Je l’ai déjà écrit : je n’ai rien humainement contre François Hollande.
Je pense que c’est un homme faible qui choisit pour compagnes des femmes fortes, comme, souvent, les hommes faibles.
Je pense que c’est un homme qui délègue et qui laisse aisément d’autres décider.
Je pense aussi qu’il a quelques convictions : il admire François Mitterrand, qui a précipité la France sur le chemin du naufrage et qui mentait dès qu’il remuait les lèvres et même, parfois, quand il ne les remuait pas. Il est socialiste, et il serait dangereux de croire qu’il ne l’est pas.
Il ne gouverne pas encore, et Ayrault et son gouvernement sont là pour la période qui mène aux législatives. Il n’a encore pris que fort peu de décisions, mais les décisions qu’il a prises sont très significatives. D’autres décisions suivront.
Donc. Des postes de fonctionnaires supplémentaires seront créés dès l’automne prochain, ce qui va accroître le poids d’une fonction publique déjà pléthorique.
Donc. Des aides supplémentaires vont être allouées pour la rentré scolaire. Ce qui constitue un surcroît de dépenses dans un contexte où les déficits publics sont déjà immenses.
Donc. Aucune mesure de diminution du poids de l’Etat n’est envisagée ou évoquée. La baisse des salaires des ministres et du Président sont des gestes minimalistes sans portée financière.
Donc. François Hollande parle toujours de croissance à relancer, et semble croire que la croissance peut venir de décisions gouvernementales et est quelque chose qui se décrète.
Il imagine même qu’apparemment, alourdir les impôts des entreprises, ce qui sera décidé dès l’été prochain, est une mesure qui va contribuer à favoriser les investissements. Ce qui est une vision singulière des choses.
Il imagine aussi qu’augmenter le SMIC va créer des emplois, que coupler un jeune employé et un employé plus vieux en versant de l’argent tiré des impôts à l’entreprise où travaillera le couple et que rétablir la retraite à soixante ans va susciter du dynamisme. Ce qui est tout simplement ridicule, économiquement parlant.
Donc. François Hollande a pris la tête d’une fronde anti Merkel et anti allemande, s’est placé en chef de file des pays d’Europe au bord de la banqueroute, et entend tenter d’obtenir une mutualisation des dettes faisant que l’Allemagne paie les dépenses vaines et les échecs de gestion des autres.
Donc. François Hollande va échouer dans sa tentative, et se voir traité par les dirigeants allemands et ceux du Nord de l’Europe comme un crétin arrogant qui n’a pas les moyens de son arrogance. C’est, en sous jacence, le message délivré voici peu par la Commission européenne, consciente que le navire sur lequel elle est juchée est en train de couler, et que Hollande risque d’accélérer le naufrage.
Donc, François Hollande va favoriser les familles gay, avec deux papas, deux mamans, trois tantes et, en option, les pédales de la bicyclette écologique et, pour faire bonne mesure, va favoriser aussi l’euthanasie. Il a même trouvé le remède à la prolifération des zones de non droit : demander aux policiers des remplir des formulaires à remettre à chaque contrôle d’identité. Si les délinquants ne tremblent pas face à cette idée, c’est qu’ils ne trembleront jamais.
Donc. François Hollande s’entend bien avec Barack Obama, ce qui n’est pas étonnant, puisque Barack Obama fait ce qu’il peut pour être socialiste aux Etats-Unis, où c’est bien plus difficile qu’en France. Barack Obama se sent plus proche des pays au bord de la banqueroute et comprend qu’Hollande se fasse leur chef de file. Il a conduit lui-même les Etats-Unis au bord de la banqueroute. Il comprend qu’Hollande veuille que l’Allemagne paie les dépenses vaines et les échecs de gestion des autres : lui, il fait payer ses propres dépenses vaines et ses erreurs de gestion par la Chine, qui s’assure ainsi une emprise sur les Etats-Unis.
Donc. François Hollande partage les visions de politique étrangère de Barack Obama. Ce qui n’est pas étonnant non plus. Il voit la suite des opérations en Afghanistan comme une défaite occidental, comme Barack Obama, et entend coopérer au retour au pouvoir des talibans, comme Barack Obama. Il veut, comme Barack Obama, une solution diplomatique à la nucléarisation de l’Iran et sait, comme Barack Obama, que la solution diplomatique n’existe pas. Il approuve que la Russie soit l’intermédiaire majeur des négociations avec l’Iran, comme l’a décidé Barack Obama. Il est prêt à une intervention militaire en Syrie, comme Barack Obama, à condition que celle-ci soit décidée par l’Onu, et, comme la Chine et la Russie bloqueront toute décision, il n’y aura donc aucune intervention. Ce qui est la politique de Barack Obama.
Donc. François Hollande fait comme s’il tenait tête à Vladimir Poutine, et Vladimir Poutine passe son chemin, en sachant bien que les décisions importantes se prennent à Washington et à Berlin, et que dès lors que Washington et Berlin ne décideront rien, Hollande se contente de prendre une pose aussi consistant qu’un morceau de carton abandonné sous la pluie.
François Hollande fait semblant de croire qu’il dirige un pays qui a encore de l’importance. Il le dit et le répète. Il est des Français qui croient François Hollande lorsqu’il fait semblant de croire.
François Hollande se présente comme un Président normal. Il prend le train, comme Paul Deschanel en son temps. Il incarne une forme de provincialisme effacé qui semble correspondre à ce que nombre de Français souhaitent.
C’est un Président qui incarne un déclin français dans une Europe qui s’efface et sombre.
C’est un Président qui parle comme on parlait il y a trente ans, voire plus tôt encore, et qui a le charme désuet et sclérotique d’un disque 78 tours.
C’est un Président pour un peuple qui regarde l’avenir dans un rétroviseur pour ne pas voir le mur contre lequel il va se fracasser.
C’est un Président éteint qui correspond à un pays qui s’éteint.
C’est l’incarnation d’un épuisement, d’un renoncement à être.
Décevra-t-il ? Je n’en suis pas même certain.
Y aura-t-il un après Hollande ? J’aimerais m’en persuader.
La France vieillit. Elle perd son capital humain. Rebâtir impliquerait une vigueur que je ne vois pas autour de moi.
J’espère me tromper, bien sûr. J’espère de toutes les forces me tromper.
La France aujourd’hui ne s’est pas relevée des années Mitterrand. Elle vient de porter au pouvoir un disciple de Mitterrand. Il y a là une forme de constance crépusculaire.
Et dès lors que l’Europe est elle-même sur la voie du crépuscule…
Reproduction autorisée et vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Guy Millière pour www.Dreuz.info
Et si on se trompais sur le fond
A voir les gesticulations stériles de crème brulée depuis son élection surprise, puis la nomination de ce tombereau de bras cassés aussi incompétants qu’incultes, il me vient à l’idée que devant l’incapacité pour flamby de tenir ses promesses débiles, il ne lui reste qu’un espoir pour continuer à etre au pouvoir le plus longtemps possible et continuer à partager tranquilement son caviar avec ses « amis » , faire assez de conneries pour ne pas avoir la majorité et pouvoir mettre sur le dos de la cohabitation tous ses échecs de toutes façons inévitables et catastrophiques. Il est malin le coquin !
Parce que vous croyez que la droite n’y a pas pensé ??? Il n’est absolument d’aucun intérêt à la droite de remporter les législatives, mais alors, aucun !
bonjour; la FRANCE est cuite et va disparitre exactement comme l Agerie Française a disparu! comme tous les pays envahis par l islam acec la complicite des socialistes ,ddes cmmunistes, et du front d extreme gauche !seuls ceux qui pourraient eventuellementla sauver sontceux qui sont prets a mourir pour ELLE!
Et voilà, en une seule phrase comment vous avez résumé la mentalité française :
-« seuls ceux qui pourraient eventuellementla sauver sontceux qui sont prets a mourir pour ELLE! »
Non, monsieur, comme le disait le Général Patton, je cite de mémoire, ce n’est pas en mourrant pour sa patrie que l’on gagnera la guerre, mais en tuant le type d’en face !!!
Put1, on est mal…
Je ne pensais pas le dire un jour, mais on est vraiment mal.
Il n’y a qu’à voir ce qu’il a fait dans son petit laboratoire corrézien et extrapoler à la France :
–>
http://www.youtube.com/watch?v=d6mVlfbc7uI
tres beau commentaire rien a rajouter rien a enlever. c’est exactement ce que je pense, bravo guy milliere
+1 !!!
