Publié par Jean-Patrick Grumberg le 21 juin 2012

Et une de plus. Bien crédules, ceux qui pensaient que son tweet déplacé, la réprobation de la majorité des Français, les remontrances dans son camp, son pseudo méa culpa, et l’engueulade avec son président de petit copain la calmerait : rien ne l’arrête.

Trierweiler a encore frappé.

Cette fois, elle s’est déchaînée sur une policière du Groupe de sécurité de la présidence de la République, qui s’est faite virer pour avoir commis une maladresse envers elle.

Pour qui se prend elle ? Pour une femme au dessus des lois tout simplement. A quel titre ? Le titre d’une femme ordinaire qui a de l’ascendant sur le Président, tout puissant.

Lors de son déplacement à La Réunion, François Hollande fait une halte dans le cimetière des esclaves, à Saint-Louis. Sa copine est avec lui. Une commissaire de police du SHPH (Service de protection des hautes personnalités) se tient à son côté. Elle est chargée d’assurer sa protection, le temps de la campagne. Attentive, elle sort une ombrelle et la tient au-dessus de Valérie Trierweiler.

Madame laisse faire, sous le regard médusé des témoins qui connaissent le caractère pourri de la première concubine.

L’Express (1) qui révèle ce scandaleux abus d’un pouvoir qu’elle n’a pas, d’autant scandaleux qu’il origine du plus haut échelon de la gauche morale, ajoute que l’emmerdeuse avait déjà la commandante dans le nez – on se demanderait presque pourquoi si on n’avait pas vu la jalouse en pleine crise d’hystérie détruire la compagne de François Hollande.

Madame est de gauche…

Le 29 avril, donc, la commandante s’est fait engueuler comme du poissons pourri par la Rottweiler, dans les coulisses du palais omnisports de Bercy. Le sac de Madame avait disparu ce qui rendit Madame folle de rage. Quelqu’un avait déplacé les affaires de Madame par mégarde.

La première voleuse d’hommes de France a tenté de soutenir qu’elle n’est pour rien dans le licenciement de la brave commandante en faisant dire par l’Elysée que « cette décision relève du cabinet de l’Elysée et de la chef du GSPR (groupe de sécurité de la présidence de la République), mais en aucun cas de Valérie Trierweiler. Il y a eu, de la part de cette commandante, des problèmes de comportement professionnel et des erreurs qui justifient ce choix. »

Mensonge assure une source policière :

C’est Valérie Trierweiler qui n’a pas voulu la garder

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

(1) http://www.lexpress.fr/actualite/politique/cette-commandante-de-police-que-trierweiler-a-fait-virer_1129067.html

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