Je reviendrai plus longuement sur l’élection du 6 mai dès que les résultats seront connus.
Je pense, et je l’ai écrit que François Hollande sera élu, ce que je considère comme une catastrophe. J’ai songé à m’abstenir. Je pense aujourd’hui que pas une voix ne doit manquer à Nicolas Sarkozy, quelles qu’aient été ses erreurs et ses errances. Et ce quand bien même son programme et l’essentiel de ses idées ne correspondent pas du tout aux réponses économiques libérales et aux réponses conservatrices dans d’autres domaines qu’il faudrait pour espérer redresser ce pays. Je pense que ceux qui entendent s’abstenir pour garder les mains propres pratiquent la politique du pire. Nous ne sommes pas dans la situation de 1981 : la situation actuelle est bien plus grave, et elle s’aggrave de jour en jour, ce qui ne peut être laissé de côté. Qui plus est, la France, sous de nombreux aspects, ne s’est pas relevée des années Mitterrand. Une seconde injection de socialisme empoisonné (pléonasme) dans la situation actuelle serait insensé et digne d’un peuple en fin de parcours. C’est ce qui risque de se passer, je sais : mais je l’ai décidé, je ne serai pas complice, et j’invite à ne pas être complice.
Je l’ai dit, et je tiens à le redire : la gauche française est totalitaire. Elle entend exercer tous les pouvoirs. Elle les exerce déjà presque tous. Derrière François Hollande, il y a une cohorte nauséabonde qui comprend Jean Glavany, auteur d’un rapport sur l’eau fustigeant l’ « apartheid israélien », Arnaud Montebourg, auteur de diatribes anti-israéliennes, Stéphane Hessel, qu’on ne présente plus, Eva Joly, Cécile Duflot, Jean-Luc Mélenchon, le parti Communiste, le Mrap, Sos Racisme, le Syndicat de la magistrature, et j’en passe. Les insultes et comparaisons inqualifiables énoncées par la gauche française concernant Nicolas Sarkozy ces derniers jours donnent un avant goût de ce que risque fort de venir. J’ai critiqué Nicolas Sarkozy, mais le comparer à Pétain, à Franco, à Laval : non ! C’est inqualifiable. Et je ne peux me faire complice de gens recourant à des procédés aussi inqualifiables, non. D’ailleurs, Laval était socialiste, comme Hitler et Mussolini.
Je l’ai dit, et je tiens à le redire : la gauche française est complice de l’islamisation de la société et de l’offensive islamique. Derrière François Hollande, même s’il le dénie, il y a un vote communautaire très net, et il y a des organisations, aussi, telles qu’Europalestine, qui a reçu le soutien de François Bayrou avant que celui-ci ne se rallie à Hollande et ne se donne les moyens de passer pour un crétin et de se faire exploser lui-même en public, sans ceinture d’explosif, en appelant à voter pour un candidat dont il définit le programme économique comme catastrophique (Marielle de Sarnez, adjointe de Bayrou, est militante de la cause palestinienne et a de la famille à Gaza). Je ne peux me faire complice de Tariq Ramadan, de l’UOIF et de François Bayrou, particulièrement si peu de temps après les crimes de Montauban et de Toulouse, où voir Hollande parader, à si faible distance de l’école Ozar Hatorah m’a donné la nausée.
Je persiste et je signe. Nicolas Sarkozy serait moins pire. Je n’ose imaginer ce que sera la France sous Hollande. Ce qui pourra être fait pour qu’il y ait juste à l’imaginer, sans avoir à le vivre concrètement, doit être fait.
Je ne pense pas que reconstruire un mouvement libéral conservateur sera plus facile sous Hollande.
Je pense que nous sommes au début, seulement au début, d’une implosion généralisée de l’Europe, et qu’il faut, de toute façon, se préparer à cette implosion et à ses conséquences. Se confronter à cette implosion dans un pays gouverné par les gens plus haut cités serait se promettre un avenir plus effroyable encore qu’il ne promet de l’être.
Comme l’écrit Michel Gurfinkiel dans son dernier article en anglais (« France: A Referendum on National Identity »), ce qui se joue est le « destin de la France ». C’est aussi un fragment du destin de la civilisation occidentale.
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Guy Millière pour www.Dreuz.info
Merci.Longue vie à vous et à Nicolas Sarkozy. Avec vous on se sent en sécurité moralement et physiquement
Je suis pleinement d’accord avec vous et je pense que dans la frange des gens de gauche « modérés » beaucoup vont voter Hollande par réflexe partisan, mais avec le sentiment inavoué de faire une connerie.
Guy, je vous suis à 100 pc. Moi aussi, je suis une déçue du sarkozysme, je pense que c’est un sale type, et pourtant je lui donne ma voix. J’avais juré, la main sur le coeur, que l’on ne m’y reprendrait plus et pourtant, sans enthousiasme mais avec certitude, je glisserai demain un bulletin « Nicolas Sarkozy » dans l’urne. L’heure est trop grave pour avoir des états d’ame.
J’ajouterais que même si Laval, Franco et Pétain avaient été de droite, la comparaison avec Sarkozy serait quand même infamante et disqualifient d’office ceux qui la pratiquent.
Et il est évident que Sarko compte sur tout ce qui est dit plus haut pour gagner, c’est « sûrement » une partie de sa stratégie. En gagnant il fait d’une pierre deux coups, il en reprend pour 5 ans et il aura la possibilité d’affaiblir le plus possible le FN qu’il ne peut pas piffrer. Avec 18%, il n’y aura pas de proportionnelle, sans compter tout ce qu’il va sortir pour tuer le GAULOIS ; comme il l’a déjà fait, en sous-main, depuis 10 ans. Sarko et HollanChon sont les tueurs de la France, mais le premier ira moins vite que l’autre ; de même que le premier avancera à visage couvert, au contraire de l’autre. Mais bon, le Français aura le fruit de son vote.
ces 5 années ont été catastrophiques pour l’économie, l’emploi et les libertés.
les affaires très graves comme celle d’Ilan Halimi, le massacre de toulouse ey les agressions quasi-quotidienne
de citoyens francais de confession juives n’ont pas eu l’écho qu’elles auraient du avoir.
on a réglé ces affaires de façon à ne pas instrumentaliser l’islamophobie. On a souvent parlé de conflit
communautaire.
au début de son quinquenat suite à la crise économique mondiale on a eu sarko et les CAC-rantes voleurs.
si Sarko passe 50% des français feront tout pour lui mettre des batons dans les roues, et là ce sera le chaos.
si c’est hollande qui passe on aura flanby et les 700 muezzin. (bonjour l’ambiance).
sans parler du chaos économique, culturel et social, et un parfum de guerre civile.
bref copy conforme du Liban.
