
Djelloul Cherifi, à gauche sur la photo, est l’ami du tueur, et le conducteur de la voiture avec laquelle les deux se sont enfuis. Fayçal Mokhtari, à droite, est celui qui a sortie une arme de guerre et a tiré, faisant deux morts et six blessés.
Les statistiques doivent être révisées : 100% des délinquants de la tuerie de la discothèque de Lille sont musulmans.
Vous avez vu leur gueule ? Si oui, appelez la police, ils sont très dangereux.
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
Dites cela en public et demain toutes les unes de la presse écrite ressortiront les baillons habituels : amalgame, stigmatisation, heures les plus sombres, chance pour la France, repli sur soi, fascisme, lepénisation, droitisation …
Les journalistes doivent avoir des raccourcis clavier pour taper toutes ces conneries…
Alors contre-attaquons!
amalgame? Non, constat.
stigmatisation? Non, vérité.
heures les plus sombres: Quand le pays était dirigé par /comprenait des collabos? On ne peut nier que nous y sommes de retour.
chance pour la France? Non, catastrophe pour la France./
repli sur soi, fascisme, lepénisation, droitisation? Non, de ces quatre j’en fais deux :patriotisme et souveraineté nationale./
Jusqu’où va t-on dans l’horreur de ces meurtres gratuits, injustes qui n’en finissent pas, qui vont quotidiennement crescendo dans la fréquence et cet occultisme, cette cabale insupportable des politiques et des médias. Les lois qui menacent et ainsi bâillonnent les citoyens. L’impunité et le laxisme de la Justice qui étouffent les victimes enragées ! … qui se meurent d’impuissance à petit feu.
Il faut réagir !!! N’acceptons pas la fatalité morbide en se disant : il est trop tard. Encourageons-nous par des actions massives dans les rues ! Placardons les murs de messages pour réveiller les consciences et surveillons les réactions !
Signons une pétition à l’attention de la Ligue des Droits de l’Homme pour dénoncer et condamner le gouvernement et les médias français pour non-assistance à personne en danger … Les femmes et les enfants aussi sont en danger de mort. Nous assistons TOUS LES JOURS à des exécutions commises par des musulmans et nous crions notre désarroi, notre impuissance, dans les chaumières attendant, armés de patience et d’espoir, que la Justice sanctionne … ce qui ne sera jamais sanctionné à sa juste valeur !
Si je les vois a Jerusalem, je vous les renvois en Chrono Post… on a assez de tordus ici!!
Par Chrono post ?
En morceaux donc vous voulez dire 🙂
(rire)
Tout à fait Seb!! Je le place à un endroit stratégique afin qu’il se prenne sur la tronche une des bombes envoyées par ses copains le Hamas et je vous envoie le tout… avec accusé de réception !!
Lol
en france toutes les statistiques sont fausses car en france on aime pas les statistique (sauf pour le chomage…et encore), la france qui a voter hollande est une auruche qui se met la tete dans le sable plutot que de voir et affronter la realité, et quand on a la tete dans le sable c’est qu’on a le c** a l’air et donc ca fait mal …. la realité est en train de nous exploser a la gueule la maintenant sous nos yeux, en direct live.
c’est just un constat d’impuissance.
C’est bizarre j’ai déjà vu ces têtes un peu partout en France déjà … 🙂
Oops pas d’amalgame pardon, j’oubliais…
Mais alors comment savoir qui est qui ?
Ah si je sais : Dénoncez les tous, expulsez les tous, théoriquement les bons voudrons imposer la démocratie dans leur pays d’origine et dénoncer les mauvais…
Pas bête ça non ?
@ Seb
A propos de “théoriquement les bons voudrons imposer la démocratie dans leur pays d’origine et dénoncer les mauvais…”, je vous répondrais…
Dans ma série intitulée “Momo a dit” (!!), le Mohammed du bled dira à “son frère” qui a vécu en occident auprès de ces infidèles:
” Démo? Démoca? Démocaca? Démoca quoi???!!” “Connais pas” “allez vient prier Allah sinon je te fais goûter à ma Kalashnikov”!
