Ce n’est pas encore la chute. Un retournement est toujours possible. Mais le moins qu’on puisse dire est que le camp Obama traverse une très mauvaise passe, et Barack Obama lui-même ressemble de plus en plus à un ballon de baudruche juste après le coup d’épingle fatal.
Après les épisodes Obama Président juif, Obama Président gay, et Obama Président dont le fils pourrait être un jeune délinquant noir, après l’épisode Obama féministe considérant qu’une femme qui éduque ses enfants ne fait vraiment rien de sa vie, et l’épisode Obama Karl Marx et chantre de la justice sociale, il y a eu ces derniers jours l’épisode Obama foudre de guerre révélant qu’il a une liste de gens à éliminer par exécutions ciblées, et laissant des gens de son administration dire que les virus Stuxnet et Flame qui ont frappé l’Iran, cela vient directement de lui.
L’opération ne réussit, pour autant, pas mieux que les précédentes.
Les exécutions ciblées décidées en petit comité, sans déclaration de guerre, sans consultation du Congrès, et les listes établies dans le bureau ovale avec quelques conseillers passent mal auprès de la gauche pacifiste, qui a été longtemps la base sur laquelle Obama s’appuyait, et elles passent tout aussi mal auprès des conservateurs, qui voient là un viol de la Constitution. Les déclarations sur Stuxnet et Flame sont fort peu appréciées en Israël, puisque les éléments divulgués montrent que les virus ont été développés en coopération entre services israéliens et services américains, puisque les programmes de développement ont été élaborés sous la présidence Bush et pas sous la présidence Obama et puisqu’il y a là divulgation d’éléments « secret défense » mettant en danger des agents américains et israéliens.
Le comité du Congrès sur le renseignement a décidé de mettre en place une commission d’enquête, et les Démocrates y participent de concert avec les Républicains. La sénatrice démocrate Dianne Feinstein et le sénateur républicain Saxby Chambliss ont publié mercredi dernier un communiqué conjoint dans lequel ils déclarent qu’il y a là « une menace imminente et des dommages irréparables à la sécurité nationale ». Si ce n’est pas une accusation, cela y ressemble fortement.
En parallèle, Barack Obama s’en est pris à la finance et au capitalisme avec des accents à la Hugo Chavez. Ce qui lui a valu des remarques acerbes des Républicains, mais aussi de démocrates éminents, tels Cory Booker, le maire de Newark ou un certain Bill Clinton, mari d’Hillary, et ancien Président. L’un et l’autre ont un peu plus tard retiré leurs propos, mais les ont néanmoins tenus, avec éclat. Il se dit d’ailleurs avec insistance à Washington que Bill ne supporte pas Barack, trouve que c’est, comme le suggère un livre à succès (Edward Klein, The Amateur: Barack Obama in the White House) un amateur incompétent qui risque de conduire le parti démocrate au désastre : je ne contredirai pas ce qui se dit à Washington, et je me contenterai d’ajouter qu’en supplément d’être un amateur incompétent, Obama est un gauchiste dangereux, ce que le livre à succès ne dit pas, mais que d’autres livres disent amplement : ainsi David Limbaugh, dans The Great Destroyer: Barack Obama’s War on the Republic. On annonce pour fin août un ouvrage explosif de Dinesh D’Souza, Obama’s America: Why We Can’t Afford Four More Years Under Barack Obama.
Discernant que sa campagne commençait à tanguer très sérieusement, Barack Obama a annoncé qu’il prononcerait un discours important sur l’économie, jeudi dernier. Les commentateurs les plus démocrates et les plus charitables ont dû se résoudre à écrire que c’était un discours terne et sans idées : certains d’entre eux, quasiment désespérés, ont suggéré à Obama de se ressaisir. Les commentateurs pas du tout démocrates et peu enclins à la charité envers un homme qu’ils tiennent pour un imposteur ont eux affirmé que c’était un discours nul, avis que je partage en précisant : nul et dogmatique.
Le discours sur l’économie ayant eu ce retentissement, dès le lendemain, Barack Obama a prononcé un discours sur l’immigration, promettant d’éviter à des milliers d’immigrants illégaux présents aux Etats-Unis toute mesure de poursuite et d’expulsion, ce qui signifie qu’il espère attirer vers lui des votes de la communauté latino qui pourraient lui faire défaut.
