Monsieur Le Président de la République française, François Hollande,
Le 11 septembre 2001 est une date qui a marqué les esprits. Chaque individu se souvient… Onze ans déjà.
Le 6 septembre 1972 est aussi une date que nul ne doit oublier…
Quarante ans déjà.Les jeunes n’ont pas connu. Les plus anciens s’en souviennent.
Ce jour là, onze athlètes israéliens étaient assassinés, à Munich, en plein Jeux Olympiques, sous les yeux stupéfaits et impuissants du reste du monde qui réalisa que l’antisémitisme n’était pas mort avec la Shoah.
Ce jour là fût ôtée la vie d’innocents, dans un contexte sportif, loin des champs de bataille, lors de Jeux Olympiques où le fair-play est la doctrine principale. Tout simplement parce que ces athlètes étaient juifs.
Monsieur Le Président, quarante ans ont passé, mais la peine et les cicatrices n’ont jamais pu se refermer. Le temps de la vengeance est révolu, voici venu celui de la mémoire, qui honorerait les Jeux de Londres 2012.
Rien ne pourra jamais réparer cette horreur, mais en revanche, une minute de silence en leur mémoire pourrait être le signe du refus du terrorisme pour que, jamais plus, une nation, un peuple, n’ait à revivre un tel drame.
Monsieur Le Président, ne serait-il pas juste, ne serait-il pas à votre honneur, et celui de la France, de commencer votre quinquennat par ce geste qui ferait de vous celui qui a demandé, et obtenu, du comité international olympique, une minute de silence.
Des personnalités du monde politique nous ont rejoint : ministres ou anciens ministres, sénateurs, députés. Ils ont compris l’importance pédagogique d’une telle action, de ce geste qui sera pour les générations actuelles et futures une source d’inspiration contre ce fléau qu’est le racisme, et dans ce cas précis, l’antisémitisme.
« Une minute donnée pour onze vies volées » n’est pas, monsieur le Président, une requête démesurée pour dire NON à la terreur, NON au racisme et NON à l’antisémitisme.
Nous vous remercions pour votre action, qui sera entendue par le CIO, et vous prions, monsieur le Président, de croire en notre profond respect.
© Jonathan Curiel & Michael Marciano, Maire Adjoint de Massy
L’article original a été publié sur JSS News
« Cette idée nauséabonde aux relents d’islamophobie rappelle les heures les plus sombres de notre histoire. »
— un représentant de la gauche olfactive
On ne saurait mieux dire. Juppé, « NKM » et autres Raffarin applaudissent ces déclarations.
Vous exagérez avec Raffarin! C’est l’avenir de la France, tout le monde le sait 😉
pourquoi une minute de silence pour les victimes d un attentat est il nauseabonde ???? c est votre commentaire qui est nauseabonde est deplacer
et perdre le soutient des arabes et des islamophiles ? faut pas rigoler !!!
Alors que le gouvernement Hollande est avec Obama le meilleur supporter de la prise du pouvoir par les islamistes au Proche Orient (et ailleurs, mais il faut bien commencer quelque part) ? Vous plaisantez, je suppose.
Si on veut que François lise cette lettre , il faudrait envoyer une copie à une personne qui comprend le sens du mot « silence ». Agissante d’une main ferme elle est le seul membre de l’équipe dirigeante qui se met à la hauteur de sa fonction. Jalouse de ses prérogatives elle a en outre l’oreille et plus de notre courageux* président, je veux dire: Valérie.
* « N’écoutant alors que son courage qui ne lui disait rien, il se garda d’intervenir. »
Jules Renard
L’importance de cette demande n’échappera à personne.
Si le CIO ne permet pas cette minute du souvenir, ce sera une défaite au goût amer, une défaite ignoble. Ce sera la victoire de la lâcheté et du renoncement.
Cet évènement, c’était l’assassinat de 11 innocents dans un cénacle de la paix entre les nations et les peuples. un lieu symbolique, un lieu sacré. C’était onze assassinats et une profanation. Une barbarie et une insulte à l’Humanité.
Aujourd’hui, on protège donc les assassins. On cache les corps suppliciés sous le tapis du barnum planétaire où les flons-flons ne sauraient être troublés par les pleurs de ceux qui se souviennent.
Silence donc ! les pétrodollars des assassins ont payé la fête. Les émirs du golf trônent dans la tribune d’honneur, ghutrah et agal sur la tête et le bisht entrouvert sur leurs ventres imposants qui tend l’étoffe blanche de leur thawb. Allah akbar !
