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Michel Garroté – Or donc, la Secte des Adeptes naturalistes de l’Ecologisme climatologique sont actuellement réunis à Rio pour rendre culte à la déesse Nature. Au-delà de son aspect grotesque et bouffon, ce culte parareligieux et néo-païen révèle d’une part, des inexactitudes flagrantes au plan scientifique ; et d’autre part, une addiction vorace envers l’argent. Pour ce qui me concerne, je préfère l’érotisme du Carnaval de Rio et le christianisme aux bras ouverts affiché au sommet de la baie de Rio à l’écologisme du Sommet se tenant ces jours-ci en cette même ville.
A cet égard, Bret Stephens, en 2009 déjà, dans le Wall Street Journal, écrivait notamment : « Le Climategate (ndmg : le scandale de la climatologie et de son argent sale) implique certains des climatologues les plus renommés du monde et nous les dévoile en train de bloquer des demandes d’accès à l’information, d’évincer des scientifiques dissidents, de corrompre le processus de révision par les pairs et de dissimuler, détruire ou manipuler des données dérangeantes sur les températures. Tous ces faits ont été mis au jour par la diffusion la semaine dernière de milliers de courriels de l’Unité de recherche climatique (CRU) de l’Université d’East Anglia. Il est utile d’appliquer aux alarmistes eux-mêmes la méthode qu’ils ont souvent utilisée, c’est-à-dire de suivre l’argent à la trace. Penchons-nous d’abord sur le cas de Phil Jones, le directeur du CRU et l’homme au centre du Climategate ».
« Selon l’un des documents piratés en provenance de son centre, M. Jones a été le récipiendaire (ou le co-récipiendaire) de quelque 19 millions $ en subventions à la recherche de 2000 à 2006, soit une multiplication par six des sommes qu’il a reçues dans les années 1990. Pourquoi l’argent a-t-il afflué si rapidement ? Parce que l’alarme climatique continuait de sonner fort : plus elle sonnait fort, plus les sommes étaient élevées. Et qui était mieux placé pour la sonner fort que des gens comme M. Jones, l’un des bénéficiaires les plus probables ? Les plus récents crédits budgétaires adoptés par la Commission européenne pour financer la recherche sur le climat s’élèvent à près de 3 milliards $, et c’est sans compter les fonds en provenance des gouvernements membres de l’Union ».
« Aux États-Unis, la Chambre des représentants prévoyait (il y a trois ans) dépenser 1,3 milliard $ sur les travaux de la NASA dans le domaine du climat, 400 millions sur la National Oceanic and Atmospheric Administration et un autre 300 millions $ pour la National Science Foundation. Les États apportent aussi de l’eau au moulin, la Californie – qui n’est apparemment pas en faillite lorsqu’il s’agit de ces questions – consacrant 600 millions $ à son propre programme de lutte contre les changements climatiques. Et, selon les estimations de la Banque HSBC, tout ceci n’est qu’une fraction des 94 milliards $ dépensés à travers le monde sur ce qu’elle appelle ‘le plan de relance vert’, c’est-à-dire principalement sur la production d’éthanol et d’autres projets de développement d’énergies alternatives, des projets dont Al Gore et ses partenaires chez Kleiner Perkins espèrent tirer de généreux bénéfices ».
« Comme on le sait, l’offre crée sa propre demande. Ainsi, pour chaque milliard additionnel de subventions gouvernementales à la recherche (ou les dizaines de millions fournis par des fondations telles que Pew Charitable Trusts), des universités, des instituts de recherche, des groupes de pression et leurs diverses filiales et organisations dérivées sont soudainement apparus pour les recevoir. Ces groupes forment aujourd’hui leur propre écosystème. Ils comprennent non seulement les mouvements bien établis tels le Sierra Club ou Greenpeace, mais également Ozone Action, Clean Air Cool Planet, Americans for Equitable Climate Change Solutions, Alternative Energy Resources Association, California Climate Action Registry, etc.