« si Sarko passe 50% des français feront tout pour lui mettre des batons dans les roues, et là ce sera le chaos. »
Parce qu’ils ne l’ont pas fait à ce jour? J’espère qu’avec le vote des Juifs où qu’ils se trouvent, il passera la rampe!
Otez-moi un doute : quand on dit qu’Hollande gouvernera avec Aubry, Duflot, Melenchon etc … (en cas de victoire le 6 mai) c’est faire un furieux raccourci : il faudrait pour cela qu’en plus, le PS remporte la majorité à l’Assemblée Nationale en juin, ce qui serait probable, mais tout de même pas certain. Mettons que Hollande gagne, mais que l’Assemblée reste à droite, on aurait une cohabitation.
UNE BONNE RAION POUR VOTER SARKO: CERTAINS ME DISENT: DE TOUTES FAçON, il EST CUIT. PEUT êTRE.JE NE LE CROIS PAS. MAIS EN ADMETTANT SI SARKO FAIT 49.5 CE SERA UNE CLAQUE POUR TOUTE LA GAUCHE ET TOUTE LA PRESSE ET CELA OBLIGERA HOLLANDE A FAIRE GAFFE AU MOINS JUSQU’AUX LESGISLATIVES. ET LES LEGISLATIVES SONT LOIN D’êTRE PERDUES CROYEZ MOI.
Entièrement d’accord avec Thom_19
en cas de victoire de FH, plus celle-ci sera étriquée mieux ce sera pour les législatives.
On sait que la fiabilité des sondages est faible suite au premier tour. En plus on sait qu’un résultat de sondage devrait toujours se donner avec une marge d’erreur, car ce n’est qu’une probabilité. Or, lisez-vous une marge d’erreur dans les sondages donnés dans les médias ? Moi pas.
En tenant compte du taux d’erreur, la victoire du Flanby est loin d’être assurée. Une victoire Sarko est entièrement possible, le résultat est loin d’être joué d’avance.
Mobilisation générale pour barrer la route au crépuscule de la fin de l’etat français.
Amis français VOTEZ pour la démocratie et la culture occidentale.
En USA « Hollyland » est donne comme le winner probable de demain et aussi comme un dezastre a ne pas suivre en novembre.
Donc, l’Europe est vu comme socialiste et au bord du precipice.
Guy Milliere a raison, peu importe ou on vie, il faut vote Sarko, pour que les francais beneficie de plus de temps a faire leur valise.
This remember me tragiquement le film « Le dernier des Mohicans « ….
« Je pense aujourd’hui que pas une voix ne doit manquer à Nicolas Sarkozy »
IL LE FAUT! autrement adieu la France, adieu à ton identité, et à ta liberté. Hollande ne veut pas « plier » devant l’Allemagne mais devant l’islamisme! LA FRANCE VA À SA PERTE!
Les grandes fortunes grâce à laquelle elle vit partiront sous d’autres cieux plus cléments. Et la France devra mendier pour survivre. Mais on pourra faire confiance à Hollande et sa clique de dhimmis pour vendre son âme aux pétrodollars. Les grandes fortunes ne plieront pas devant le drapeau rouge.
FRANCAIS, FRANCAISE, L’HEURE EST GRAVE! VOTEZ SARKOZY!
Erratum: grâce « auxquelles » elle vit
Que l’ont soit d’accord avec lui ou pas, on n’a pas le choix, jamais (depuis les années précédant la 2ème Guerre Mondiale) le vote n’a été aussi capital : SARKOZY est LA SEULE SOLUTION pour la France. Toujours avoir à l’esprit : 1 – le socialisme ne peut marcher que dans un pays riche. 2 – et ça ne marche que le temps qu’il met à l’appauvrir. Il ne reste plus grand chose aux socialistes à brader pour leur semblant de réussite, mais ils n’hésiteront pas. Ils se sont attaqués à la religion, à la richesse, à la famille, au travail, que leur reste-t-il ?
Juste pour vous passer ce billet et commentaire de Pachakmac avec son autorisation:
Elysée 2012: une France en 3D plutôt qu’une France à plat
Quelle est la profondeur de ton amour? A 24 heures de l’élection présidentielle, c’est la bonne question adressée à tous les Français et Françaises.
Sarkozy dans la faute, la transgression? Hollande dans l’espoir, la république exemplaire? C’est plié pour qui cette élection? Il y en a un qui veut la 3D, c’est Nicolas Sarkozy qui, pour cela, provoque un tsunami institutionnel. Le Front National, un nom neuf à définir, une attitude citoyenne et démocratique au bout du crayon et du slogan, une intégration saine et républicaine? Et un autre qui cherche à remettre tout à plat pour éviter les conflits avec les extrêmes laïques gauche-droite. et religieuses. C’est François Hollande.
Dans un couple, vous êtes pour la 3D de votre amour au risque de la dispute franche ou au contraire pour la mise à plat de vos différences afin d’éviter les conflits dans une hypocrisie toute bourgeoise qui risque de se terminer un jour dans une sacrée explosion dont personne, surtout pas vos propres enfants, s’attendait?
Un Sarkozy en 3D, nouveau monde civilisationnel avec perspective d’avenir émouvant? Un Hollande en 2D avec perspective fuyante et statique finissant dans un mirage et des sables mouvants? J’opte pour la 3D, question de survie pour la démocratie et la République. Place du Trocadéro, Sarkozy était l’incarnation de cette 3D en se mariant le temps d’un meeting à la Tour Eiffel, symbole des symbole de la Ville Lumière. La France et Sarkozy, c’est une grande histoire d’amour problématique.