Ah, j’en ai encore mal au ventre de rire! Le sujet est hyper grave mais c’est aussi bien de le traiter par la dérision. En effet, je partage à 100% votre vision : la situation française est franchement absurde. Le peu, que ce gouvernement a fait laisse pantois et on se demande sur quelle planète il vit. Quant à notre président il ressemble à un clown lorsqu’il est à l’étranger. La comparaison avec Paul Deschanel est juste j’y ajouterais un peu d’Albert Lebrun.
C’est vrai que rien de tout cela ne rend optimiste. La France est un pays perdu car son peuple est drogué d’assistance. Comme toute drogue « ça fait du bien » mais on y perd toute sa volonté et sa personnalité. Triste.
Et c’est pas fini ! Peut-être finira-t-il comme le Président FAURE (voir sur WIKIPEDIA).
Il est des moments comme ça où l’on se prend à regretter que la peine de mort n’existe plus, même pour crime envers son peuple…
En effet, Hollande est entrain de retourner les chaises sur les tables du bistrot France ; ça sent la fermeture.
Mais il y encore de la lumière. Sur la façade on refait l’enseigne en plus grand, en rose et rouge. Le mot « bistrot » est remplacé par « café », pour raison de compatibilité hallal.
Bistrot est un mot russe qui date de 1814 quand les russes criaient Bistro (vite) après avoir passé commande. C’est que ça donne soif le voyage Moscou-Paris.
Vive Hollande alors ! s’il pouvait démanteler l’arme nucléaire en plus çà serait pas mal.
Quand la France était porteuse de valeurs on pouvait encore pleurer quand un vieillard voulait la rendre en un paisible jardin à blés pour boches mais quand on me parle de frankestine se transformant doucement en un Brésil des années 90 alors là champagne !
Le seul problème est que la France a raison contre Merkel et c’est Sarok-merkel qui risquaient vraiment de tuer l’Europe.
Tout le monde le sait, en crise, il faut tout faire sauf des économies….. en crise tu effaces les ardoises, c’est tout.
=>Mais les vieux majoritaires désormais veulent que leurs propres enfants LES REMBOURSENT sur la vie qu’ils ont mené à crédit depuis 30 ans, çà n’est pas possible voyons.
un président et des ministres qui se déclinent sur un pays en déclin. Pauvres descendants !
pourquoi considérez-vous que les Etats-Unis ont été ruinées par Obama ?
L’ère Bush n’a rien de reluisant sur le plan économique étant donné que la dette américaine a augmenté de plus de 55% entre 2001 et 2007. La crise des subprimes, quant à elle, a explosé en 2007, c’est-à-dire sous l’ère Bush. Le taux d’endettement des américains a lui aussi explosé sous Bush. La guerre en Irak et en Afghanistan (légitime ou pas, c’est une autre question) a coûté et continue à coûter particulièrement chère n’est-ce pas?
Je précise, je n’ai absolument aucune idée sur le bilan économique de l’ère Obama et je me doute qu’il n’est pas reluisant non plus mais son prédécesseur a tout sauf un bilan positif sur le plan économique non ?
Vous faites erreur, nous avons maintes et maintes fois publié le tableau de l’augmentation de la dette des différents présidents qui montre que la dette d’Obama dépasse celle de tous les présidents qui l’ont précédé.
En regardant un peu à droite et à gauche, je découvre ces chiffres et ce détail sur wiki (pas forcément la référence absolue mais les chiffres sont facilement vérifiables) :
2000 : 5674 milliards soit 57,3 % du PIB
2001 : 5807 milliards soit 56,4 % du PIB
…
2007 : 9008 milliards soit 64,4 % du PIB
2008 : 10025 milliards soit 69,4 % du PIB
Puis
(prise de fonction d’obama en janvier 2009)
2009 : 11909 milliards soit 85,6 % du PIB
2010 : 13561 milliards soit 92,9 % du PIB
2011 : 15033 milliards soit 99,6 % du PIB
et une dette qui représenterait en 2012 107 % du PIB (si j’en crois le figaro). 107% …
Certes, ça explose encore plus sous Obama et je découvre des chiffres plus qu’inquiétants mais la dette n’a fait qu’augmenter sous Bush et il me semble correct de dire que l’héritage laissé n’a pas forcément aidé Obama. Quand Sarkozy arrive au pouvoir, la dette et l’héritage des prédécesseurs est tout sauf un cadeau, surtout pour affronter une crise (trois crises), argument qui est également valable pour Obama.
4 mois avant la prise de fonction d’Obama, Lehman brothers fait faillite et de nombreuses banques américaines sont dans un état catastrophique, il me semble que c’est un indicateur fort sur l’Etat de santé de l’économie américaine.
Ceci étant dit, ça ne contredit pas le fait qu’Obama est le président qui a le plus endetté les Etats-Unis (les chiffres le montrent, c’est incontestable) mais quel serait aujourd’hui le résultat de Bush et quel part de dette américaine est liée aux différentes crises qui se sont succédées depuis 2007 ?
« Selon les calculs de M. Sterdyniak, la dette publique (c’est-à-dire de l’Etat, des collectivités locales et de la Sécurité sociale), aura augmenté de 620 milliards d’euros de fin 2006 à fin 2012, dont 275 proviennent des seuls intérêts versés et 310 de la crise économique ». si ces chiffres sont valables, qu’en est-il pour les E-U ? (ce qui ne signifie pas qu’Obama a pris de bonnes décisions bien entendu)
Non, le président G.W. Bush n’a pas ruiné l’économie américaiune, ni l’économie mondiale, même avec la Libération de l’Irak. Je viens avec des faits vérifiables. Si vous lisez l’anglais, réinformez-vous, car curieusement ceci n’a pas été repris dans votre presse à torchons subsidiés. Mais « tout ceci ne prouve rien », évidemment. Ben, les torchons français ne l’ont pas repris, donc cela ne peut être vrai. Désolé pour la longueur, mais tout y est.
Just the Facts: The Bush Administration’s Unheeded Warnings About the Systemic Risk Posed by the GSEs (Government-Spnsored Enterprises)
For many years President Bush and his Administration have not only warned of the systemic consequences of financial turmoil at a housing government-sponsored enterprise (GSE) but also put forward thoughtful plans to reduce the risk that either Fannie Mae or Freddie Mac would encounter such difficulties. President Bush publicly called for GSE reform 17 times in 2008 alone before Congress acted. Unfortunately, these warnings went unheeded, as the President’s repeated attempts to reform the supervision of these entities were thwarted by the legislative maneuvering of those who emphatically denied there were problems.
2001
April: The Administration’s FY02 budget declares that the size of Fannie Mae and Freddie Mac is « a potential problem, » because « financial trouble of a large GSE could cause strong repercussions in financial markets, affecting Federally insured entities and economic activity. »
2002
May: The President calls for the disclosure and corporate governance principles contained in his 10-point plan for corporate responsibility to apply to Fannie Mae and Freddie Mac. (OMB Prompt Letter to OFHEO, 5/29/02)
2003
January: Freddie Mac announces it has to restate financial results for the previous three years.
February: The Office of Federal Housing Enterprise Oversight (OFHEO) releases a report explaining that « although investors perceive an implicit Federal guarantee of [GSE] obligations, » « the government has provided no explicit legal backing for them. » As a consequence, unexpected problems at a GSE could immediately spread into financial sectors beyond the housing market. (« Systemic Risk: Fannie Mae, Freddie Mac and the Role of OFHEO, » OFHEO Report, 2/4/03)
September: Fannie Mae discloses SEC investigation and acknowledges OFHEO’s review found earnings manipulations.
September: Treasury Secretary John Snow testifies before the House Financial Services Committee to recommend that Congress enact « legislation to create a new Federal agency to regulate and supervise the financial activities of our housing-related government sponsored enterprises » and set prudent and appropriate minimum capital adequacy requirements.
October: Fannie Mae discloses $1.2 billion accounting error.