« Tous ont reçu du financement relié aux changements climatiques, et tous doivent donc croire en la réalité du réchauffement climatique (et d’une catastrophe imminente), tout comme un prêtre doit croire dans l’existence de Dieu. Ces organisations s’appuient toutes sur une position corruptrice, c’est-à-dire que l’hypothèse dont dépend leur gagne-pain a en fait été démontrée. Sans cette preuve, tout ce qu’elles représentent – y compris les milliers d’emplois qu’elles fournissent à leurs militants – disparaît. C’est ce qu’on appelle avoir un intérêt direct à ce qu’une position soit celle qui domine, et de tels intérêts sont l’ennemi d’un processus scientifique sain » (fin des extraits adaptés de l’article de Bret Stephens paru dans le WSJ).
D’autre part, un article de ‘France catholique’, livrait il y a un certain temps déjà quelques réflexions assez éclairantes sur la supercherie climalcoolique (extraits) : « La controverse scientifique sur les causes du réchauffement climatique bat son plein. La taxe carbone est-t-elle une nécessité ? Aura-t-elle une influence sur le réchauffement du climat ? Les thèses alarmistes de certains scientifiques sont aujourd’hui mises en question. Au cours d’une série de conférences, un grand scientifique français, toujours en activité, Vincent Courtillot, chercheur au CNRS, président de l’Institut de physique du globe, exprime publiquement des doutes sur les conclusions du GIEC et sur les modèles du réchauffement climatique. Selon lui, et (selon) un certain nombre de scientifiques de différents pays, c’est l’action du soleil combinée avec des variations de l’exposition de la Terre, qui engendrerait des refroidissements ou des réchauffements du climat ».
« Et de donner pour exemple le réchauffement du Moyen âge, à cette époque on a cultivé le blé au Groenland. Il semble en tout cas que depuis 1998 le réchauffement n’augmenterait pas. Quant aux glaces des pôles, les informations les plus contradictoires sont mises en circulation ; il semble cependant à peu près sûr que la température moyenne de l’Antarctique baisse, et que la surface de la banquise de l’arctique augmente depuis deux ans. Les médias dans l’ensemble ont tendance à rouler dans le sens du ‘réchauffement climatique provoqué par l’activité humaine’, sans aucune question, sans aucune nuance ».
De son côté, Benoît XVI a plusieurs fois rappelé quel devrait être le rôle des sommets climatologiques : « Je souhaite que les travaux aident à identifier des actions respectueuses de la création et en faveur d’un développement solidaire, fondé sur la dignité de la personne humaine et orienté vers le bien de tous. La sauvegarde de la création demande l’adoption de styles de vie sobres et responsables. J’invite toutes les personnes de bonne volonté à respecter les lois de Dieu sur la nature et à redécouvrir la dimension morale de la vie humaine ». En clair, Benoît XVI rappelait « l’anthropologie judéo-chrétienne de la personne humaine », autrement dit un concept philosophique plusieurs fois millénaire qui va bien au-delà de la « nature » au sens réducteur où l’entendent les adeptes de « l’écologisme climatologique », cette religion naturaliste accessoirement très portée sur l’argent.
Je note, quant à moi, que le réchauffement climatique de la planète, constitue un formidable détournement des esprits, à l’heure où le réchauffement islamique de la planète prend une allure alarmante notamment (pas seulement) du côté de l’Iran. Avec une double catastrophe écologique sans précédent en perspective : primo, la Shoah radioactive contre les six millions de Juifs qui vivent en Israël voulue par l’Iran ; et secundo, la fin du christianisme en terre d’islam dans le sillage du « printemps arabe ».
Michel Garroté
Rédacteur en chef
Reproduction autorisée avec mention de www.dreuz.info
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“Pour ce qui me concerne, je préfère l’érotisme du Carnaval de Rio et le christianisme aux bras ouverts affiché au sommet de la baie de Rio à l’écologisme du Sommet se tenant ces jours-ci en cette même ville.”
A regarder la photo en illustration, difficile de ne pas être d’accord !
Excellent article.
Quand aux cycles des climats sur terre, les occurrences en sont assez chaotiques pour garder de la distance avec toute cette agitation où les croyances le dispute aux idéologies et/ou au mercantilisme.
J’admirait ce carnaval et le Bresil enfant! meme Line Renault le chantait!… Maintenant, ce n’est qu’un bordel multi-culti d’une extreme violence. Seule une petite minorite de souche europeenne qui dirige les entreprises de pointe mette une dose de civilisation a ce pays qui est une “reference” multi-culti pour les gauchards!