Amies Françaises et Français, faites léviter votre Tour Eiffel en votant pour Nicolas Sarkozy!
Après le candidat de la Rupture de 2007 redonnez votre confiance (sous garanties) au candidat de la Rapture 2012
http://pachakmac.blog.24heures.ch/trackback/847826
Se battre ou mourir, telle est la loi. Hollande ne supporte pas le combat de boxe ni la tauromachie. Hollande, dans cette élection, c’est le serpent séducteur de foule qui mord et blesse mortellement l’âme de la nation, l’âme de « dieu ». Les Français sont de quelque part comme tous les peuples du monde. On naît Français et / ou on le devient par l’éducation, la culture, la connaissance, le sentiment de « mariage ». La mixité culturelle, celle dont je reconnais la légitimité, ce n’est pas le communautarisme ou le laisser-faire citoyen. La mixité culturelle que je reconnais c’est celle qui implique un état d’âme ouvert sur les autres cultures, qui s’imprègne et s’inspire des paysages de l’Autre. Un peu à la façon du peintre qui s’inspire de ses modèles mais qui garde sa propre identité. La France, l’Etat nation, est le peintre qui agit et recompose avec toutes ses influences. Mais la France reste la France. Si elle s’efface et laisse aux modèles le soin de recomposer son identité, la France a perdu. Sarkozy est le digne représentant de ce peintre impressionniste, debout devant le chevalet qui dit aux Français et Françaises de cultiver leur part d’identité sur une terre qui leur est à tous commune. Hollande est un peintre coulé qui laisse la terre sans reconnaissance, sans imprégnation. A propos de frontières, il y a un champ de blé, puis de colza, puis de lavande, puis de maïs. Tous produisent de la bonne récolte. Les nations, c’est cela. une unité de ton, de couleur, une symphonie ou chacune et chacun joue sa partition doté d’un instrument d’origine qui n’est pas forcément identique. A la baguette, un chef d’orchestre qui dirige la symphonie. Europe, confédération des nations unies. Et non Europe, centralisme despotique de personnalités hors-sol et à l’identité floue.
Demain, la France risque son âme. Qui de Hollande ou Sarkozy défend le mieux l’identité de la nation? Pour moi, cela semble évident. Sarkozy est dans un retour à l’unité de ton du pays, la symphonie, et l’harmonie. Hollande est dans la disparition de la nation et la montée des extrémismes, des communautarismes. La montée de la haine de l’Autre n’est pas toujours dans le camp que l’on s’imagine. Si Sarkozy n’accorde pas sa confiance à l’autorisation des votes des étrangers, c’est que la France a un grand problème d’intégration et d’identité des étrangers à la nation française et à ses lois démocratiques de liberté et d’égalité. Il veut éviter le communautarisme légalisé et des lois municipales qui rentreraient en contradiction avec la vie démocratique commune à la France. Il a raison, à l’heure actuelle, d’y voir un danger pour la démocratie et un tremplin pour le communautarisme.
Ecrit par : pachakmac | 05 mai 2012
Chaque internaut de Dreuz doit aller sur Google et taper « photo françois mitterand petain » F. Mitterand était secrétaire d’état du gouvernement Pétain !!!
Vous verrez cette canaille le soi-disant ami d’Israel , alors comment se fait-il que Sarko n’est pas utiliser cet argument d’autant plus que Mitterand est trés souvent cité comme exemple par tous les socialistes et F.Hollande en particulier
Que chaque juif sache que si Bousquet responsable de la deportation de milliers de juifs et nottamment de la rafle du Vel Dhiv , n’a pas été jugé que grace à Mitterand qui a tout fait pour que ses minitres de la justice Badinter, Kejmann, Nallet, et les autres .bloquent le dossier de ce criminel de guerre.
Mitterand renvoyait l’ascenceur à son ami et collègue du gouvernement de Vichy!!!
Il faudra voter sarko de quelque façon que ce soit. Hollande peut très bien gouverner en publiant des ordonnances et personne ne dira rien. Ce sont des tricheurs.
http://www.youtube.com/watch?v=Utg8vLC2PKo&feature=youtu.be
Malheureusement au cas d’espèce, ce n’est pas de la triche que de prendre des ordonnances. C’est prévu par la constitution. Si ma mémoire est bonne, il y a quand même certains cas où le recours au processus législatif est obligatoire mais mes souvenirs de droit constitutionnel sont assez loin.
Monsieur Millière, j’admire vos idées sur bien des points et j’y adhère bien volontiers, mais en ce qui concerne les élections présidentielles, j’ai un regret, vous n’avez jamais dit quel aurait été votre président idéal. Pour qui auriez vous une préférence de coeur et une adhésion sans réserve ?
SARKOZY a maintenu la France sur le fil de l’équilibre tout au long de la
crise, ce n’est pas folichon, mais c’est mieux que ce qui nous attend avec Hollande et toute sa basse-cour. Sarkozy ne pourra rester que 5 ans encore
à la tête de la France. Si c’est Hollande, on risque d’avoir les socialistes et tous ces extrême gauchistes et écolo pour longtemps, bonjour la facture : diminution du nucleaire = hausse énorme du prix de l’électricité, perte d’emplois, perte de ressources financières pour la France qui exporte son électricité, coupures intempestives d’électricité,
surtout en hiver, plus de télé, plus de web, perte du contenu du frigo et congélateur, etc, alos que le nucleaire est le plus sûr en France, augmentation des fonctionnaires dans les écoles, alors que les fonctionnaires actuellement en place se serrent la ceinture depuis plus de 3 ans sans augmentation aucune (salaires descendus au niveau du smic), rien concernant le taux des retraites gelées également depuis plus de 4 ans, rien sur le contrôle de l’augmentation des loyers, rien
sur le coût de la vie qui a grimpé en flèche depuis l’euro, rien sur la sécurité, sur la distribution du RSA à tout venant qui viennent de partout chercher cette manne chez nous, sur la CMU distribuée de même alors que les pauvres Français de plus en plus pauvres n’arrivent plus à
se soigner correctement, rien de productif pour relancer l’économie, si ce n’est de stopper les accords avec l’Allemagne, du vent et blablabla
chez Hollande et sa clique. Et la MORT DE LA FRANCE.