Ils sont assis à la droite de Jacques Rogge qui leur a déroulé le tapis rouge.
Onze Juifs innocents sont tués une seconde fois, Coubertin et tous les hommes de bonne volonté sont insultés. On foule au pied l’idée même de la fraternité humaine et l’héritage du passé occidental de ce rassemblement olympique.
Honte à Jacques Rogge.
Il faut de toute façon faire quelque chose, prévoir une action alternative en cas de refus et jeter l’opprobre sur les instances dirigeantes du CIO. Il faut faire sonner le shofar dans l’enceinte.
« les yeux stupéfaits et impuissants du reste du monde qui réalisa que l’antisémitisme n’était pas mort avec la Shoah. »
-> Je ne suis pas d’accord du tout pour parler d’antisémitisme au sujet du drame de Munich. Ce sont des athlètes israéliens qui ont été tués et pas « simplement » juifs. Ce fut un acte de guerre terroriste qui visait Israël, c’est l’information principale.
Je pense que tout amalgamer et en appeler systématiquement au racisme dès qu’un individu d’une certaine communauté est tué ou agressé, cela brouille les cartes et contribue à affaiblir les notions de racisme :
– D’une part, cela fait le jeu de ceux qui disent qu’Israël se drape derrière l’épouvantail de l’antisémitisme et ressort « la Shoah » dès qu’on l’attaque (au sens propre ou au sens figuré).
– D’autre part, en dévalorisant la notion de racisme (puisque l’on réduit tout à cela), on amoindrit la portée des vrais crimes de racisme et on salit la mémoire des vraies victimes du racisme. Je pense aux enfants juifs de Toulouse ou encore aux juifs portant la kippa agressés à Villeurbanne, car c’est cela l’antisémitisme, le racisme : c’est viser des gens en raison de leur seule « appartenance ethnique » supposée.
Pour en revenir à Munich, le fait que des athlètes civils innocents aient été touchés ne change rien à la donne. Qu’il y ait un fond ou non d’antisémitisme non plus : la tragédie est avant tout politique.
Il ne me viendrait pas à l’idée de parler de racisme anti-blanc pour désigner l’attentat du RER B à Saint Michel en 1995 qui, comme à Munich, a tué des civils innocents au nom d’une cause très floue, c’était là aussi avant tout un acte politique (même s’il se nourrit au demeurant d’un sentiment anti-français, et sans doute probablement aussi d’une forme de racisme anti-blanc).
Cela vaut pour Israël comme pour toute autre nation : quand on est en guerre (déclarée ou non), il faut s’attendre à des représailles envers ses ressortissants (je ne dis aucunement que c’est légitime). Nous sommes dans une ère moderne et mondialisée (à tort ou à raison), et il faut juste prendre conscience que les civilisations arabo-musulmanes sont intrinsèquement moyenâgeuses, et l’inertie culturelle empêchant toute évolution rapide d’une société, elles entendent exprimer leurs revendications politiques par la terreur, les massacres ou ce que les sociétés modernes pourraient appeler « l’injustice ».
Pour finir sur Munich, je trouverais très sain en effet que l’on accorde une minute de silence symbolique aux jeux olympiques de Londres à la mémoire des douze assassinés (onze israéliens + 1 policier allemand), qui sont un symbole de toutes les victimes de la violence et de la haine dans le monde. Mais pitié, laissez les victimes de la Shoah reposer en paix sans les téléporter dans un conflit dont ils n’ont rien à voir, sans servir d’abject bouclier humain comme le font les palestiniens avec leurs enfants.
Votre point de vue est sans doute aussi respectable qu’un autre pourtant je ne suis pas d’accord ave votre maniere de separer le politique du religieux. Cette maniere de voir est tre occidental et particulierement francaise/ Je ne suis pas une specialiste mais Israel ne peut se contenter de parler ‘d’acte politique » lorsqu’on assassine ses ressortissants. Ce pays est le seul etat juif qui existe et que les juifs y soient ou non religieux,ne change rien a l’affaire> Nous sommes « juifs « au yeux du monde. Pourtant je trouve que vous avez raison sur un point essentiel. Point n’est besoin d’evoquer la Shoa pour condanner un massacre de juifs. Vous avez raison: »
Mais pitié, laissez les victimes de la Shoah reposer en paix sans les téléporter dans un conflit dont ils n’ont rien à voir, sans servir d’abject bouclier humain comme le font les palestiniens avec leurs enfants. » Je ressens le meurtre de tout juif comme un drame ( comme d’ailleurs de tout innocent massacre) sans avoir besoin de remonter jusqu’a Abel!
