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Michel Garroté – A propos de la série télévisée ‘Inquisitio’, je rappelle que la ‘Révolution française’ a fait plus de morts en un seul mois, au nom de l’athéisme, que l’Inquisition, au nom de Dieu, pendant tout le Moyen-Âge et dans toute l’Europe. Voici des extraits du communiqué de monseigneur Bernard Podvin, porte-parole de la conférence des évêques de France, concernant le feuilleton estival ‘Inquisitio’ : « Inquisitio ? Tel est le titre d’une saga télévisée de l’été. Programmée, hélas, à heure de grande écoute. Plusieurs universitaires médiévistes, peu suspects de complaisance envers l’Eglise catholique, nous disent combien ils sont atterrés par cette série. Citons, entre autres points scandaleux, le traitement indigne réservé à la grande mystique Ste Catherine de Sienne. Parce que cette période historique est extrêmement difficile pour tous, elle requiert d’autant plus un service délicat et éminent de la vérité. Quand un tel parti-pris aimante une production, qu’a-t-elle encore de culturelle ? Je pleure et m’indigne de songer qu’à l’audimat, beaucoup risquent de se croire instruits par cette manière tendancieuse d’honorer l’histoire humaine et religieuse ».
Lu ici, ce point de vue historique inspiré de plusieurs œuvres de référence sur l’Inquisition : l’Inquisition est inintelligible à des esprits contemporains. Replaçons-nous dans le contexte médiéval. Contexte : au Moyen Age, et surtout dans la période qui va du 10ème à la fin du 13ème siècle, la société est chrétienne. Il est impensable de ne pas l’être. Le concept de liberté religieuse est incompréhensible, autant que le relativisme moral. On est chrétien parce qu’on est convaincu de la Vérité du Christianisme. Or, la Vérité est une et indivisible. Donc il n’y a pas, par définition, de place pour d’autres religions ou opinions. Etre athée au Moyen Age est aussi inconcevable qu’être raciste ou nazi à notre époque. C’est dans ce contexte que se développe la lutte contre les hérésies, notamment le catharisme.
Dès 1213, Innocent III affirme la nécessité de traquer l’hérésie non sur la base de rumeurs, mais d’une enquête, en latin inquisitio. Pour l’Eglise, le but premier reste la conversion des égarés. L’Inquisition n’est pas compétente pour juger les fidèles des autres religions, notamment les Juifs. Elle ne s’adresse qu’aux hérétiques chrétiens. En 1231, Grégoire 9 publie Excommunicamus, acte fondateur de l’Inquisition. Les inquisiteurs seront essentiellement les Dominicains et les Franciscains. Ce sont eux qui ont l’expérience des hérésies. Dès 1240, l’Inquisition se répand dans toute l’Europe sauf l’Angleterre. L’Inquisition est une institution religieuse parallèle et indépendante de la justice civile. Les inquisiteurs sont des théologiens qui ne dépendent que du Pape. Leur mission est ponctuelle. La procédure n’a pas été fixée par Excommunicamus. Elle est donc variable selon les régions.
Comment se déroule un procès ? 1 – L’inquisiteur commence par une prédication générale. 2 – L’inquisiteur publie l’édit de foi, qui oblige les fidèles à dénoncer les hérétiques de leur connaissance. Le nom des dénonciateurs est tenu secret pour éviter les représailles. Mais certains inquisiteurs préfèrent procéder à une confrontation contradictoire entre accusé et dénonciateur afin que l’accusé puisse démasquer un dénonciateur qui aurait intérêt à lui nuire. Rappelons qu’en cas de faux témoignage, le dénonciateur risque la peine encourue par l’accusé. 3 – L’inquisiteur publie l’édit de grâce, qui accorde un délai de 15 à 30 jours aux hérétiques pour se rétracter. Passé ce délai, l’hérétique présumé est justiciable du tribunal inquisitorial (suite).
Par ailleurs, le fait est que la ‘Révolution française’ a fait plus de morts en un mois au nom de l’athéisme que l’Inquisition au nom de Dieu pendant tout le Moyen-Âge et dans toute l’Europe. Ce fait a été démontré par un historien sérieux (et protestant), Pierre Chaunu. On en retrouve l’analyse dans le quatrième numéro hors-série de L’Homme Nouveau consacré à quelques mythes de l’histoire antichrétienne, dont l’Inquisition. Un ensemble d’extraits de cette analyse est ici. Des extraits également ci-après : « La création de l’Inquisition au XIIIe siècle marque de réels progrès en matière de justice. D’abord en confiant à un tribunal, c’est-à-dire une institution de justice, des hérétiques dont l’impopularité était telle qu’ils étaient l’objet de la violence aveugle des foules ou des autorités politiques : ils étaient ainsi soustraits au lynchage ».
« Ensuite cette institution de justice, même si elle n’offre pas aux prévenus toutes les garanties de nos procédures modernes et démocratiques, comporte bien des éléments originaux qui la diffèrent des justices ordinaires de l’époque : l’instruction est inquisitoire et secrète (recherche par voie d’enquêtes et de questionnements). Le tribunal de l’Inquisition cherche avant tout à établir la vérité au nom de l’intérêt de la société (comme le ministère public). Il s’écarte de la procédure accusatoire du droit romain où le juge arbitrait les litiges entre deux parties argumentant chacune en sa faveur. De plus le dénonciateur calomnieux subit la peine encourue par celui qu’il a dénoncé. Pour l’historien Bartolomé Bennassar, ‘l’Inquisition, par ses méthodes d’investigation et le fonctionnement de son tribunal, a contribué à inventer les règles d’une procédure nouvelle’, débouchant à terme sur le système juridique contemporain, à cette nuance près que l’accusé y était présumé coupable ».
« Les enquêtes scrupuleuses offrent cependant des garanties aux prévenus. L’accusé peut réfuter les accusations de l’inquisiteur et récuser certains témoins. Il peut aussi produire des documents ou exposer des faits tendant à prouver l’inanité des charges portées contre lui. Enfin cette institution est confiée à des professionnels dotés de manuels très codifiés et soucieux du droit. En 1246, le concile régional de Narbonne demande que la condamnation soit portée exclusivement après un aveu formel, ou au vu de preuves irréfutables. Mieux vaut, estime l’assemblée, relâcher un coupable que condamner un innocent. Pour obtenir cet aveu, la contrainte peut être utilisée : soit par la prolongation de l’emprisonnement, soit par la privation de nourriture, soit enfin par la torture. Le recours à la torture est rare et contesté. Longtemps l’Église y a été hostile. En 866, le pape Nicolas Ier déclare que ce moyen ‘n’était admis ni par les lois humaines ni par les lois divines, car l’aveu doit être spontané’ ».
Michel Garroté
Rédacteur en chef
Reproduction autorisée avec mention de www.dreuz.info
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Merci de dire la verite Michel! et de redire que les gauchards ont accepte cette barbarie qu’est la terreur!
Il y’a comme un petit problème dans ce raisonnement. Et par petit problème, je veux dire une erreur monumentale. En effet. L’atheisme ne se base sur aucun texte sacré, sur aucun prophète, bref, personne n’est legitime pour parler ou agir au nom de l’Athéisme. L’athéisme n’est QUE l’absence de croyance. Mais c’est tout. Ça s’arrête là. L’anticlericalisme, c’est une autre question. C’est être contre la religion. Hors, on peut très bien être athée et donc ne pas croire en dieu et en même temps, ne pas être contre le fait que d’autres y croient. La révolution française ou le communisme n’ont aucune légitimité par rapport à l’athéisme. C’est des problèmes politiques. Un rejet du pouvoir royal dans un cas et une organisation sociale abolissant la propriété privée. L’athéisme n’a jamais fait de victime contrairement aux religions car les athées n’ont ni clergé ni prophète, ni roi ni aucun leader.
Le première phrase est déjà un erreur (volontaire ou pas).
Etant un fervent lecteur de votre site, je ne peux que déplorer le manque d’analyse et d’objectivité de l’auteur.