Si vous voulez autre chose pour votre avenir, NE VOTEZ PAS BLANC car vous favoriserez Hollande, VOTEZ SARKOZY, VOTEZ SARKOZY, VOTEZ SARKOZY!!! même si vous n’êtes pas satisfaits de sa mandature, c’est de
la FRANCE qu’il s’agit et de NOTRE IDENTITE DE FRANCAIS et de LA VIE DE NOS ENFANTS ET DE LEUR AVENIR. Tous PATRIOTES, ENSEMBLE VOTONS L ESPOIR, VOTONS VRAI, TOUS AUX URNES POUR SARKOZY. La France a besoin de toutes vos voix, soyez là et fiers d’y être
Cinelise,
Vous avez raison. Même à contre-coeur il faut voter SARKOZY.
Sarkozy est le moindre des deux maux.
La PIRE OPTION est l’Abstention !. S’abstenir c’est rester sans voix, c’est s’autocensurer, c’est disparaître…
S’abstenir de voter c’est ENLEVER DES VOTES pour barrer la route au MINABLE F. HOLLANDE !!
Sous la pseudo-gouvernance de François HOLLANDE les TYRANS socialistes vicieux vont amoindrir davantage les droits du Peuple Français, et quand les choses tourneront mal, il vous laisseront SANS DÉFENSE devant les hordes du totalitarisme liberticide qui s’annonce!
Vous les avez vu jubiler et savourer leur victoire au Trocadero.
De grâce, ne facilitez pas leurs ignobles désirs.
ALORS CHERS COMPATRIOTES FRANÇAIS, DITES NON ! au suicide collectif socialiste islamo-gauchiste et à son piètre représentant et toute sa clique de traîtres ineptes !
C’est votre ultime OPPORTUNITÉ, NE la MANQUEZ PAS !
Je vous en prie.
IL Y VA DE VOTRE SURVIE EN TANT QUE PEUPLE.
Vous savez que vos compatriotes Français d’Israel vous soutiendrons dans ce VOTE À FAVEUR DE SARKOZY.
BONNE CHANCE AU PEUPLE FRANÇAIS !
Que D. veille sur nos frères Français.
« La Voix des Expatriés ».
Sarkozy a sauvé nos comptes bancaires en 2008 en annonçant qu’ils seraient garanties par l’état ce qui a permis de calmer l’affolement des épargnants qui commençaient à retirer en masse leur argent comme cela c’était produit en Argentine et qui avait produit une déchéance sans égal.
Kadaïf avait promis de radier Bengazi de la carte grâce à Sarkozy le massacre n’a pas eu lieu.
Il est le seul à avoir mené des réformes que personne n’a osé faire auparavant.
Il s’exprime de façon carré clair percutant sans langue de bois. Il a eu le malheur de marcher sur les plates bandes des bobos parisiens et là c’était l’hallali généralisé.
Qu’il ait fait des erreurs au début tout à fait d’accord mais un président de cette trempe on aura plus.
Toutes ces raisons font qu’il faut voter Sarkozy.
J’espère que la censure n’est pas reine dans ce blog. Mes propos sont tout à fait tempérés
Sarkozy, « casse-toi pauvre con! »
Développons…
« Mes chers amis, nos électeurs nous ont quitté pour le FN parce que nous n’étions pas décidés à défendre les valeurs qui sont les nôtres ». (Sarkozy, Lyon, 5 avril 2007)
A quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle et à l’occasion d’une des déclarations les plus honteuses de Nicolas Sarkozy sur un supposé déterminisme génétique, nombre de commentateurs ont pu relever les dérives du candidat de l’UMP vers une droite décomplexée.
L’examen des discours, des articles, des interviews de Nicolas Sarkozy montre pour tout observateur attentif une mue nationaliste, identitaire et réactionnaire d’un candidat qui, en trois mois, a tourné le dos aux fondements idéologiques de la droite républicaine.
Ce document consigne et met en cohérence les mots du sarkozysme en campagne. Il ne se veut pas un énième décryptage du programme du candidat de l’UMP, mais une chronique de ce qui s’est opéré durant cette campagne. Militants politiques, nous nous attendions à ce que Nicolas Sarkozy égrène sa « rupture » au plan économique et social ; il a fait plus, définissant une « rupture » culturelle avec notre bien commun, la République telle qu’elle avait été refondée en 1945. Nicolas Sarkozy a inventé la droite de l’avenir en puisant dans le passé le plus refoulé de la droite nationaliste de l’affaire Dreyfus et de l’entre-deux-guerres.
Nous avons écrit ce document pour que personne ne puisse dire qu’il ne savait pas, pour que nos concitoyens soient éclairés et alertés avant le choix crucial de l’élection, pour que chacun vote en conscience, en ne passant pas à côté de ce que Nicolas Sarkozy nous a dit dans cette campagne de sa rupture, de sa « France d’après… ». La seule alternative face au projet de Nicolas Sarkozy, c’est de voter pour la candidate de la transformation sociale et de la défense de nos valeurs républicaines : la candidate socialiste Ségolène Royal.
2 Le réveil du nationalisme identitaire2
– Un nationalisme outrancier
Nicolas Sarkozy voulait parler de la nation pour redonner à ses partisans la « fierté d’être Français ».
Sa campagne a pris à plusieurs reprises les accents d’un nationalisme outrancier que l’on avait plus entendu chez un candidat de la droite républicaine depuis 1945.
Parti en guerre contre des ennemis imaginaires (les « repentants »), Nicolas Sarkozy n’a cessé de dire que la France n’avait rien à se reprocher. Balayant d’un revers de la main la reconnaissance officielle par Jacques Chirac en 1995 de la complicité de l’État français dans la déportation des Juifs de France, il a même remis au goût du jour une espèce de germanophobie pour exalter l’innocence française.
« Nous avons tout lieu d’être fiers de notre pays, de son histoire, de ce qu’il a incarné, de ce qu’il incarne encore aux yeux du monde. Car la France n’a jamais cédé à la tentation totalitaire. Elle n’a jamais exterminé un peuple. Elle n’a pas inventé la solution finale, elle n’a pas commis de crime contre l’humanité, ni de génocide ». (Caen, 9 mars 2007)
Nicolas Sarkozy s’est aussi attaché à disculper la France de son passé colonial. Devant l’électorat pied-noir et harki de Toulon ou de Nice, il a défendu le bilan positif de la colonisation, au mépris de la réalité historique et des efforts de réconciliation menés depuis les années 1960.