Eh oui…
C’est d’ailleurs ce qui se passera en France si on les laisse devenir majoritaire…
De toute façon ils sont déjà de trop, rien que le fait de voir un arabe me dire qu’il encule mes parents, baise ma mère, ma soeur, mon histoire, qu’il est aussi Français que moi et que la France lui appartient déjà, je sais au fond de moi que je ne mourrai pas sans en avoir éliminé quelques uns de la planète se trouvant sur mon territoire ancestral…
L’islam n’autorise pas le meurtre de personnes en boîte de nuit. Invoquer l’éventuelle islamité de ces deux personnes est sans objet.
Cordialement
De très beaux spécimens. Garantis halal.
Boko halal !
Je me permets de vous proposer cet excellent article de
Michel Geoffroy sur Polemia en rapport avec l”hérésie médiatique quand il s’agit de la non stigmatisation des adeptes de la religion d’amour et de paix.
“Décidément les censeurs du politiquement correct ont fort à faire en ce moment, alors que les faits divers mettant en scène les comportements violents ou criminels de personnes étrangères ou d’origine étrangère « donnent le sentiment » (ça, c’est du politiquement correct !) de se multiplier.
La malheureuse affaire de Rennes qui a vu la mort d’un élève de 5e, Kylian, âgé de 13 ans, étranglé par un autre âgé de 16 ans, en donne une nouvelle illustration.
Ainsi le journal Le Monde, lorsqu’il présente les faits dans son édition du 26 juin 2012, se surpasse. Mais à vouloir trop en faire il finit quand même par nous faire découvrir une triste vérité. Les faits sont têtus, disait Lénine !
Celui qui n’a pas de nom
On sait que le prénom de l’auteur du meurtre a été changé : il s’appelait Souleymane, mais le journal l’appelle Vladimir, on ne sait trop pourquoi.
Mais ce changement cosmétique ne nous égare pas car l’auteur de l’article, Serge Le Luyer, nous précise quand même qu’il était issu « d’une famille de réfugiés tchétchènes » et qu’il avait des « problèmes linguistiques ». La référence au terme « réfugiés » est sans doute destiné à faire pleurer dans les chaumières. Mais on aura quand même traduit : Kylian n’a pas été assassiné par un Breton de souche…
Evidemment, le journal ne nous dit par contre rien de la victime ni de sa famille. Ils n’intéressent pas, ils dérangeraient même. La seule mère qui est citée est, bien sûr, celle de Souleymane. C’est d’ailleurs une constante médiatique dans ce genre de situation : ne jamais donner la parole aux proches des victimes, mais uniquement aux proches des prévenus ou des coupables. Avec eux, en effet, on ne risque pas le dérapage !
La mère et les amis éplorés (du meurtrier)
Que nous dit en effet cette pauvre mère ? D’après l’avocat elle « ne pleure pas seulement sur le sort de son fils mais aussi sur la vie fauchée de Kylian ». On appréciera la poésie des Tchétchènes : le pauvre Kylian a vu sa vie « fauchée ». Une fatalité en quelque sorte. Inch Alllah ! La pauvre dame est tellement triste qu’elle ne semble pas avoir établi de relation de cause à effet entre le sort de son fils (il a été écroué) et la mort de Kylian.
Autre constante médiatique : on « ne comprend pas », bien sûr, le geste de Souleymane. C’est en tout cas ce que disent « les jeunes membres de la communauté tchétchène de Rennes ». On découvre donc qu’à Rennes il y a une « communauté » tchétchène et qu’ils se sont rassemblés devant le tribunal « par solidarité avec notre ami ». Par solidarité, vous avez bien lu. Des fois que Souleymane ait été injustement mis en cause, sans doute. Ah ! Toujours cette maudite tchétchénophobie !