A ce rythme, la campagne de Mitt Romney n’aura pas à faire beaucoup, et pourra se contenter de regarder le ballon Obama se dégonfler erratiquement en émettant de lamentables bruits de pétard mouillé.
La campagne de Mitt Romney fait un peu davantage : elle utilise en ce moment des déclarations d’Obama en 2009. Obama disait alors que si, en 2012, les chiffres du chômage restaient élevés et que s’il était en situation d’échec, il ne méritait pas d’être réélu. Les chiffres du chômage restent élevés. Il faut être très gentil pour dire qu’Obama est en situation d’échec : Néron quand il incendiait Rome était-il en situation d’échec ? Mais la conclusion d’Obama en 2009 était et reste imparable : Obama ne mérite pas d’être réélu. Pourquoi la campagne de Mitt Romney se priverait-elle de citer Obama ?
Un retournement est toujours possible, disais-je. Mais Obama semble en fin de parcours.
Lui reste-t-il des tours dans son sac ? Nul ne doit le sous-estimer. Se demandant si Obama était socialiste, récemment Thomas Sowell disait que la réponse était peut-être non, et il ajoutait qu’un autre adjectif conviendrait mieux : fasciste.
Un fasciste peut-il réussir aux Etats-Unis ? Thomas Sowell posait la question.
Si Obama doit quitter la présidence, et s’il doit être poursuivi pour haute trahison, il lui restera en tout cas un pays auquel il pourrait demander asile : la France. Selon un sondage récent, si les Français votaient aux élections américaines, ils voteraient à 92% pour Barack Obama. Qu’attendre d’autre d’un peuple qui a donné les pleins pouvoirs à François Hollande ?
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Guy Millière pour www.Dreuz.info
Cela m’étonnerait que les 20% de Français qui votent FN ou DLR et qui sont dans la mouvance Bloc Identitaire aient voté pour un Hussein Obama !
En France ,c’est vrai qu’on est cons et qu’on n’a ni pétrole ni idées mais quand même…
Bob, On est juste c apables de vopter pour un Hollmande et croire que les national-communistes étaient un partui résistant?
Sur le Jerusalem Post il y a aujourd’hui un article encourageant a ce sujet. Meme si on peut y lire :
« A Quinnipiac University survey this week showed Obama is ahead of Romney 46 percent to 40 percent in Pennsylvania, with support from women and independent voters. The poll, taken June 5 to 10, had a margin of error of 3 percentage points. »
il semblerait que l’on voit le bout du tunnel avec Romney.
http://www.jpost.com/International/Article.aspx?id=274087
97 % des francais voteraient pr Obama? Pas etonnant, ces tps-ci, les francais aiment qu’on leur mentent. Un soit disant beau mec, noir qui devient president, ca a de quoi faire rever la menagere de moins de 50 ans!! En attendant l’election d’Obama … en France, il va falloir se contenter du vaudeville de Hollande et de sa maitresse.
Ça me rappelle une question, ça… le premier cocu de France, Denis Trierweiler, a-t-il des collaborateurs à l’Élysée?
@Caton
Quelqu’un qui en principe semble être au parfum des arcanes républicaines vient de me dire que la copine du Président est bien divorcée.
Etant donné que beaucoup disent qu’elle ne l’est pas, où se trouve la vérité.
Divorcée ou pas…. that is the question?
Un « acte de naissance » a bien été publié, indiquant un divorce en 2010 prononcé par le JAF du TGI de Pontoise en Moselle.
Hélas, il n’y a pas de TGI de Pontoise en Moselle. Pontoise, c’est dans le Val-d’Oise.
A chacun de voir, en ce qui me concerne le fait qu’un faux ait été publié confirme qu’elle n’est pas divorcée.
« 92 % des Français voteraient Obama » (sondage réalisé auprès d’un échantillon représentatif de journalistes français, suivant la méthode des quotas)
Et après on traite les Française de racistes !!
Selon la phrase, ce seraient 92% des journalistes français qui voteraient Hussein Obama, ça c’est pas un scoop! Quel intérêt?