« Je revendique le droit de dire qu’il n’y a pas eu beaucoup de puissances coloniales dans le monde qui aient tant œuvré pour la civilisation et le développement et si peu pour l’exploitation ». (Villebon-sur-Yvette, 20 mars 2007)
– Une conception identitaire de la nation
La vision de la nation portée par Nicolas Sarkozy depuis trois mois s’inscrit directement dans la lignée des conceptions identitaires, agrariennes et biologiques du nationalisme d’extrême droite.
Être Français selon lui, c’est d’abord et avant tout l’être par le sang : « Nul ne peut comprendre l’attachement charnel de tant de Français à la terre de France s’il ne se souvient pas que coule dans leurs veines du sang paysan voué pendant des siècles à féconder le sol français ». (Lille, 28 mars 2007)
La dialectique entre une bonne terre et un bon sang n’est que l’apothéose d’une pensée fondée sur l’exclusion, le repli face à des éléments « externes » ne portant pas dans leurs veines les mêmes caractéristiques que les nationaux.
On comprend mieux pourquoi l’immigration est conçue par le candidat de l’UMP comme une menace pour l’identité nationale. Sa proposition de créer un « ministère de l’immigration et de l’identité nationale » ressuscite ainsi la peur de l’étranger, amalgamant immigrés intégrés de longue date dans la société française, nouveaux arrivants réguliers et clandestins, tous porteurs du même danger : celui de « dénaturer » la nation.
« A force que l’immigré se sente rejeté et que celui qui l’accueille se sente dépossédé de son identité et de plus en plus étranger dans son propre pays, on prépare la haine, non la fraternité » (Besançon, 13 mars 2007)
Une vision ethnique du monde
À force de dire de Nicolas Sarkozy qu’il n’est pas raciste, on passe à côté d’un trait récurrent de son discours qui ne peut manquer d’interroger : loin de l’universalisme républicain, le candidat de l’UMP pense le monde à partir de catégories ethniques et raciales.
Défendant au micro de France Inter le 12 mars 2007 sa proposition de créer un « ministère de l’immigration et de l’identité nationale », il a parlé de l’existence d’une « race chinoise », alors que cette notion n’a aucun sens. Plus largement, l’obsession génétique et ethnique de Sarkozy révèle son incapacité à penser l’altérité autrement que sous une forme biologique.
2
Une conception réactionnaire de la société2
L’individu déterminé par ses gènes
Nicolas Sarkozy a livré une vision de l’homme profondément déterministe en déclarant à Philosophie magazine, en avril 2007 : « J’inclinerais, pour ma part, à penser qu’on naît pédophile, et c’est d’ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie. Il y a 1200 ou 1300 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n’est pas parce que leurs parents s’en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable. Prenez les fumeurs : certains développent un cancer, d’autres non. Les premiers ont une faiblesse physiologique héréditaire. Les circonstances ne font pas tout, la part de l’inné est immense »
On retrouve dans cette affirmation la tentative de voir en chaque homme le simple aboutissement des informations génétiques qu’il a reçues lors de sa conception.
Cette résurgence de théories déterministes du comportement nous rappelle les vieilles querelles de la fin du XIXe siècle à propos du problème de l’inné et de l’acquis. La tentation de réduire, classer et hiérarchiser l’ensemble des dimensions de la complexité des comportements humains à l’aide d’une seule grille de lecture – génétique en l’occurrence – et de s’en servir pour prédire l’avenir des personnes relève d’une tradition bien sombre. Derrière un discours de valorisation du « mérite » et de l’effort, Nicolas Sarkozy propose une approche déterministe des comportements humains, attentatoire à la liberté et profondément inégalitaire.
C’est aussi cette tentation qui avait conduit l’ancien Ministre de l’Intérieur à proposer dans son projet de loi de prévention de la délinquance la détection très précoce des « troubles comportementaux » censés désigner les futurs délinquants. La disposition du projet de loi – finalement abandonnée sous la pression d’une forte mobilisation – invitait les professionnels de l’enfance à repérer des facteurs de risques prénataux et génétiques, et à dépister dès 36 mois les signes d’« indocilité, agressivité, impulsivité ».
Le retour des femmes au foyer
Malgré un discours d’apparence moderne sur certains sujets de société, Nicolas Sarkozy a dévoilé une vision extrêmement archaïque et traditionaliste des femmes.
Il n’a ainsi pas hésité à développer une mythologie de l’éternel féminin digne du régime de Vichy, renvoyant les femmes à leur essence maternelle et protectrice : « Les valeurs des femmes, c’est la générosité, le don de soi, le travail, l’engagement, la famille, la paix, la vie. » (Rencontre « Femmes et égalité des chances » le 6 avril 2007).
La femme ne serait qu’une mère à qui la société doit confier le rôle de prendre soin des enfants mais aussi des personnes âgées. Prenant le contre-pied du projet d’émancipation et de réduction des inégalités hommes/femmes défendu depuis la Libération, le candidat de l’UMP nous propose de valoriser par un salaire maternel les femmes qui restent à la maison, considérant qu’elles jouent ainsi leur rôle dans la société : « Je donnerai des droits sociaux et des droits à la retraite aux mères de famille qui se consacrent exclusivement à l’éducation de leurs enfants. » (Rencontre « Femmes et égalité des chances » le 6 avril 2007).
Des religieux dans les banlieues et les écoles
Nicolas Sarkozy a également réaffirmé qu’il souhaitait faire sortir la religion de la sphère privée, s’écartant ainsi du modèle républicain de laïcité.
Jugeant que la société et la République ne permettent pas de donner du sens au vivre-ensemble, le candidat de l’UMP pense que c’est à la religion de jouer ce rôle, et d’assurer ainsi la pacification et le maintien de l’ordre social dans les quartiers.