« A propos de la série télévisée ‘Inquisitio’, je rappelle que la ‘Révolution française’ a fait plus de morts en un seul mois, au nom de l’athéisme, que l’Inquisition, au nom de Dieu, pendant tout le Moyen-Âge et dans toute l’Europe. »
Sur quelle donnée vous basez vous pour sortir une ineptie pareille ? Sur quel chiffre vous reposez vous afin d’écrire une telle énormité ? Je ne peux maintenant que croire à votre manque totale de culture et d’étude historique.
Oui la Révolution Française a fait nombre de victimes mais ce n’est rien par rapport aux victimes dues au fanatisme chrétien du Moyen-Age et plus tard.
Avez vous oublié les victimes de la St-Barthélemy ? Les Croisades ? des siècles de tueries. Les pogroms contre les juifs et autres « hérétiques » ? L’Inquisition était fait à l’origine pour contrôler les chrétiens par des chrétiens car juridiquement, elle n’était pas apte à juger les non chrétiens. Ça c’est dans la théorie. Mais dans la pratique…! Combien de victimes innocentes, de villes détruites, de massacre au nom de Jésus Christ.
Il n’est pas question ici de faire le procès de la religion chrétienne loin de là, mais des institutions qui la représentaient durant cette période noire en Europe. Bien sûr, certains évêchés se sont illustrés par leur tolérance et leur esprit éclairé mais très peu.
En tous les cas, pour l’avenir, pour la réputation de votre site, pour la votre, évitez de sortir des affirmations sans queue ni tête sans en présenter la source.
Michel Garroté, vous vous faite porte-parole des représentants de tout ce que peu exécrer l’Eglise chrétienne moderne et tolérante. Les personnes que vous citez, Bernard Podvin en premier, se sont minablement illustrés par leur amitié avec la Fraternité St-Pie X. Dois-je vous rappeler que Mgr Marcel Lefebvre, excommunié pour ses pensées radicales et sa révision de la Shoah ?
Cet article, digne d’un travail d’amateur conspirationniste, n’est pas digne de vous.
On prendra en compte vos arguments quand vous aurez dénoncé le génocide Vendéen (l’étant moi même)
Vous n’oublierez pas non plus que Torquemada était un nouveau chrétien, soi un juif entré dans le catholicisme.
Vous n’oublierez pas non plus que les Révolutionnaires Russes était à 90% juifs et non paysans…
A votre petit jeu Eyal vous risquez de perdre…
Le révisionniste c’est bien vous, car de la Terreur à la Révolution Russe en passant par le Nazisme, les républiques socialistes n’ont été que des régimes de bourreaux assassins sanguinaires …
Le dernier épisode en date de ces assassins, l’extermination de la population blanche par la colonisation étrangère.
Pour ce qui est des croisades on vous rappellera la colonisation meurtrière et barbare de l’Islam…
Vous y étiez?
Si on veut comparer le nombre de victimes V1 dont A1 est responsable et le nombre de victimes V2 dont A2 est responsable, il faut les rapporter :
(1) aux populations concernées P1 et P2
(2) aux durées concernés D1 et D2.
Ces conditions ne sont pas respectées par votre phrase « Oui la Révolution Française a fait nombre de victimes mais ce n’est rien par rapport aux victimes dues au fanatisme chrétien du Moyen-Age et plus tard. »
Quand on s’intéresse aux crimes, massacres, guerres, violences diverses, la consultation de ce site permet d’élargir le contexte :
http://www.hawaii.edu/powerkills/
Non, Monseigneur Lefebre n’a pas été excommunié pour la révision de la Shoah, mais parce qu’il avait ordonné 4 évèques hors de l’assentiment du Vatican
Ne pas écrire n’importe quoi
Vous mélangez allègrement les morts de l’inquisition avec ceux de la Saint Barthélémy, des croisades pour réfuter l’affirmation de Michel Garroté. Il y a là un procédé bien malhonnête…
Cher Monsieur,
Certes le titre est fort : pour le mois de Révolution, il faudrait se caler sur la période dite « Guerre de Vendée », mais restons’en là.
Pour les Croisades, j’ai -en tant que chrétien- honte relativement à la IVème.
Pour la Saint Barthélémy, sachez que les seuls protestants de Paris étaient les invités au mariage de celui qui allait devenir Henri IV. Les historiens (sérieux, les militants ne m’intéressent pas) admettent que les 2 à 3 milles morts sont essentiellement (là, j’exagère) des créanciers, amants, … « baptisés » précipitamment par leurs débiteurs, mari cocus (ou l’inverse) intéressés !
etc …
Évitez de confondre militantisme et science.
On a bien vu un « chercheur » prouver que ‘immigration est profitable !
Pour ma part je n’ai pas oublié la Saint-Barthélémy qui fut précédée de nombre d’agressions protestantes contre les catholiques et moult violations des traités par ceux-ci. J’oubliais que les agissements de l’Amiral de Coligny auraient été suffisantys pour la fiare envoyer au poteau dans tout état civilisé du XXème siècle.
Pour les croisafdes: 4 siècles d’agressions musulmanes agrémentées de progfanations ou destructions des lieux les plus saints de la chrétienté, de pogroms contre les dhimmis et de réductions en esclavage (le chroniqueur de la conquête de l’Espagne parle de trente mille femmes de grande beauté. A votre avis pourquoi parler de leur beauté si tout ce qu’on leur demandait c’était de faire la vaisselle?) et un jour, voyez-vous ça les chrétiens décident de ne plus tendre l’autre joue! Quel scandale!
Les pogroms contre les juifs j’ai perdu le compte du nombre de bulles papales interdisant les violences contre eux et de celui des évêques qui ont vu eu leurs palais brulés pour avoir tenté de les protéger. Tiens, bizarrre. Des émeutiers qui s’en prennet aux évêques? Ne serait-ce pas plutôt les moins chrétiens, les plus à « gauche » de la société médiévale, ceux qui quelques siècles plus tard donneraient les sans-culottes, qui ont perpétré ces pogroms?
En ce qui concerne l’inquisition. Et bien aussi étrange que cela puisse paraitre l’inquisition médiévele donne autrement plus de garanties à l’accusé et torture moins que la justice royale. Et dans les villages terrifiés par la peste le sorcier présumé avait de bien plus grandes chances de sauver sa peau avec elle que quand il tombait entre les mains d’une meute de paysans terrorisés par la peste. Déjà parce qu’elle est lente, ensuite parce qu’elle ne condamne à mort que les relaps et enfin parce que ses magistrats gardent la tête plus froide(et ne sont pas des Fouquier Tinville. D’ailleurs il est arrivé à certains d’être cassés pour séverité excessive. Et je peux vous fournir des examples. Faites de même avec des juges révolutionnaires).
Qund à l’Inquistion espagnole c’est 12 mille morts en trois siècles. Quarante par an. Au mêmemoment dans l’Europe protestante on brule quarante mille sorcières en quarante ans (les effets du manque du « ralentisseur » qu’était l’inquisition)
Et maintenant parlons un peu non pas de la Terreur qui a frappé un nombre limité de personnes, mais du génocide vendéen. Des masacresde Septembre, des barges coulées par Carrier à Bordeaux. Et n’oublions pas les Français « éclairés » allant civiliser l’Espagne. Regardez un peu le « Tres de Mayo » de Goya, mais surtout ses « Desastres de la guerra » pour voir à l’oeuvre ceux qui avaient fait la révolution.
Et puisque la révolution russe est descendante directe de la révolution française, que nombre de rues, de monuments voire de navires de guerre portaient des noms comme Marat ou Robespierre je me permets de mettre le Goulag, les massacres à la mitrailleuse d’opposants et l’Odomor aux pieds de la révolution française. Car ils étaient le fruit du même arbre: une meute d’illuminés prêts à exterminer 80% de l’humanité (Lénine si ma mémoire est bonne, mais celà n’aurait pas déparé la bouche de Saint-Just) s’il le fallait pour imposer leur vision du monde. LEUR vision.
je souscris!
De même !