Un collège bien tranquille
On nous explique aussi que le quartier de Cleunay où se situe l’établissement scolaire qui a été le théâtre du drame était « paisible » et que tout le monde y est « sous le choc » depuis les faits. C’est encore une constante du politiquement correct : tous les quartiers où se déroule ce genre de drame sont réputés « paisibles » ou « sans histoires ». C’est à se demander ce que serait un quartier « chaud » pour les médias. On y tirerait à l’arme automatique ou au mortier, sans doute.
Quant à l’expression « sous le choc », il faut la traduire par tout le monde a peur en réalité, ce qui est évidemment moins médiatique.
La justice en marche
Mais heureusement la justice, l’implacable justice française, suit son cours. L’article insiste longuement, en effet, sur l’extraordinaire découverte faite par les magistrats : « L’autopsie a permis de confirmer que le décès résultait bien d’une strangulation, les constatations étant bien compatibles avec les déclarations de la plupart des témoins qui ont vu le mis en cause serrer le cou de la victime », a ainsi déclaré le procureur de la République. Voilà qui doit nous rassurer. Nous sommes dans un Etat de droit, que diable ! L’autopsie a établi que le fait de serrer le cou correspondait bien à une strangulation. La criminologie, c’est quelque chose.
Des témoins ou des spectateurs ?
Ce qui nous rassure moins, c’est que le drame a eu de nombreux témoins, justement.
L’article nous dit qu’un surveillant a demandé (sic) à Souleymane de lâcher prise ; puis que ce même surveillant et deux professeurs ont essayé de ranimer la victime ; puis que les élèves qui ont « assisté à la scène de violence » (resic) sont retournés en classe et que leurs professeurs ont « évoqué la violence dans les établissements scolaires ». Ah ! Les braves professeurs ! Toujours la fibre pédagogique. Bravo la « communauté éducative » ! Enfin, une cellule psychologique a été mise en place avec des médecins scolaires…
Mais, bien sûr, tout ce petit monde, qui a suivi le spectacle, a été incapable de s’interposer ni d’empêcher Souleymane d’étrangler Kylian. Mais c’est vrai que Souleymane, nous dit-on, « pratique la boxe en club ». C’est sans doute pourquoi des adultes n’ont pu le maîtriser ?
Mais, au fait, quel est le mobile du crime ? On ne sait pas, sinon que les regards de Souleymane et de Kylian « se sont croisés ». L’auteur de l’article, comme l’avocat, reviennent lourdement sur cet échange de regards. Comme si tout le monde semblait trouver normal que l’on tue pour un regard dans une école.
La solution : le lâcher de ballons
Enfin l’apothéose : on apprend qu’un lâcher de ballons aura lieu lundi à 14 heures à l’endroit même où le meurtre a eu lieu. Le lâcher de ballons est, comme la marche silencieuse avec ou sans bougies, un modèle du genre. Car les marches silencieuses comme les ballons ont l’avantage de ne pas faire de bruit : avec elles, pas de risque de voir poser les bonnes questions. C’est la panacée, le remède miracle contre la délinquance, contre la voyoucratie, contre la loi des bandes et des caïds dans nos villes, nos cités et nos écoles. Au Moyen Age on faisait, dans la même veine magique, des processions contre les épidémies.
En voyant ces gentils ballons s’élever dans la cour du collège de Cleunay, nul doute que les criminels vont se repentir et que le calme et la sécurité reviendront dans les écoles.
Pleure comme une femme ce que tu n’as pu défendre comme un homme, dit une légende arabe !”
Michel Geoffroy
26/06/2012
BRAVO pour votre commentaire. Que de vérités…
Pour info.
Farès Boughediri, l’organisateur du commerce de cocaïne en faveur de Jean-Luc Delarue.
Que fait le MRAX?
DU NOUVEAU SUR LES EUROPEENS DISPARUS A LA FIN DE LA GUERRE D’ALGERIE. (1)
Durant un demi-siècle, le problème des civils européens enlevés par le FLN, et jamais retrouvés pour un grand nombre__, fut singulièrement occulté. Officiellement, on s’en tint à un chiffre donné en 1964 au Sénat: 3018. La répartition des victimes en personnes enlevées, libérées, présumées décédées et cas incertains ne fut guère remise en cause. A partir de 1965, le silence des médias à ce sujet se fit assourdissant. Les Français disparus furent oubliés tandis que la France prit l’étrange habitude de réserver ses hommages aux victimes de l’autre camp , les pro-indépendantistes. (Particulièrement à Paris sous l’égide de la Mairie socialiste.)