Eh bien, je serai d’accord avec vous : religion et politique sont liées. Ma volonté n’était pas vraiment de les dissocier mais plutôt à l’inverse de ne pas les confondre totalement non plus.
Intéressante aussi votre remarque sur la manière de voir française. Vous avez raison, le prisme de l’analyse des choses influence notre vision.
Pour conclure, si je parlais d’aspect politique des évènements de Munich (plus que religieux ou raciste), c’est parce que tout ceci est la conséquence de ce qui se passe au Proche-Orient. Sans Israël, il n’y aurait pas eu de « Munich ». Ce n’est donc pas le facteur religieux qui importe : on ne visait pas des juifs, on visait Israël. Tout ceci n’est qu’une histoire de conflits territoriaux : IRA, indépendantistes basques, corses ou palestiniens = même combat.
Quand on s’empare d’un territoire (cas d’Israël), il y a 3 solutions :
1- on vire les populations locales (ex : reconquista espagnole).
2- on extermine les populations locales (indiens d’Amérique par les américains)
3- on cohabite avec les populations locales (ce qui fait courir des risques de tension s’il n’y a pas fusion complète entre les groupes de population. Ex : Algérie française, Irlande du nord, et généralement toute zone géographique où il y a des revendications indépendantistes des autochtones. Mais des fois, ça se passe bien : romanisation de la Gaule par exemple).
Je préfère la solution 1 qui me semble la plus saine et la moins source de violence à court et à long terme.
Israël est un mélange de 1 et de 3. Il est donc confronté à une tentative de reconquista des populations arabo-musulmanes de la région.
Comment vous repondre alors que vous touchez a des categories particulierement complexes? Vous vous situez comme observateur des phenomenes terroristes et a votre point de vue, tout justifie un acte terroriste puisqu’il se justifie du fait de l’injustice a lui infligee. Comme vous le dites si bien « Sans Israël, il n’y aurait pas eu de « Munich ». Ce n’est donc pas le facteur religieux qui importe : on ne visait pas des juifs, on visait Israël. »Le probleme voyez vous (!)c’est qu’a ce compte la 1- vous delegitimisez completement Israel
2-Il n’y a aucune difference entre juifs et israeliens. Vous ne pouvez pas concevoir ce que les arabes eux comprennent fort bien en attaquant des athletes completement innocents mais Juifs et israeliens, ils faisaient d’une pierre deux coups: Ils frappaient les juifs et les Israeliens. Et en plus, ils savaient et savent toujours que l’Occident lui en fait deux categories differentes et justifie ainsi leur action. Quand comprendrez vous. Juifs=Israeliens n’est pas une injure mais un pleonasme ,une evidence…
Bonsoir. Qu’il n’y ait pas d’ambiguïté, je ne justifie pas le terrorisme. Je cherche simplement à comprendre le déroulement des choses, en me situant par delà le bien et le mal.
Je délégitime Israël de quoi ?
Je ne comprends pas votre point de vue. « Juif » est pour moi une sorte d’identité ethnico-culturo-religieuse tout au plus, d’une réalité plus ou moins floue. Les juifs sont un peu comme des tsiganes, donc : des gens qui se revendiquent d’une appartenance distincte. Tandis qu’« israélien » renvoie à l’appartenance à un état. Que cet état revendique une identité religieuse voire ethnique ne me pose pas de problème. Mais que vous souhaitiez, vous, ne faire aucune différence entre « juif » et « israélien » me laisse éberlué. Il y a d’autres gens qui pensent comme vous ? J’ai des amis juifs qui sont français et je les considère comme des français à 100%. Ils n’ont rien à voir avec Israël. Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?
Et lors du drame de Munich, ce ne sont pas des juifs de diverses nationalités que l’on a visé, ce sont bien des athlètes 100% israéliens !
@Souchien,
Vous appelez à éviter les amalgames et mélangez tout ! « acte de guerre terroriste » ne veut rien dire.¨
Il n’y a pas d’acte de guerre contre des civils. C’est même considéré comme un crime imprescriptible en cas de guerre…
Des athlètes sur sol allemand venu dans le contexte olympique de paix (la trêve entre les nations) ne sont pas « en guerre ». Il s’agit d’un acte terroriste et rien d’autre : l’assassinat prémédité de personnes innocentes parce qu’elles sont juives, parce qu’elles sont israéliennes.