November: Council of the Economic Advisers (CEA) Chairman Greg Mankiw explains that any « legislation to reform GSE regulation should empower the new regulator with sufficient strength and credibility to reduce systemic risk. » To reduce the potential for systemic instability, the regulator would have « broad authority to set both risk-based and minimum capital standards » and « receivership powers necessary to wind down the affairs of a troubled GSE. » (N. Gregory Mankiw, Remarks At The Conference Of State Bank Supervisors State Banking Summit And Leadership, 11/6/03)
2004
February: The President’s FY05 Budget again highlights the risk posed by the explosive growth of the GSEs and their low levels of required capital, and called for creation of a new, world-class regulator: « The Administration has determined that the safety and soundness regulators of the housing GSEs lack sufficient power and stature to meet their responsibilities, and therefore…should be replaced with a new strengthened regulator. » (2005 Budget Analytic Perspectives, pg. 83)
February: CEA Chairman Mankiw cautions Congress to « not take [the financial market’s] strength for granted. » Again, the call from the Administration was to reduce this risk by « ensuring that the housing GSEs are overseen by an effective regulator. » (N. Gregory Mankiw, Op-Ed, « Keeping Fannie And Freddie’s House In Order, » Financial Times, 2/24/04)
June: Deputy Secretary of Treasury Samuel Bodman spotlights the risk posed by the GSEs and called for reform, saying « We do not have a world-class system of supervision of the housing government sponsored enterprises (GSEs), even though the importance of the housing financial system that the GSEs serve demands the best in supervision to ensure the long-term vitality of that system. Therefore, the Administration has called for a new, first class, regulatory supervisor for the three housing GSEs: Fannie Mae, Freddie Mac, and the Federal Home Loan Banking System. » (Samuel Bodman, House Financial Services Subcommittee on Oversight and Investigations Testimony, 6/16/04)
2005
April: Treasury Secretary John Snow repeats his call for GSE reform, saying « Events that have transpired since I testified before this Committee in 2003 reinforce concerns over the systemic risks posed by the GSEs and further highlight the need for real GSE reform to ensure that our housing finance system remains a strong and vibrant source of funding for expanding homeownership opportunities in America… Half-measures will only exacerbate the risks to our financial system. » (Secretary John W. Snow, « Testimony Before The U.S. House Financial Services Committee, » 4/13/05)
2007
July: Two Bear Stearns hedge funds invested in mortgage securities collapse.
August: President Bush emphatically calls on Congress to pass a reform package for Fannie Mae and Freddie Mac, saying « first things first when it comes to those two institutions. Congress needs to get them reformed, get them streamlined, get them focused, and then I will consider other options. » (President George W. Bush, Press Conference, The White House, 8/9/07)
September: RealtyTrac announces foreclosure filings up 243,000 in August – up 115 percent from the year before.
September: Single-family existing home sales decreases 7.5 percent from the previous month – the lowest level in nine years. Median sale price of existing homes fell six percent from the year before.
December: President Bush again warns Congress of the need to pass legislation reforming GSEs, saying « These institutions provide liquidity in the mortgage market that benefits millions of homeowners, and it is vital they operate safely and operate soundly. So I’ve called on Congress to pass legislation that strengthens independent regulation of the GSEs – and ensures they focus on their important housing mission. The GSE reform bill passed by the House earlier this year is a good start. But the Senate has not acted. And the United States Senate needs to pass this legislation soon. » (President George W. Bush, Discusses Housing, The White House, 12/6/07)
2008
January: Bank of America announces it will buy Countrywide.
January: Citigroup announces mortgage portfolio lost $18.1 billion in value.
February: Assistant Secretary David Nason reiterates the urgency of reforms, says « A new regulatory structure for the housing GSEs is essential if these entities are to continue to perform their public mission successfully. » (David Nason, Testimony On Reforming GSE Regulation, Senate Committee On Banking, Housing And Urban Affairs, 2/7/08)
March: Bear Stearns announces it will sell itself to JPMorgan Chase.
March: President Bush calls on Congress to take action and « move forward with reforms on Fannie Mae and Freddie Mac. They need to continue to modernize the FHA, as well as allow State housing agencies to issue tax-free bonds to homeowners to refinance their mortgages. » (President George W. Bush, Remarks To The Economic Club Of New York, New York, NY, 3/14/08)
April: President Bush urges Congress to pass the much needed legislation and « modernize Fannie Mae and Freddie Mac. [There are] constructive things Congress can do that will encourage the housing market to correct quickly by … helping people stay in their homes. » (President George W. Bush, Meeting With Cabinet, the White House, 4/14/08)
May: President Bush issues several pleas to Congress to pass legislation reforming Fannie Mae and Freddie Mac before the situation deteriorates further.
• « Americans are concerned about making their mortgage payments and keeping their homes. Yet Congress has failed to pass legislation I have repeatedly requested to modernize the Federal Housing Administration that will help more families stay in their homes, reform Fannie Mae and Freddie Mac to ensure they focus on their housing mission, and allow State housing agencies to issue tax-free bonds to refinance sub-prime loans. » (President George W. Bush, Radio Address, 5/3/08)
• « [T]he government ought to be helping creditworthy people stay in their homes. And one way we can do that – and Congress is making progress on this – is the reform of Fannie Mae and Freddie Mac. That reform will come with a strong, independent regulator. » (President George W. Bush, Meeting With The Secretary Of The Treasury, the White House, 5/19/08)
• « Congress needs to pass legislation to modernize the Federal Housing Administration, reform Fannie Mae and Freddie Mac to ensure they focus on their housing mission, and allow State housing agencies to issue tax-free bonds to refinance subprime loans. » (President George W. Bush, Radio Address, 5/31/08)
June: As foreclosure rates continued to rise in the first quarter, the President once again asks Congress to take the necessary measures to address this challenge, saying « we need to pass legislation to reform Fannie Mae and Freddie Mac. » (President George W. Bush, Remarks At Swearing In Ceremony For Secretary Of Housing And Urban Development, Washington, D.C., 6/6/08)
July: Congress heeds the President’s call for action and passes reform of Fannie Mae and Freddie Mac as it becomes clear that the institutions are failing.
J’ajoute que la dette soit-disant Bush explose au cours des deux dernières années, c’est à dire quand le Congrès, c’est à dire ceux qui votent le budget, est devenu démocrate.
En complément de JPG, j’ajouterai qu’au-delà du folle endettement Obama provoqué par les « plans de relance » massifs, la crise des subprime ne peut pas être à cause de GW Bush sous prétexte que cette dernière a explosé sous sa présidence. C’est la volonté politique de « tout le monde a le droit à un toit, même ceux qui n’ont pas les moyens », traduite par la création des agences Freddie Mac et Fanny Mae dans les années 70, qui a mis en place les conditions suffisantes à la création d’une bulle. La politique des bas taux d’intérêt de la Fed l’ont gonflé (les profils les plus risqués empruntant à taux variable). La brusque remontée des taux directeurs l’ont faite éclater. En 2007. Et cette bulle aurait éclaté quelle que soit la couleur du président en place.
la dessus, je suis complètement d’accord avec vous, la bulle aurait éclaté avec n’importe qui, mais d’où que vienne la crise, elle n’est pas la responsabilité d’Obama seul, c’est là que je veux en venir, même si il a défendu ce système d’après ce que vous me dites et je vous crois.
Comme vous, je ne partage nullement la vision de l’économie défendue par john maynard keynes et les multiples plans de relance ne constituent aucunement une solution, on plombe l’économie en repoussant l’orage de quelques mètres et si Obama a fait ça, il n’a donc rien arrangé, j’en conviens.
Mais les banquiers ont plus que prouvé leurs incompétences et leur manque de clairvoyance non ?
Refiler des actifs pourris et prêter à taux variable à des gens qui, les banques le savaient, ne seraient jamais en mesure de payer si les taux d’intérêt montaient, prouve bien que les principaux acteurs de l’économie ont dès le début joué un jeu très risqué. Tellement risqué que certaines des plus grosses banques de la planète ont fait faillite, aveugles ou incompétentes.
Toutes les règles de prudence ont été transgressées, sans exception, et j’ai du mal à croire que l’Etat ait pu « forcer » (sans vous contredire, c’est juste que j’ai du mal à le concevoir) les banques à prêter et accorder des prêts immobiliers risqués. Car c’est ce que vous me dites et je l’apprends et avoue être étonné, interrogé.
Quand on voit le pouvoir des banques, on a du mal à croire que l’Etat puisse diriger les banques, et pas l’inverse (à qui appartient la FED pour vous, quelle place accorder au groupe Bilderberg et à son fondateur Rockefeller ?). Regardons un peu la place des grands banquiers dans ce monde, dans notre monde politique et ne pas reconnaître leurs responsabilités dans la situation actuelle et la succession des crises ? ne serait-ce que partiellement ? que les démocrates aient eu tord, très bien mais comment se fait-il que les agents financiers se soient fourvoyés de la sorte ?