Excellent exposé JFM, on attend avec curiosité la réponse d’Eyal90…
Tout ce que vous dites est malheureusement exact.
Le nombre de victimes de la révolution en France est estimé jusqu’à 600.000, y compris un grand nombre de femmes et d’enfants. Ces chiffres incluent non seulement la Vendée militaire (c’est-à-dire la Vendée plus la Bretagne, le Maine, l’Anjou et le Poitou), les Chouans de Bretagne et de Normandie, mais aussi les habitants révoltés contre la dictature de Paris de villes telles que Lyon, Toulon, etc.. sans oublier les fournées journalières de guillotinés.
La répression républicaine dans les provinces révoltées fut d’une sauvagerie inouïe, particulièrement en ce qui concerne les Vendéens. La mort sur le champ de bataille, la décapitation comme «brigand de la Vendée», la fusillade étaient pour les combattants moins terrifiants que le sort réservé aux populations civiles. La torture de femmes comme d’enfants était monnaie courante. On entassait des familles entières dans les églises avant d’y mettre le feu, on les noyait par centaines dans la Loire. Certains furent écorchés, vifs ou non, et leur peau servit à faire des abat-jours et des culottes de cheval.
Cette sauvagerie révolutionnaire qui s’est donné libre cours également lors des massacres de septembre 1792 était motivée par la haine bien plus de la religion que de la monarchie. En comparaison avec l’Inquisition, elle rend dérisoires les excès de ces tribunaux sans pour autant les excuser.
@JFM,
Vous dites :
« Pour les croisades: 4 siècles d’agressions musulmanes agrémentées de progfanations ou destructions des lieux les plus saints de la chrétienté, de pogroms contre les dhimmis et de réductions en esclavage (…)
Difficile de comparer des époques mais je me risquerai à dire ceci :
Les croisades étaient à la conquête musulmane de l’Orient chrétien au Moyen-âge ce que fut l’envoi des troupes américaine face à la conquête de l’Europe des troupes national socialistes et fascistes en 1940.
Rigoureux et excellent , moi aussi je vous approuve .
Et encore je ne suis même pas sûr pour les relaps. Dans mes souvenirs les juridictions Religieuses ne condamnaient jamais à mort, seules les juridictions royales ou locales le pouvait. Corrigez moi si je me trompe.
Dans mon souvenir l’Inquisition condamnait à mort mais n’executait pas elle-même: elle « sous-traitait » aux autorités civiles.
1527, sac de Rome par les soldats protestants: 20’000 morts!
Le pape s’enfuit au château St Ange, protégé par la garde suisse.
1572: St Barthélémy.
Autre époque, autres moeurs.
Les croisades, tant décriées à l’aune de nos valeurs et de l’affect de notre temps, ont été en première raison de porter aide aux populations chrétiennes d’Orient envahies par les barbares musulmans. A l’aune des massacres perpétrés par les envahisseurs arabes de l’Orient chrétien, les griefs qu’on peut faire aux croisés pour leur brutalité, leur violence, est toute relative. La défaite des soldats de la chrétienté dans ces régions a conduit à la chute de Constantinople, à la disparition des populations chrétiennes et autres (il en reste quelques vestiges…), à la présence des musulmans dans les Balkans, au Machrek, au Maghreb, à la souffrance des Etats d’Europe en première ligne face à l’avancée des musulmans : Espagnols, Grecs, Bulgares, Roumains, Géorgiens, Albanais, Arméniens, Serbes, Siciliens, etc, au massacre des berbères, au génocide de Arméniens, etc. Ces populations d’Europe méditerranéenne et des états caucasiens ont fournis 2’000’000 d’esclaves pour les marchés de l’Islam. Plus sinon autant que l’Afrique en a fourni aux mêmes conquérants islamiques.
La disparition des cultures originelles des populations (chrétiennes, juives, autres encore) de ces territoires conquis par les mahométans coïncide avec le retour à l’obscurantisme de ces régions.
L’Histoire officielle qu’on nous serine le plus souvent est qu’il nous auraient tout apporté. Ils auraient donc tout oublié ! Comment cela est-il possible ? L’Histoire serait-elle un tantinet différente ?
Pour le reste, votre commentaire mélange tout, dans un immense amalgame, alors que l’article de Michel Garroté nous parle de l’inquisition et de ses tribunaux comparativement à la révolution française et ses tribunaux.
Mon commentaire ne mélange rien du tout. Puisque celui auquel je réponds parle des Croisades j’explique pouiurquoi les Croisés étaient « énervés ». Vous savez les atrocités de l’Armée Rouge en Allemagne deviennet subitement beaucoup plus excusables si on étudie de près ce que les Allemands avaient fait en Russie. En particulier il ne fesaikt pas bon d’être fait prisonnieer par une unité qui venait de vsiter Auschwitz. Et bien pour les Croisés c’était pareil.
Les croisés « énervés »…
Heureusement que le ridicule ne tue plus de nos jours !
on dirait que MG a appuyé la ou ça fait mal. pendant que je lisait votre commentaire j’ai eu l’impression de voir l’image de Mélencon flotter au-dessus de mon pc.
Merci pour ces précisions.
L’Inquisition fait partie des fantasmes historiques indéracinables comme le Trésor des Templiers, la survivance de Jeanne d’Arc et autres calembredaines qu’on peut éternellement dénoncer sans jamais être crus.
J’ail l’impression que vous essayez aujourd’hui de défendre quelque chose de fort peu défendable…
Je préfére dire que l’Inquisition a été une dérive, non représentative de l’Eglise et que cette dernière a fini par corriger son erreur.
tout le monde a droit à l’erreur.
Je ne pense pas qu’il s’agisse de défendre mais de pas accepter d’être lapidé par des gens qui en on fait nettement plus (cf Jésus et la femme adultère).
hou !!! le méchant moine borgne…
vous avez dit borgne ??
tiens donc……
Il faut remercier Michel Garroté d’oser en parler. Au sujet de l’inquisition, les chiffres ne seront jamais proches de la vérité, ni dans un sens, ni dans l’autre : autant en prendre notre partie. Ce que je déplore, moi, c’est que justement, cette « histoire » dans l’Histoire soit devenue le sujet d’un « film » qui sera diffusé une fois de plus dans le but de faire une propagande contre l’Eglise actuelle, à travers des infamies commises il y a des siecles et des siecles.
Tout le reste ne nous appartient pas.
Il devrait y avoir une commité qui aurait tout pouvoir pour contrer les twistages historiques.
A quand un documentaire sur l’invasion de l’Europe par l’islam, et des details croustillants sur les chrétiens reduits alors en esclavages, avec leurs femmes et filles vendues pour ce que l’on sait ?
Pourquoi personne n’en parle-t-il jamais ?
Et si le but de l’Etat Français actuel était justement de se débarrasser également des Chrétiens (en plus des Juifs qui sont gentiment pour le moment invités à partir).
HOLLANDE serait-il un STALINE en herbe, qui n’a pas encore éclos, et qui se sert des Islamistes pour faire le sale boulot ?
Les socialos, et donc Hollande, se servent des islamistes en effet, de même que les islamistes se servent des socialos… dans le but de remplacer la culture et la civilisation judéo-chrétienne par une non culture et une non civilisation, c’est à dire par une dictature…
bien vu !
Michel Garrote a entièrement raison et je suis 100% en accord avec sa démarche, de dénoncer l’utilisation fallacieuse des faits liés à l’Inquisition. C’est ainsi que la pensée laïque « de gauche » a longtemps démonisé l’ensemble du Moyen Age, car seule la république pouvait être intègre selon son idéologie.
Ce sont les mêmes qui font référence pêle-mêle à l’inquisition et aux croisades pour caractériser démagogiquement en bloc des siècles de chrétienté dans un contexte totalement différent de l’époque moderne.
Michel est en droit d’affirmer avec les historiens que l’inquisition a fait beaucoup moins de victimes que ne le pensait, et même que dans pas mal de cas, le fait de donner un avocat à des accusés leur permettait d’être défendus et non lynchés par la supèrstition populaire. Il y eut incontestablement des épisodes regrettables au regard des droits de l’homme, mais que dire des périodes actuelles?
