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Michel Garroté – L’hebdo gauchiste parisien Le Nouvel Observateur raconte sur son Site que Le chef de cabinet élyséen de la compagne du président assure qu’elle « peut continuer à tweeter comme elle veut » (ndmg – on s’en tape) et « n’est pas frappée d’un interdit » (ndmg – on s’en fiche). Valérie Trierweiler « réfléchit toujours » au rôle qu’elle entend jouer en tant que Première dame à l’Elysée mais ne compte pas arrêter de tweeter après la tempête médiatique provoquée par son message de soutien à l’adversaire de Ségolène Royal lors des législatives. Alors que le quotidien « Le Parisien » affirme, sur la foi de confidences à une amie, que la compagne du président François Hollande admettrait avoir « commis une erreur » avec son tweet d’encouragement à Olivier Falorni. Son entourage n’a pas confirmé.
Son chef de cabinet, Patrice Biancone, souligne que cette affaire a été « surmédiatisée » et relève qu’en définitive, elle n’a pas eu d’incidence sur le résultat des législatives (ndmg – si c’est ‘La Pravda parisienne’ qui l’affirme…). Valérie Trierweiler « réfléchit toujours au rôle qu’elle entend jouer » et à sa façon de communiquer, mais en tout état de cause « elle peut continuer à tweeter comme elle veut (ndmg – il va nous le répéter combien de fois encore ?). Elle n’est pas frappée d’un interdit », a ajouté son chef de cabinet. « Il faut un peu de temps » encore pour définir son périmètre d’action, a-t-il dit par ailleurs en précisant que « la défense des enfants, l’égalité des chances font partie des domaines dans lesquels elle envisage de s’investir » (ndmg – on s’en moque de savoir si elle compte s’investir dans la défense des crabes et des moules).
Pour le reste, la vie de la Première dame suit son cours normal à l’Elysée. « Elle vient tous les jours travailler », a indiqué Patrice Biancone, soulignant qu’elle « reçoit beaucoup de courrier » mais sans afflux particulier, depuis l’affaire du tweet (ndmg – La Pravda…). Son absence lors du déplacement de François Hollande pour le sommet du G20 au Mexique n’a rien de surprenant, a-t-il expliqué, Valérie Trierweiler ayant prévu de longue date de rester à Paris au moment où deux de ses fils passent leur bac (ndmg – ils ont six ans ?). Rien d’étonnant non plus au fait que sa notice biographique ait disparu du site internet de la présidence de la République. « Elle a été retirée provisoirement comme à chaque fois qu’il y a des changements, mais une nouvelle page va réapparaître » (ndmg – la nouvelle version de sa notice biographique mentionnera avec rigueur et franchise l’affaire du tweet, aurait dû ajouter Biancone…).
Michel Garroté
Rédacteur en chef
Reproduction autorisée avec mention de www.dreuz.info
http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20120620.OBS9177/trierweiler-n-arretera-pas-de-tweeter.html
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Quelle triste parcours professionnel pour ce Patrice Biancone ! Après ses débuts à L’Express, il dirige le service politique de RFI pour finir comme chef de cabinet de la petite copine de Flamby. Si c’est pas triste…
Michel, ils sont tous de gauche les journaleux quand il s’agit de léchouille … sinon ça peut leur coûter cher ! et par ces temps de crise …
Le nouvel obs me rassure, Trierweiler travaille tous les jours à l’élysée … mais comme elle travaille pour Paris-Match, cela veut dire que Paris-Match doit avoir de graves difficultés, puisque ce journal n’a pas de bureau disponible pour accueillir son employée.
Encore un ravage évident de la crise de la presse !
Le nouvel obs me rassure aussi quant aux sentiments maternels des « copines » (ex and next) de Flanby-le-normal, président des bisous.
Ségolène, à La Rochelle, nous a fait le coup de la mère éplorée dont les enfants entendent ce qui se dit (tu parles, … le « petit » Thomas est avocat et membre du laboratoire politique – un des thinktank du PS).
Aujourd’hui, Valérie s’accorde une pause « bac » pour soutenir ses petits.
Donc pas de tweet à propos de ses états d’âme du jour, … mais comme on s’en fout …
Toutes ces mères de famille attentives et dévouées aux besoins de leurs enfants, … moi, cela m’émeut !
Mais, il me semble en avoir oublié une, …
Et couronnement du tout, c’est un chef de cabinet -payé par les contribuables français- qui informe le nouvel obs, des faits et gestes sans aucun intérêt, de la 1st girl friend.
Et dire que certains courtisans roses-verts parlent de décence, de modestie, de normalitude …
Elle a baisé utile et c’est nous qui payons les passes avec ses 7 « collaborateurs »(trices), ses bureaux et ses voitures…
Qui a voté pour elle ?!…
Les 34 ministères nous coûtent déjà bien trop cher !