« Si dans nos quartiers on évoquait un peu plus souvent le sens de la vie, si on disait aux jeunes que la vie est unique, qu’elle n’est pas un bien de consommation comme les autres, peut-être qu’on aurait alors moins de violence » (interview à La Croix , 4 avril 2007).
En matière d’éducation, Nicolas Sarkozy s’écarte également de la mission républicaine de l’école et de l’idéal de mixité en prônant le libre choix total des parents. Selon lui, l’école ne doit être que le lieu de prolongement des conceptions religieuses ou communautaires des parents, reproduisant ainsi les valeurs familiales, qui priment sur les valeurs communes de citoyenneté républicaine et de mixité. Jamais la droite n’avait aussi clairement pris le parti d’un démantèlement de l’école publique.
La société des rentiers
En stigmatisant les chômeurs, les jeunes, les pauvres, Nicolas Sarkozy souhaite imposer un ordre social « régénéré », où les plus riches accumuleront en paix leur patrimoine avec l’aide de l’État (suppression des droits de succession), quand les travailleurs seront contrôlés, précarisés et culpabilisés.
Cette remise en ordre est le fruit d’une idéologie réactionnaire et profondément dangereuse. Elle est assise sur un projet de creusement des inégalités sociales et de mise en concurrence de groupes entre eux.
2
Les « bons Français » et « l’anti-France » : le moralisme sarkozyste2
La diabolisation de la gauche
Nicolas Sarkozy, à cause de sa conception dangereuse de l’exercice du pouvoir, aime à se poser dans le débat comme la référence morale, construisant son discours contre la « pensée unique ».
L’évènement fondateur de cette anti-France qu’il souhaite combattre serait Mai 68 et sa postérité à gauche et en France. L’exécration de la gauche « soixante-huitarde », « droit-de-l’hommiste », figure un ennemi intérieur – quand l’immigré sera l’ennemi de l’extérieur.
Cet ennemi intime, accusé de tous les maux, le laxisme en tête, vient à point nommé pour lui opposer une mise en ordre autoritaire et réactionnaire. Un seul exemple suffit à le montrer : c’est pour combattre l’’« esprit de jouissance » que Nicolas Sarkozy prône l’« esprit de sacrifice » quand il traite de la valeur travail et des contreparties que l’État doit exiger des travailleurs.
La France des « hystériques » et des « racailles »
La cohérence du projet de Nicolas Sarkozy se fait dans l’insulte et la diabolisation des positions des uns et des autres. Les caricatures des propositions de ses concurrents sont nombreuses, l’anathème, et l’insulte aussi.
Ses propos sont parfois sexistes, qualifiant Ségolène Royal d’« hystérique », souvent délirants, assimilant la critique de l’intervention policière Gare du Nord à une défense des « fraudeurs », toujours blessants, quand les émeutes des banlieues ne suscitèrent dans sa bouche que les réponses de « karcher » et « racailles ».
Aujourd’hui, à quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, la prudence verbale n’est plus de mise. Elle a été remplacée par l’indignation, l’attaque permanente, renvoyant dos à dos candidats et journalistes, médias et partis, comble du cynisme quand on sait que sa filiation avec les leaders mondiaux de la droite décomplexée va jusqu’à entretenir, lui aussi, des liens extrêmement étroits avec les patrons des grands médias nationaux.
La justification de la violence des « honnêtes gens »
Dressant les Français les uns contre les autres, l’ex-ministre de l’Intérieur a été même jusqu’à justifier l’usage de la violence par certains groupes sociaux. Ainsi, la violence contre l’État serait légitime quand elle procède de la « colère » de groupes sur lesquels il s’appuie (manifestation de marins pêcheurs conduisant à l’incendie du Parlement de Bretagne en 1994).
« Chez les marins, on ne fraude pas, on ne triche pas. Ici quand on manifeste, quand on recours à la violence, ce n’est jamais pour se distraire, ce n’est jamais pour nuire à autrui, c’est parce qu’on est désespéré, c’est parce qu’on n’a plus de recours et qu’on se sent condamné à la mort économique et à la mort sociale » (Lorient, 3 avril 2007)
A l’inverse, il dénie le droit de violence légitime aux catégories qu’il stigmatise (leur violence serait purement « gratuite »), formées non par sur des intérêts économiques mais sur la couleur de la peau, le quartier et bientôt – qui sait ? – les gènes.
Contre les plus faibles en revanche, la violence d’État est légitime et maximale : ce sont les sans-papiers SDF qui viennent chercher un peu de nourriture auprès des Restos du Cœur et qui sont arrêtés, les ouvriers grévistes, les enfants raflés à la sortie des écoles.
Pour Nicolas Sarkozy, la violence est donc un moyen de gouvernement opératoire couplée à la création idéologique d’un corps social structuré en corporations qui ne regroupe plus les travailleurs selon leurs intérêts mais obéit à une stratégie de mise en ordre de la société.
Il est souvent dit que Nicolas Sarkozy aurait fait la synthèse des trois droites françaises, la droite bonapartiste, la droite orléaniste, la droite légitimiste.
Force est de constater que ce qui structure fortement sa pensée, ce sont les thèmes clefs de la droite nationaliste telle qu’elle s’était cristallisée à la fin du XIXème siècle avec l’affaire Dreyfus. L’antisémitisme en moins. Et c’est beaucoup. Le libéralisme économique en plus. Et cela est évidemment important. Mais pour le reste, l’autorité, l’identité nationale, le déterminisme biologique, la défense de l’ordre, etc…, tout s’y retrouve.
Nous ne sommes plus dans la tradition gaulliste mais dans autre chose qui a plus à voir avec l’évolution d’une part importante des droites européennes, en Italie et en Espagne particulièrement, qui à leurs politiques économiques libérales adjoignent tout un corpus doctrinal réactionnaire. Et cela ne peut pas être masqué par quelques citations empruntées à Jaurès et à Blum !
Il est difficile dans une campagne trop éclatée de prendre conscience des logiques politiques qui sont à l’œuvre. C’est pourquoi ce document veut montrer à quelle cohérence inquiétante il faut faire barrage dans l’intérêt même des Français et de la République.
