C’est un fait très rare: un projet de résolution de l’ONU rejette une demande des Palestiniens, et refuse d’ajouter l’église de la Nativité comme site du patrimoine mondial mis « en danger » à cause d’Israël.
L’Organisation des Nations Unies a préparé un projet de résolution qui rejette la demande palestinienne d’inclure la ville natale de Jésus comme site du patrimoine mondial en péril, citant un rapport établi par des experts internationaux, qui ont enquêté, et ont rejeté l’idée que l’église de la Nativité de Bethlehem était en danger.
Le projet de résolution sera examiné par le Comité pour le patrimoine mondial de l’UNESCO, composé de 21 nations, lors d’une réunion à Saint-Pétersbourg en Russie, dans le courant du mois de juin.
Le Comité – qui comprend, entre autres, l’Algérie, le Cambodge, l’Irak, la Malaisie, le Mali, le Qatar, la Russie, le Sénégal et les Emirats Arabes Unis – a le pouvoir de renverser le projet de texte des experts, mais plusieurs personnes habituées aux processus de décisions expliquent que les Etats arabes ne sont pas sûrs de réunir les deux tiers requis pour obtenir la majorité, et font remarquer que plusieurs Etats, dont la Russie, qui est le pays hôte, hésitera peut-être à contester l’évaluation objective présentée par les experts de l’ONU.
De mémoire récente, c’est la première fois qu’un projet de résolution de l’Organisation des Nations Unies – et encore plus un projet de l’UNESCO, largement dominé par les Arabes, et qui récemment élisait la Syrie d’Assad à son Comité de droits de l’homme – rejette une demande des Palestiniens.
À l’ONU, où l’assemblée générale adopte chaque année plus de résolutions critiquant Israël que pour le reste du monde tout entier, c’est un spectacle presque aussi rare que celui de la comète de Halley !
La raison de cette apparition extraordinaire est très simple : les Palestiniens viennent d’être admis à l’UNESCO en tant qu’Etat membre, et c’est la première fois qu’ils utilisent les procédures du Patrimoine mondial, lequel suit, dans ses étapes initiales, les critères d’experts qui ne sont pas des politiques, contrairement aux 195 membres très politisés des gouvernement représentés à l’ONU qui, pour la plupart, votent une majorité automatique à toutes les résolutions Arabes.
Bien qu’il n’y ait aucun doute sur le fait que les lieux saints sont des sites appartenant au patrimoine mondial, le rejet total, par les experts, des allégations palestiniennes, souligne la façon regrettable dont le président Mahmoud Abbas détourne le processus de protection des sites et monuments historiques du monde, à des fins politiques.
Fait remarquable, CNN, qui s’est donné la peine de décrire sous un angle très positif la nomination de la “Palestine” en tant que membre de l’UNESCO, en octobre 2011, n’a pas cru bon de mentionner que la proposition palestinienne a été complètement rejetée par les experts professionnels chargés d’évaluer les demandes de chaque pays.
Dans leur mémoire, les Palestiniens affirmaient que « l’occupation israélienne »… « entrave la fourniture des matériaux nécessaires » et crée une « situation d’urgence » qui doit être stoppée par « une mesure d’urgence ».
Pourtant, l’enquête approfondie du Conseil International des Monuments et des Sites (ICOMOS), basé à Paris, et qui conseille le Comité du Patrimoine Mondial sur les biens à inscrire sur la liste – a dit exactement le contraire.
« L’église de la Nativité et la route du pèlerinage à Bethlehem, en Palestine, ne doivent pas être inscrits sur la liste du patrimoine mondial en danger », ont déclaré les experts.
« ICOMOS ne considère pas que les conditions décrivant les dommages, ou dangers graves, que court l’église de la Nativité, telles qu’exigées par le paragraphe 161 du guide des orientations, soient pleinement remplies, et son état ne correspond pas à des conditions d’urgence qui exigeraient que le Comité du Patrimoine Mondial prenne des mesures immédiates pour préserver ce bien. »
L’ICOMOS a constaté que, contrairement à la présentation des Palestiniens au Comité de l’UNESCO, l’église de la Nativité n’est ni « gravement endommagée », ni « sous quelque menace immédiate ».
Il n’y a aucune « action immédiate … nécessaire à la préservation du bien ». Malgré les revendications palestiniennes, Israël n’a pas été considéré comme étant un obstacle majeur à la préservation de l’église de la Nativité.