Henri Ford déclara, « si les gens de cette nation comprenaient notre système bancaire et monétaire, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin ». Tord ou raison, je n’en sais trop rien, après tout, je cherche juste ici à débattre avec mes connaissances, mes croyances, mes tords et mes raisons et soyez sûr que vous m’apprenez beaucoup de choses et que vos textes m’intéressent au plus au point. J’insiste sur le fait qu’il n’y a aucune prétention dans mon discours et uniquement des interrogations.
Comprenez-moi bien. Je n’ai aucune affinité avec la vision keynésienne de l’économie et aucune affinité avec Hollande et nos socialistes (mes différentes interventions en attestent) et je partage les points de vue dégagés dans l’article. Mais comment voulez-vous que j’ai une quelconque certitude sur le rôle et la responsabilité des Etats, des républicains, des démocrates et des banques dans ce qu’il se passe ?
Oui, je considère que la moitié des français est aveugle, oui je pense qu’Hollande et le PS se trompent en se basant sur une hypothétique croissance et sur des plans de relance qui, j’en suis certain, ne feront que condamner notre économie et nous enfoncer un peu plus. Oui, une circulaire sur le délit de faciès, c’est absurde, oui, augmenter l’allocation de rentrée scolaire est absurde, l’embauche de plusieurs dizaines de millier de fonctionnaires également, je ne m’interroge pas sur tout ça.
Je suis persuadé qu’un Etat avec des bonnes finances est un Etat fort et que donc, paradoxalement, les socialistes qui critiquent la finance auraient toujours du faire en sorte d’avoir un Etat fort puisque la finance leur fait tant peur et qu’elle est responsable de tous les maux (et non prendre uniquement des mesures démagogiques et faire plonger la dette chaque jour un peu plus, diminuant à chaque instant le pouvoir de l’Etat).
En effet, j’y vois un paradoxe, Monsieur Hollande a dénoncé le monde de la finance, il méprise la finance (c’est ce qu’il nous explique) mais ne fait rien pour renforcer l’Etat, n’engage aucune mesure pour rendre l’Etat moins dépendant de cette finance et de ces banquiers qu’il méprise, il agit donc en fait à l’encontre de ses propres principes puisqu’il ne fera qu’affaiblir l’Etat durant son quinquennat.
Pour en revenir à la responsabilité des démocrates dans la crise de l’immobilier et des subprimes, si vous me dites que les démocrates sont responsables de la crise immobilière en ayant forcé les banques à accorder des crédits à des agents économiques sur lesquels ils n’avaient aucune garantie (les foyers les plus modestes donc), je veux bien vous croire mais pourquoi les banques ont accepté ? n’ont-elles pas déceler le risque ? L’Etat était-il si puissant pour imposer quelque chose aux banques ? Vous voyez où se situe mon problème de compréhension ?
Pour faire simple, un banquier, c’est quelqu’un qui doit avoir des notions d’économie et qui doit être capable d’évaluer les risques. Les banquent auraient accepté de l’Etat quelque chose qu’elles savaient dangereux, notamment pour elles-même ? (après tout, des banques ont fait faillite).
PS : je ne maîtrise malheureusement pas suffisamment bien l’anglais pour comprendre totalement le texte qu’on m’a proposé.
Refiler des actifs pourris et prêter à taux variable à des gens qui, les banques le savaient, ne seraient jamais en mesure de payer si les taux d’intérêt montaient
Le problème c’est que parce qu’ils occupent des emplois moins qualifiés et parce qu’iils ont beaucoup plus de familles mono-parentales (enfants conçus hors mariage et père parti sans laisser d’adresse) la majorité de ceux qui se voyaient refuser des prêts étaient Noirs et les associations soi-disant antiracistes faisaient des procès aux banques qui ont accepté des prêts qu’elle auraient du refuser. Ces prêts étaeint garantis par Fannie Mae et Freddy Mac jusqu’au jour ou…
je vous conseille vivement de lire « The Amateur » qui vient de sortir aux Etats Unis pour avoir une idée de l’individu qu’est OBAMA.Son intendtion est de rabaisser les Etats Unis, Première puissance mondiale au rang de la bonne vieille europe socialisante qui se meurt gangrénée par l’assistanat et l’immigration.
La crise des subprimes est la conséquence de la politique irresponsable des démocrates,voici ce que dit Guy Millière sur le sujet et sur Dreuz:
« En l’occurrence, il faut voir comment s’est créée la bulle immobilière aux Etats-Unis. Au nom de politiques sociales, le gouvernement américain a quasiment forcé les banques et les institutions financières à accorder des prêts immobiliers à des gens dont la solvabilité était très hypothétique : les racines sont dans le Reinvestment Act voté en 1977 sous Jimmy Carter, puis reconduit et renforcé en 1994-95 sous Bill Clinton. Banques et institutions financières se sont exécutées. Les prêts étant très risqués, ils ont été garantis ou rachetés par deux entités para étatiques, celles qu’on appelle Fannie Mae et Freddie Mac »
Voici d’autres sources: http://conservatismefrancais.over-blog.fr/article-la-crise-des-subprimes-2-0-est-la-remerciez-les-socialistes-occidentaux-79213721.html
http://ffgop.canalblog.com/archives/2008/10/01/10787043.html
Bill Clinton reconnaîtra lui-même ses erreurs et celle du clan démocrate dans la bérézina des subprimes
http://ffgop.canalblog.com/archives/2008/09/30/10777216.html
Espérant vous avoir été utile.
ATB
Il n’y a rien à ajouter à cette lucidité objective. Que dire de plus que +1.
Je l’ai déjà écrit : je n’ai rien humainement contre François Hollande.
Il y a pourtant de quoi : homme faible, en effet, fasciné par les femmes fortes (qui finissent par le mépriser), ça ne l’empêche pas d’être un triste profiteur imbu de lui-même (à un point rare ; l’effet « cour » -renforçant sa très haute estime de lui-même- risque d’atteindre des effets jamais encore atteints, chaque pet du président changeant la destinée de la planète) qui n’a jamais rien fait et ne fera jamais rien. L’homo ridiculus à la Présidence de la République.
« chaque pet du président changeant la destinée de la planète »… Impossible : LE PRESIDENT HOLLANDE ne connaît pas ce genre de misère humaine.
A mon avis, il y a de quoi porter plainte contre vous, là, pour diffamation… 🙂
Rien à ajouter, sauf que le nombre de bévues et méfaits déjà commis en un mois, avant même les législatives, laisse pantois…qu’est-ce que ce sera s’ils obtiennent la majorité à l’Assemblée !
Hollande n’est pas là par hasard !
Comment imaginer que ce représentant de l’anti-france soit là par hasard !
TOUTES les mesures qu’il propose depuis son élection sont dans l’optique de la substitution de population.
C’est son UNIQUE BUT !
QUE CEUX QUI ONT DEs YEUX VOIENT !
De manière le seul coupable est l’euro, ils avouent :
on assiste à une «renationalisation» des marchés de capitaux. C’est un échec majeur pour l’euro, qui était au contraire censé favoriser les flux transfrontaliers. (le figaro)
=> pour ceux qui me suivaient l’euro c’est effectivement bien « el gringo », le riche venu du nord qui va foutre en l’air le paisible village de pauvre pêcheurs……en faisant des rentiers du crédit inefficaces auquel l’usine « el gringo » de Munich vendra les derniers modèles de grosse voitures.
J’aime bien votre sens économique. A défaut d’être juste il a le mérite de faire rire.
Quant à sa position sur la Syrie, elle est dans la même veine !
Comment ose-t-il affirmer qu’il faut remplacer un président d’un pays étranger !!!!! de quel droit propose t-il un massacre généralisé , au surplus en mettant à contribution la vie de jeunes Français !
Pourquoi veut-il avec sa clique imposer des régimes islamistes partout ?
Il laisse des territoires entiers de la France sous la coupe d’allogènes dégénérés et haineux, il fête sa victoire sous un ciel de drapeaux étrangers, il ne roule que pour l’étranger , et il se permet de vouloir un remplacement de président dans un pays étranger !
Que ceux qui ont des yeux voient !
Moi ce qui m’effraye en plus, c’est que quand on fait du populisme comme HOLLANDE le fait, le Peuple court ! Être borgne dans un pays d’aveugles où la cécité est largement entretenue par le Gouvernement n’est pas très rassurant quand on voit où ce pays naguère Libre et Prospère va.
Très bon article.
@ Guy Millière : Question un peu hors contexte : quand avez-vous prévu de sortir la suite de l’exceptionnel « La résistible ascension de Barack Obama »?
Je me languis depuis si longtemps de vous relire à la manoeuvre si délicieusement brechtoise aux dépens du disciple de Saul.