La gabegie socialiste dans toute sa splendeur !
Il ne faut pas beaucoup de temps pour trouver son rôle :
AUCUN !!
N’ayant aucune légitimité,(ni mariée, ni élue) elle n’a aucun rôle à jouer dans la vie française.
Et pour cela, elle n’a pas besoin de tout un cabinet à nos frais !
Ce doit être la seule journaliste ayant un cabinet pour gagner 3 millions annuels… Ah hypocrisie quand tu nous tiens !!
Mais non, pas du tout: Elle a la légitimité d’être la compagne, pour un moment indéfini dans le temps, d’un partisan irréductible de l’union libre, ancien Secrétaire d’un parti politique ardent promoteur de cette même union libre. A ce titre, elle prétend donc aux mêmes prérogatives qu’une épouse légitimement unie à un conjoint par ce sacrement républicain et bourgeois qu’elle (et il) abhorre.
Et elle entend bien créer un précédent irréversible en ce sens dans l’histoire de la République (laïque, gratuite et obligatoire…).
Une chef de cabinet assisté de 4 secrétaires est bien un minimum pour satisfaire à l’écrasante charge qu’elle entend assumer. J’en transpire d’appréhension à sa place…
Outre la lourde tâche d’assister le Président dans ses fonction organiques les plus élémentaires sur lesquelles je n’aurai pas le mauvais goût de m’étendre (fort heureusement aidée en cela par les derniers progrès de la biochimie), elle pourra se consacrer également à l’inauguration des nombreuses crèches, pouponnières et maternités que la démographie galopante de notre pays nécessite dans l’urgence, ou des nombreux orphelinats, triste conséquence du mauvais état sanitaire de la population et des trop nombreux conflits où la France est engagée. Nul doute aussi qu’elle poursuivra avec ardeur l’oeuvre des pièces jaunes initiée par Mme Chirac. Toutes ces occupations vont probablement l’accaparer au point que l’on peut à raison s’interroger s’il lui restera encore quelques minutes par semaine pour donner à son employeur Paris-Match l’illusion qu’elle lui fournit réellement un travail salarié à plein temps. Enfin, ne soyons pas mesquins: Il est aisément compréhensible que la haute situation, pour l’instant imprenable, qu’elle occupe lui donne accès à de très intéressants scoops et informations confidentielles que le plus médiocre journal de la presse people serait prompt à se procurer à prix d’or. Paris Match obtiendra, n’en doutons pas, un très rapide retour sur investissement en la personne de la première concubine présidentielle.
Ce qu’il y a de piquant dans cette histoire c’est que dans quelques petites années, lorsque Mimolette 1er ne sera plus au pouvoir, les secrétaires se lâcheront et raconteront quelques anecdotes croustillantes à propos de la concubine élyséenne.
On attend avec impatience.
N’attendez pas, nous préparons cela dès maintenant.
Je repose la question : la première pouffe de France a donc un chef de cabinet… le premier cocu de France, Denis, a-t-il des collaborateurs payés par le contribuable?
« elle vient travailler tous les jours » … vu que c’est son « chef de cabinet » qui parle, je suppose qu’il n’est pas question de son travail de pisse-copies mais de première on-sait-pas-quoi-mais-on-va-trouver.
Donc à Paris Match, elle est payée à rien foutre ?
Le scoop du jour c’est qu’elle réfléchit !
Et ça nous coûte combien en matière de salariés, de frais de fonctionnement en général sa réflexion ??
Elle se moque de nous les contribuables taillables et corvéables à souhait.
La monarchie en France a été renversée, le roi, la reine, les courtisans et favorites ont été guillotinés. Tout ça pour arriver à Grassouillet 1er et sa harpie.
Bravo, nous avons gagné le droit de rire (pas pour longtemps hélas, je crains que notre avenir soit quelque peu tristounet.)
Peut-être vont-ils rétablir la guillotine pour les opposants ?
Cette affaire est d’un ridicule pour la France ! Cette femme n’est en rien nécessaire à notre pays ! Nous devrions organiser une pétition pour qu’elle soit expulsée de ce bureau ,elle n’a rien à y faire ,elle n’a pas été élue par les Français et on s’en moque de ses affaires de coucheries ! Nous n’avons pas à l’entretenir à nos frais !
Je pense que c’est une bonne idée que d’organiser une pétition. Vu que quasiment 49 % de Français ont votés contre HOLLANDE et que 47 % se sont abstenus je crois, ça devrait faire le compte de signatures !
C’est une gourgandine qui baise , matin ,midi et soir ! et elle le tient par les couilles le flamby .