« mais que dire des périodes actuelles? »
abbé arbez,
dans ce cas il ne faut proposer que des séries sur les évènements qui se déroulent aujourd’hui.
ou d’excellentes séries sur des événements qui se sont déroulés hier et qui donnent à penser aujourd’hui…
Par exemple le rôle de Mitterrand dans le génocide rwandais. CE Mitterrand qui est le papa spirituel des deux derniers candidats socialistes à la présidentielle.
Cher M. Garroté,
La souffrance était la même il y a 5 ou 10 siècles qu’aujourd’hui. On sait ce qu’est la liberté, et en être privé, depuis que l’homme existe. Permettez-moi d’éclairer le sujet de la lumière de la vérité.
Le système catholique reste semblable à lui-même depuis qu’il existe. Une repentance véritable des atrocités commises pendant des siècles aurait nécessité des oeuvres dignes de la repentance. Lors de la «déstalinisation» sous Krouchtchev, des milliers (des millions ?) d’innocents morts en détention ont été officiellement réhabilités (un document officiel a été remis aux familles). Une repentance sincère du catholicisme impliquerait l’ouverture de tous les dossiers de procès pour hérésie, la réhabilitation de tous les innocents morts sous la torture, sur la roue, sur le bûcher, sur les galères, pendant les dragonnades, dans les attentats, les assassinats et les attaques, de tous les exilés, de tous ceux qui ont péri à cause des persécutions religieuses et des accusations de meurtres rituels, des pogromes ; la restitution aux héritiers de tous les biens spoliés; la reconnaissance de tous les enfants volés à leur famille et éduqués de force dans des couvents. On a calculé le nombre approximatif des victimes du catholicisme : 40 millions selon certains, 50 millions selon d’autres. Par exemple, un million de Vaudois ont péri en France. 900 000 chrétiens orthodoxes ont été massacrés en moins de trente ans après l’institution de l’ordre des jésuites. Le duc d’Albe se vantait d’avoir fait mettre à mort aux Pays-Bas 36 000 personnes par la main de l’exécuteur séculier en l’espace de quelques années. L’Inquisition détruisit, par diverses tortures, 150 000 personnes en trente ans. Ce ne sont que quelques échantillons, quelques-uns seulement de ceux que l’histoire a rapportés. Le nombre total ne sera connu que lorsque «la terre ne couvrira plus les crimes.»
Louis XIV a été poussé à éradiquer «l’hérésie» huguenote par le clergé catholique, notamment par son confesseur jésuite La Chaise. On lui a promis le pardon pour ses adultères permanents en échange de son zèle pour la cause de «Dieu».
L’Église catholique a tenté de se justifier. Un exemple très condensé de sa doctrine de la répression des «hérétiques» ainsi qu’un exemple de son application dans l’Angleterre du 16e siècle sont donnés ci-dessous.
Extraits de «History of Romanism».
Le cardinal Bellarmin (1542-1621) a usé d’une plume diligente pour la défense de la foi catholique. Dans son ouvrage «De laicis», il argumente pour démontrer que l’Église a le droit, qu’elle doit exercer, de punir de mort les hérétiques. Il développe les 5 points suivants.
«1.- On peut le prouver par l’Écriture.
2.- Les opinions et les lois des empereurs, que l’Église a toujours approuvés, le démontrent. 3.- Les lois de l’Église le prouvent.
4.- Le témoignage des pères de l’Église le prouve.
5.- La raison naturelle le prouve.» (…) [Les «preuves» de Bellarmin sont données, dans le livre cité, dans l’original en latin avec la traduction anglaise. Comme on peut s’en douter, elles sont aussi solides qu’un enduit sur un mur en ruines.]
Luther et d’autres ayant condamné la mort des «hérétiques» sur le bûcher, Bellarmin entreprend de répondre à leurs objections.
«Argument 1. De l’histoire de l’Église en général. «L’Église, dit Luther, du commencement jusqu’à notre temps, n’a jamais brûlé un hérétique. Il ne semble pas en conséquence que ce soit l’intention du Saint-Esprit.» Je réponds que cet argument prouve non pas le sentiment mais l’ignorance ou l’impudence de Luther ; car puisque UN NOMBRE PRESQUE INFINI ont été soit brûlés soit mis à mort d’une autre manière, soit Luther ne le savait pas, et il était donc ignorant, soit il le savait, et il est convaincu d’impudence et de mensonge. Car que des hérétiques aient été souvent brûlés par l’Église peut être prouvé en donnant quelques exemples parmi de nombreux.
Argument 2. «L’expérience montre que la terreur est inefficace.» Je réponds que l’expérience prouve le contraire. Car les donatistes, les manichéens et les Albigeois ont été extirpés et anéantis par les armes.
Argument 13. «Le Seigneur donne à l’Église «l’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu» ; mais pas l’épée au sens propre ; au contraire, il dit à Pierre qui voulait le défendre avec l’épée: «Remets ton épée dans le fourreau.» Je réponds : De même que l’Église possède des princes séculiers et des princes ecclésiastiques, qui sont ses deux bras, elle possède aussi deux épées, l’épée spirituelle et l’épée matérielle ; en conséquence, lorsque sa main droite est incapable de convertir un hérétique par l’épée de l’Esprit, elle appelle à l’aide la main gauche et contraint les hérétiques par l’épée matérielle.» (…)
Si, comme les catholiques romains le prétendent parfois dans les pays protestants, l’Église romaine n’est pas persécutrice, comment est-il possible que l’un des plus hauts dignitaires de cette Église, un cardinal, neveu d’un pape, favori et confident d’autres papes, ait pu écrire, sans être réfuté, une argumentation aussi élaborée et infamante pour soutenir qu’on doive brûler les hérétiques ? (…)
Certains supposent qu’avec le temps le caractère de la Rome persécutrice a changé. Ce n’est nullement le cas. La papauté est immuable, c’est ce que déclarent ses défenseurs les plus autorisés. (…)
Pendant les cinq années que dura le court règne de la reine Marie, bigote au coeur dur, dont le nom transmis à la postérité est, avec raison, celui de Marie la Sanglante, 288 personnes, selon des estimations minimales, furent brûlées vives sur son ordre ; et parmi elles riches et pauvres, prêtres et laïcs, marchants et paysans, aveugles et boiteux, femmes sans défense et nouveaux-nés. Les évêques Latimer et Ridley étaient les plus capables et les plus saints parmi les martyrs dont le sang fut offert sur l’autel de la bigoterie papale durant le règne de Marie. Hugh Latimer avait plus de 80 ans lorsqu’il fut arrêté sur l’ordre de Marie. Ni la prison, ni les menaces, ni les promesses ne purent ébranler la constance de Latimer et de Nicolas Ridley qui triomphèrent de tous les arguments de leurs opposants papistes qui les condamnèrent à être dégradés et livrés au pouvoir séculier. (…)
Le 15 octobre 1555, Latimer et Ridley furent conduits au bûcher, dans la partie Nord de la ville d’Oxford. Le vénérable Latimer, dépouillé de ses vêtements et revêtu d’un drap, au lieu du vieil homme décrépit et même déformé qu’il avait paru être jusque là, se tenait maintenant parfaitement debout, droit et avenant. Ridley voulait garder son pantalon ; mais son compagnon lui fit observer que cela lui causerait plus de souffrances et que ce vêtement pourrait bénéficier à un pauvre ; il se rendit à cette demande. Puis il se tint debout sur une pierre près du bûcher et élevant la main il dit : «Ô Père céleste, je te rends grâces de tout coeur de ce que tu m’as appelé à te confesser même jusqu’à la mort : Je t’implore, Seigneur Dieu, d’avoir pitié de ce royaume d’Angleterre et de le délivrer de tous ses ennemis.» Le forgeron apporta alors une chaîne qu’il passa autour des deux martyrs qui se tenaient calmement de chaque côté du bûcher. (…) Cela fait, Shipside lui apporta un peu de poudre à fusil dans un sac à mettre autour de son cou, ce qu’il reçut comme une grâce de Dieu pour abréger son tourment. (…) On apporta alors un fagot allumé qu’on mit à ses pieds, sur quoi Latimer se tourna vers lui et lui adressa ces mémorables paroles prophétiques : «Aujourd’hui nous allons allumer en Angleterre, par la grâce de Dieu, un flambeau qui, je le crois, ne sera jamais ôté.»