La suite est deja ecrite. Elle s appellera Le desastre Obama. Le livre sortira le 30 aout.
Merci, monsieur Millière pour votre réponse qui m’emplit de joie et d’impatience.
Le temps va donc me sembler fort long jusqu’au 30 août. Vous avez en ma personne au moins un lecteur assuré.
Je vous remercie très humblement pour votre indispensable travail!
Je crois vous signez là l’un de vos meilleurs textes. C’est une analyse plus que pertinente. Quant au fait de vous répéter, ce que vous suggérez au début de votre article, cela me semble salutaire. Il ne suffit pas de dire les choses une fois et puis basta. Le travail de réinformation doit être permanent et les répétitions sont nécessaires afin que les arguments soient percutents et fassent leur chemin. Il ne s’agit pas de propagande ici, mais de remettre les choses en place et les points sur les « i ».Cela ne se fait pas en une fois.
Comme me disait mon père…
« la répétition est la meilleure des réthoriques »
Vous avez raison, il faut taper sur le clou en variant la forme et en adaptant le texte aux circonstances. Mais le fond doit rester !
By the way, je n’ai pas répondu à votre dernier texte où vous évoquiez la politique belge et Modrikamen en particulier parce qu’il n’y avait pas de « bouton » répondre à votre texte. J’imagine que le gestionnaire du site (JPG sans doute) qui fait un boulot parfait (il faut le dire) tient également à éviter les trop nombreux échanges entre deux intervenants. Le jeu n’aurait pas fin…son boulot non plus !
Si c’est une règle du site, je la respecte.
Vous savez qui je suis vous pouvez correspondre en direct via mon email (sur mon site). Le sujet que vous abordez est intéressant, vous imaginez bien que j’y ai réfléchi.
Cordialement
ATB
Très étrange… je vais faire une recherche.
Un bug chez vous : il y a eu 55 commentaires.
Peut être un bug alors, je pensais qu’il s’agissait de la gestion du site. Je l’aurais compris. Il s’agit de la réponse de Mandrake
du 3 juin 2012 at 14:46, le bouton réponse (en rouge) ne figure pas (plus bas non plus). C’est le cas de temps en temps, j’avais l’impression que cela se passait après plusieurs échanges, je n’ai pas contrôlé. Ne vous tracassez pas pour si peu. Pour ma part j’utilise Windows 7 et Internet Explorer, le problème est identique avec Google Chrome, je viens de contrôler.
En tous les cas vous faites un boulot extra, c’est le principal, avec vous tous, on se sent moins isolé.
Nous devrions reprendre ensemble le sort de l’Europe en mains.
Cordialement
ATB
Je vais chaque jour sur un site ou je lance un applet. Trois fois par semaine, le bouton disparait, je navigue sur le site, il revient. Des fois non…
La France ne s’éteint pas elle va s’embraser. On ne règle rien en douceur dans notre pays, ni dans les pays d’où provient la majeur partie de nos immigrés.
Aussi on s’attend à une guerre civile dès que la guerre économique sera perdue, c’est à dire dès que la France ne pourra plus emprunter suffisamment.
Les USA rebondiront comme d’habitude. Obama me parait plus se servir de Hollande pour déstabiliser l’europe, qu’autre chose. Si l’euro s’écroule se sera tout bénéfice pour le dollars.
Bref je ne me fais pas de souci pour eux.
Vous partez del’hypothèse hasradeuse que Obama cherche le bien de l’Amérique, vvoire son simple bénéfice personnel. Moi, je me souviens que pendant toute sa vie il a été associé à des gens qui la haîssent et veulent la voir détruite. Ceci expliquerait bien des choses en particulier en matière de défense et de politique extérieure.
Pourtant j’avais cru qu’il avait ete elu, en etant au coran, pour une lumiere pareille, il a du disjoncter
Hollande est en pleine dénégation du réel;il vit dans une idéologie figée qui a perdu tous les combats et qui devrait nous faire sourire.Malheureusement nous risquons d’avoir dans quelques jours des ministres communistes,comme d’autre pays il y a 30 ans.Même les Chinois et les Cubains ne sont plus communistes!Alors il est clair que Hollande ne peut qu’échouer,mais on aurait tort de sous-estimer sa capacité de nuisance:il peut creuser la dette et faire le malheur des générations futures;il peut monter les Français les uns contre les autres en encourageant le communautarisme;il peut détruire ce qui reste de notre industrie;il peut contribuer à pousser nos élites à l’exil.Et tous ces dégâts seront difficiles à réparer.
ok, ok, ok ,ok !
Hollande est un NUL !……….mais, pour l’instant, il n’a encore rien fait, rien du tout. Il Hérite d’une situation, il hérite des Résultats de la politique de Sarkozy et de l’ump. En 5 ans Sarkozy et l’ump ont réussi à encore enfoncer la France dans le socialisme.
Rappellons nous ce qu’a fait cette fausse droite pour relever la France……Rien, rien de rien. Aucune réforme de structure essentielle.
ILS sont tous à mettre dans le même sac ! La France ils n’en ont rien à foutre , ils sont là pour la détruire.
Et comme le Peuple n’a rien entre les oreilles……………..
Hollande va nous « rassembler » dans la pauvreté, c’est tout ce qu’il va réussir, et après, on va voir ce qui va advenir de l’unité nationale !
pkoi mon commentaire n ‘es pas passe
Bonjour Mandrake !
Je prends la liberté de traduite les infos que vous avez envoyé en anglais, afin que les lecteurs intéressés(mais unilingues) puissent aussi en prendre connaissance.
Traduction
Rien que les faits: les avertissements demeurent ignorés de l’administration Bush au sujet du risque systémique posé par les GSE (gouvernement-entreprises Sponsored- entreprises parrainées par le gouvernement)
Depuis de nombreuses années le président Bush et son administration ont, non seulement, mis en garde, contre les conséquences systémiques de la crise financière du logement des entreprises financées par le gouvernement GSE), mais aussi proposé des plans réfléchis pour réduire le risque auquel Fannie Mae ou Freddie Mac se heurteraient devant de telles difficultés . Le président Bush a publiquement appelé à la réforme des GSE, 17 fois dans la seule année 2008 et devant le Congrès. Malheureusement, ces mises en garde sont restées lettre morte, ces tentatives répétées du président visant à réformer la supervision de ces entités et qui ont été contrariés par la manœuvre législative de ceux qui ont catégoriquement nié qu il y avait des problèmes.
2001
Avril: le budget pour l’exercice 02 de l’Administration déclare que la taille de Fannie Mae et Freddie Mac est «un problème potentiel, parce que le problème financier d’un grand GSE pourrait provoquer de fortes répercussions sur les marchés financiers, affectant les l’activité économique des entités fédérales assurées »
2002
Mai: Le président appelle à la divulgation et que les principes de gouvernance d’entreprise figurant dans son plan de 10 points pour la responsabilité des entreprises soient applicables à Fannie Mae et Freddie Mac. (CAMO Lettre invite à OFHEO, 29/05/02)
2003
Janvier: Freddie Mac annonce qu’elle doit retraiter les résultats financiers pour les trois années précédentes.
Février: Le Bureau de surveillance de l’activité économique de la Federal Housing Entreprise (OFHEO) publie un rapport expliquant que «bien que les investisseurs perçoivent une garantie implicite fédérale [GSE]d’ obligations», «le gouvernement a fourni aucun soutien juridique explicite pour eux. »En conséquence, des problèmes inattendus aux GSE pourraient se répandre aussitôt dans les secteurs financiers au-delà du marché du logement. («Risque systémique: Fannie Mae, Freddie Mac et le rôle de l’OFHEO,» OFHEO rapport, 04/02/03)
Septembre: Fannie Mae divulgue l’ enquête de SEC et reconnaît qu’un examen de OFHEO a trouvé des manipulations des gains.
Septembre: le secrétaire au Trésor, John Snow, témoigne devant le House Financial Services Committee et recommande que le Congrès adopte «la législation pour créer une nouvelle agence fédérale pour réglementer et superviser les activités financières liées au logement parrainée par le gouvernement des entreprises» afin de définir une adéquation prudente et appropriée du capital minimum exigé.
Octobre: Fannie Mae divulgue une erreur comptable de 1,2 milliard de dollars.
