher en peu de mots devant vous, mais avec vérité et une sincérité complète, quels sont les véritables auteurs, les principaux auteurs du mal que je viens de chercher à décrire. Je sais très bien que les maux de la nature de ceux dont je viens de parler ne découlent pas tous peut-être même principalement du fait des gouvernements. Je sais très bien que les longues révolutions qui ont agité et remué si souvent le sol de ce pays ont dû laisser dans les âmes une instabilité singulière ; je sais très bien qu’il a pu se rencontrer dans les passions, dans les excitations des partis, certaines causes secondaires, mais considérables, qui peuvent servir à expliquer le phénomène déplorable que je vous faisais connaître tout à l’heure ; mais j’ai une trop haute idée du rôle que le pouvoir joue dans ce monde pour ne pas être convaincu que, lorsqu’il se produit un très grand mal dans la société, un grand mal politique, un grand mal moral, le pouvoir y est pour beaucoup. Qu’a donc fait le pouvoir pour produire le mal que je viens de vous décrire ? Qu’a fait le pouvoir pour amener cette perturbation profonde dans les mœurs publiques, et ensuite dans les mœurs privées ? Comment y a-t-il contribué ?
Je crois, messieurs, qu’on peut, sans blesser personne, dire que le gouvernement a ressaisi, dans ces dernières années surtout, des droits plus grands, une influence plus grande, des prérogatives plus considérables, plus multiples que celles qu’il avait possédées à aucune autre époque. Il est devenu infiniment plus grand que n’auraient jamais pu se l’imaginer, non seulement ceux qui l’ont donné, mais même ceux qui l’ont reçu en 1830. On peut affirmer, d’une part, que le principe de la liberté a reçu moins de développement que personne ne s’y serait attendu alors. Je ne juge pas l’événement, je cherche la conséquence. Si un résultat si singulier, si inattendu, a déjoué de mauvaises passions, de coupables espérances, croyez-vous qu’à sa vue beaucoup de nobles sentiments, d’espérances désintéressées, n’aient pas été atteints ; qu’il ne s’en soit pas suivi pour beaucoup de cœurs honnêtes une sorte de désillusionnement de sa politique, un affaiblissement réel des âmes ? Mais c’est surtout la manière dont ce résultat s’est produit, la manière détournée, et jusqu’à un certain point subreptice, dont ce résultat a été obtenu, qui a porté à la moralité publique un coup funeste. C’est en ressaisissant de vieux pouvoirs qu’on croyait avoir abolis en Juillet, en faisant revivre d’anciens droits qu’on croyait annulés, en remettant en vigueur d’anciennes lois qu’on croyait abrogées, en appliquant les lois nouvelles dans un autre sens que celui dans lequel elles avaient été faites, c’est par tous ces moyens détournés, par cette savante et patiente industrie que le gouvernement a enfin repris plus de pouvoir, plus d’action, plus d’activité et plus d’influence qu’il n’en avait peut-être jamais eu en France en aucun temps.
Voilà, messieurs, ce que le gouvernement a fait, ce qu’en particulier le ministère actuel a fait. Et pensez-vous, messieurs, que cette manière, que j’ai appelée tout à l’heure détournée et subreptice, de regagner peu à peu la puissance, de la prendre en quelque sorte par surprise, en se servant d’autres moyens que ceux que la Constitution lui avait donnés ; croyez-vous que ce spectacle étrange de l’adresse et du savoir-faire, donné publiquement pendant de longues années, sur un vaste théâtre, à toute la nation qui vous regarde, croyez-vous qu’un tel spectacle ait été de nature à améliorer les mœurs publiques ?