Les flammes s’élevèrent ; et Ridley, d’une voix merveilleusement forte, s’écria en latin : «Ô Seigneur, je remets mon esprit entre tes mains», répétant souvent en anglais : «Seigneur, reçois mon esprit !» Latimer, de l’autre côté, criait avec véhémence : «Ô Père du ciel, reçois mon âme !» Et accueillant la flamme, il l’embrassa, y baignant ses mains, frappa sa vénérable face de ses mains, et bientôt mourut, apparemment sans grande souffrance, ou même sans souffrir. Ainsi finirent ce vieux et béni serviteur de Dieu, ses labeurs et sa vie fructueuse, par une mort facile et paisible au milieu du feu où il entra courageusement pour l’amour de Christ. Mais il plut à Dieu de se glorifier d’une autre manière pour Ridley : ses tourments furent terribles et prolongés à un point que le coeur peine à les contempler. Le feu avait été si mal préparé, par une accumulation de gros bois très haut autour de lui, au-dessus des combustibles plus légers, que les flammes étaient maintenues en bas et faisaient rage sans monter. Le martyr sentant seulement ses extrémités brûler requit de ceux qui l’entouraient, pour l’amour de Christ, de laisser le feu monter vers lui ; ce que son pauvre frère Shipside, dans l’angoisse de son coeur, entendit mais ne comprit pas correctement, et il ajouta encore plus de fagots sur la pile, dans l’espoir de hâter la combustion, qui naturellement fut davantage empêchée, de sorte que toutes les parties inférieures du malheureux furent réduites en cendres sans que les parties vitales soient atteintes. Dans cet horrible état, il continuait à sauter sous le bois, priant qu’on fasse venir la flamme, et s’exclamait sans cesse : «Je ne peux pas brûler», se tordant sous la torture ; comme il se tournait de côté et d’autre, les assistants virent que sa chemise était propre, non touchée par les flammes, tandis que ses jambes étaient entièrement brûlées. Dans cette extrémité, son coeur était toujours fixé sur Dieu, se confiant en lui, et il s’exclamait fréquemment: «Seigneur, aie pitié de moi !», entrecoupant ces mots par ces paroles : «Faites venir le feu jusqu’à moi – Je ne peux pas brûler.» Pour finir, l’un des hommes chargés de l’exécution poussa les fagots du dessus, par miséricorde, avec son arme, ce qui permit aux flammes de monter. Dès qu’il s’en aperçut, le martyr dans un grand effort pencha son corps mutilé vers ce côté pour trouver la délivrance bienvenue. La flamme atteignit la poudre, et il ne bougea plus. Puis il tomba sur la chaîne au pied du corps de Latimer.
Que le lecteur chrétien s’approche maintenant et contemple cette scène douloureuse : La vénérable silhouette du saint Latimer, ses mèches neigeuses blanchies par les gelées de quatre-vingt-trois hivers, revêtu d’un drap, les yeux levés vers le ciel pour être fortifié tandis que les flammes cruelles se rassemblent et s’enroulent autour de ses jambes vieillies et tremblantes ; et pourtant, au milieu de ses tortures, il prie pour ses bourreaux ; la silhouette majestueuse et noble de son compagnon Ridley, enchaîné à la même potence, les pieds et les jambes se réduisant en cendres jusqu’à ce qu’ils se détachent de son corps torturé, avant que la mort, la libératrice attendue, ait fait son oeuvre. Qu’il contemple le prêtre de Rome en capuchon, la crosse dans la main, insultant la mortelle agonie des martyrs et se réjouissant de leurs tourments prolongés et intenses. Et qu’il se souvienne qu’il contemple là, sans déguisement ni dissimulation, la papauté « ivre du sang des saints et des martyrs de Jésus ».
Extraits de «The History of Romanism: From the earliest corruptions of Christianity to the present time», Rev. John W. Dowling, New York 1845. Crown Rights Book Co 2002, pages 545-556.
vous citez abondamment (TRES abondamment) un historien polémiste protestant qui se pose en victime…
mais il y a de quoi lui répondre sur le même plan concernant les exactions et débordements meurtriers ayant accompagné la Réforme. Je ne pense pas que sur ce terrain vous arriviez à autre chose que des accusations unilatérales sans intérêt pour le sujet ici abordé.
Un livre de 1845. De l’épouqye du protestantisme miliatant quiio, même si ce n’etaiyt pas le cas aux Etats-Unis ytrouvait normal la restriction ) l’accèsà la fionction publiquye des catholiques en Grande Bretagne et la peine de mort pour les prres catholiques en Suède. Et vien laissez-moi vous dire que comme objectibvité on fait mieux. Vous dites que l’Eglise catholique ne s’est repentie qu’,ne paroles? Et vbien les autres ni en parioles ni en actes à c ommencer par les « républicains » et en continuant par les « gauches » en particulierf communisants.
http://www.regard.eu.org/Livres.2/Pelerinage.douloureux/Depart.html
où l’ on voit que les persécutions et massacres ont commencé très tôt et ont duré quasi 1800 ans. pour être « hérétique » il suffisait de refuser d’ entrer dans l’ église catholique trop éloignée de l’ évangile.
A propos, il me semble que c’est sous l’Inquisition et au nom de celle-ci qu’apparaît l' »ancètre » du Juge d’instruction tel qu’on le connait aujourd’hui…
Je ne suis pas certain de ceci mais ce n’est pas impossible.
exact!
Votre article me laisse dubitative…
l’Eglise catholique ayant « massacré » d’autres Chrétiens (réformés, anabaptistes, etc…) et bien des Juifs….
lorsque ces drames se produisent, nous ne sommes pas au 21ème siècle!
On ne peut pas affirmer en raccourci: « l’Eglise catholique a massacré ».
Le pouvoir temporel était catholique et il surveillait par la force l’homogénéité de la société. Les critères actuels ne fonctionnent pas dans ces cas de figure.
Le pouvoir réformé pratiquait de même, on l’a vu ici à Genève et ailleurs, en Allemagne.
Patrice De Plunkett / “Inquisitio” : encore plus nul que prévu…
par actualitechretienne
Mieux valait regarder Smash : la daube médiévale de France 2 est asphyxiante d’insignifiance…
Anachronismes, acteurs miteux, dialogues à deux balles : « ça va aller ? » – « pourquoi t’es venu ? »… Le nommé Cuche avait eu le mérite de la franchise en déclarant à Télé Câble Hebdo : «le Moyen Âge, c’est une époque sans trop de références mais très présente dans l’imaginaire collectif », autrement dit : j’y connais rien mais le gothique fait un succès au rayon BD des grandes surfaces. Cette daube a coûté dix millions d’euros par épisode ; pour ce prix-là ils auraient pu s’offrir un dialoguiste, et même un conseiller historique qui leur aurait expliqué qu’au XIVe siècle on n’appelait pas « abbé » un curé de village (le terme ne s’est répandu qu’à la fin du XVIIIe), ou que les masques anti-contagion en forme de bec d’oiseau n’ont existé qu’au XVIIe. Et je ne parle que des détails ; quant à l’ensemble, Inquisitio est au dessous du niveau de la mer.
Ne se posant pas ce genre de question mais faisant semblant de s’inquiéter pour le politiquement-correct, Télé Câble avait demandé à Cuche : « comment va réagir le téléspectateur face à cette série violente et politique ? »
La bonne question eût été : « comment le spectateur va-t-il réagir face à l’ennui lugubre d’Inquisitio ? »
Mais Cuche fait comme Télé Câble, il répond à côté du sujet (non sans une certaine inquiétude commerciale): « Pour moi, ce n’est pas une série d’été. Inquisitio, pour moi, c’est une série d’automne. » À ceci près qu’Inquisitio serait aussi nul en automne qu’en été.
