Deux policiers viennent à nouveau d’être victimes de tentative de meurtre sur leur personne, à Molenbeek.
Ces blessures graves infligées en plein jour à Bruxelles à nos collègues en service, par un criminel dénué du moindre sentiment humain, nous poussent une nouvelle fois à réagir de façon déterminée.
L’auteur des faits, porteur de tracts du groupuscule raciste Sharia4belgium, a agi avec la plus froide et totale détermination, notamment sur une collègue féminine pourtant de la même origine que lui.
Selon l’ocam nous serions en code 3 sur une échelle qui en compte 4: c’est par la presse que les policiers l’ont appris. Sur le terrain, les policiers n’ont aucunement été avertis des implications de ce code, des mesures à prendre. Les effectifs sont toujours aussi minces, aucun armement spécifique n’a été prévu, les armes collectives restent planquées dans leurs coffres, c’est l’improvisation habituelle.
Depuis plusieurs années nous essayons, sans résultat notoire à ce stade, d’obtenir une réaction efficace et structurée des ministres de tutelle, face à l’augmentation des violences graves à l’encontre des forces de l’ordre.
Nous misons beaucoup sur notre actuelle ministre de l’intérieur.
En effet la sécurité des policiers de terrain n’est plus assurée pour différentes raisons. Dès lors les forces de l’ordre ne peuvent plus garantir le droit à la sécurité des citoyens prévu par la loi.
La problématique n’est pas seulement Bruxelloise, elle concerne les membres des forces de l’ordre de tout le pays.
Tout d’abord, SYPOL.BE stigmatise la politique de désarmement progressif des forces de police et l’état d’esprit angélique hérité de la réforme.
Vouloir une police proche du citoyen, orientée vers la communauté, ne veut certainement pas dire qu’on doit ou peut la désarmer face aux criminels.
Ici à Molenbeek, les policiers ont vidé 2 sprays lacrymogènes pour répliquer à un criminel armé d’un couteau, sans résultat.
C’est intolérable, nous mettons le gouvernement en demeure de réagir enfin face à l’insécurité des membres des forces de l’ordre, désarmés et/ou sous équipés face à ces bandes de criminels pour qui la vie humaine ne compte pas.
De manière non exhaustive, nous rappelons certaines revendications:
– Doter chaque patrouille d’intervention, comme avant réforme, d’une arme collective efficace, dissuasive et moderne d’un calibre de police suffisant et adapté.
Les armes et calibres dont disposent les forces de l’ordre sont sous dimensionnés et/ou obsolètes face aux criminels surarmés.
Les policiers n’ont plus d’armement suffisamment dissuasif !!!
– Les agents de police ne disposent pas d’arme à feu, pas plus que les consultants de police technique et scientifique qui effectuent seuls des tâches de police en tous lieux et à toutes heures, qui sont revêtus d’une qualité de police judiciaire mais sont soumis à un statut de cadre administratif
– Dotation de l’arme électrique, laquelle est interdite aux policiers belges alors qu’elle est acquise par des malfaiteurs belges dans certains pays limitrophes où elle est en vente libre, chez qui nous en découvrons en perquisition!
Dans le cas présent à Molenbeek, cet équipement aurait, une fois de plus, permis aux policiers de répliquer de manière adéquate.
– Permettre aux policiers travaillant en civil, comme à leurs collègues en uniforme, de porter leur arme sur le chemin du travail, comme avant réforme.
– Rétablir la sécurité dans les palais de justice, lors des transferts de détenus, ainsi que dans les prisons
Ensuite et surtout, nous demandons au législateur de prévoir des sanctions lourdes et proportionnées dans un délai raisonnable, contre les auteurs de rebellions et violences commises envers les membres des forces de l’ordre.
Et surtout nous revendiquons que la magistrature les applique, car sans cela pas de dissuasion!
Quelques rares initiatives parlementaires n’ont pas été suffisantes dans ce cadre. Pour ces malfaiteurs, la dissuasion n’existe plus en Belgique, qui devient le ventre mou européen et attire de ce fait la criminalité itinérante .