« « Je revendique le droit de dire qu’il n’y a pas eu beaucoup de puissances coloniales dans le monde qui aient tant œuvré pour la civilisation et le développement et si peu pour l’exploitation ». (Villebon-sur-Yvette, 20 mars 2007) »
Et il a raison:
Voici, ici relayée, une lettre écrite par un professeur émérite du Val de Grâce, hôpital dans lequel le Président Bouteflika va de temps en temps se faire soigner.
Monsieur le Président,
En brandissant l’injure du génocide de l’identité algérienne par la France, vous saviez bien que cette identité n’a jamais existé avant 1830. Mr Ferrat Abbas et les premiers nationalistes avouaient l’avoir cherchée en vain. Vous demandez maintenant repentance pour barbarie : vous inversez les rôles !
C’était le Maghreb ou l’Ifriqiya, de la Libye au Maroc. Les populations, d’origine phénicienne (punique), berbère (numide) et romaine, étaient, avant le VIIIème siècle, en grande partie chrétiennes (500 évêchés dont celui d’Hippone / Annaba, avec Saint Augustin). Ces régions agricoles étaient prospères.
Faut-il oublier que les Arabes, nomades venant du Moyen Orient, récemment islamisés, ont envahi le Maghreb et converti de force, « béçif » (par l’épée), toutes ces populations. « Combattez vos ennemis dans la guerre entreprise pour la religion….Tuez vos ennemis partout où vous les trouverez » (Coran, sourate II, 186-7). Ce motif religieux était élargi par celui de faire du butin, argent, pierreries, trésor, bétail, et aussi bétail humain, ramenant par troupeaux des centaines de milliers d’esclaves berbères; ceci légitimé par le Coran comme récompense aux combattants de la guerre sainte (XLVIII, 19, 20) .Et après quelques siècles de domination arabe islamique, il ne restait plus rien de l’ère punico romano berbère si riche, que des ruines (Abder-Rahman ibn Khaldoun el Hadrami , Histoire des Berbères, T I, p.36-37,40,45-46. 1382) .
Faut-il oublier aussi que les Turcs Ottomans ont envahi le Maghreb pendant trois siècles, maintenant les tribus arabes et berbères en semi esclavage, malgré la même religion, les laissant se battre entre elles et prélevant la dîme , sans rien construire en contre partie.
Faut-il oublier que ces Turcs ont développé la piraterie maritime, en utilisant leurs esclaves. Ces pirates barbaresques arraisonnaient tous les navires de commerce en Méditerranée, permettant, outre le butin, un trafic d’esclaves chrétiens, hommes, femmes et enfants. Dans l’Alger des corsaires du XVI e siècle, il y avait plus de 30.000 esclaves enchaînés. D’où les tentatives de destruction de ces bases depuis Charles Quint, puis les bombardements anglais, hollandais et même américain…..Les beys d’Alger et des autres villes se maintenaient par la ruse et la force, ainsi celui de Constantine, destitué à notre venue, ayant avoué avoir fait trancher 12.000 têtes pendant son règne.
Faut-il oublier que l’esclavage existait en Afrique depuis des lustres et existe toujours. Les familles aisées musulmanes avaient toutes leurs esclaves africains. Les premiers esclavagistes, Monsieur le Président, étaient les négriers noirs eux-mêmes qui vendaient leurs frères aux Musulmans du Moyen Orient, aux Indes et en Afrique (du Nord surtout), des siècles avant l’apparition de la triangulaire avec les Amériques et les Antilles, ce qui n’excuse en rien cette dernière, même si les esclaves domestiques étaient souvent bien traités.
Faut-il oublier qu’en 1830, les Français sont venus à Alger détruire les repaires barbaresques ottomans qui pillaient la Méditerranée, libérer les esclaves et, finalement, affranchir du joug turc les tribus arabes et berbères opprimées.
Faut-il oublier qu’en 1830, il y avait à peu près 5.000 Turcs, 100.000 Koulouglis, 350.000 Arabes et 400.000 Berbères dans cette région du Maghreb où n’avait jamais existé de pays organisé depuis les Romains. Chaque tribu faisait sa loi et combattait les autres, ce que l’Empire Ottoman favorisait, divisant pour régner.
Faut-il oublier qu’en 1830 les populations étaient sous développées, soumises aux épidémies et au paludisme. Les talebs les plus évolués qui servaient de toubibs (les hakems), suivaient les recettes du grand savant « Bou Krat » (ou plutôt Hippocrate), vieilles de plus de 2.000 ans .La médecine avait quand même sérieusement évolué depuis !
Faut-il oublier qu’à l’inverse du génocide, ou plutôt du massacre arménien par les Turcs, du massacre amérindien par les Américains, du massacre aborigène par les Anglais et du massacre romano-berbère par les Arabes entre l’an 700 et 1500, la France a soigné, grâce à ses médecins (militaires au début puis civils) toutes les populations du Maghreb les amenant de moins d’un million en 1830 en Algérie, à dix millions en 1962.
Faut-il oublier que la France a respecté la langue arabe, l’imposant même au détriment du berbère, du tamashek et des autres dialectes, et a respecté la religion (ce que n’avaient pas fait les Arabes, forçant les berbères chrétiens à s’islamiser pour ne pas être tués, d’où le nom de « kabyle » – j’accepte).
Faut-il oublier qu’en 1962 la France a laissé en Algérie, malgré des fautes graves et des injustices, une population à la démographie galopante, souvent encore trop pauvre, – il manquait du temps pour passer du moyen âge au XXe siècle – mais en bonne santé, une agriculture redevenue riche grâce aux travaux des Jardins d’Essais, des usines, des barrages, des mines, du pétrole, du gaz, des ports, des aéroports, un réseau routier et ferré, des écoles, un Institut Pasteur, des hôpitaux et une université, la poste… Il n’existait rien avant 1830. Cette mise en place d’une infrastructure durable, et le désarmement des tribus, a été capital pour l’Etat naissant de l’Algérie.
Faut-il oublier que les colons français ont asséché, entre autres, les marécages palustres de la Mitidja, y laissant de nombreux morts, pour en faire la plaine la plus fertile d’Algérie, un grenier à fruits et légumes, transformée, depuis leur départ, en zone de friche industrielle.