Restent deux points douteux :
1. le degré de lucidité du réalisateur (supersympa, nous dit une de ses copines, Nicolas Cuche n’a tout de même pas été très responsable en lançant une superproduction « historique » sur une époque dont il ne savait rien*) ;
2. l’apport d’Inquisitio à l’intolérance envers le catholicisme (le potentiel de toxicité d’une daube est parfois surprenant).
Mais sur ce dernier point je ne crois pas qu’il faille s’inquiéter : sauf si Belzébuth s’en mêle, la série est trop emmerdante pour captiver grand-monde.
Patrice De Plunkett
Note
* Cuche accuse les catholiques d’avoir répandu la peste ; au XIe siècle on en accusait les juifs. Je ne vois pas où est le progrès.
Un peu de recherche:
« – les tribunaux civils sur l’Europe ont mené 100.000 procès pour sorcellerie, et ont abouti à 50.000 condamnations à mort.
– les tribunaux religieux espagnols ont mené 120.000 procès d’Inquisition, et ont abouti à 59 condamnations à mort.
Il est arrivé plusieurs fois que l’accusé ait demandé à être jugé par le tribunal de l’Inquisition plutôt que par un tribunal civil. Il en avait le droit. Et au vu des chiffres ci-dessus, on comprend pourquoi ! De plus certaines sentences étaient exécutées par contumace en faisant brûler des mannequins !
Il ne faut pas l’oublier : les milliers de victimes furent ceux de la justice civile.
A noter au passage que les accusateurs de l’Eglise ne diffusent jamais de chiffres, eux. Leurs arguments seraient sans doute mis à mal par un comptage objectif…
Et ceux qui veulent poursuivre l’Eglise de leur vindicte – on se demande ce qu’ils en retirent à part le plaisir de nuire – feraient bien aussi de dénoncer un autre événement qui fit 30.000 morts (et encore ce chiffre est sous-estimé). Lequel ? La Révolution française ! Mais là, le sang versé devient pour eux une excellente chose ! Comme si les certains génocides étaient horribles, et d’autres excusables. Hypocrisie ou inculture ? Voilà la vraie question. »
@ seb
Vous allez ou comme ca? Torquemada ? C’est au nom de jc qu’il a tué et non pas au nom de la Torah. Ce n’est pas au nom de son judaïsme. Et pour les soviets idem. Ce n’est pas au nom d’Israël que des gens ont été tués mais au nom de l’idéologie coco. La différence est fondamentale.
Pourriez-vous faire Téchouva sur votre raisonnement, il est bien trop dangereux. J’aimerai vraiment que vous y reveniez.
vous avez entièrement raison.
sauf que c’est au nom de « son » JC que Torquemada a agi comme il l’a fait…un JC idéologisé qui ne correspond en rien à celui des évangiles.
Si ma mémoire est bonne le marché était « vous vous convertissez et vous restez » ou « vous resstez fidèles eu judaisme et vous partez »? Or si on se convertisait (pour rester) et qu’on découvarit que la personne continuait à pratiquer le judaïsme elle s’exposait à être qualifié de « relaps » c’est à dire personne retombeé dans « l’erreur ». Or les realps étaient passibles de la peine de mort alors que les « hérétiques primaires » ne l’étaient pas. C’est d’ailleurs ce qui s’est passé pour Jeanne d’Arc qui initialement n’a pas été condamnée à mort mais seulement à une pénitence et ne l’a été que quand elle a affirmé à nouveau qu’elle entendait les voix de saints approuvant son action.
Puisqu’il est question de Pierre chaunu, quelques paroles notables de cet historien, dont on peut penser ce qu’on veut mais qui devait savoir un peu quand même de quoi il parlait:
Les rares crimes commis de fait au nom de l’Eglise (…) ne constituent à vrai dire que la partie émergée d’un iceberg formé pour l’essentiel, sous la surface de scandales plus ou moins réels, par tout ce qui s’est détourné du catholicisme et retourné contre lui.
Reste à tenter de comprendre pourquoi le catholicisme est si aisément défiguré (par ses ennemis plus encore que par ses fidèles : gardons le sens des proportions). Il a été fait allusion à un » mystère d’iniquité « .
(Les serviteurs sont allés trouver le propriétaire pour lui dire : ‘ Maître, n’est-ce pas du bon grain que tu as semé dans ton champ ? D’où vient donc qu’il s’y trouve de l’ivraie ?’ – ‘C’est quelque ennemi qui a fait cela’, leur répond-il.- Matthieu 13, 27-28)
En Occident, la persécution des hérétiques n’a jamais été le fait de l’Église, qui certes combat et engage la polémique, mais qui ne persécute pas. L’Église orthodoxe orientale ne préconise pas la mise à mort de l’hérétique et, en Occident, même l’Inquisition ne condamne pas à mort: elle décide « la relaxe au bras séculier », c’est-à-dire qu’elle charge le roi de punir car l’Église ne verse pas le sang. La différence entre la main royale et la main ecclésiale est énorme: l’Église a toujours tendance à pardonner au moindre signe de repentance.
P C
J’aurais bien préféré comparaître devant les tribunaux de l’inquisition que devant ceux du roi.
Pierre Chaunu
@ Michel G.
Ils accusaient les juifs d’avoir répandu la peste parce que dans le quartier juif au contraire des quartiers chrétiens, on n’y chassait pas les chats…cf le chat du Rabbin
Donc, les juifs étaient indemnes de la maladies puisque les chats chassaient les rats.
ecoutez moi tous mes freres et soeurs !c`est pas le moment de staper entre nous car le danger actuel c`est l`islam ok entre chretiens et juifs on ne peut pas refaire le passe ,par contre on peut sauver nos enfants et petits enfants du grand danger islamique,
nous ne sommes plus des fanatiques nous voulons simplement vivre notre vie allez au cine restaurants danser vivre quoi! alors tous ensemble
contre l`islamisation du monde ok regardez l`example en isrel,
les chretiens vont a l`eglis les juifs a la syna et meme ces enfoires de musul`s vont a la mosque ,ils profitent de notre system de liberte.
stop islam qui nous empoisone notre vie.
La religion défigure D.ieu et endurcie le coeur des hommes.
La Bonne nouvelle est une puissance qui libère l’humanité, le Salut vient des Juifs, pas des païens, l’Evangile n’est pas une religion, mais une puissance de D.ieu pour le salut de quiconque N°1 entend, N°2 adhère et N°3 accepte. Si vous retirez l’un de ces concepte tout s’écroule.
Remarquez qu’il n’est nullement question de soumission ni de pratique, car selon Ephésiens 2/8à9, il s’agit d’une grâce immérité et entièrement gratuite, ce qui géne le commerce des âmes sous la dhimmitude du malin qui aime profiter de votre croyance pour vous asservir dans la religion. Lisez donc Colossiens 2/20 à3/1à4. Les incrédules se révoltes, les croyants sont enlacés dans le piège de la pratique de la loi des oeuvres pour obtenir une faveur alors qu’elle est un don entièrement gratuit.
La bible est le livre le plus anti-religeux (dans le sens actuel du ya k’a faire faut k’on fasse) du monde affirmant haut et fort que l’humanité sera sauvée uniquement par grâce selon Ephésiens 2/8à9. Il n’y a pas d’ancien ni de nouveau testament désignant des livres mais bien un ensemble de 66 livres parfaitment unis et d’accords entre eux.
Le Messie n’a pas abolie la torah mais l’a accomplit confirmant son anthenticité elle qui déjà annonce la grâce, dans genèse 3/15 il y a une erreure de traduction française il faut lire en réalité, « je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: il t’écrasera la tête, et tu lui blessera le talon. »
Ce « Il » et non pas « elle » représente le Messie venant par la postérité de la femme. Le Saint Esprit ne fait pas de faute d’orthographe.