Des criminels faisant feu sur les forces de l’ordre, les poignardant ou fonçant délibérément sur eux en voiture, ne méritent pas l’obtention d’une libération conditionnelle après avoir effectué seulement un tiers de leur peine.
Enfin, nous attirons une nouvelle fois l’attention sur le fait que les baisses drastiques des budgets de la police depuis 2008 voire leur non indexation, a hypothéqué d’une manière certaine le fonctionnement de la police intégrée et mis en grave péril la sécurité de nos concitoyens et des membres des forces de l’ordre.
Il est clair que la baisse des budgets policiers empêche l’acquisition d’un matériel efficace de sécurité, au préjudice des policiers.
Trop peu de policiers sur le terrain, le vieillissement du cadre de la police fédérale, un armement inadéquat, une application laxiste de la loi, posent aux forces de l’ordre des problèmes de sécurité insurmontables.
Dans cet édito du SYPOL par son secrétaire on apprend plusieurs choses dont :
La plus importante est que l’OCAM (voir ci-après) classe le danger actuel (l’insécurité) pour les Belges en raison de la menace globale de nature terroriste au niveau 3 sur un échelle de risque qui en compte 4 !
La seconde, subsidiaire, est que la policière agressée au couteau est d’origine maghrébine, ce qui a dû être dans l’âme troublée de l’islamiste, une raison supplémentaire de frapper au nom d’Allah, le très haut et le miséricordieux (sic). Une de ces putes à qui le Sheitan (Satan) a dû glisser un index dans le vagin à la naissance !
Pour cette dernière remarque voir le lien : http://www.memri.org/clip/en/0/0/0/0/0/0/3453.htm
OCAM : Organe de Coordination pour l’Analyse de la Menace
Cet organisme a été créé (l’OCAM / Organe de Coordination pour l’Analyse de la Menace) par la Loi du 10 juillet 2006.
Cette loi charge l’OCAM de l’analyse de la menace en matière de terrorisme et d’extrémisme, sur base notamment des informations et renseignements fournis par le SGRS et la Sûreté de l’Etat.
L’OCAM est placé sous l’autorité conjointe des Ministres de la Justice et de l’Intérieur.
Le Chef du SGRS (Officier Général 3 étoiles, actuellement le Vice-Amiral Michel Hellemans) est également le sous-chef d’état-major Renseignement et Sécurité (Assistant Chief of Staff Intelligence and Security – ACOS IS).
Les missions du SGRS sont déterminées à l’article 11 de la « Loi organique des services de renseignement et de sécurité » du 30 novembre 1998 (Moniteur Belge du 18 décembre 1998).
Les agents de ce service exercent dans la discrétion afin de garantir, entre autres, la sécurité des Belges expatriés ou pour prévenir des menaces étrangères sur les Belges et leurs intérêts. Ils sont dès lors tenus au secret professionnel. Les effectifs et l’organigramme du SGRS sont tenus secrets. Le SGRS se tient à l’écart de la vie publique.
Le SGRS est contrôlé de près par le Comité permanent de contrôle des services de renseignement (« Comité R », dépendant du Parlement), disposant d’un site web et publiant des rapports sur le fonctionnement même dudit service ainsi que de son homologue civil, la Sûreté de l’État.
@ lecteur
A ceci près que, rue Myrha, Tintin n’aurait même pas eu le loisir de traverser la voie publique, interdite aux “souchiens” par des colonisateurs islamistes infiniment moins sympathiques que ces passants du “Crabe aux pinces d’or” !
Les simples agents de police patrouillant sans arme; les patrouilles d’intervention armées légèrement d’engins anciens.
Ils méritent leur salaire, les policiers à Molenbeek…
un seul mot : Like !
Excellent !
POUR INFO : REACTION DU SYNDICAT DE LA POLICE BELGE SYPOL.BE APRES L’AGRESSION DE DEUX POLICIERS A MOLENBEEK
SYPOL.BE
E.LEBON
secrétaire général
0497/597726
Violences sur les policiers: stop au massacre
Deux policiers viennent à nouveau d’être victimes de tentative de meurtre sur leur personne, à Molenbeek.