@ alsatien
Oui c’est sûr qu’il y a de la violence, beaucoup de violence à Rio, mais la France n’en est pas exempte. Le Carnaval vaut vraiment le déplacement, Rio est une ville magnifique, le Brésil un pays-continent si contrasté que plusieurs années ne suffiraient pas à épuiser toutes ses beautés et ses parcs nationaux.
Imaginez-vous, quittant l’Eté de Rio, après 12h d’avion, en train regarder tomber la pluie glaciale de février à Roissy II ! Home sweet Home !!!
Et quand on a “une dose” de culture on écrit “j’admirais”.
J’ai toujours pensé que l’orthographe n’était qu’une pure convention. Je ne vois donc pas de culture avec ou sans guillemet même si l’étude des mots peut nous faire rêver. (Texte corrigé par http://pro.bonpatron.com/ ) 😉
L’othographe, une pure convention ? Et dire bonjour, s’il vous plaît, merci et au revoir, est-ce que ce n’est qu’une pure convention, aussi ? Et ne pas parler la bouche pleine ? La politesse, par exemple, ne suppose-t-elle pas des conventions ? Ne repose-t-elle pas essentiellement sur des conventions ? Peut-on faire bon marché de tout cela, sous prétexte que ce ne seraient que de pures conventions ?
Michel Garroté
– Vincent Courtillot est un spécialiste du paléomagnétisme et de la tectonique des plaques, pas du climat. Lorsqu’il s’aventure sur ce domaine, il entre dans une spécialité qui n’est pas la sienne… et il y commet de grosses bourdes. Comme par exemple :
– 1. De comparer l’effet climatique d’une variation de flux solaire avec celui de l’élévation de la teneur en CO2 de l’air due aux émissions humaines et de le faire en utilisant directement la variation de la constante solaire, c’est-à-dire l’énergie captée au sommet de l’atmosphère aux latitudes tropicales, sans la diviser par six pour tenir compte de la sphéricité de la Terre et de son albédo (= rayonnement).
– 2. De présenter plusieurs courbes parallèles censées appuyer sa démonstration. Mais :
– Sa courbe des températures s’arrête inexplicablement à 1992, et “oublie” (opportunément…) les chiffres des années ultérieures, qui, précisément, font apparaître des accroissements !
– Cette courbe concerne uniquement la saison de croissance végétale, sur les continents seulement, et limitée au 20° parallèle nord.
– Sa courbe de l’éclairement solaire ne démarre que depuis 1952, alors que les autres courbes démarrent au début du 20e siècle, et ce bien que les données disponibles pour cette courbe d’éclairement solaire existent depuis 150 ans.
– Son explication (pour cette faute) consiste à se référer à un article de Tobiska, qui, elle ne concerne pas l’éclairement solaire, mais seulement sa composante ultraviolette, beaucoup plus variable que la lumière visible.
– Etc., etc.
– J’ai encore, à votre disposition, d’autres données concernant toutes les “études” (avec beaucoup de guillemets) de M. Vincent Courtillot, attestant de ses bévues, erreurs, manipulations et mauvaise foi…
Vous avez raison, évidemment, voici un site à connaître (vous le connaissez sans doute), j’en ai déjà parler sur Dreuz. Le fondateur du site est un scientifique:
Jacques Duran, DR1, Directeur de Recherche de première classe du CNRS en retraite depuis 2004, ancien Directeur des Etudes (1996-2003, maintenant Honoraire) de l’Ecole Supérieure de Physique et Chimie de Paris (ESPCI), auprès de Pierre-Gilles de Gennes, et ancien Vice-Président, Chargé de la Recherche, de l’Université Pierre et Marie Curie (1986-1992).
http://www.pensee-unique.fr/
ATB
La plupart des internautes ayant un minimum de culture scientifique savent par des sites très bien informés (merci internet, voir http://www.pensee-unique.fr)ce que les journaleux incultes et manipulés, tout particulièrement les français ignorent, a savoir un fait capital et incontestable:
LE PRETENDU RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE à l’échelon global S’EST BRUSQUEMENT ARRETE EN 1998, tandis que le taux de CO2 de l’atmosphère continuait, lui à grimper allègrement.