En fait, fait remarquer le rapport, le toit de l’église – considéré comme étant en très grand danger – a été réparé « très récemment en 1990, lorsque les travaux ont été mis en œuvre par les autorités militaires israéliennes. »
En conséquence, l’ICOMOS a suggéré que l’Autorité Palestinienne « soumette de nouveau sa demande, conformément aux procédures normales d’inscription »
Néanmoins, lorsque le Comité du Patrimoine Mondial des 21 nations se réunira à Saint-Pétersbourg, du 24 juin au 6 juillet, il est tout à fait capable de considérer que le « lieu de naissance de Jésus, l’église de la Nativité, et la route du pèlerinage à Bethlehem » sont en grand danger, et demandent la protection spéciale de l’ONU – une déclaration qui ne ferait qu’enflammer un peu plus la région.
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
http://www.unwatch.org/site/apps/nlnet/content2.aspx?c=bdKKISNqEmG&b=1285603&ct=11813667¬oc=1
Comment laisser le contrôle de ce lieu saint chrétien à des musulmans qui il n’y a pas si longtemps s’ y étaient retranchés et avaient commis des dégradations dans ce lieu sacré.
Ces mêmes musulmans s’efforçant de surcroit à éliminer toute présence chrétienne commerçante en ville pour récupérer la manne financière des pélerins.
Mais les dégradations commises par ces musulmans et dénoncées par les prêtres orthodoxes qui à ce moment étaient dans ce lieu saint, avaient donné lieu à des manipulations de certains médias télévisuels français, qui avaient travesti les déclarations de ces prêtres. Alors que ces derniers se plaignaient des vols commis par les arabes “palestiniens”, déclarations faites, semble-t-il en grec, les traductions par le biais d’une voix off d’un journaliste avaient été falsifiées et avaient fait porter la responsabilité des dommages à l’armée israëlienne.Ce procédé est celui qui avait cours à l’agence Tass et à la T.V. de l’union soviétique.
PAUVRES CONS DE BOUGNOULES
NON! Dites plutôt” Menteurs au double langage,ce qui est non seulement permis par le coran(le mensonge), mais hautement encouragé quand il figure au niveau des moyens utilisables permettant d’éliminer les infidèles.”
Par contre votre formule lapidaire est celle que je retiendrais à l’adresse des occidentaux qui sont d’une bêtise insondable en se laissant manoeuvrer comme des crétins par les ressotissants arabes de l’ONU.
Oui le site est en danger vu qu`il se trouve en plein territoire colonise par des soit-disant palestiniens. POur le preserver ainsi que tous les autres, il faut eloigner la racaille musulmane/arabe des environs du site en question, et il sera naturellemnt preserve!!
Il faut internationaliser Bethléem ou le vaticaniser !
Quand on lit tous les jours sur ce site (tres peu dans la presse bien informée)toutes les églises qui sont vendalisées, brulées, demolies par des attentats,par cela même qui demandent de classer cette église au patrimone mondiale de l’UNESCO, ce serait donner les clefs du poulailler au renard
Mort de Roger Garaudy : Du PC au négationnisme, un itinéraire fou
Société
Adepte à la fin de sa vie des thèses négationnistes, l’intellectuel Roger Garaudy, fut après guerre député communiste du Tarn puis de la Seine. Il est mort au terme d’un itinéraire très chaotique.
Décédé mercredi à 98 ans à Chennevières (Val-de-Marne), le résistant et agrégé de philo Roger Garaudy – qui fut jusqu’en 1970, date de son exclusion du parti, une des hautes figures du PC – aura montré tout au long sa vie plusieurs visages.
http://www.francesoir.fr/actualite/societe/mort-de-roger-garaudy-du-pc-au-negationnisme-un-itineraire-fou-237291.html
Je mets ce lien sur ce fil au sujet de l’examen de l’université de paris-diderot:
“Le président de l’université Paris-Diderot, Vincent Berger, a décidé jeudi d’ouvrir une enquête administrative à propos d’un sujet d’examen contesté, soumis deux jours plus tôt à des étudiants en médecine dans le cadre d’un certificat optionnel de médecine humanitaire.”
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/06/15/01016-20120615ARTFIG00366-question-tendancieuse-lors-d-un-examen-en-medecine.php
Je pense que notre coup de gueule n’est pas tombé dans l’oreille d’un aveugle.
comme quoi il n’y a pas que des mauvaises nouvelles !