Faut-il oublier que la France a permis aux institutions de passer, progressivement, de l’état tribal à un Etat nation, et aux hommes de la sujétion à la citoyenneté en construction, de façon, il est vrai, insuffisamment rapide. Le colonialisme, ou plutôt la colonisation a projeté le Maghreb, à travers l’Algérie, dans l’ère de la mondialisation.
Faut-il oublier qu’en 1962, un million d’européens ont dû quitter l’Algérie, abandonnant leurs biens pour ne pas être assassinés ou, au mieux, de devenir des habitants de seconde zone, des dhimmis, méprisés et brimés, comme dans beaucoup de pays islamisés. Il en est de même de quelques cent mille israélites dont nombre d’ancêtres s’étaient pourtant installés, là, 1000 ans avant que le premier arabe musulman ne s’y établisse. Etait-ce une guerre d’indépendance ou encore de religion ?
Faut-il oublier qu’à notre départ en 1962, outre au moins 75.000 Harkis, sauvagement assassinés, véritable crime contre l’humanité, et des milliers d’européens tués ou disparus, après ou avant, il est vrai, les excès de l’O.A.S., il y a eu plus de 200.000 tués dans le peuple algérien qui refusait un parti unique , beaucoup plus que pendant la guerre d’Algérie. C’est cette guerre d’indépendance, avec ses cruautés et ses horreurs de part et d’autre, qui a fondé l’identité algérienne. Les hommes sont ainsi faits !
Monsieur le Président, vous savez que la France forme de bons médecins, comme de bons enseignants. Vous avez choisi, avec votre premier ministre, de vous faire soigner par mes confrères du Val de Grâce. L’un d’eux, Lucien Baudens, créa la première Ecole de médecine d’Alger en 1832, insistant pour y recevoir des élèves autochtones. Ces rappels historiques vous inciteront, peut-être, Monsieur le Président, à reconnaître que la France vous a laissé un pays riche, qu’elle a su et pu forger, grâce au travail de toutes les populations, des plus pauvres aux plus aisées – ces dernières ayant souvent connu des débuts très précaires -. La France a aussi créé son nom qui a remplacé celui de Barbarie. Personne ne vous demandera de faire acte de repentance pour l’avoir laissé péricliter, mais comment expliquer que tant de vos sujets, tous les jours, quittent l’Algérie pour la France ?
En fait, le passé, diabolisé, désinformé, n’est-il pas utilisé pour permettre la mainmise d’un groupe sur le territoire algérien ? Je présente mes respects au Président de la République, car j’honore cette fonction.
Un citoyen français,
André S..,
Professeur agrégé du Val de Grâce.
http://lesbeauf-sdansstartsinblogs.hautetfort.com/ – Le socialo-marxisme ….c’est un devoir national que de combattre ce fléau !
pôvre jo
Heureusement que votre longue diatribe -remplie de FOUTAISES dont nous n’avons rien a faire- est longue, car beaucoup de lecteurs n’auront ni la patience ni le temps à perdre pour la lire!
OUI mon bonhomme. la France a eu des colonies. Des colonies qu’elle a aussi urbanisées et développées sous tous les aspects.
Mais surtout la France y a apporté sa Culture dans le respect de ses valeurs: LIBERTÉ ÉGALITÉ ET FRATERNITÉ.
Et les colonisés ont eu beaucoup de chance, ils on connu ce qu’est une vraie Démocratie, car la Noble France ne leur a jamais imposé un régime d’ APARTHEID, comme ses jadis voisins d’Afrique du Sud.
Si ça vous suffit pas, c’est votre problème.
N. Sarkozy est un vilain type qui n’inspire pas le respect, c’est vrai, mais ceux qui veulent prendre sa place au pouvoir, sont mille fois plus hideux et dangereux que lui.
Si votre vœux se réalise, vous ne paierez rien pour attendre.
Mais en attendant, Merci, d’aller déverser vos ordures ailleurs.
Excellent article qui me rend triste. Les Juifs et ceux qui les soutiennent devront raser les murs. Je veux croire que pendant cette « alternance » le peuple de France aura un sursaut de clairvoyance et de bon sens pour inverser la tendance totalitaire qui nous guette. c’est vrai qu’en vous lisant je crains le pire… Certains au vue de la situation en Europe parle de guerre…
Cher(e) Mardochée,
Rassurez-vous.
Observez l’Histoire de l’Humanité.
La LIBERTÉ EST LE PLUS PRÉCIEUX TRÉSOR DES PEUPLES.
CE FAIT rend malade de jalousie les peuples qui ne l’ont PAS et sont captifs d’idéologies totalitaires ou religieuses.
C’est pourquoi -de tous temps et à toutes époques- les barbares n’ont cessé de vouloir VOLER leur LIBERTÉ aux Peuples LIBRES.
Bien que ceci puisse vous paraître paradoxal, L’Histoire nous démontre sans équivoque, que pour Sauvegarder et Conserver la PAIX et la LIBERTÉ, il est nécessaire de faire la guerre.
C’est l’Unique But « Digne » de la Guerre.
Dans le monde de la Dualité où nous vivons, toute chose reflète un côté Négatif et un Côté Positif.
Le Négatif de la guerre c’est l’usage de la violence et le sang versé.
Le Positif de la guerre, c’est la Libération du Peuple agressé, envahi, captif.
Souvenez-vous
Comment l’Europe aétéelle été Libéré de l’Opression nazie ? si ce n’et par la guerre Libératrice, par les Troupes Alliées, Américaines, Anglaises, Autraliennes débarquant en Normandie pour Libérer les Peuples Européens?
Sans ces vaillnts guerriers, ces jeunes et courageux soldats, venus écrasser l’ envahisseurnazi, et rétablir la PAIX et la LIBERTÉ, vous n’auriez pas connu la Démocratie, ni la Liberté.
Ils l’ont fait par la guerre auto-défensive, la guerre Libératrice.
Parce-que face au fanatisme, il n’y a aucune autre option qui tienne.
La Liberté est un Don Naturel, Inhérent et Inalterable de D. envers l’Humain.
Les Peuples Européens doivent se tourner vers D. et prier à l’unisson pour Sa Puissance et sa Grâce dans la Victoire contre le Mal.
Voici pourquoi, afin de