Toutes les études menées depuis donnent des années plus froides, à des degrés divers que le pic de l’année 1998.
Cela fait donc bientôt 14 ans que ça dure et les grands prêtres du réchauffement anthropique sont de plus en plus embarrassés de voir le dogme fondateur de leur religion partir en biberine et inventent toutes sortes de théories alambiquées pour étayer leur vérité en grand péril.
Des climatologues de haut niveau en sont même à nous prédire un refroidissement probable de type Dalton (début 19e siècle) d’ici une quinzaine d’années pendant que d’autres envisagent le pire, un Maunder (Petit Age glaciaire fin 17e s.)d’ici un demi siècle.
N’écoutez plus les média qui nous mentent: L’Apocalypse climatique n’est pas pour demain, les phénomènes extrêmes (tornades, inondations, cyclones, sécheresses)ont toujours existé et le niveau des mers ne va pas monter de 100 mètres d’ici 21OO, ni même de 10 m, et probablement même pas de 50 cm.
Je suis bien d’accord avec votre commentaire.
Voici, pour ceux qui veulent s’informer, une petite synthèse très simple sur la problématique climatique et le GIEC (en 2 étapes)
http://www.rechauffementmediatique.org/wordpress/2010/12/08/problematique-climatique-par-jean-pierre-bardinet/
http://www.rechauffementmediatique.org/wordpress/2012/01/12/pourquoi-le-giec-n%e2%80%99est-pas-credible/#more-6171
Kenavo
Jack
– Il semble vous avoir échappé que les “explications” (ou pseudo-explications) des sieurs Courtillot et Allègre – pour ne prendre qu’eux – qui prétendent nier le réchauffement climatique, et, surtout, l’action anthropique sur cette dégradation, ont été réduites en petits morceaux. Et plusieurs fois plutôt qu’une.
– Voyez en particulier ce que j’en dis dans mon message d’hier (et qui n’est qu’un échantillon). Ils vous a aussi sans doute échappé que quelques-uns des grands pétroliers (ou des charbonniers) distribuaient des sommes considérables à des instituts de tout acabit pour “prouver” qu’il n’existe pas d’incidence humaine sur le climat.
– Par exemple, dans les seules années 2000 à 2003, le seul ExxonMobil a versé 960 000 $ à l’American Enterprise Institute, 160 000 $ au National Center for Public Policy Research, etc. Sans compter les autres pétroliers et charbonniers, par exemple australiens. Et sans compter les dégâts gigantesques causés à l’environnement, par exemple pour l’exploitation des sables bitumineux de l’Alberta.
L’argument présentant les climatosceptiques comme des agents payés par de grands groupes pétroliers est plus que faible, vu le nombre croissant de défections parmi les tenants du réchauffement par le CO2. En tout cas moi-même, je n’ai rien reçu de qui que ce soit, cela doit être un regrettable oubli. Si vous pouvez faire qqchose…
Les 4 courbes superposées des températures à l’échelon global par Hadcrut, Gistemp, UAH et RSS, vous ne pouvez pas les écarter d’un revers de main et elles parlent même aux imbéciles dans mon genre:
La température du globe a connu un pic en 1998 et s’est stabilisée depuis en dessous de ce pic.
Cessez de fantasmer sur Courtillot ou Allègre et allez faire un tour chez Duran (http://www.pensee-unique.fr) Vous en reviendrez convaincu que le réchauffement tel qu’il nous est présenté par le GIEC ne tient plus que par les média si prompts à confondre milliards et millions(d’€, de km, d’années lumière, que sais-je encore?) et ont la prétention de nous dire la température du globe dans un siècle au 1/10e de degré, alors qu’ils sont INCAPABLES de nous donner la météo à 8 jours.