Dans ce cas que vient faire la « méthode des quotas » là-dedans? X% journalistes de droite, Y% de gauche, etc…?
Merci de préciser pour le béotien que je suis.
Ne craignez rien. racistes ils le sont. Mais ils bne pardonnent pas et ne pardonneront jamais ni la Libération ni le plan Marshall (qui comprenait un volet alimentaire ne l’oublions pas. Voilà popurquoi ils aimment Obama: parce uaqu’ils révent qu’il détruise l’Amérique.
Qu’attendre de plus d’un homme qui a bâti don succès non sur ses qualités propres mais sur sa couleur de peau, le vote communautaire et un programme d’une débilité confondante.
Je tiens quand même à mettre en avant deux ou trois choses, en comparant les E-U et la France.
Quand B.Obama raconte n’importe quoi, il existe toujours nombre de médias aux Etats-Unis pour le noter et montrer à quel point le personnage est médiocre et malfaisant.
Il existe toujours des membres du Congrès qui n’hésitent pas non plus à le dire et le montrer.
Mieux encore on voit de plus ne plus de démocrates suivre ce chemin, avec certes en langage plus diplomatique.
Nous en France, avons un président qui veut mutualiser les dettes européennes.
Ainsi les pays sains se verraient forcés de payer la mauvaise gestion des pays malsains, devenant malsains eux-mêmes.
Comme cela ne reviendrait qu’à écoper un navire en train de prendre l’eau avec une petite cuillère, le problème ne serait pas réglé juste retardé et partagé avec les membres de l’UE qui pouvaient espérer échapper au désastre.
Cela sera une nouvelle pierre à la construction de l’URSSE.
De plus ce président a à ses côtés une femme qui au prétexte d’être indépendante se révèle incontrôlable et probablement légèrement dérangée ou faible intellectuellement, l’avenir le dira.
Ici cependant pas un mot sur la nullité de François Hollande, le fait qu’il est en train de faire de la France un maux à l’échelle internationale, et, ayons bon espoir, un fléau d’ici 5 ans.
La médiocrité règne en France, et comme la gauche ne supporte pas la différence, elle souhaite l’exporter à l’international.
Une seule chance désormais, que les prix de la médiocrité explosent.
On m’a reproché ici sur dreuz d’utiliser le qualificatif de « fasciste » pour tout ce qui ne me plaisait pas. Mais le socialisme est une idéologie fasciste. Ce que Thomas Sowell dit est ceci: « On parle de socialisme (ou de socialo-communisme) lorsque l’Etat détient les moyens de production » et « On parle de fascisme lorsque les politiciens s’évertuent à donner des ordres aux entrepreneurs quant à la gestion de leurs entreprises ». Nous ne parlons pas ici de normes de sécurité alimentaire, ni de normes de propreté environnementale, ni de normes de production conduisant à la certification au regard de l’assurance-qualité. Le socialisme a une forte tendance à pratiquer les deux travers décrits ci-dessus et ce via l’étatisme: il s’approprie, au nom d’un soi-disant bien commun que seul le socialisme est en droit de déterminer les contours, les moyens de production, notamment par des politiques confiscatoires et d’expropriation (ex. nationalisations) totalement arbitraires, et il s’immisce constamment dans la gestion et les choix stratégiques des entreprises privées sous peine de représailles fiscales, sociales, etc. totalement arbitraires. En Belgique comme en France, la dernière démagogie à la mode est qu’on veut limiter les salaires des chefs d’entreprises privées à un plafond qui serait évidemment déterminé par les fonctionnaires (des ratés aigris, jaloux et envieux) de l’état-PS, un PS qui possède de nombreuses casseroles financières, le vrai socialisme étant évidemment pour les autres. Le socialisme, à défaut d’être totalement un fascisme, est fascisant, fascistoïde. Pour le reste, vous êtes, Guy Millière, très au fait de la situation en Amérique et votre travail de réinformation est capital afin de relayer auprès du public francophones ces informations systématiquement occultées par des medias généralistes européens devenus inutiles pour la plupart. On est mieux informés de ce qui se passe dans le monde grâce à Sébastien et son grand Cabaret qu’avec Loloche Ferrarire.
Merci d’avoir traduit les définitions donnés par Thomas Sowell. Je ne les avais pas incluses pour ne pas alourdir l’article. Elles sont, bien sûr, très pertinentes.