Pour moi, je suis profondément convaincu du contraire ; je ne veux pas prêter à mes adversaires des motifs déshonnêtes qu’ils n’auraient pas eus ; j’admettrais volontiers que, se servant des moyens que je blâme, ils ont cru se livrer à un mal nécessaire ; que la grandeur du but leur a caché le danger du moyen. Je veux croire cela : mais les moyens en ont-ils été moins dangereux ? Ils croient que la révolution qui s’est opérée depuis quinze ans dans les droits du pouvoir était nécessaire, soit ; et ils ne l’ont pas faite pour un intérêt particulier : je le veux croire ; mais il n’est pas moins vrai qu’ils l’ont opérée en prenant les hommes, non par leur côté honnête, mais par leur mauvais côté, par leurs passions, par leur faiblesse, ou par leur intérêt, et quelquefois par leurs vices. (Mouvement.) Mais, tout en voulant peut-être de bonne foi faire des choses honnêtes, ils ont fait des choses qui ne l’étaient pas, et surtout, ils ont appelé à leur aide, je pourrais dire dans leur compagnie journalière, des hommes qui ne voulaient ni d’un but honnête, ni de moyens honnêtes, qui ne voulaient que la satisfaction de leurs intérêts privés, à l’aide de la confiance qu’on leur confiait. Je ne veux citer qu’un exemple, pour montrer ce que je veux dire, c’est celui de ce ministre, dont je ne veux pas rappeler le nom, appelé dans le sein du cabinet, quand toute la France, ainsi que ses collègues, savait déjà qu’il était indigne d’y siéger ; sortant du cabinet sans que cette indignité devînt trop notoire, et placé où ? sur le siège le plus élevé de la justice, d’où il a dû bientôt descendre pour venir s’asseoir sur la sellette de l’accusé. Eh bien ! messieurs, quant à moi, je ne regarde pas ce fait comme un fait isolé ; je le considère comme le symptôme d’un mal général, le trait le plus saillant de toute une politique ; en marchant dans les voies que vous aviez choisies, vous aviez besoin de tels hommes.
[Tocqueville évoque ensuite le cas d’un fonctionnaire des Affaires étrangères révoqué pour avoir voté contre le gouvernement.]
Nulle part, le pouvoir n’a eu dans ses mains tant de moyens de corrompre, et n’a eu en face de lui une classe politique tellement restreinte et livrée à de tels besoins que la facilité d’agir sur elle parût plus grande, le désir d’agir sur elle plus irrésistible. […]
Mais, messieurs, admettons que je me trompe sur les causes du grand mal dont je parlais tout à l’heure, admettons qu’en effet le gouvernement en général et le cabinet en particulier n’y sont pour rien : admettons cela pour un moment. Le mal, messieurs, n’en est-il pas moins immense, ne devons-nous pas à notre pays, à nous-mêmes, de faire les efforts les plus énergiques et les plus persévérants pour les surmonter ? Je vous disais tout à l’heure que ce mal amènerait tôt ou tard, je ne sais comment, je ne sais d’où elles viendront, mais amèneront tôt ou tard les révolutions les plus graves dans ce pays ; soyez-en convaincus. Lorsque j’arrive à rechercher dans les différents temps, dans les différentes époques, chez les différents peuples, quelle a été la cause efficace qui a amené la ruine des classes qui gouvernaient, je vois bien tel événement, tel homme, telle cause accidentelle ou superficielle ; mais croyez que la cause réelle, la cause efficace qui fait perdre aux hommes le pouvoir, c’est qu’ils sont devenus indignes de le porter. (Nouvelle sensation.)
Songez, messieurs, à l’ancienne monarchie ; elle était plus forte que vous, plus forte par son origine ; elle s’appuyait mieux que vous sur d’anciens usages, de vieilles mœurs, sur d’antiques croyances ; elle était plus forte que vous, et cependant elle est tombée dans la poussière. Et pourquoi est-elle tombée ? Croyez-vous que ce soit par tel accident particulier ? Pensez-vous que ce soit le fait de tel homme, le déficit, le serment du jeu de paume, La Fayette, Mirabeau ? Non, messieurs ; il y a une cause plus profonde et plus vraie, et cette cause c’est que la classe qui gouvernait alors était devenue, par son indifférence, par son égoïsme, par ses vices, incapable et indigne de gouverner. (« Très bien! Très bien ! »)
Voilà la véritable cause. Eh ! messieurs, s’il est juste d’avoir cette préoccupation patriotique dans tous les temps, à quel point n’est-il pas juste de l’avoir dans le nôtre ? Est-ce que vous ne ressentez pas, messieurs, par une sorte d’intuition instinctive, qui ne peut pas se discuter, s’analyser peut-être, mais qui est certaine, que le sol tremble de nouveau en Europe ? (Mouvement) Est-ce que vous n’apercevez pas… que dirai-je ? un vent de révolution qui est dans l’air ? Ce vent, on ne sait où il naît, d’où il vient, ni, croyez-le bien, qui il enlève ; et c’est dans de pareils temps que vous restez calmes en présence de la dégradation des mœurs publiques, car le mot n’est pas trop fort. [,..]