« La tragédie est avant tout politique ».
Les victimes, les familles, les proches apprécieront certainement pareille affirmation ! La tragédie, c’est la souffrance de personnes faites de sang et de chair, pas un concept intellectuel.
Merci toutefois de rappeler la mort de ce policier allemand. C’est également une tragédie et nous devons louer son geste qui est d’avoir donné sa vie pour tenter d’en sauver d’autres et honorer sa mémoire.
Il faut remarquer cependant qu’il est mort dans l’exercice de sa fonction et non pour les motifs cités plus avant : le racisme viscéral et la haine des djihadistes palestiniens pour tout ce qui n’est pas musulman, en particulier pour les Juifs.
Ce sont les Palestiniens qui dans leur agression d’Israël en appellent à Allah pour la justifier. Ils mènent une guerre de religion qui est approuvée par l’ensemble du monde musulman, élevée au rang de « cause » sacrée de l’Islam.
Politique ou religieux, s’agissant d’Israël, ce racisme spécifique s’appelle de l’antisémitisme.
Et il s’agit bien de la même haine et de la même logique que celle des théories nazis, qui furent la justification de la Shoa. Comment l’oublier ? Les mêmes causes débouchant sur les mêmes effets.
Vos distinguos entre l’assassinat d’enfants français à Toulouse et l’assassinat des onze athlètes israéliens sont si subtils qu’ils m’échappent complètement. Le point commun entre les auteurs ne seraient-ils pas qu’ils soient musulmans, le point commun entre les victimes ne serait-il pas qu’elles étaient Juives ?
Pardonnez-moi mais c’est précisément vous qui mélangez tout, au point que vous vous contredisez tout seul.
« acte de guerre terroriste ne veut rien dire. »
-> Vous avez un problème de maîtrise des mots.
– Guerre : lutte armée entre groupes sociaux, entre États, considérée comme un phénomène social. (Petit Robert)
– Terroriste (adj.) : qui utilise le terrorisme comme moyen d’action. (petit Robert)
Qu’est-ce que vous ne comprenez pas, exactement ?
« Il n’y a pas d’acte de guerre contre des civils. »
-> Bon, je note : ça n’existe pas.
« C’est même considéré comme un crime imprescriptible en cas de guerre… »
-> Ah tiens, vous condamnez ce qui n’existe pas, maintenant ?
Mais c’est très bien, vous vous corrigez tout seul : vous reconnaissez que c’est une réalité puisque vous le condamnez.
Mon cher, c’est très bien d’avoir des idéaux et de rêver en une sorte de « guerre courtoise » où l’on respecterait des règles déontologiques. Vraiment, c’est beau, je vous admire. Vous devriez militer pour les 35h sur le front : pas de tirs entre 22h00 et 9h00 ni les jours fériés.
« (…) ne sont pas « en guerre ». Il s’agit d’un acte terroriste et rien d’autre. »
-> Ok, je note : vous réfutez l’idée de guerre pour l’idée du seul terrorisme, c’est votre droit.
« Ils mènent une guerre de religion »
Oh tiens, ça y est, vous prononcez tout seul le mot fatidique : « guerre ». C’est très bien, je n’ai jamais besoin d’argumenter avec vous, vous vous corrigez vous-même.
«
« La tragédie est avant tout politique ».
Les victimes, les familles, les proches apprécieront certainement pareille affirmation ! La tragédie, c’est la souffrance de personnes faites de sang et de chair, pas un concept intellectuel. »
-> vous sombrez dans l’émotionnel alors que je fais une analyse. Ma phrase « La tragédie est avant tout politique » ne remet pas en cause la souffrance de qui que ce soit. Une tragédie reste une tragédie. Ajouter un qualificatif derrière « tragédie » ne l’amoindrit pas, c’est s’intéresser à son origine.
En relisant, je me rends compte que ma phrase « La tragédie est avant tout politique » peut-être comprise de 2 façons très différentes donc je comprends mieux votre réaction et me dois de corriger.
Je ne voulais pas dire « la tragédie est politique avant d’être humaine » mais « la tragédie humaine a une origine politique avant d’être raciste ».
SITAmnesty
Un siècle de pacifistes
En 1917, les pacifistes crièrent « Non à la guerre » ils firent… la guerre civile, et créèrent l’URSS. Massacres et camps surgirent aussitôt… Naquit un système qui fit cent millions de morts.