Le drame de la droite est de ne point exister en tant qu’idéologie et toute son énergie est orientée vers la création de richesse. On est bien à l’opposé de ce dragon caméléon qui offre le paradis sur terre sous tellement d’appellations qu’il est presque impossible de démontrer toutes les ramifications de ce filet madrague qui oriente les proies consentantes vers le sacrifice ultime. Vous décrivez avec brio la méthode mais il ne faut pas oublier la » potion magique » qui rend aveugle : ils s’occupent des pauvres et des démunis, qui ont même droit à des camps de vacances à vie.
Les « pauvres et des démunis » sont leur base électorale la plus large, ils font donc tout pour la conserver d’abord, pour l’élargir ensuite. Ce n’est pas pour rien que l’un des surnoms de M. Obama c’est « M. coupons alimentaires. »
Si un membre de cette base électorale décide de se prendre en charge et quitte, comme le dit Herman Cain « la plantation démocrate », il est considéré comme un traître par ses anciens camarades (mais il s’en remet généralement très bien).
Et en plus de tous les couacs évoqués par le Professeur Millière, il y a l’affaire du Fast and Furious qui va probablement provoquer la démission de l’Attorney General Eric Holder, un autre (très peu) Noir nommé par M. Obama à ce poste.
Il va falloir compter sur des fraudes électorales comme celles enregistrées récemment en Wisconsin pour la ré-élection du Gouverneur Scott Walter : 119% des électeurs démocrates opposés au Gouverneur ont voté.
J’aurais effectivement pu citer ce qui arrive à Eric Holder, qui vient s’ajouter au reste. J’y reviendrai prochainement. La décomposition de l’administration Obama va, je pense, s’accentuer.
Quatre ans de président sorcier cela suffit, ne croyez-vous pas ??
Merci Guy Millière pour cet article instructif et bien informé comme tous les autres, mais cette fois optimiste.
Bat Ye’or
Merci, chere bat ye or, et toute mon amitie fidele.
Une chose qui m’étonne, c’est pourquoi l’affaire du faux « birth certificate » d’Obama laisse les média indifférents (excepté peut-être le Washington Times).
Car enfin, l’équipe des spécialistes du Shérif Arpaio a clairement démontré que le certificat avait été fabriqué par des procédés numériques.
Cette affaire pourrait bien pourtant permettre aux Républicains de se débarrasser définitivement de leur adversaire, non?
A mon sens, la possibilité que BHO s’avère inéligible fait peur à tout le monde. En effet, dans ce cas, l’ensemble des actions de l’exécutif depuis janvier 2009 seraient illégales… vous imaginez les conséquences.
Une loi pour les valider ne serait pas impossible.
Le titre du bouquin de Edward Klein : « the Amateur : Barack Obama in the White House », n’est pas le bon !
J’aurais préféré : « the specialist : BHO in the WH »
Spécialiste (expert) en Saul Alinsky.
Le drame pour cet expert en subversion, ce théoricien de Saul Alinsky, est qu’il n’y a pas de chapitre chez cet auteur qui traiterait de la conduite à tenir pour un « camarade infiltré » au poste de la magistrature suprême à la tête de l’Etat pour organiser ce job. Obama a donc du improviser car il a du tenir caché ses rouages secrets, ses motivations intimes, même à son entourage démocrate, sauf sans doute à quelques conseillés personnels très spéciaux (les tsars de White-House selon la terminologie de Guy Millière) engagés directement par « H » (comme on disait « W » pour George Walker Bush) qui devaient avoir, pour certains, très bien compris ce qui se passait réellement !
Même si certains démocrates peuvent être (très) liberals (à gauche), nombre restent des patriotes américains, porteurs des valeurs de l’Amérique. Obama a du avoir du mal à trouver des relais dans son entourage officiel pour ce travail confidentiel, la sape du système, l’affaiblissement des USA.
Mais le système par sa souplesse, par son mode de fonctionnement, la sélection des hommes, la séparation des pouvoirs, les libertés en place, les contre-pouvoirs, s’est montré plus résistant finalement que cet infiltré marxiste, tiers-mondiste, musulman, anti-capitaliste, anti-blanc, antisémite, communautariste (pour ne pas dire raciste), a pu lui-même le penser et surtout s’est révélé trop « intelligent » pour les capacités et les visions idéologiques de notre bonhomme.