Jack
– La prévision à 8 jours et à un siècle relèvent de deux démarches complètement séparées. Les échelles ne sont pas du tout les mêmes. Ce que vous dites est aussi absurde que de dire que les astronomes (qui regardent en l’air, comme les météorologues) sont incapables de prévoir le temps…
– Les “défections” dont vous parlez n’existent que dans votre esprit. En revanche, les paiements par les pétroliers, eux, sont bien réels. J’ai évoqué Courtillot parce que Michel Garroté en parle comme d’un phénix, alors que ce n’est qu’un manipulateur. Comme Allègre, dont Guy Millière dit le plus grans bien.
– Ce qui est curieux, d’ailleurs, c’est que tous les opposants à l’origine anthropique du réchauffement du climat sont aussi, par ailleurs, tous des partisans forcenés des grandes entreprises, de l’industrialisation à outrance, et qui voient bien les milliards que leur ferait perdre la mise sous muselière de leurs activités.
– Enfin, contrairement à ce que d’aucuns imaginent, un relèvement de 50 cm du niveau des océans serait catastrophique, en ce que certains Etats, très souvent situés dans le tiers monde, affleurent à peine au-dessus de la mer (comme le Bengladesh). Et, pour eux, 50 cm, c’est considérable, ne serait-ce que par la catastrophe induite par Mais il est vrai que ce sont des pays pauvres. L’Australie (pays le plus pollueur du monde par tête d’habitant) ne vient-elle pas de refuser d’accueillir sur son sol les habitants des micro-Etats du Pacifique menacés par la montée des eaux ?
– Vous en pensez quoi, vous, de ce comportement ? Vous seriez un habitant d’un de ces micro-Etats, vous le verriez comment ?
SVP, un petit peu plus de modestie, et allez visiter http://www.pensée-unique.fr
Apparemment nombreux sont ceux de ce topic qui l’on fait, pas vous.
Un peu d’humour dans cet océan de bêtise climatique, mondial et tout particulièrement européen…
Comme vous le savez, un redoutable virus, delirium carbonum, a frappé les neurones d’un impressionnant nombre de personnes (en respectant toutefois la parité H-F), tout particulièrement à l’ONU, l’UNEP, l’OMM, l’UE, ainsi que les politiques, les médias et les écologistes radicaux. Seuls de plus en plus de petits gaulois (et des belges, des suisses et des canadiens, …) teigneux, gavés de potion magique, résistent encore et toujours à ce virus envahisseur.
Ce virus génère des bouffées délirantes, dont la plus symptomatique est le mythe de la Planète Mère (Terra Mater) qu’il faut sauver des méchants humains (“Sauvons la Planète”).
D’autres graves symptômes ont été relevés : la conviction que le terrifiant CO2 anthropique a une action réchauffante non maîtrisable et que nous allons tous griller ou nous noyer sous l’eau des océans qui auront tout submergé (l’enchaînement de ces effets est encore en discussion dans les cénacles GIECquiens)- la croyance aveugle dans les projections des modèles numériques du GIEC – la confiance totale accordée à cette étrange structure politico-scientifique (plus politique que scientifique) qu’est le GIEC – la totale perte de sens critique, qui fait croire que des hypothèses, répétées sans cesse par une propagande lyssenkiste, deviennent, comme par magie, des vérités gravées dans le marbre – les accusations de négationnisme pour les impies qui osent soulever des objections, fussent-elles pertinentes – le refus de prendre en compte les données d’observation qui ne sont pas conformes aux prévisions des modèles numérique (non mais alors, cette Nature, de quel droit ne se rallie-t-elle pas à nos modèles qui sont par essence parfaits? Il va falloir la mettre au pas!….)
Ce virus fait fleurir, comme pâquerettes au printemps, une nuée de normes et de règlements contraignants, génère l’apologie et le développement d’un Renouvelable pourtant fort onéreux et intermittent (donc, selon la loi de Murphy, en plein match de rugby, au moment le plus palpitant, les caprices du vent vont couper notre alimentation en énergie électrique?), tout cela aux frais du contribuable qui en subit, résigné, les conséquences pécuniaires.