Les journalistes collabos vont à la gamelle , avantages fiscaux obligent ! on va finir par regretter les aventures de D S K …
tirade de F Hollande
Moi, président de la République, je ferai en sorte que mon comportement soit à chaque instant exemplaire.
no comment
La question qui me taraude est la suivante: combien de temps madame la présidente va-t’elle tolérer la présence du flamby ?
Au moins nous savons aujourd’hui que les Francais ne sont pas sexistes puisqu’ils acceptent sans broncher qu’une femme dirige le pays.
mazette, un chef de cabinet! Qui tient le rôle du porte-coton? Un journaliste de gauche qui n’est pas à une mauvaise odeur près?
Merci, Michel, pour cet article.Je viens de recevoir copie d’une lettre ouverte du Pr Bernard DEBRE à V.Trierweiler. Absolument excellent. le texte ci-dessous:
Madame,
Lorsque vous êtes apparue aux côtés de François Hollande, après qu’il eut quitté Ségolène Royal, les citoyens français ont accepté votre présence, certains avec interrogation, d’autres avec un petit sourire, mais la plupart avec gentillesse. En France, l’amour est roi et les nouveaux couples qui se forment, surtout en politique, attirent plutôt la bienveillance.
Nicolas Sarkozy avait bénéficié de cette même « grâce » lorsque Cécilia était partie. Il s’en était expliqué, peut-être un peu trop, en conférence de presse et s’était marié avec Carla Bruni. Autre temps, autre mœurs, diriez-vous. Effectivement, qu’il s’agisse du général de Gaulle avec « tante Yvonne », de Giscard d’Estaing et d’Anémone, de François Mitterrand et de Danielle ou même de Jacques Chirac et de Bernadette, ces femmes versaient plutôt dans le caritatif discret que vers l’émergence people tapageuse.
Il est vrai cependant que la presse, pour François Mitterrand, a laissé tomber un manteau de discrétion sur sa double vie qu’il n’a révélée qu’à ses dernières heures. Déjà, il paraissait (mais qui a osé en parler ?) tout à fait anormal que sa deuxième « épouse » et sa fille soient prises en charge par l’État : appartement officiel sur le Quai Branly, voitures, chauffeurs, gardes du corps, cuisines et cuisiniers.
Bref ! Les frasques de François Mitterrand, gardées secrètes par des journalistes complices, ont coûté quelques 8 à 10 millions d’euros au budget de l’État
Carla Bruni n’a pas agi dans ce sens ni Bernadette Chirac. Mais vous voilà arrivé et avec vous, comme le dit la gauche, la modernité, ringardisant tout ce qui s’est passé avant.
Après tout, François Hollande a le droit d’avoir comme amie qui il veut et le temps qu’il le désire. Quant au titre de « première dame », il est usurpé. Ce statut n’existe pas et a été monté de toutes pièces par des journalistes avides de sensationnel. Vous n’avez, Madame, aucune existence légale d’autant plus que vous n’êtes ni mariée, ni pacsée. Que dirait-on d’un président de la République qui accumulerait les « premières dames » comme on accumule des amies ou des flirts ?
Vous avez néanmoins exigé d’avoir autour de vous une équipe composée d’hommes et de femmes qui vous suivent, qui vous aident, qui travaillent avec vous et qui sont payés par l’État. Au nom de quoi l’État doit-il s’occuper de votre secrétariat pléthorique ? Ce n’est pas, je pense, pour vous aider à écrire des articles dans votre journal « Paris Match ».
Voici un autre problème. Vous vous réclamez, à juste titre, du statut de journaliste et vous désirez continuer à écrire. Au début de la campagne présidentielle et même, si je ne me trompe, dès l’élection de François Hollande, vous avez clamé haut et fort que vous ne renonceriez pas à écrire dans l’hebdomadaire « Paris Match » et vous avez même annoncé que vous alliez interroger les grands de ce monde pour faire des papiers de politique étrangère ! Journaliste oui, mais journaliste politique non !
Il me semble que ce métier est incompatible avec la fonction que vous aimeriez avoir, même si elle n’est pas officielle. Vous avez donc décidé de faire du journalisme de bavardages pour bien montrer votre autonomie par rapport à votre ami François Hollande. Vous avez néanmoins accepté, demandé, peut-être même exigé de l’accompagner dans ses voyages officiels. A quel titre ? Simplement d’amie !
Il y avait et il y a toujours un obstacle : Ségolène Royal ! Vous ne la supportez pas, elle qui est pourtant mère des 4 enfants de François Hollande. Il semblerait qu’à la Bastille, lorsque François Hollande a « claqué une bise » sur les deux joues de Ségolène Royal, vous ayez exigé qu’il vous embrasse sur la bouche pour montrer la différence de statut ! Cet acte était sinon puéril du moins cruel.