Aujourd’hui Obama va peut-être changer son fusil d’épaule en vue des élections, en essayant de donner des gages et de jouer à l’illusionniste. Mais les tours d’illusionniste ne marchent plus quand les ficelles de leurs auteurs sont devenues trop grosses et que les premiers rangs commencent à les apercevoir et à les montrer du doigt.
Le théâtre d’ombre s’efface quand la lumière revient.
Quand les musulmans – et les communistes – parlent des Droits de l’Homme, c’est pour ne pas parler des attentats qu’ils commettent, quand ils parlent des Droits de la Femme (oui, ils osent !) c’est pour infiltrer la commission onusienne éponyme, quand ils parlent de flottille de la paix, c’est qu’elles apportent de l’aide au terroristes eu Hamas, quand ils parlent des agressions juives, c’est quand ils tirent quotidiennement des rockets sur les civils israéliens.
Quand Obama a fondé sa campagne présidentielle sur l’espoir , nous aurions du comprendre que c’était bien le cauchemar pour les US qui était annoncé.
Espérons donc que les électeurs nous apportent bientôt le changement espéré.
Le slogan pour 2012 est Forward. En avant. Tout un programme….
« En avant » (« Forward » et en russe « Vpiriod ») est un slogan récurrent chez les socialo-marxistes. En Europe, nombreux sont ceux qui croient encore que les détracteurs d’Obama sont racistes. Ca n’a absolument rien à voir. Quand on connaît le programme de Barack Désiré et ses références politico-philosophiques (Bill Ayers, Saul Alinsky, Frank Marshall Davis et Jeremiah Wright), on ne peut qu’être perplexe au mieux et qu’être terriblement dégouté au pire tellement c’est « un-American ». C’est tellement incroyable qu’on peut se demander comment le Parti Démocrate traditionnellement de centre-gauche peut compter ces zozos dans ses rangs. Il est vrai que le PS américain n’est pas suffisamment puissant. Il fallait donc infiltrer le DNC et en former l’aile gauche. Barak Désiré, sa sainte nitouche Michelle et toute la bande des « petits tsars » proviennent en fait de l’extrême-gauche américaine. Tous, sans exception. Curieux, non? Le VP Joe Biden et Jean-François Kerry valent ce qu’ils valent, mais ne sont pas à proprement parler des vietcongs. En France, ce serait la gauche caviar bon teint version UMPS. Oui, je considère l’UMP comme un parti de centre-gauche. C’est un PS soft, mais tout aussi nuisible et déconnecté.
La fin de la présidence Obama n’est pas loin:
http://newmediajournal.us/indx.php/item/5932
Le grand bon en avant maoïste ! En effet tout un programme qui conduit inéluctablement vers le grand bon en arrière.
Lors de son élection, Hussein a fait l’admiration de tous les démocrates du monde et même d’une partie des républicains qui se disaient déçus de G.W Bush. Ce dernier a fait l’objet d’une véritable curée, en cause principalement la guerre en Irak. Finalement, il n’a fallu à ces gogos que 4 années de présidence Obama pour que leur rêve devienne cauchemar.
Ce pauvre Bush a rendu possible la diffusion de films sur sa politique jugée outrancière et fumiste, de documentaires dans le même style, de quolibets limite injurieux, de chaussures lancées à son visage et à son effigie, bref on a regardé faire Hussein Obama, surtout en Israel, et l’on s’est vite aperçu de sa politique, c’est tout à fait vrai : fasciste !
Sa batterie de casseroles est suffisamment conséquente aujourd’hui pour qu’enfin les américains ouvrent les yeux ! Il faut espérer que nous pourrons attendre en Israel, de Mitt Romney, un engagement fidèle cette fois ! Le rêve est permis.