Il serait temps que soit enfin lancée une vaste campagne mondiale pour traiter et supprimer cette redoutable pandémie! La source du virus, le GIEC, devrait être définitivement supprimée, et les géniteurs du GIEC, à savoir l’ONU, l’UNEP et l’OMM, devraient faire l’objet d’audits sévères afin de leur rendre, après mise à l’écart des Grand-Prêtres du Dogme du RCA (Réchauffement Climatique Anthropique), désintoxication et débureaucratisation, une virginité au-dessus de tout soupçon…
Addendum: la loi de Murphy fonctionne aussi pour le hockey, le football, le tennis, et même (God save the Queen..) le cricket, sport incompréhensible pour les continentaux, et le base-ball (tout aussi incompréhensible pour les européens…)….
Tout à fait d’accord avec vous.
Lisez ma réponse à AZ ci dessus pour vous en convaincre.
Voici les principales conclusions de la publication faite par deux physiciens allemands, Gerlich et Tscheuschner : « Falsification Of The Atmospheric CO2 Greenhouse Effects », parue dans la revue à comité de lecture « International Journal Of Modern Physics »
1. Le concept de forçage radiatif n’est issu d’aucune source (publications antérieures à l’AR4 dans des revues à comité de lecture). Il a donc été “inventé” par la petite équipe du CRU d’East Anglia (Jones, Mann, Trenberth, …)
2. Il n’y a aucune loi physique commune entre le processus de réchauffement dans une serre et l’effet de serre atmosphérique fictif, qui expliquerait les phénomènes physiques. Les termes de « effet de serre » et « gaz à effet de serre » sont délibérément inappropriés. Le processus de réchauffement dans une serre se fait essentiellement par convection, et non pas par radiation IR (cf expérience de Wood)
3. Le GIEC confond chaleur et énergie
4. Le bilan radiatif vectoriel unidimensionnel du GIEC n’a aucune signification : les flux de chaleur ne peuvent être représentés par des vecteurs de Poynting, que l’on additionne et soustrait.
6. Le GIEC utilise abusivement la loi de Stefan Planck en T^4 (S(T)=σT^4) pour les gaz, qui ne sont ni des corps noirs, ni des corps gris
7. Il n’existe pas de calculs pour déterminer la température de surface d’une planète :
Avec ou sans atmosphère
Avec ou sans rotation
Avec ou sans gaz capables d’absorber l’infra-rouge
La différence souvent citée de 33°C due à l’effet de serre imaginaire dans l’atmosphère est donc une valeur sans signification (G et T ont fait le calcul pour une Terre hypothétique en orbite circulaire, à axe de rotation perpendiculaire au plan de l’écliptique, sans saisons, sans alternance jour-nuit, …. Résultat : -129°C)
8. Tout équilibre radiatif pour le flux rayonnant moyen n’est absolument pas pertinent pour déterminer les températures de l’air au niveau du sol, ni pour déterminer la température moyenne.
9. Les valeurs de température moyenne ne peuvent être calculées avec la loi de Stefan-Boltzmann utilisée avec la racine quatrième (donc à l’envers) des valeurs moyennes de la température à la puissance 4.
S(T)=σT^4
Le GIEC calcule en premier l’irradiance moyenne S(T), puis il en déduit la température moyenne :
T=racine quatrième((S(T))/σ)
Or, ce n’est pas l’irradiance qui crée la température, mais chaque température locale qui génère une irradiance locale. Il faudrait donc calculer chaque irradiance locale créée par la température locale et faire l’intégration sur toute la surface terrestre (éclairée par le flux solaire)
10. Les flux de radiation et de chaleur ne déterminent pas les distributions de température, ni leurs valeurs moyennes.
11. Ré-émission n’est pas réflexion et ne peut en aucun cas réchauffer l’air au niveau du sol à l’encontre du véritable flux de chaleur sans travail mécanique (seconde loi de la thermodynamique).
12. Les montées de température prévues par les calculs des modèles numériques sont rendues possibles par un mouvement perpétuel de seconde espèce. Ceci est rendu possible en fixant à zéro la conductivité thermique de l’atmosphère, ce qui est une hypothèse physiquement absurde. Ce ne pourrait être plus longtemps un mouvement perpétuel de seconde espèce si le fictif bilan radiatif, qui n’a aucune justification physique, était abandonné.