En 1934, les pacifistes recommandaient de déposer les armes quand l’armée allemande préparait les siennes. En 1938 les pacifistes applaudirent le pacte qui éviterait la guerre ! En 1940 les pacifistes recommandèrent de fraterniser avec les troupes de l’occupant. Quelques jours avant l’invasion les pacifistes manifestaient à Paris « pour la paix et contre le militarisme français ! »
Suivit une guerre de cinq ans d’exterminations.
En 1950 les pacifistes manifestaient pour « la paix en Indochine » pendant que nos soldats tombaient lâchés par notre gouvernement. Suivit une dictature, des camps et des massacres. Ceux qui purent tentèrent de fuir cette « paix-là » !
En 1960, les pacifistes manifestèrent « pour la paix en Algérie », tout en acclamant ceux qui égorgeaient femmes et enfants et qui posaient des bombes au milieu des civils. Les pacifistes applaudirent les accords d’Evian. L’encre à peine sèche, la population civile fut massacrée, torturée, civils et soldats disparurent ; vint ensuite le génocide des Harkis. 150.000 Harkis engagés par la France et leurs familles sont égorgés, mutilés, décapités, coupés en morceaux, cuits en méchoui, jetés aux chacals et aux chiens…
Tortures, exécutions, génocide et épuration ethniques. On n’entendit guère protester les pacifistes … après 1962.
Vint 1968 et les grandes manifestations « pour la paix au Viêt-Nam, pour la paix au Cambodge ». Les pacifistes soutinrent « le camp de la paix » contre les USA. Le camp de la paix… celui de Ho Chi Minh et Pol Pot… Suivit le génocide cambodgien, les camps vietnamiens, bref un « détail » de millions de morts, des déportations et des radeaux pour fuir par la mer. Les pacifistes ne manifestaient plus…
La Turquie envahit Chypre… les pacifistes oublièrent de manifester, la Turquie massacra les Kurdes… les pacifistes oublièrent de manifester. La Chine occupait toujours le Tibet… et qui s’en souciait ? Soudan, Indonésie, Côte d’Ivoire pays envahis et massacrés… Mugabe organisa la chasse ethnique… et vint rendre visite à Chirac… Pas de manifestation des pacifistes à Paris ! Bouteflika réprimait les Kabyles et laissait égorger sa population. Il vint s’afficher avec arrogance à Paris… Pas de manifestation des pacifistes !
Les pacifistes en revanche, trépignaient, impatients qu’on bombarde Belgrade. Les pacifistes manifestaient avec des drapeaux palestiniens. Au milieu des drapeaux du Hamas et du Hezbollah, on y criait «le djihad, le djihad» et parfois «mort aux Juifs» !
La morale de ce siècle de pacifistes est la suivante :
Quand on veut connaître le camp le plus meurtrier, et celui qui apportera les longues ténèbres des dictatures… Il suffit de regarder les pacifistes : ils vous l’indiqueront sans jamais se tromper. Ils soutiennent toujours ce camp-là !
Alliés « involontaires » du nazisme, les pacifistes soutinrent : hier les dictatures communistes, et aujourd’hui le terrorisme islamique !
Source : Un siècle de pacifistes, par Isaac De Barbanègre, 2003
Quand il n’y a le choix qu’entre violence ou lâcheté, je conseille la violence. Mahatma Gandhi
Merci pour ce rappel de vérités qui remettent les « pacifistes » à leur place : au ban de la société, avec la honte à jamais attachée à leur nom.
L’idéologie pacifiste ce serait pas « débrouillez vous mais foutez nous la paix » plutôt que « faisons la paix » ?
C’est être bien naif que d’imaginer l’Europe en pleine déliquescence décidant tout à coup, après presque un siècle d’abject abaissement devant la conquête musulmane, de s’incliner devant les victimes de la première et éclatante manifestation de la reprise du jihad violent contre la civilisation judéo-chrétienne occidentale.
Ce qui me fait malgré tout sourire chaque fois qui j’y pense, c’est que les rebuts de la race humaine qui ont commis cette boucherie ont été descendus un par un par les Israéliens sur ordre de Golda Meir (de glorieuse mémoire) et rôtissent depuis en enfer. Justice, enfin !
Si seulement tous les autres abrutis émules des jihadistes pouvaient connaître un sort semblable, on respirerait tellement mieux sur cette planète !
Why the IOC will never memorialize the ’72 Munich massacre
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