On a parlé de changements dans la législation. Je suis très porté à croire que ces changements sont non seulement utiles, mais nécessaires : ainsi je crois à l’utilité de la réforme électorale, à l’urgence de la réforme parlementaire ; mais je ne suis pas assez insensé, messieurs, pour ne pas voir que ce ne sont pas les lois elles-mêmes qui ne sont, en définitive, que le détail des affaires, non ce n’est pas le mécanisme des lois qui produisent les grands événements : ce qui fait les grands événements, messieurs, c’est l’esprit même du gouvernement. Gardez les lois si vous voulez ; quoique je pense que vous auriez tort de le faire, gardez-les; gardez même les hommes, si cela vous fait plaisir, je n’y fais aucun obstacle ; mais, pour Dieu changez l’esprit du gouvernement, car je vous le répète, cet esprit-là vous conduit à l’abîme ! (Vive approbation à gauche.) »
bien fait, un pays ignoble avec ses Juifs finit toujours par le payer.
« Sur la formation des imams, nous sommes prêts à aller assez loin »
N.Sarkosy
« …quand Nicolas Sarkozy est capable de dire que le Qatar Wahhabite représente la « modernité de l’islam », on a compris qu’il est inutile de se fatiguer à tenter d’expliquer à ce gouvernement que l’eau mouille et que le feu brûle. »
Joachim Véliocas, Observatoire de l’islamisation, 10.04.2012
http://www.islamisation.fr/archive/2012/04/10/sarkozy-veut-creer-un-institut-de-formation-d-imam-une-fauss.html
Effectivement Nicolas Sarkosy, que j’appelle habituellement Pinocchio, ne connaît pas grand chose, surtout pas en matière d’Islam; il se contente de lire les fiches et discours rédigés par ses conseillers. On l’a vu, sur un domaine connexe, lors du discours de Dakar. Il avait simplement lu le discours préparé par le pitoyable Guaino, sans l’avoir même parcouru préalablement. En 2007, Sarko avait osé affirmer, sans faillir, devant un journaliste, que les talibans et el quaïda étaient chiites et que les iraniens étaient sunnites. Il est fort possible qu’à ce jour il soit dans l’incapacité absolue de citer les noms des partis et individus exerçant le pouvoir à Tripoli.
« Je pense qu’il est impossible de comprendre ce qui se passe en France, sans prendre le métro ou le bus aux heures de pointe. »
cette phrase me rappelle la préface du peuple de Michelet. Dans cette préface, Michelet; dont le projet est de réhabiliter la place du peuple dans l’histoire (pas uniquement); explique que pour comprendre le peuple, il faut venir de celui-ci, il faut appartenir au peuple.
Il décrit alors le problème qui se pose devant lui.
Il justifie son droit à parler du peuple en montrant que par sa naissance, par sa situation sociale, il a fait partie du peuple. Comme dans beaucoup d’histoires, la famille se démène pour que l’enfant s’élève dans la hiérarchie sociale, pour lui offrir un avenir plus radieux et c’est exactement ce qui permet à Michelet de faire des études et donc prendre de l’importance dans cette hiérarchie sociale.
Il explique alors que s’élever dans cette hiérarchie est une condition indispensable pour parler du peuple, pour se faire entendre, le petit peuple n’étant pas pris en compte, sa voix étant silencieuse.
Problème : Plus je m’élève dans cette hiérarchie, plus je m’éloigne du peuple. Il s’est en fait remis en question, il a remis en question son habilitation à parler avec justesse de ce peuple.
vous voyez le lien ? moi oui…
En suisse, la plupart des politiques ont (ou ont eu) une activité économique, parallèlement à leur engagement politique. Ils ne sont donc pas des « théoriciens » des « spécialistes » des « professeurs »… coupés des réalités de la vie du pays.