Q =-C.(gradT)
(C est la conductivité thermique de l’atmosphère, C et gradT sont des vecteurs). Cette équation reflète le second principe, qui veut que la chaleur aille toujours du chaud vers le froid. Dans l’atmosphère réelle, C n’est pas nul. Or, dans les modèles, le GIEC a fait C=0 ce qui veut dire que le GIEC décide que la conductivité thermique de l’air autour d’une molécule de CO2 est nulle.
Bref, cela fait beaucoup d’erreurs graves, toutes orientées dans le même sens, de la part du GIEC.
Halpern et al ont publié des commentaires sur la publication de G et T. Ces commentaires ont été réfutés point par point par G et T, et depuis plus rien de la part des affidés du GIEC.
Voilà ce que dit Rahmstorf (grand gourou allemand du RCA et conseiller d’Angela)
“Some `sceptics’ state that the greenhouse effect cannot work since (according to the second law of thermodynamics) no radiative energy can be transferred from a colder body (the atmosphere) to a warmer one (the surface). However, the second law is not violated by the greenhouse effect, of course, since, during the radiative exchange, in both directions the net energy flows from the warmth to the cold.”
Réponse de Gerlich et Tscheuschner
“Rahmstorf’s reference to the second law of thermodynamics is plainly wrong. The second law is a statement about heat, not about energy. Furthermore the author introduces an obscure notion of “net energy flow”. The relevant quantity is the “net heat flow”, which, of course, is the sum of the upward and the downward heat flow within a fixed system, here the atmospheric system. It is inadmissible to apply the second law for the upward and downward heat separately redefining the thermodynamic system on the fly”
Evidemment, la publication de G et T est de la dynamite pour le GIEC, et ce dernier a donc tout fait pour la masquer(avec succès pour les médias et les politiques) et la réfuter (sans succès), en envoyant au feu Halpern et al, soutenus par Rahmstorf, ou en dévalorisant Gerlich (attaques ad hominem, classiques chez les réchauffistes). Or, les travaux de G et T sont soutenus par d’autres éminents scientifiques, qui ont fait des publications dont les conclusions sont identiques à celle de G et T : Robert Pielke Sr.Lucia Liljegren, V.R. Gray, Kramm et Dlugi, ….
Ca calme !
Je vous mets en prime le lien sur la publication de G et T et sur leur réponse aux commentaires de Halpern et al.
http://arxiv.org/pdf/0707.1161.pdf
http://www.skyfall.fr/wp-content/gerlich-reply-to-halpern.pdf
“à l’heure où le réchauffement islamique de la planète prend une allure alarmante notamment (pas seulement) du côté de l’Iran. Avec une double catastrophe écologique sans précédent en perspective : primo, la Shoah radioactive contre les six millions de Juifs qui vivent en Israël voulue par l’Iran ; et secundo, la fin du christianisme en terre d’islam dans le sillage du « printemps arabe”
et puisque on parle écologie, vous pouvez rajouter en 3 la façon islamique de s’ en préoccuper :
http://www.postedeveille.ca/2012/05/usa-le-magazine-d-al-qaida-encourage-le-declenchement-de-feux-de-foret.html
“(…) tous doivent donc croire en la réalité du réchauffement climatique (…) comme un prêtre doit croire dans l’existence de Dieu.
(…) des doutes sur (…) les modèles du réchauffement climatique.
(…) c’est l’action du soleil combinée avec des variations de l’exposition de la Terre, qui engendrerait des refroidissements ou des réchauffements du climat (…)”
C’est bien ce que j’écrivais : le réchauffement est un mythe, il n’est pas aussi important qu’on le dit, et ses causes ne sont pas humaines.
Je ne t’ai jamais emprunté, ce chaudron, je te l’ai rendu, et il était déjà percé au départ.
“Je note (…) que le réchauffement climatique de la planète, constitue un formidable détournement des esprits, à l’heure où le réchauffement islamique de la planète (…)”
Comme je l’écrivais aussi, le vrai danger est ici, puisque le vrai danger est ailleurs.
Les Humains n’ont rien trouvé de plus efficace que la religion pour expliquer l’inexplicable aussi nous voilà cobayes de la première religion synthétique et scientifique appelé à remplacer les écrits révélés ou pas de nos bonnes vieilles religions. La Sainte Paix nous sera assurée par notre bonne vieille planète et son soleil pour un bon 4 milliards d’années…