Publié par Jean-Patrick Grumberg le 30 juin 2012

Jeudi 28 juin, la mairie de Tel Aviv a organisé sa 10e nuit blanche, un peu équivalente à la fête de la musique, et nommée ainsi depuis que l’Unesco a baptisé la ville côtière israélienne “ville blanche” et l’a inscrite au patrimoine de l’humanité pour son architecture Bauhaus.

Des groupes jouaient leur musique ou interprétait des classiques, chacun à quelques dizaines de mètres l’un de l’autre pour ne pas se gêner. On passait ainsi du Jazz, à la harpe, et du blues au rock ‘n roll, en faisant des pauses pour admirer les spectacles de rue.

Ici, sur l’esplanade du théâtre Mann, une école de danse présente un spectacle de chorégraphie :

Deux percussionnistes ont intégré des éclairages dans leur batterie. Spectacle son et lumière :

Un peu plus loin, des étudiants ont fabriqué ce robot, qui a émerveillé les enfants (et moi aussi) :

Sur la place de la mairie était organisée une “headphone party”, silencieuse pour le voisinage et les visiteurs : la musique était diffusée en wifi dans des casques sans fil que l’on pouvait se procurer gratuitement à des stands de la compagnie téléphonique Bezeq :

L’AFP ne manquait pas à la fête.

La présence de la chaîne de news s’explique du fait que les gauchistes “indignés” qui avaient démarré la protestation des tentes l’été dernier, et qui ont cassé la vitrine d’une banque, il y a quelques jours à Tel Aviv, avaient promis de transformer cette nuit festive où les familles avec enfants et poussettes croisaient des groupes de jeunes dans la bonne humeur, en une “nuit noire”.

Les faux journalistes/ vrais activistes de l’AFP, toujours prêts à souiller Israël, étaient là pour traquer en direct les “débordements” de la police, et montrer les violences du régime “policier” israélien. Ils restèrent sur leur faim, car les excités d’extrême gauche n’ont pas réussi à mettre leur macabre dessein à exécution. Leurs actes de violence des nuits précédentes avaient été dénoncé par les organisations étudiantes, qui se sont désolidarisés de ces groupes violents, menés et financés en sous main par Georges Soros, et dont le leader, l’hystérique Dafni Leef, avait dégoûté les jeunes israéliens en révélant sa haine d’Israël, l’an dernier, lorsqu’elle refusa de tenir un drapeau israélien.

Dafni Leef, hystérique, tente d’inventer une révolution

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© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

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