Dans le milieu des Français d’Algérie, on chercha à lutter contre l’oubli. Hélas, des chiffres hyperboliques furent brandis au mépris de toute rigueur historique (2). La cause des victimes du FLN risqua d’en être dépréciée, d’autant que des thèses complotardes fumeuses se répandaient aussi.
Désormais, la communauté des Historiens comme les Pieds Noirs et les familles concernées disposent d’une étude de qualité, menée selon la méthode historique. Jean-Jacques Jordi a fait des recherches poussées en de nombreux fonds d’archives. Citons: le Service Historique de la Défense, le Centre des Archives Diplomatiques, les Archives Nationales d’Outre-Mer, le Centre des Archives Contemporaines, le Centre Historique des Archives Nationales, celles de la Croix Rouge, du Service Central des Rapatriés etc;…
L’auteur a ainsi apporté une contribution neuve au problème des disparus européens. Il a attaqué de front l’obstacle des 500 dossiers demeurés incertains qui gênait l’obtention de chiffres crédibles.
Sur ce point, en 2004, nous avions nous même, ainsi que le général Faivre attiré, l’attention de la Mission aux Rapatriés sur la nécessité d’une étude exhaustive. Il fallut attendre quatre ans pour qu’elle se dessinât.
En accédant aux dossiers du Service Central des Rapatriés, Jordi a pu savoir qui parmi les incertains était réellement disparu ou entré en France métropolitaine. On y voit actuellement plus clair.
Qu’il s’agisse du massacre du 5 juillet 62 à Oran (où l’auteur confirme la responsabilité et les mensonges du général Katz, comme la criminelle ineptie des directives données à l’Armée française), qu’il s’agisse des exactions de l’été 62 dues à la wilaya 4 (où le FLN préférait enlever des familles entières pour limiter les plaintes ), Jordi a montré une solide rigueur.
Il éclaire la pratique du nettoyage ethnique par les indépendantistes. Or, il le fait, documents à l’appui, en prenant ses distances avec quelques légendes aussi tenaces qu’absurdes. Son livre est peu réfutable. Il sera plus difficile désormais aux thuriféraires du FLN et aux journalistes sous influence de nier des faits qui les dérangent.
On peut regretter que Jordi paraisse sous-estimer les divisions du FLN et les surenchères xénophobes qu’elles alimentèrent. Félicitons le toutefois d’avoir laissé de côté quelques récits controuvés et extravagants. (3)
Cet ouvrage, cette étude méticuleuse manquaient. Il serait regrettable qu’ici et là, certains négligent l’atout que, dans sa percutante sobriété, il constitue pour les familles touchées et pour l’ Histoire.
JEAN MONNERET
9 novembre 2011
1 – Jean-Jacques Jordi . Un silence d’état. Ed. SOTECA.
Les enlèvements d’Européens ont décuplé aprés le “cessez-le-feu ” du 19/3 / 1962 L’auteur dénombre 1583 disparus présumes décédés, 123 enlevés dont on a retrouvé les corps et 171 cas incertains résiduels. Selon nous, il eût fallu comptabiliser les personnes libérées ou retrouvées.
2 – Il arriva qu’un scribe du Ministère des Rapatriés répondit par erreur : 25.000 à une question sur le chiffre des disparus européens. Il confondait avec celui des militaires français tués au combat. Ceci occasionna ultérieurement quelques bévues.
3 – En juillet 1962, depuis Alger, Max Clos du Figaro, dénonça courageusement les enlèvements massifs d’Européens. Il ajoutait : “Sur les chiffres, on ne sait rien de sûr. Tout dans ce pays est déformé et amplifié dans des proportions fantastiques. ” Voila qui a changé désormais.