Je suis d’accord avec beaucoup de reproches faites à Obama. Et je suis d’accord avec le constat que l’Europe est très largement pro-palestiniene, voire pro-Hamas. Néanmoins, je ne vois pas en quoi le rêve du Grand Israël (disons sans la bande de Gaza) est légitime. Je pense que quelque soit la supériorité culturelle, scientifique, économique et démocratique des Israëliens sur les Palestiniens et quelque soit l’histoire du peuple juif, force est de constater que ce rêve implique la création d’un nouveau peuple sans terre. Car les Palestiniens ne sont ni Egyptiens, ni Libanais, ni Syriens, ni Jordaniens. En dehors des problèmes du contrôle de l’eau et de la sécurité, il n’y a pas beaucoup d’arguments à la poursuite de la colonisation. J’ai la désagréable impression que certains ont peur que la résolution de ce conflit signifierait la fin d’Israël voir de l’Occident. Je pense qu’en cas de paix (sans retour des réfugiés palestiniens en Israël évidement), Israël sera tout à fait capable de contrôler ses frontières et d’empêcher l’imigration clandestine qui risque, certes, d’augmenter.
« Car les Palestiniens ne sont ni Egyptiens, ni Libanais, ni Syriens, ni Jordaniens. » : tout au contraire ! Ils viennent d’Egypte, de Syrie, de Jordanie surtout, pour travailler. Ce n’est surtout pas un peuple.
(1) « Car les Palestiniens ne sont ni Egyptiens, ni Libanais, ni Syriens, ni Jordaniens”
Vraiment ? Ce n’est pas ce qu’ils disent quand ils ne mentent pas, c’est-à-dire lorsqu’ils ne s’adressent pas aux gogos occidentaux :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=CbuM91PeSOs
Mais bon, si vous y tenez, donnez-nous des informations sur ce «peuple palestinien» totalement diffèrent de tous les autres Arabes de la région :
– quand et par qui a été fondée la Palestine ?
– quelles étaient ses frontières ?
– quelle était sa capitale ?
– quelles étaient ses principales cités ?
– quelle était sa langue officielle ?
– quelle était sa religion ?
– en quoi consistait son économie ?
– quelle était sa monnaie ?
– quelle forme de gouvernement avait-elle adopté ?
– quels ont été ses chefs d’Etat ?
La réalité, c’est que ce sont des Arabes, venus d’Egypte (comme Arafat), de Syrie, du Liban et d’ailleurs à partir des années 1920, attirés par les opportunités créées par la première vague d’immigration juive du début du XXème siècle.
(2) Les « palestiniens » ne sont pas Jordaniens
Vraiment ?
L’ancien territoire palestinien arraché à la Turquie, dont vous trouverez facilement une carte sur internet, a été amputé en 1921 des trois-quarts de sa surface par les Britanniques, qui en ont fait cadeau sous le nom de Jordanie au cheikh Abdullah pour le remercier de son appui pendant WWI.
Les Arabes «palestiniens» s’appellent maintenant «les Jordaniens». Si ces derniers n’ont pas accepté d’accueillir le restant de leurs «frères palestiniens» sur leur territoire quatre fois plus étendu que celui d’Israël, c’est d’une part pour participer au mythe des «palestiniens» destiné à faciliter la destruction d’Israël (le livre du Professeur Millière « Comment le peuple palestinien fut inventé” vous fournirait tous les détails concernant ce fait) ; et d’autre part, pour éviter que la Jordanie ne tombe sous le contrôle de ces terroristes, qu’ils ont fini par expulser en 1970 (c’est le Liban qui en a hérité, pour son malheur).
(3) La colonisation
Quelle colonisation ? Cette « supériorité scientifique, culturelle, etc.. : » dont vous parlez n’a rien à voir avec la légitimité de l’Etat d’Israël.
Les Juifs sont de retour dans le peu qui reste de leur ancien pays, point barre. Ils sont chez eux en Galilée, en Judée – particulièrement en Judée qui porte leur nom – en Samarie, partout en cette terre qu’ils n’ont cessé d’arroser de leur sang depuis 5.000 ans et où dorment leurs ancêtres. Et ils sont là pour y rester, il faut vous y faire.
Quelle colonisation ? Je suppose qu’il veut parler de la colonisation de la Judée et de la Samarie par M. Abbas et des Arabes. Je n’en vois pas d’autre.
jean patrick et atikva ont raison. vous devriez lire d urgence le livre que je signe avec david horowitz, comment le peuple palestinien fut invente.