Ces blessures graves infligées en plein jour à Bruxelles à nos collègues en service, par un criminel dénué du moindre sentiment humain, nous poussent une nouvelle fois à réagir de façon déterminée.
L’auteur des faits, porteur de tracts du groupuscule raciste Sharia4belgium, a agi avec la plus froide et totale détermination, notamment sur une collègue féminine pourtant de la même origine que lui.
Selon l’ocam nous serions en code 3 sur une échelle qui en compte 4: c’est par la presse que les policiers l’ont appris. Sur le terrain, les policiers n’ont aucunement été avertis des implications de ce code, des mesures à prendre. Les effectifs sont toujours aussi minces, aucun armement spécifique n’a été prévu, les armes collectives restent planquées dans leurs coffres, c’est l’improvisation habituelle.
Depuis plusieurs années nous essayons, sans résultat notoire à ce stade, d’obtenir une réaction efficace et structurée des ministres de tutelle, face à l’augmentation des violences graves à l’encontre des forces de l’ordre.
Nous misons beaucoup sur notre actuelle ministre de l’intérieur.
En effet la sécurité des policiers de terrain n’est plus assurée pour différentes raisons. Dès lors les forces de l’ordre ne peuvent plus garantir le droit à la sécurité des citoyens prévu par la loi.
La problématique n’est pas seulement Bruxelloise, elle concerne les membres des forces de l’ordre de tout le pays.
Tout d’abord, SYPOL.BE stigmatise la politique de désarmement progressif des forces de police et l’état d’esprit angélique hérité de la réforme.
Vouloir une police proche du citoyen, orientée vers la communauté, ne veut certainement pas dire qu’on doit ou peut la désarmer face aux criminels.
Ici à Molenbeek, les policiers ont vidé 2 sprays lacrymogènes pour répliquer à un criminel armé d’un couteau, sans résultat.
C’est intolérable, nous mettons le gouvernement en demeure de réagir enfin face à l’insécurité des membres des forces de l’ordre, désarmés et/ou sous équipés face à ces bandes de criminels pour qui la vie humaine ne compte pas.
De manière non exhaustive, nous rappelons certaines revendications:
– Doter chaque patrouille d’intervention, comme avant réforme, d’une arme collective efficace, dissuasive et moderne d’un calibre de police suffisant et adapté.
Les armes et calibres dont disposent les forces de l’ordre sont sous dimensionnés et/ou obsolètes face aux criminels surarmés.
Les policiers n’ont plus d’armement suffisamment dissuasif !!!
– Les agents de police ne disposent pas d’arme à feu, pas plus que les consultants de police technique et scientifique qui effectuent seuls des tâches de police en tous lieux et à toutes heures, qui sont revêtus d’une qualité de police judiciaire mais sont soumis à un statut de cadre administratif
– Dotation de l’arme électrique, laquelle est interdite aux policiers belges alors qu’elle est acquise par des malfaiteurs belges dans certains pays limitrophes où elle est en vente libre, chez qui nous en découvrons en perquisition!
Dans le cas présent à Molenbeek, cet équipement aurait, une fois de plus, permis aux policiers de répliquer de manière adéquate.
– Permettre aux policiers travaillant en civil, comme à leurs collègues en uniforme, de porter leur arme sur le chemin du travail, comme avant réforme.
– Rétablir la sécurité dans les palais de justice, lors des transferts de détenus, ainsi que dans les prisons
Ensuite et surtout, nous demandons au législateur de prévoir des sanctions lourdes et proportionnées dans un délai raisonnable, contre les auteurs de rebellions et violences commises envers les membres des forces de l’ordre.
Et surtout nous revendiquons que la magistrature les applique, car sans cela pas de dissuasion!
Quelques rares initiatives parlementaires n’ont pas été suffisantes dans ce cadre. Pour ces malfaiteurs, la dissuasion n’existe plus en Belgique, qui devient le ventre mou européen et attire de ce fait la criminalité itinérante .
Des criminels faisant feu sur les forces de l’ordre, les poignardant ou fonçant délibérément sur eux en voiture, ne méritent pas l’obtention d’une libération conditionnelle après avoir effectué seulement un tiers de leur peine.