Novembre: Mr.Greg Mankiw président du Comité des conseillers économiques (CEA), explique que « toute la législation de
la réforme de la réglementation des GSE devrait donner un nouveau régulateur avec suffisamment de force et de crédibilité pour réduire le risque systémique. Pour réduire le risque potentiel d’instabilité systémique, le régulateur devrait avoir «un large pouvoir pour fixer à la fois, les deux normes de fonds propres, fondées sur le risque du capital minimum » et le « pouvoir de redressement nécessaires pour se sortir d’ affaires en cas de problème des GSE. Selon l’Allocution de Gregory Mankiw, prononcée à la Conférence d’État du Superviseur bancaires, Sommet Etat et de leadership, 06/11/03)
2004
Février: exercice 05 Le Président de budget souligne à nouveau le risque posé par la croissance explosive des GSE et leurs faibles niveaux de capital requis, et a appelé à la création d’une nouvelle classe mondiale, régulatrice: «L’administration a déterminé que les responsables de la sécurité et la solidité des organismes parapublics de logement n’ont pas le pouvoir suffisant et la stature pour assumer leurs responsabilités, et donc … devraient être remplacés par un nouveau régulateur renforcé. »(Budget 2005 Perspectives analytiques, p. 83)
Février: le CEA met en garde le président du Congrès, Mankiw « de ne pas prendre la force du marché financier pour acquis. »Encore une fois, l’appel de l’administration était de réduire ce risque en« veillant à ce que les organismes parapublics de logement soient supervisées par un organisme de réglementation efficace. »(N. Gregory Mankiw, Op-Ed,« Garder Fannie et Freddie,s House en ordre ». Financial Times, 24.02.04)
Juin: Le Secrétaire adjoint du Trésor, Samuel Bodman, expose le risque posé par les GSE et a appelé à la réforme, en disant «Nous n’avons pas un système de classe mondiale de la supervision des entreprises publiques de logement parrainées (GSE), même si l’importance du système financier du logement que les organismes parapublics servent, exige le meilleur en matière de supervision pour assurer la vitalité à long terme de ce système. Par conséquent, l’administration a appelé à une nouvelle classe, premier superviseur de réglementation pour les trois organismes parapublics du logement: Fannie Mae, Freddie Mac, et le système de Federal Home Loan Banking. »(Samuel Bodman, House Financial Services, Sous-comité sur le témoignage de surveillance et d’ enquêtes, 16/06/04)
2005 Le secrétaire trésoriers John Snow répète son apple au sujet de la réforme du GSE, disant «Les événements qui se sont écoulées depuis que j’ai témoigné devant ce comité en 2003 renforcent les inquiétudes sur les risques systémiques posés par les organismes parapublics et mettre davantage en valeur la nécessité d’une véritable réforme GSE pour s’assurer que notre système de financement du logement demeure une source forte et dynamique de financement pour l’élargissement des possibilités et l’ accès à la propriété en Amérique … Les demi-mesures ne feront qu’exacerber les risques pour notre système financier. »(Secrétaire John W. Snow,« Témoignage devant le US House Financial Services Committee », 13/04/05)
2007
Juillet: Deux fonds de couverture de Two Bear Stearns investis dans des titres hypothécaires s’effondrent.
Août: le président Bush appelle avec insistance le Congrès à adopter un ensemble de réformes pour Fannie Mae et Freddie Mac, en disant:
« le premier en premier quand il s’agit de ces deux institutions. Le Congrès doit les réformer, les rationaliser, les re-centrer, ensuite, j’envisagerai d’autres options. »(Conférence de presse du président George W. Bush, à La Maison Blanche, 09/08/07)
Septembre: Realty Trac annonce des dépôts de forclusion jusqu’à 243 000 en Août – jusqu’à 115 pour cent à l’année précédente.
Septembre: Les ventes de maisons unifamiliales existantes diminue de 7,5 pour cent par rapport au mois précédent – le plus bas niveau enregistré en neuf ans. Le Prix de vente moyen des maisons existantes ont diminué de six pour cent depuis l’année précédente.
Décembre: le président Bush met à nouveau en garde le Congrès, de la nécessité d’adopter une loi réformant les GSE, en disant «Ces institutions doivent fournir des liquidités dans le marché hypothécaire qui profite à des millions de propriétaires, et il est vital qu’elles fonctionnent en toute sécurité et le fasse fonctionner sainement. J’ai donc appelé le Congrès à adopter une loi qui renforce la régulation indépendante des GSE – et assure qu’ils se concentrent sur leur importante mission de logements . Le projet de loi de réforme des GSE adopté par la Chambre plus tôt cette année est un bon début. Mais le Sénat n’a pas statué. Et le Sénat américain doit adopter cette loi rapidement. »(Le président George W. Bush, discute de logement, la Maison Blanche, 06/12/07)
2008
Janvier: La Bank of America annonce qu’elle va acheter Countrywide.
Janvier: Citigroup annonce que le portefeuille hypothécaire a perdu 18,1 milliards de dollars en valeur.
Février: Le Sous-Secrétaire David Nason réitère l’urgence des réformes,et dit: «Une nouvelle structure de réglementation pour les GSE du logement est essentielle si ces entités veulent continuer à exercer leur mission de service public avec succès. »(David Nason, Témoignage sur la réforme de GSE règlement, Comité sénatorial des banques, Logement et des Affaires urbaines, 07/02/08)
Mars: Two Bear Stearns annonce qu’il va se vendre à JPMorgan Chase.
Mars: le président Bush appelle le Congrès à prendre des mesures et «aller de l’avant avec les réformes sur Fannie Mae et Freddie Mac. Ils ont besoin de continuer à moderniser la FHA, ainsi que de permettre aux organismes d’État du logement d’ émettre des obligations exemptes d’impôt pour les propriétaires, et re-financer leurs hypothèques. »(Discours du président George W. Bush, prononcé devant l’Economic Club de New York, New York, NY, 14/03/08)
Avril: le président Bush exhorte le Congrès à adopter la législation nécessaire et «moderniser Fannie Mae et Freddie Mac. Il y a des actions constructives que le Congrès peut faire qui favoriseront le marché du logement afin de le corriger rapidement pour … aider les gens à garder leurs maisons. »(Président George W. Bush, durant la Réunion avec le Cabinet, la Maison Blanche, 14/04/08)
Mai: le président Bush a envoyé plusieurs lettres demandant au Congrès d’adopter une loi réformant Fannie Mae et Freddie Mac avant que la situation ne se détériore davantage.
• «Les Américains sont préoccupés de pouvoirs continuer a faire leurs paiements hypothécaires afin de garder leurs maisons. Pourtant, le Congrès n’a pas réussi à adopter une loi, j’ai demandé à plusieurs reprises de moderniser la Federal Housing Administration ce qui aidera plus de familles à rester dans leurs maisons, la réforme de Fannie Mae et Freddie Mac est nécessaire pour s’assurer qu’ils se concentrent sur leur mission de logement, et permettre aux organismes d’État du logement d’émettre des obligations libre impôt pour re-financer des sub-primes de prêts . »(Le président George W. Bush, Adresse Radio, 03/05/08)
• «Le gouvernement doit aider les gens solvables à rester dans leurs maisons. Et la manière pour que nous puissions le faire, c’est que le Congrès fasse des progrès sur ce point: la réforme de Fannie Mae et Freddie Mac. Cette réforme s’accompagnera d’une réglementation solide et indépendante. »(Président George W. Bush, lors de sa Rencontre avec le Secrétaire du Trésor, à la Maison Blanche, 19/05/08)
• «Le Congrès doit adopter une loi visant à moderniser la Federal Housing Administration, la réforme de Fannie Mae et Freddie Mac est nécessaire pour s’assurer qu’ils se concentrent sur leur mission de logement, et permettre aux organismes d’État du logement d’ émettre des obligations exemptes d’impôt pour re-financer des sub-prime de prêts . »(Président George W. Bush, émission à la Radio, 31/05/08)
Juin: Comme les taux de forclusion ont continué d’augmenter au premier trimestre, le président demande à nouveau au Congrès de prendre les mesures nécessaires pour relever ce défi, en disant: «nous avons besoin d’adopter une loi à la réforme de Fannie Mae et Freddie Mac. »(Président George W. Bush, Remarque faite à la
Cérémonie d’assermentation du secrétaire du logement et développement urbain, Washington, DC, 06/06/08)
Juillet: le Congrès n’écoute pas l’appel du Président pour l’action et passer la réforme de Fannie Mae et Freddie Mac, il devient clair que les institutions n’y parviennent pas.
Un grand merci jdl, mais compétences linguistiques étaient insuffisantes pour saisir l’intégralité du message.