En ce qui concerne l’image du religieux ci-dessus illustrant la série télévisée, je me demande si ce n’est pas encore un anachronisme : l’Eglise aurait-elle admis dans ses rangs un prêtre borgne, puisqu’elle n’acceptait pas de postulants affligés de graves tares physiques ?
De toutes façons les « films d’époque » qui ne sont pas ridicules se comptent sur les doigts de la main, qu’ils aient été produits à Hollywood ou en Europe. On y voit des acteurs modernes costumés suivant la mode à l’époque du tournage exprimer des préoccupations et des sentiments modernes en un langage moderne qui auraient stupéfié nos ancêtres.
Autrefois il s’agissait simplement de faire de l’argent, maintenant c’est de la propagande. Les « artistes » incapables de création artistique se bornent à faire de la politique et bien entendu, le résultat est pitoyable.
je remarque que chacun des intervenants essaye de trouver une petite légitimité à une religion ou une idéologie comme ci celle qui à tué le moins est la plus crédible ,nous ne pouvons appliqué la loi de la relativité quand il s’agit de vie humaines .l’histoire à démontré
que les religions et les révolutions inspirés d’idéologie ont un point en commun « la mort » et pourtant toujours avec la meme motivation ( à la recherche d’un avenir meilleurs pour l’homme) et une fois la religion ou l’idéologie au pouvoir au service de l’homme, malheureusement elle continu de tuer cette homme bref!!!
je pense que tous les prophètes ont échoués dans leurs missions qui est d’instaurer une justice sociale, pour la simple raison que l’homme et la tentation ne fonts qu’un , impossible de dissocier l’homme de cette dernière .l’homme est la plus belle créature de dieu mais c’est la plus
pire sur terre , il s’adapte pour tuer, ci ce n’est pas pour servir dieu alors c’est pour servir une idéologie au service de l’homme,il nous faut quelques millions d’années d’évolution de notre cerveau qui est le seul régulateur de cette tentation qui est cet animal sauvage en nous, guidé par un instinct de survie.
tedj benmimoun .
Mr Benmimoun ce que vous dites est bien gentil et je serais d’accord si on voyait de temos en temps desx séries intitulées, je ne sais pas moi, Goulag, Odomor ou Vendée mais là silence télé absolu. Et pourtant ce n’est pas le temps qui a manqué. Voyez vous j’ai eu récemment le déplaisir de diner avec des « intellectuels » qui m’ont appris que dans leurs cercles on a voté massivement pour Mélenchon cest à dire pour un parti qui n’a rien mais alors rien renié et qui remplit ses municipalités de rues Lénine ou portant les noms de fouriers de Staline et alliés des nazis tels que Thorez ou Duclos. Et bien peut-être qu’il ya aurit eu un peu moins de c…s pour voter pour cette ordure nazifiante (cf ses amis: dis moi qui sont tes amis et je dirai qui tu es) de Melenchon. Et tant qu’aà faire on pourrait eussi faire une dramatique intitulée Magnitogorsk illustrant la condition ouvrière en URSS avec l’absence totale de mesures de sécurité, les baraquements par moins 20 et le taux effrayant de maladies chroniques graves et de malformations chez les les enfants dues au mépris total des effets de la pollution sur la santé des ouvriers. Mais je rêve, les seules dramatiques qu’on nous fait voir c’est sur l’Eglise Catholique et manipulées en plus.
Allant tout à fait sans le sens de l’article de M. Garroté, un article d’Anita Bourdin de l’agence Zénith, paru aujourd’hui même. Lien : http://www.zenit.org/article-31333?l=french
Ce qui y est affirmé d’accorde avec ce que disaient déjà des historiens comme Jean Dumont, Pierre Chaunu et Jean Sévilla.
Quelques extraits :
INQUISITIONS : LA « PURIFICATION DE LA MÉMOIRE » DE L’AN 2000
A la lumière de la recherche historique
« Retour sur les conclusions d’un symposium avec les meilleurs spécialistes au monde, alors qu’une série télévisée du service public français semble faire fi de la recherche historique, ce qui ne manque pas d’offenser les catholiques et les amis de la vérité, qui « s’indignent ».
« Les historiens qui avaient repris le dossier pour contribuer à faire la part des choses entre imaginaire et faits avérés, dans le volume intitulé : « L’Inquisition », ont publié en quelque sorte une « radiographie » des faits historiques. »
« On y apprend par exemple, que les 100.000 procès pour sorcellerie des tribunaux civils d’Europe ont abouti à 50.000 condamnations à mort. Tandis que les 120.000 procès de l’inquisition espagnole ont abouti à 59 condamnations à mort, certaines exécutées par contumace en brûlant des mannequins. Ces statistiques expliquent pourquoi dans tel ou tel cas, l’accusé a demandé à être jugé par le tribunal de l’Inquisition plutôt que par un tribunal civil.
L’étude établit de façon scientifique, sans céder « à la polémique ou à l’apologétique », que « le recours à la torture et à la peine de mort » n’ont « pas été aussi fréquents qu’on l’a longtemps cru ». » Etc.,
Une chose est sûre, l’Église n’a pas peur de la vérité.
Débattre sur la valeur de la fiction télévisée française est une perte de temps absolue. Hors quelques séries policières de canal + (dont l’idéologie -anti-policière- est d’ailleurs des plus douteuses), tout est d’une nullité absolue dans le fond et la forme et spécialement sur le grotesque service « public » qui n’est au service que de l’absence de talent et de contenu. Pour avoir aperçu quelques extraits de temps à autre, je me demande qui peut encore regardé ces trucs : une vague série de l’été ayant pour cadre partiel l’Inde l’an dernier était très caractéristique : personnages et situations de roman-photo -et encore!-, acteurs nuls, dialogues indigents etc… Quant à poser un cadre historique fouillé c’est hors de la compétence des prétendus scénaristes ou réalisateurs, tacherons à qui on ne confierait pas un film de série Z. En gros, c’est du « Plus belle la vie » avec un peu plus de moyens.
Le cinéma n’est pas en reste dans le domaine d’ailleurs : aussi nul et inutile. J’ai vu très récemment « Des hommes et des dieux » tant vanté dans les medias de droite, c’est en réalité un film de propagande islamique, les « moines » -si peu vraisemblables d’ailleurs- sont des personnages aussi fouillés que les sept nains du Blanche-Neige de Disney, aux quels ils empruntent beaucoup, ou que les Schtroumphs (au choix). Et que dire du fameux « Un prophète », mal mis en scène, pas dialogué et où les acteurs ne sont pas dirigés ?
Cette série s’insère dans la longue liste de productions télés que l’on peut qualifier au mieux de désinformatrices. On ne peut que se désoler à l’idée que ce qui l’auront vue s’estimeront au courant…Et bien sur, comme on tape sur le Christianisme c’est sans risque…
Nous attendons avec impatience que nos chaînes publiques daignent, par souci d’équité et surtout de probité journalistique, de nous proposer une série sur l’histoire merveilleuse du prophète de la religion d’amour et de paix, en n’occultant aucune vérité sur sa riche contribution à l’humanité, et ce en se basant ni plus moins que sur les textes de la Sunna, afin de respecter scrupuleusement la vérité historique de ce noble personnage.
On pourrait également proposer un Musulthon.
En effet, afin de subsidier l’exécutif des musulmans de France, organe représentatif de notre richesse multiculturelle importée, on pourrait envisager l’organisation d’une soirée spéciale Musulthon sur les chaïnes de notre Aljazzira nationale, France Télévision pour une collecte de dons.
Soirée Musulthon qui serait animée par notre pétillant Pujadas, l’exotique Debbouze et parrainée par la pétillante Yamina Benguigui.
On y verrait notamment des personnalités politiques patriotiques notoires comme Martine Brochen, Harlem Désir et cerise sur le loukoum la ministre Taubira en personne pour ainsi égayer la soirée et stimuler les dons en tout genre (dirham, dinar et surtout riyal acceptés).