Pour ce qui est de prendre le tram ou le métro…
Le peuple, c’est nous tous, riches ou pauvres, mal ou bien portants, citadins ou villageois, professionnellement actifs ou inactifs, nous tous qui parlons la même langue, partageons la même histoire, la même façon de vivre et les mêmes espoirs.
J’ai toujours été agacée par cette notion arbitraire, héritée des philosophes et reprise par les socialo-communistes pour mieux asservir, qui prétend limiter « le peuple » à la seule fraction de la population qui adhère à leurs théories et qui seraient par conséquent plus « méritants », plus à plaindre que les autres.
Comme si « le peuple » constituait une engeance à part à étudier à travers les barreaux d’une cage. Je déteste déjà de voir les animaux prisonniers au zoo, ce n’est pas pour admettre qu’on puisse faire subir le même traitement théorique au soi-disant « peuple ».
Comme va la phrase célèbre:
« Aujourd’hui, nous sommes au bord du gouffre, mais demain nous allons faire un grand pas en avant »
Ceux-là sont-ils plus clairvoyants que d’autres ?
http://www.legaulois.info/2012/04/lunion-des-francais-juifs-apporte-son.html
Exiger un certificat de décès aux héritiers juifs tués dans des camps de concentration, faire payer à la communauté israélite le coût des frais d’hébergement des réfugiés juifs pendant la seconde guerre mondiale,jusqu’à se réveiller en 1995, c’est sans aucun doute merveilleux comme prise de conscience pour ce pays qu’est la Suisse. C’est touchant comme on pardonne plus aux suisses qu’aux français cette sombre période.
L’antisémitisme latent est toujours très largement répandu dans les milieux dirigeants suisses.
Demandez au gotha des théoriciens monétaires helvétiques si cela leur déplaît de cogner sur la BNS.
Je ne prends jamais ni le métro, ni le bus cela ne m’empêche pas d’appréhender la réalité.
Comme si seule l’expérience primait, ce n’est pas très sérieux. Je me confronte au réel donc je sais. Je n’ai pas vécu sous Vichy et cela ne m’empêche pas de comprendre l’horreur. Je n’ai pas besoin de devenir zoosexuelle ou nécrosexuelle pour être rebutée, nauséeuse à l’idée de l’être.
ET à Mandrake arrêtez d’abuser de cette terminologie ridicule de sous chiens.
Le chien étant pire que le mécréant et le porc dans la fameuse « religion » d’amour, de paix, de tolérance et d’égalité homme/femme. Je trouve que le mot souschien est une image réaliste quant à l’idée que se font de nous cette secte moyenâgeuse. Et encore,moyenâgeuse, est leur faire un trop grand honneur.
On dit un français pas un francien donc dites plutôt un franc-chien parcque qu’un souchais, c’est plutôt mignon ou un souchet (coin coin),si vous voulez être à la hauteur de ceux que visiblement vous révérez.
Pas besoin non plus d’avoir lu le Coran dans le texte pour voir que c’est « Mein Kampf » en pire. Il suffit de regarder agir ceux qui se réclament du texte d’origine (qui n’est d’ailleurs qu’un mythe, tout comme le fameux mahomet qui est censé avoir fait évoluer le culte du dieu-lune vers ce machin totalitaire qui s’appelle l’islam, soumission à l’idiotie…)
@Dreuz.info / Jean-Patrick Grumberg
Pourquoi faut-il retaper son pseudo et son adresse à chaque fois ? c’est « un peu » fastidieux.
Pourquoi n’y a-t’il plus la possibilité d’aperçu préalable du commentaire ? pratique pour vérifier ses balises HTML (et ses fautes de toutes sortes pour moi !)
Pourquoi le commentaire n’est il plus publié immédiatement avec la mention « en attente d’être accepté par la modération » ? pas du tout indispensable ! mais pratique de savoir que l’envoi a été fait correctement.
Très juste.
Effectivement, je suis d’accord avec vous … Je n’arrive plus à transmettre mes messages, les pseudos ne sont plus indiqués préalablement, les aperçus non plus, etc …
Je me suis donc rabattue sur d’autres sites et ça marche.
C’est la même chose pour moi – depuis plusieurs semaines.
et pareil pour ma pomme.
j’avais envoye un mail a JP et un a Michel…sans reponse !!!!!!
egalement on nous avait parle que vous planchiez sur d’autres possibilites (courrier entre lecteurs, smiley’s,etc…) puis plus rien.
autant j’aime Dreuz, autant ce serait sympa qu’on ne soit pas juste amener a poster betement nos commentaires.
cordialement a toute l’equipe
????