La liberté d’expression et la possibilité de débattre et de poser toutes les questions ouvertement est particulièrement appréciable sur Dreuz, je remercie donc également l’équipe de Dreuz.
@jdl: grand merci pour cette traduction. Petite correction cependant pour l’ordre des mots dans le titre:
« les avertissements demeurent ignorés de l’administration Bush au sujet du risque systémique posé par les GSE (gouvernement-entreprises Sponsored- entreprises parrainées par le gouvernement). Plus correcte est cette version: « Les avertissements de l’administration Bush restent ignorés quant à etc ». Ce n’est pas Bush qui ignore puisque c’est lui qui met en garde.
On remarquera donc qu’au lieu de prendre en compte les avertissements pourtant très clairs du gouvernement Bush et de les répercuter auprès du public, les journalistes et autres pitres ont préféré publier des « grands ouvrages de référence » sur les fameux « Bushismes ». On a bien ri effectivement, dans le genre « Qui rira bien rira le dernier » ou « Tel est pris qui croyait prendre ». Je conserverai votre traduction dont vous avez pris la peine, car le texte est long et je suis désolé. Pour votre information, l’administration GWB a publié ce texte sur le site web de la MB fin 2008 afin de lever les doutes. Tous les faits relatés sont vérifiables. Le Président des USA, quel qu’il soit, n’a pas tous les pouvoirs en politique intérieure. Dommage sous G.W. Bush. Heureusement sous Obama. Mais ainsi est faite la Consitution US. En toute honnêteté intellectuelle, Obama n’est pas non plus responsable de la crise des subprimes. Cette politique « Un toit pour tous » comme le relate ATB est évidemment une politique de la gauche américaine, plus particulièrement l’administration Clinton (googlez Barney Franks et subprimes). Ceci démontre très bien combien toutes ces politiques de gauche, aussi généreuses et humanistes soient-elles en apparence ou en réalité, ignorent la réalité économique et se font alors rattaper par les lois du marché avec les dégâts que l’on connaît. L’intervention directe de l’Etat dans les affaires économiques privées est plus que souvent dramatique. Il faut être très, très prudent et s’abstenir le plus souvent possible.
Dans ses mémoires, George W Bush confirme avoir à plusieurs reprises insisté sur la nécessité d’encadrer les activités du GSE.
Mais il avoue aussi implicitement avoir ignoré une distribution frauduleuse à l’échelle industrielle de subprime mortgages, l’une des causes majeures de l’ampleur de la crise.
Si la même mésaventure était survenue à Obama, Guy Millière serait sans doute moins indulgent…
Dans les mêmes circonstances, réforme du système de santé et aberrations écologiques exceptées, une administration républicaine n’aurait probablement pas mené une politique économique sensiblement différente de celle d’Obama, et Guy Millière s’en serait bon gré mal gré accommodé.
Ne vaudrait-il pas mieux laisser à nos adversaires de gauche le monopole de l’esprit partisan?
Je pense qu’effectivement, George W. Bush a sous estimé le danger des subprime. Mais il a effectivement voulu encadrer plus strictement les activités de Fannie Mae et Freddie Mac. Et vous vous trompez pour ce qui concerne ce qu’aurait été une politique républicaine. John McCain a consulté Arthur Laffer en octobre 2008. Et Laffer, père de la supply side economics avec Jude Wanniski, a publié à l’époque un livre clair, appelé The End of Prosperity. Les Républicains n’ont cessé, dès janvier 2009, de s’opposer à la politique économique d’Obama, et les tea parties ont renforcé cette hostilité. Je ne serai plus critique de la politique économique d’Obama s’il fait un virage à 180 degrés, devient un supply sider, abroge toutes les lois qu’il a fait voter depuis janvier 2009, et approuve le budget rédigé par Paul Ryan.
@GM: le « rebuttal » de la MB publié en 2008 et qui été traduit ci-dessus ne va pas dans le sens d’une sous-estimation. Celle-ci vient du fait que ce n’est pas exactement dans les attributions d’un Président des Etats-Unis de diriger seul la politique intérieure du pays. Il y a le Congrès qui joue un rôle primordial. Le Congrès a largement ignoré les avertissements , les analyses et les mises en garde. GWB aurait pu faire plus sans doute, mais cela ne fait pas de lui le coupable. Même chose pour Katrina d’ailleurs.
Merci pour votre intervention, nous voilà au coeur du malentendu.Le supply side est à à l’évidence la seule politique économique efficace en permanence sur le long terme. Cela a été abondamment démontré depuis l’élection de Ronald Reagan. Mais cela n’invalide pas la nécessité ponctuelle, en particulier dans le cas de cette crise, d’organiser un soutien de l’activité à court terme. Aucune administration républicaine n’aurait pris le risque de s’y dérober. Les leçons de la crise des années 30 sont encore dans toutes les mémoires.
Maintenant, il est certain que le supply side doit prendre le relai, et dans cette perspective, Mitt Romney apparait évidemment plus crédible qu’Obama.
Je suis fondamentalement reaganien, mais j’avoue que j’ai été scandalisé par l’attitude des républicains tout au long du mandat Obama. En des circonstances aussi périlleuses, il n’était pas très responsable de pratiquer la politique du pire.
@JM Aigrot: « Dans les mêmes circonstances, réforme du système de santé et aberrations écologiques exceptées, une administration républicaine n’aurait probablement pas mené une politique économique sensiblement différente de celle d’Obama, et Guy Millière s’en serait bon gré mal gré accommodé ». Cette conclusion de votre part m’indique directement que vous n’avez rien compris à la différence aujourd’hui abyssale (et ce depuis Carter) qu’il y a entre le GOP et le DNC. En plus, de quelles aberrations écologiques parlez-vous? L’Alaska regorge de pétrole, sans oublier les schistes. Pourquoi continuer à subir le chantage de l’OPEP? La droite US nie le « réchauffement » climatique et elle a bien raison. Les aberrations viennent de ceux qui prétendent qu’il y a réchauffement global dû à l’activité humaine. Quant aux réformes des pensions et des soins de santé, cela fait toute la différence puisque l’impact sur les entreprises privées et donc sur l’économie est énorme, ce dont la gauche US ne veut pas entendre parler. Enfin quoi, Obama est le paragon de ce qu’on appelle aux USA le « pork barrel politics » (Obamacare, Porkulus, etc.). Faites quelques recherches avant de parler de ces choses. Avec vous, il faut tout réexpliquer depuis le début. C’est é-rein-tant. Je n’ai pas le temps. Merci à GM pour son commentaire ci-dessous. Quant aux adversaires partisans de gauche, avec vous, on n’a pas besoin d’eux, effectivement. Renseignez-vous svp. Je veux bien que vous n’êtes pas né avec le débarquement du 6 juin 1944, mais on dirait vraiment que vous venez tout juste de débarquer. Un peu de jugeotte, quoi. Ou alors vous le faites exprès, non?
Il me semble avoir parlé des aberrations écologiques de l’administration Obama!
« La droite US nie le « réchauffement » climatique et elle a bien raison. Les aberrations viennent de ceux qui prétendent qu’il y a réchauffement global dû à l’activité humaine »
Vous avez raison, évidemment, sur ce point et bien d’autres…
Voici, quelques lignes sur le sujet:
http://lautrevoie.org/docshtml/veriteco.html
Les vidéos que j’ai reprises valent le coup.
Pour les questions concernant le réchauffement climatique, rendez-vous sur http://www.pensee-unique.fr
ATB
@ JM Aigrot : « Dans les mêmes circonstances, réforme du système de santé et aberrations écologiques exceptées, une administration républicaine n’aurait probablement pas mené une politique économique sensiblement différente de celle d’Obama »
Vous pensez vraiment ce que vous écrivez??? Parce qu’avec une grille de lecture pareille, je ne vois plus aucune différence entre la politique de Hollande et celle de Cameron…
Ceci dit, il est amusant de constater une chose :
– Bush était détesté pendant son mandat à cause des campagnes médiatiques contre lui et rentrera probablement dans l’histoire comme ayant été un grand président.
– Hollande est adoré pour le moment, à cause également des médias et de la camarilla socialiste, il restera certainement dans l’histoire comme une des plus grandes hontes et calamité de la France.
Personnellement, j’échangerais volontiers quelques centaines de milliers de François Hollande contre un seul Cameron. Mais il y a quelques années, j’aurais volontiers échangé Jacques Chirac contre Tony Blair!
Comme vous, je présume, je n’ai jamais sombré dans l’anti-bushisme. Et comme disait Alan Greenspan, si vous comprenez quelque chose à ce que je viens de vous raconter,c’est que je me suis mal exprimé!