Il y aurait également un défilé de mode en burka, des recettes de cuisine halal, des expériences ludiques de laboratoire multiculturel par le professseur Bernard Henry-Levy, alter ego pro-babouche de Jamy dans « C’est pas sorcier », les camions en moins (sic!)), des documentaires sur le terrain de nos dynamiques djeunes issus de la diversité (principalement des documents de vidéosurveillance commentés en duplex par des représentants du MRAP et de SOS racisme), des visites guidées de colonies de vacances de style détention provisoire, des conseils pratiques pour égorger -rassurez-vous- un mouton de même que les modalités pratiques pour battre -et si le temps le permet, de lapider – une des ses femmes sans en mettre partout.
Pour clôturer cette soirée, une lecture interactive et objective de l’histoire de la religion de paix et d’amour sera proposée à partir de 21h00 (une fois que les enfants seront au lit pour cause de contenu à caractère explicitement sexuel et violent) suivie d’un débat thématique pacifique (pas l’océan mais plutôt l’ambiance sereine du débat sus-mentionné) sur les apports ostensibles de cette richesse sur notre civilisation, et sur d’autres civilisations dans l’histoire, décimées depuis lors par cette même richesse.
Une telle intitiative nous aiderait en outre, nous occidentaux mécréants, à mieux cerner voire comprendre ces douces populations importées beaucoup trop stigmatisées et qui ne cherchent en fait qu’à être appréciées à leur juste valeur.
Nous attendons avec impatience que nos chaînes publiques daignent, par souci d’équité et surtout de probité journalistique, de nous proposer une série sur l’histoire merveilleuse du prophète de la religion d’amour et de paix, en n’occultant aucune vérité sur sa riche contribution à l’humanité, et ce en se basant ni plus moins que sur les textes de la Sunna, afin de respecter scrupuleusement la vérité historique de ce noble personnage
Dans 2 ou 3000 ans p’être…sinon, vous savez ce qu’ils RISQUENT en s’aventurant !!!
Ben tant qu’on trouve une fillette de 6 ans pour jouer le rôle de la concubine préférée du prophète !
D’ici là à ce rythme les socialos auront déjà légalisé la pédophilie non?
J’ai voulu savoir quel avait été le sort du général Katz et ce afin de savoir s’il s’est agi d’une monstrueuse bavuere de sa part ou si passer en pertes et profits plusieurs milliers de Français fesait vraiment partie des ordres. Et bien un mois plus tard le général Katz a été décoré pour son action de maintien de l’ordre public en Algérie. Dix huit mois plus tard il a reçu sa quatrième étoile et en 68, un an avant sa retrite, la cinquième (ce qui a pas mal augmenté le montant de ladite retraite). Quand au lieutenant Rabah Kheliff (kabyle et musulman) seul officier de l’armée française a tenter de sauver ceux qui se fesaient massacrer sa carrière a été fichue.
Autrement dit, il ne s’agissait pas de Katz mais de De Gaulle. Quel dommage qu’ils n’aient pas su que pour lui ils n’étaient que des untermenchen italiens ou espagnols qund il leur demandait d’aller se battre à Cassino à la place des « vrais français ».
Oups, erreur de page. C’était une réponse à « chance pour l’Algérie »
Le premier épisode « De viris » a réuni 4.3 millions de téléspectateurs pour 17.2% de PdA.
Le deuxième « Docendi et iudicandi » a été suivi par 3.9 millions téléspectateurs pour 16.% de PdA.
Vous remarquerez la petite chute en matière d’audience, du 1er au 2è épisode….certains ont dû s’énerver devant leur écran mercredi soir (lol) j’ai hâte de voir la suite, ne serait ce que pour savoir ce qu’il va advenir à Samuel de Naples (jeune médecin juif)et à sa famille, vont ils les convertir de force ou ?????….à part les rats (animal que j’horripile) cette série ne m’a pas ennuyé du tout…
Tenez, je ne sais pas si le lien va passer, je vous invite à lire les réactions des uns et des autres sur FR2….
http://forums.france2.fr/france2/Inquisito/liste_sujet-1.htm
depuis longtemps je n’ai plus de télé; je ne suis suis pas ennuyé par les inepties diffusées!
En ce qui concerne l’inquisition, la révolution, la shoah, il n’existe pas d’échelle de l’ignoble.
Un système ou un individu est condamnable, dès lors qu’il ait fait une ou des millions de victimes innocentes.
Il est donc spécieux, le pire n’étant pas une référence, de vouloir défendre la sainte Fernande sous prétexte que « l’on a fait plus de mal après »
Ceux qui voudraient approuver d’autres Pol Pot ne s’honorent pas dans cette voie!
Excusez-moi mais d’abord celà fait beaucoup de différence pour les 999,999 personnes épargnées par le système qui afit une victime ou un million. Ensuite parce que mettre sur le même plan ceux qui ont la paille et ceux qui ont la poutre ça arrange bien ceux qui ont la poutre et leurs amis. Enfin parce que ce sont ceux de la poutre ou leurs amis, des gens qui à différence de ceux de l’Eglise n’ont reien renié et qui donc pourraient recommencer à la moindre occasion (communistes) ou continuente à tuer et en sont fiers (islamistes) qui nous font des leçons de morale.
« Lorsque le Sage montre la lune de la main, le sot regarde la main »
L’on se précipite sur le comptage des morts dans tel ou tel cas et sur les détails sans intérêt à notre époque, en fait il conviendrait de s’interroger sur la raison de la floraison de tels navets hargneux sur le dos de l’église catholique prise comme flambeau de l’occident.
Le dessein est subtile et perfide, il s’agit de dévaloriser notre société en la montrant cruelle et ainsi dédouaner l’intolérance et la cruauté musulmane pour mettre tout le monde sur le même plan et préparer ainsi la grande bascule des années 2050 vers la conversion de nos concitoyens à cette secte putride que l’on aura auparavant lavé de toute faute pour la rendre présentable et « acceptable ».
Ces séries rentrent dans le cadre de la grande autocritique – spécialité judéo-chrétienne – afin de laisser la place à l’autre, l’ennemi de toujours, l’anté-christ en quelque sorte…
Continuez donc à vous battre sur les détails, c’est ce que les promoteurs de ces navets pseudo-historiques financés par le Quatar veulent et, vous, vous tombez dedans le nez en premier.
Le combat n’est pas dans le rétroviseur…
« Le combat n’est pas dans le rétroviseur »
Vous avez raison, mais c’est à la télévision française et aux média islamo-socialistes qu’il faut le dire.
Ce sont eux qui puisent leurs armes dans un passé qu’ils déforment, quand ils ne l’inventent pas carrément.
Sans aucun doute la Terreur révolutionnaire a fait beaucoup plus de victimes que l’Inquisition catholique. Les deux reposent sur des tribunaux d’exception chargés de réprimer des « pensées déviantes ». Les chiffres (wikipédia) sont sans appel: autour de 90 000 victimes en 500 ans pour l’Inquisition et 45 000 en 2 ans pour la Terreur. Les Lumières ont donc été environ 125 fois plus meurtrieres que le Moyen-âge (règle de 3). Normal: quand on réduit l’être humain à un objet matériel il n’y a plus de barrière morale à son élimination.
Ce genre de comparaison est illusoire. L’Inquisition n’a effectué qu’une toute petite partie de la répression des mal-pensants au non de l’Eglise. Ce n’est pas elle qui a perpétré les massacres de juifs, par exemple, (sauf marginalement en Espagne), ni la chasse aux sorcières, ni la Saint Barthélémy, etc. etc. et de l’autre côté le Tribunal révolutionnaire, pendant la fièvre totalitaire qui a saisi un temps la Révolution française, n’a pas fait les massacres de l’ouest, de Lyon, etc. Au passage, ce chiffre de 90000 me parait très sous-évalué quand on considère par exemple la répression des cathares à ses débuts même si la population de Béziers (« Tuez les tous, Dieu reconnaitra les siens ») n’a pas fait l’objet d’un jugement en règle.
Il n’empêche que l’Inquisition aura été la plus redoutable police de la pensée de tous les temps.