Réponse concise et sobre, bien qu’un peu austère dans la figure de style mon cher Jipégé.
Ben oui quoi là! c’est toujours moi qui faut que je fais tout! Rooo
Oxydental je vous cite »Pas besoin non plus d’avoir lu le Coran dans le texte pour voir que c’est « Mein Kampf » , j’ai de la pitié pour vous.
Nejma? Laissez moi deviner? Musulmane anti-radicaux? Je pensais l’espèce en voie d’extinction? En resterait-il?
Thor quel coquin vous semblez être! Vous vouliez dire anti radicalaire?
Mon espèce existe peu, anti oxydant peut-être suis-je?
Il est vrai que nous vivons dans un environnement toxique, j’aide seulement mon esprit bon an mal an à lutter contre des facteurs néfastes à mon bien-être.
Aussi je ne suis pas du tout convaincue qu’être musulmane m’amènerait à combattre les influences m’empêchant d’être libre. Il est vrai qu’il existe des musulmans anti islam,
Ma réponse pourrait vous sembler quelque peu étrange mais j’espère que vous la comprendrez à sa juste valeur.
Je n’ai rien compris : « Aussi je ne suis pas du tout convaincue qu’être musulmane m’amènerait à combattre les influences m’empêchant d’être libre. » ?
Je serais assez d’accord avec la comparaison avec Mein Kampf, en tout cas tel que le Coran est perçu par les sunnites, même si la différence d’époque marque des différences d’expression : Mein Kampf n’est pas un livre religieux, même si Adolf Hitler était considéré et vénéré comme un dieu (ou un prophète) par ses adeptes. Ce qui est toujours le cas aujourd’hui avec le véritable culte qui lui est voué avec notamment le chiffre 18.
L’autre différence, c’est que Mein Kampf se veut un livre « scientifique », basé sur la sociologie, l’ethnologie etc. ce qui n’est pas le cas du Coran.
Le Coran est un texte venu directement de Dieu pour les musulmans, copie conforme du Coran qui est au ciel, et donc ne peut plus être adapté, contrairement à Mein Kampf.
Sur le contenu, on retrouve la même caractérisation de certains groupes : la catégorie des sous-humains et notamment des juifs dans Mein Kampf, la catégorie des non musulmans, avec les sous catégories hommes-femmes, gens libres-esclaves-captives de guerre (qui ont moins de droits que les esclaves), gens qui ont un livre avec les particularités des juifs et des chrétiens (les associateurs) – gens qui n’ont pas de livre.
Les juifs et les chrétiens sont considérés comme : pervers , criminels (dans les sociétés traditionnelles, la punition du crime c’est la peine de mort), menteurs, stupides (comme les femmes en général), et ayant modifié la parole de Dieu reçu autrement dit blasphémateurs. À ce titre, ils ont un statut particulier d’infériorité, étant obligé de s’humilier devant les musulmans (c’est dans le Coran), ce qui rapproche du statut de sous-humain de Mein Kampf, mais pour des raisons religieuses, les musulmans étant « la meilleure communauté suscitée parmi les hommes ».
Enfin, dans l’histoire islamique, le Coran a donné le droit aux musulmans de s’emparer de la Terre : les tribus arabes conquises par Mahomet autour de la Mecque, comme la Mecque elle-même, puis la tentative de Mahomet de conquérir Damas et Jérusalem, puis pour ses successeurs quand ils ne s’entre-tuaient pas : Europe, Proche-Orient, Afrique du Nord, Asie centrale, Levant (c’est pour cela que l’on parle arabe en Égypte, en Libye, en Tunisie, en Algérie, au Maroc)… comme Mein Kampf donne droit aux humains de s’emparer des terres des sous-humains selon la théorie de la concurrence entre races humaines et de l’espace vital. Le résultat à l’arrivée est le même.