Les leçons des années trente, c’est surtout qu’une relance par la demande et par les déficits publics prolonge une crise. La politique menée par Franklin Roosevelt a prolongé la crise jusqu’à la Deuxième Guerre Mondiale. La politique du pire a été celle menée par Obama depuis janvier 2009. Vous devriez vous informer davantage sur Obama, et sur ce qu’il est. Mon livre La résistible ascension de Barack Obama pourrait vous donner les informations requises. Mon prochain livre, Le désastre Obama, vous montrera qu’Obama a prolongé et approfondi une crise manufacturée selon la méthode Cloward Piven.
Exact. Le New Deal a prolongé la crise de 1929. Selon les estimations (je peux retrouver les sources), s’il n’y avait eu la Seconde Guerre Mondiale, il aurait fallu attendre 1953 pour sortir les USA de la récession (càd. plus de 20 ans!). On a le temps avec les socialistes.
Fructueuse controverse, preuve que sur DREUZ on peut échanger des idées sans en venir aux injures!
Sur le plan théorique, il est difficile de vous donner tort ou raison. Une seule certitude, une approche purement idéologique des problèmes, market fundamentalism y compris, mène infailliblement à la catastrophe, tandis que le pragmatisme finit tôt ou tard par porter ses fruits.
Le Weekly Standard n’est pas précisément une publication gauchiste. Je me souviens d’un article paru en 2009 ( de William Kristol, je présume) affirmant expressément que nul ne pouvait raisonnablement remettre en cause le New Deal. L’auteur comparait d’ailleurs très défavorablement Obama à Roosevelt, lui reprochant faiblesse et indécision.
Sur le plan pratique, dans une démocratie, compte tenu de la fréquence des élections, aucun gouvernement de gauche ou de droite ne prendra le risque d’un chômage durablement supérieur à 25% au prétexte que cela coûteraît éventuellement moins cher à long terme! La question stimulus ou pas stimulus ne se pose même pas!
Si vous me dites qu’Obama a trop dépensé, et de façon insuffisamment ciblée, je vous suivrai volontiers sur ce point. Mais n’oubliez pas qu’en France, nombre d’économistes, y compris Jean Boissonnat, ont reproché à Ronald Reagan d’avoir orchestré une coûteuse relance keynésienne! Sur le papier, on peut tout prouver et le contraire de n’importe quoi…
« Décevra-t-il ? Je n’en suis pas même certain. »
Mon CHER Guy, je pense que oui, et plus que ca. Je m’explique : les islamistes avec tout musulmans confondu, demanderon plus et plus encore, comme d’habittude.
Le HOLLY LAND ne pourras pas suivre leurs delire quand ca le touche lui, ca famille, amis et les autres franchy de souche du meme milieux …donc, il va decevoir surtout ses electeurs, sans vraiment se rendre compte des tous les autres decu.
Dans 5 ans, (si pas avant) un parti islamiste prendra son tour, et c’est vraiment simple vu la conjuncture economico-politique today, sans parle des toute les grande ville touche par le fanatisme socio-islamique, arme et pret a intervenir n’importe quand.
La question est plutot :
La France va devenir un etat Islamique pendent ou apres HOLLY LAND ?
Donc, Hollyland, a servi du pont au passage a la charia, ce qui est trist, mais compreansible dans une situation telle.
In USA, Glenn Beck (il n’est pas le seul) a deja premedite ce cenario comme d’autres qui se sont fortement realise.
Tout ce que je peux vous souhaiter, c’est un quinquennat de cohabitation. Qui sait, ça limitera peut-être les dégâts (ou peut-être juste une partie d’entre eux).
Magnifique analyse, bravo.
Un quinquenat de cohabitation ne fera que retarder ce qui se prepare.
Peut etre donnerait il un sursis aux hesitants.
Il faut partir avant qu’il soit trop tard.
Avant 39/45, personne ne voulait croire, et beaucoup de sefarades disaient, si nous avions ete a leur place, on aurait reagi.
Eh bien non, car pour de l’argent, du travail, la belle vie francaise, non seulement vous vous laissez aveugler, mais pire vous dites que cela va s’arranger.
Votre reveil, va etre douloureux, parce que vous ne voulez, ni croire, ni comprendre.
Alors c’est votre choix, assumez le
La belle vie francaise?Quelle belle vie francaise?
La nouvelle photo officielle du chef de l’Etat est très évocatrice: petites épaules étriquées dans un costume mal taillé et petit bonhomme écrasé par son environnement. L’oeil est terne.
Tout un symbole…
Celui de la déchéance !
Finira t-il son quinquennat ?
Il se peut que les événements – qui s’accélèrent – en décident autrement !
La France ne retrouvera sa vigueur et sa fierté que lorsque la droite saura faire prévaloir ce qui rapproche de ce qui sépare !
Alors nous serons majoritaires et efficaces sur le terrain !
Prions nos pénates !
Lorsqu’un plouc -même énarque- débarque de sa campagne, il se fait toujours remarquer, le petit chef qui veut laver plus blanc que blanc. Coincé ds ses fringues, coincé ds sa tete, coincé ds sa politique : il n’y a que les **** qui ne changent pas d’avis, et lui continue à affirmer qu’il ne change jamais d’avis !!! courage à nous, on vient juste d’y mettre un pied dans la mouise.
Lorsqu’un plouc -même énarque- débarque de sa campagne, il se fait toujours remarquer, le petit chef qui veut laver plus blanc que blanc. Coincé dans ses fringues, coincé dans sa tète, coincé dans sa politique : il n’y a que les **** qui ne changent pas d’avis, et lui continu à affirmer qu’il ne change jamais d’avis !!! Courage à nous, on vient juste d’y mettre un pied dans la mouise.
Charles Martel, le combat n’est fini, ils sont revenus.
Maintenant le pied dans la mouise est gentillet, car du pied gauche, le diction, precise que cela porte bonheur, c’est plutot les pieds dans le marecage, qui cache des sables mouvants, avec possibilite de disparaition.
Nous avons donc une France au bord de la Faillite, une haute et petite élite privilégiée et méprisée qui bloque tout effort de réforme. Un chef d’état qualifié de « mou » dont les humoristes se gaussent en assurant que c’est sa femme qui le mène par le bout du nez.
Si ça ressemble pas à la fin de l’ ancien régime…
http://www.come4news.com/une-nouvelle-revolution-francaise-avec-francois-hollande-574992
Bien d’accord sur le fond. Mais faire porter à Mitterrand le chapeau de notre déconfiture politique et économique actuelle, c’est une erreur. Mitterrand est le produit corrompu de la modification forcée de nos institutions par un Giscard corrompu. Il ne faut pas oublier que c’est Giscard qui a modifié en 1974, avec le concours du Parlement, une constitution pourtant votée par les Français par référendum et donc uniquement modifiable par référendum. Elle permettait à des candidats du monde civil de se présenter aux présidentielles, avec seulement 100 parrainages obligatoires et anonymes, une solution peu coûteuse. Giscard, haut-fonctionnaire arrivé au pouvoir par chance grâce à la mort de l’excellent Pompidou, a porté, lui, la barre à 500 signatures d’élus, réparties sur 30 départements et qui plus est PUBLIQUES. Afin de permettre à l’Etat – nos fonctionnaires – d’exercer des pressions sur les élus dont la plupart, depuis Giscard, reçoivent des subventions de l’Etat plus des commissions occultes, et ne peuvent s’en passer sous peine de ne pas être réélus !
Ainsi, Giscard était assuré que seuls des fonctionnaires pouvaient être élus, ce qui est le cas jusqu’à aujourd’hui : tous sauf Sarkozy sont hauts-fonctionnaires. Quant à Sarkozy, il a été soutenu par cette caste parce qu’il était connu comme son plus chaud partisan, ce qu’il n’a cessé de démontrer pendant son quinquennat, d’abord en ne réduisant pas le nombre de fonctionnaires alors qu’il avait été élu sur la promesse de ne pas en remplacer un sur deux, ensuite en faisant passer en catimini la constitution européenne – élaborée par Giscard et refusée par référendum par les Français ! – avec le concours du Parlement ! Le but est d’étendre la domination des hauts-fonctionnaires Français sur une Europe allant bien au-delà de ses frontières naturelles, vers la Turquie et le Moyen-Orient. Voilà pourquoi aucune frontière n’a été définie pour l’Europe dans la constitution européenne ou sa copie le Traité de Lisbonne…