Enfin, nous attirons une nouvelle fois l’attention sur le fait que les baisses drastiques des budgets de la police depuis 2008 voire leur non indexation, a hypothéqué d’une manière certaine le fonctionnement de la police intégrée et mis en grave péril la sécurité de nos concitoyens et des membres des forces de l’ordre.
Il est clair que la baisse des budgets policiers empêche l’acquisition d’un matériel efficace de sécurité, au préjudice des policiers.
Trop peu de policiers sur le terrain, le vieillissement du cadre de la police fédérale, un armement inadéquat, une application laxiste de la loi, posent aux forces de l’ordre des problèmes de sécurité insurmontables.
E.LEBON
Secrétaire général
Dans cet édito du SYPOL par son secrétaire on apprend plusieurs choses dont :
La plus importante est que l’OCAM (voir ci-après) classe le danger actuel (l’insécurité) pour les Belges en raison de la menace globale de nature terroriste au niveau 3 sur un échelle de risque qui en compte 4 !
La seconde, subsidiaire, est que la policière agressée au couteau est d’origine maghrébine, ce qui a dû être dans l’âme troublée de l’islamiste, une raison supplémentaire de frapper au nom d’Allah, le très haut et le miséricordieux (sic). Une de ces putes à qui le Sheitan (Satan) a dû glisser un index dans le vagin à la naissance !
Pour cette dernière remarque voir le lien : http://www.memri.org/clip/en/0/0/0/0/0/0/3453.htm
OCAM : Organe de Coordination pour l’Analyse de la Menace
Cet organisme a été créé (l’OCAM / Organe de Coordination pour l’Analyse de la Menace) par la Loi du 10 juillet 2006.
Cette loi charge l’OCAM de l’analyse de la menace en matière de terrorisme et d’extrémisme, sur base notamment des informations et renseignements fournis par le SGRS et la Sûreté de l’Etat.
L’OCAM est placé sous l’autorité conjointe des Ministres de la Justice et de l’Intérieur.
Le Chef du SGRS (Officier Général 3 étoiles, actuellement le Vice-Amiral Michel Hellemans) est également le sous-chef d’état-major Renseignement et Sécurité (Assistant Chief of Staff Intelligence and Security – ACOS IS).
Les missions du SGRS sont déterminées à l’article 11 de la « Loi organique des services de renseignement et de sécurité » du 30 novembre 1998 (Moniteur Belge du 18 décembre 1998).
Les agents de ce service exercent dans la discrétion afin de garantir, entre autres, la sécurité des Belges expatriés ou pour prévenir des menaces étrangères sur les Belges et leurs intérêts. Ils sont dès lors tenus au secret professionnel. Les effectifs et l’organigramme du SGRS sont tenus secrets. Le SGRS se tient à l’écart de la vie publique.
Le SGRS est contrôlé de près par le Comité permanent de contrôle des services de renseignement (« Comité R », dépendant du Parlement), disposant d’un site web et publiant des rapports sur le fonctionnement même dudit service ainsi que de son homologue civil, la Sûreté de l’État.
JPG: vous parlez des media incontrôlables et vecteurs de haine? Vous avez raison. Et voilà:
http://www.rtl.be/info/belgique/societe/884939/maghreb-tv-polemiste-et-incontrolable-nous-assumons-notre-liberte-de-ton-
On dirait Tintin a Paris…
On dirait Tintin à Bordeaux..
@ lecteur
A ceci près que, rue Myrha, Tintin n’aurait même pas eu le loisir de traverser la voie publique, interdite aux “souchiens” par des colonisateurs islamistes infiniment moins sympathiques que ces passants du “Crabe aux pinces d’or” !
ça marche aussi avec plein d’autres villes françaises.
On dirait ausi Tintin à Brest .
Les simples agents de police patrouillant sans arme; les patrouilles d’intervention armées légèrement d’engins anciens.
Ils méritent leur salaire, les policiers à Molenbeek…
bientôt, avec la complicité ou l’indifférence des politiques de l’UE, ce sera Tintin en djellaba, et Haddock au cola……