Aujourd’hui, et faute d’autorité suprême dans l’islam, le wahabisme et autre salafisme prospèrent dans le monde musulman, en demandant l’application à la lettre du Coran, des hadiths et de la Sira, cherchant à vivre conformément à l’exemple qu’a donné Mahomet lui-même, et non une application basée sur une interprétation non traditionnelle. Face à cela, les modérés sont bien en peine d’opposer une autre tradition qui n’a jamais existé depuis la disparition des Muazilites, persécutés puis détruits par les sunnites.
Aujourd’hui, la quasi-totalité des pays arabes et musulmans ne reconnaissent pas la liberté religieuse conformément aux textes islamiques, et contrairement à la totalité des pays occidentaux. La majorité des Algériens (même si en théorie l’Algérie reconnaît la liberté religieuse), Tunisiens et Marocains par exemple sans compter les Égyptiens, les Pakistanais ou les monarchies du golfe, considèrent comme normal le fait qu’un musulman ne puisse plus quitter l’islam. Heureusement, il est interdit d’en débattre dans le reste du monde.
Donc la comparaison ne me semble pas si inappropriée que cela.
Il n’y a pas de liberté dans la théorie islamique, puisque celle-ci comprend la prédestination : chaque musulman nait avec son destin écrit sur son front jusqu’à la dernière ligne. Ce qui n’empêche pas les sportifs musulmans de se doper…
Sinon, nous avait un joli prénom
Bonsoir Thot en fait je vais tenter de m’exprimer clairement.
Ce que je critiquais chez oxidental en fait c’est sa première partie »Pas besoin non plus d’avoir lu le Coran ». Justement il faut lire pour avoir une approche. C’est comme si je disais pas besoin de connaître mon voisin pour savoir que c’est un con car identifié comme tel par diverses personnes.
Cette mise en relation avec « Mon Combat » d’Hitler ne peut se faire honnêtement que si l’on approfondi sa recherche par ses lectures. C’est en cela que j’ai eu pitié.
Quand je dis « Aussi je ne suis pas du tout convaincue qu’être musulmane m’amènerait à combattre les influences m’empêchant d’être libre ».Cela signifie que jamais je ne pourrais adhérer à l’Islam tel qu’il m’a été imposé ou issu du fruit de mes recherches.
Je me suis trompée de terme au lieu de m’amènerait j’aurais du dire m’aiderait.
L’islam ne rend pas libre.Donc je refuse de devenir musulmane, même si comme vous le soulignez on ne peut sortir de l’Islam comme on quitte le bistrot du coin.
Pour mes parents cela ne pose aucun problème, eux sont pratiquants et cela leur convient.
Je respecte leur foi, comme ils respectent mon choix de ne pas rentrer dans leurs croyances.
C’est la communauté des musulmans à travers le monde car je voyage beaucoup et pas seulement dans les pays arabo musulmans,qui me rappelle que je me dois de le rester. Car rendez-vous compte sinon 40 membres de ma famille iront griller en enfer . Quand je rétorque que j’amènerai les merguez pour le barbecue géant et éternel, on me crache au visage
Je suis assez forte pour ne pas céder.
Je ne suis pourtant pas athée. Je me cherche, je crois en une Entité Supérieure, mais je ne parviens pas à lui donner essence.
Tout ce que vous tentez de me démontrer je le sais déjà et le partage.
J’en appelle à une chose la raison, l’esprit critique et la culture seuls remparts à la bêtise.
Merci pour le compliment au sujet de mon prénom.
Le poisson pourrit par la tete; depuis VGE-Chirac en 1974 on a une classe politique de dèmagoogues qui achetent la paix sociale a coup d’ impots pour verser des subventions.Basta.Les français prennent 5 semaines de congès payès, dans les assurances et les banques on est a 9 voire 11 semaines , et il faut ajouter les pèriodes de formations.C’ est une blague, un pays de paresseux qui se protègent.Les entrepreneurs partent, c’ est clair, restent les planquès et ceux qui sont trop dèmunis ou en bout de parcours.Basta, on veut travailler et gagner son blè sans avoir a se justifier toutes les 30 secondes.
@Dreuz.info
Serait il possible de rassembler les desiderata et les possibilités des candidats pour tenter d’élaborer dans un prochain article à quoi pourrait ressembler la France dans les mois (ou prochaines années) à venir sous la direction d’un tandem Hollande + Mélanchon ?
Ce pourrait être utile, non ?