Voici maintenant qu’en femme moderne, vous tweetez. Vous avez réussi, par vos bavardages, à ébranler la campagne électorale et à ridiculiser la France.
Ségolène Royal est candidate, certes parachutée, en Poitou-Charentes. Elle affronte Monsieur Falorni, implanté localement depuis de nombreuses années et ami de François Hollande. Il était naturel que les caciques du Parti socialiste viennent à son secours, elle qui avait été la femme candidate à l’élection présidentielle de 2007.
Il était peut-être moins évident que le président de la République se mêle de ces élections. En Président « normal », il avait annoncé qu’il n’y participerait pas. Les Français avaient d’ailleurs compris que le petit mot de soutien à Ségolène Royal était plus affectif que politique. Elle avait été sa compagne pendant si longtemps.
Mais vous ne la supportez pas, taraudée par la jalousie. Après le ridicule de « embrasse moi sur la bouche » que, semblait-il, vous aviez prononcé, voici maintenant la trahison ! En effet, de quoi vous mêlez-vous en soutenant Monsieur Falorni qui, au demeurant, reste très sympathique ? Est-ce en tant que journaliste politique que vous prenez position pour un candidat ?
Il s’agirait là d’une déviation intolérable de la neutralité politique d’un journaliste. Voyez-vous Monsieur Jean-Michel Apathie, Madame Ruth Elkrief, Monsieur Alain Duhamel prendre position pour qui que ce soit ? Ils devraient rendre immédiatement leur carte de presse, s’inscrire à un parti politique et ne plus parler. Certes, beaucoup de journalistes, beaucoup de journaux, sont à gauche et l’ont montré lors de ces dernières élections. Mais vous, Madame, journaliste à « Paris Match », vous n’auriez jamais dû prendre position. Ce n’est donc pas comme journaliste que vous avez envoyé ce tweet, vous êtes trop intelligente pour tomber dans un tel piège.
Est-ce pour affirmer votre indépendance vis-à-vis de votre compagnon ? Peut-être aussi pensiez-vous affirmer l’importance de la liberté de la femme ? Je ne le crois pas non plus car je ne suis pas sûr que la liberté consiste à faire des gaffes. Peut-être ce mot est-il trop faible ? Il s’agit d’une faute grave. En réalité, vous ne pouviez pas imaginer une seconde que Ségolène Royal, élue, puisse un jour arriver au fauteuil de présidente de l’Assemblée nationale. « Comment cette femme, qui était avec mon ami auparavant, qui a vécu si longtemps avec lui, peut-elle revenir en pleine lumière ? ».
Mais, pire encore, vous imaginiez, dans vos rêves les plus épouvantables, dans les cauchemars les plus terribles, les cérémonies officielles présidées par François Hollande obligatoirement accompagné par Ségolène Royal, en tant que quatrième personnage de l’État. Vous cauchemardiez à l’idée de voir ces grands dîners à l’Elysée, ces dîners officiels où votre place était équivoque, alors que Ségolène, rayonnante, aurait été proche de votre ami par la grâce du protocole. D’ailleurs, c’est pour cette raison déjà qu’à La Rochelle, vous aviez exigé, semble-t-il, que François Hollande parle de vous comme de « son unique amour ». Petite flèche
empoisonnée dans le dos de Ségolène Royal.
La France, par ce tweet, a été ridiculisée dans le monde entier. Une si petite phrase ayant de telles conséquences ! Vous avez non seulement desservi la France où vous n’avez aucun rôle à jouer même si vous avez accompagné François Hollande dans ses voyages officiels à l’étranger (ce qui, déontologiquement, diplomatiquement, était déjà une extravagance), mais vous avez desservi le président de la République élu par une attitude grotesque de femme jalouse qui se mêle de politique pour entraver la carrière de son ami ou compagnon.
Vous avez ridiculisé et humilié les femmes des autres présidents français qui, elles, faisaient de l’humanitaire. Vous avez, semble-t-il, balayé d’un revers de la main ces actions remarquables qu’elles avaient menées et, par conséquent, vous avez méprisé tous ceux qui, en France ou ailleurs, ont consacré leur vie aux enfants, aux handicapés, à ceux qui étaient atteints du SIDA, etc.
Bref, ce petit tweet de rien du tout a été le révélateur, Madame, d’un malaise que les Français n’osaient pas admettre, qui mélange la faiblesse du président de la République et la méchanceté de sa compagne.
Acceptez, Madame, mes sentiments mêlés de tristesse, de rage et de surprise.
Pr. Bernard DEBRÉ
Ancien Ministre
Député de Paris
Nous avons publié cette lettre il y a quelques jours.
Ok c un grand scandale! Un chef de cabinet et 6 ollaborateurs pour cette femme qui n’a aucune légitimité!