La presse britannique a critiqué ces derniers jours Mitt Romney en lui reprochant d’avoir dit que la préparation des Jeux Olympiques de Londres avait connu des difficultés.
Mitt Romney disait ainsi ce que la presse britannique dit elle-même depuis des mois, mais à lire les articles publiés, on aurait cru qu’il a proféré une obscénité. La presse de gauche américaine a, bien sûr, emboîté le pas de la presse britannique, tout comme l’équipe de campagne d’Obama. La presse française s’est comportée de la même façon, ce qui est logique dans un pays où, si la population votait pour les élections présidentielles américaines, Obama obtiendrait un score proche de ceux obtenus par les dirigeants communistes d’Europe Centrale au temps où il n’y avait qu’un seul bulletin de vote.
Mitt Romney a passé ensuite deux jours en Israël, pays où Barack Obama s’est bien gardé de se rendre depuis qu’il est Président.
Il n’a pas critiqué la politique étrangère de l’administration Obama pendant ce séjour : c’est l’une des règles de base de la diplomatie, lorsqu’on est candidat à une haute fonction, de ne pas critiquer la politique menée par les dirigeants de son propre pays pendant qu’on voyage à l’étranger.
Il n’en a pas moins pensé et dit à haute et intelligible voix ce qu’il pensait. Et j’en parle ici car je serais étonné si ce qu’il a dit, en un discours prononcé dimanche, trouvait un large écho dans la presse qui l’a critiqué pour ses propos au Royaume-Uni.
Mitt Romney n’a, à la différence de qui vous savez, pas parlé des « frontières de 1967 » comme base de négociation en vue d’un retour au « processus de paix », car il sait, lui, que les « frontières de 1967 » n’existent pas. Il n’a pas usé de circonlocutions et a parlé de « Jérusalem, capitale d’Israël ».
Il n’a pas, à la différence de qui vous savez, évoqué les constructions immobilières israéliennes dans la périphérie de Jérusalem ou en Judée-Samarie comme un « obstacle » à la paix, mais a parlé d’Israël comme de l’une des « plus impressionnantes démocraties existant sur la terre ».
Il ne s’est pas, toujours à la différence de qui vous savez, montré distant envers Binyamin Netanyahou, mais en a parlé comme de son ami, ce qui est logique puisque Mitt Romney et Binyamin Netanyahou sont amis depuis leur jeunesse. Et il a cité deux fois Menahem Begin. La première de cette façon : « nous avons la responsabilité de nous assurer que plus jamais notre indépendance ne sera menacée ». La deuxième fois de cette façon : « si un ennemi du peuple juif dit qu’il veut le détruire, croyez-le sur parole ».
Il n’a pas, à la différence encore de qui vous savez, tendu la main vers les islamistes ou vers la République islamique d’Iran, et a au contraire souligné ceci : « Quand les dirigeants iraniens nient l’Holocauste ou parlent de rayer Israël de la carte, seuls ceux qui sont naïfs, ou pire que naïfs, y verront un excès de rhétorique ». Puis : « Il serait insensé de ne pas prendre au pied de la lettre les propos des dirigeants iraniens. Ils sont les produits d’une théocratie radicale ».
Il n’a pas proposé de poursuivre les négociations avec le régime des mollahs, et s’est contenté de dire que le régime avait gagné plusieurs années « pour développer ses capacités nucléaires ».
Aux fins que les choses soient claires, et après avoir rendu hommage aux « dissidents iraniens » abandonnés à leur sort il y a trois ans, il a précisé : « Il est parfois dit que ceux qui sont déterminés à empêcher le régime iranien d’obtenir des armes nucléaires sont imprudents et incitent à la guerre. C’est l’opposé qui est vrai. Nous sommes les vrais artisans de la paix. L’histoire enseigne avec force et clarté que lorsque les régimes les plus despotiques se dotent des armes les plus destructrices, la paix laisse souvent la place à l’oppression, à la violence ou à une guerre dévastatrice ».
Il n’a pas, à la différence de qui vous savez, d’Hillary Clinton, ou de Leon Panetta, demandé à Israël de faire des gestes pour « la paix », et il n’a pas cité une seule fois l’Autorité Palestinienne, tout comme il n’a pas parlé de « processus de paix ». Il a par contre déclaré que l’alliance entre les Etats-Unis et Israël était « bien davantage qu’une alliance stratégique » : « une force pour le bien dans ce monde ».
Il a précisé « Nous ne pouvons rester silencieux quand ceux qui veulent déstabiliser Israël font entendre leurs critiques. Et nous ne devons pas nous joindre à ces critiques. La distance diplomatique entre nos pays encourage les adversaires d’Israël ».
Sa conclusion : « Aussi longtemps que nous serons unis et debout ensemble, il n’est pas de menace que nous ne pourrons surmonter et rien que nous ne pourrons accomplir ».
Et enfin : « Que Dieu bénisse l’Amérique et qu’il bénisse et protège la Nation d’Israël ».
Comme si tout cela ne suffisait pas, Mitt Romney n’a pas prévu de faire un détour par Riyad aux fins de faire une courbette de déférence devant le monarque saoudien. Il n’a pas non plus prévu de se rendre au Caire pour serrer la main des dirigeants des Frères musulmans ou pour parler à Al Azhar.
Les déclarations de Mitt Romney en Israël ne trouveront aucun écho dans la presse britannique, sans aucun doute. Elles ne trouveront qu’un faible écho dans la presse de gauche américaine.
Elles ne trouveront que fort peu de place dans la presse française où on continuera à parler de ses supposées « bourdes » au Royaume-Uni.
Mieux vaut sans doute qu’elles ne trouvent que peu de place dans la presse française : elles y seraient charcutées et triturées par les antisémites (pardon, « antisionistes ») de service.
Le Nouvel Observateur a noté que Romney avait un « ton agressif » : c’est étrange, je n’ai jamais lu dans Le Nouvel Observateur de phrase disant qu’Ahmadinejad avait un ton agressif…
Le Monde a gardé en titre de sa page web du secteur international : « Mitt Romney, champion olympique des gaffes ». Une dépêche de l’AFP cite Saeb Erekat, « négociateur palestinien » quand il parle anglais, et apôtre des attentats suicides lorsqu’il parle arabe cf. www.jihadwatch.org) : « Les déclarations de Romney portent atteinte aux intérêts américains dans la région, à la paix, à la sécurité, et à la stabilité. Ces déclarations sont inacceptables et nous les rejetons totalement ». Saeb Erekat s’y connaît en matière de défense des intérêts américains : c’est un vrai spécialiste de la question.
La presse française avait déjà toutes les raisons de détester Romney : il est républicain, conservateur, et il a fait fortune en tant qu’entrepreneur.
Elle a davantage de raisons encore de le détester. L’idée qu’il puisse être élu et que ses propos puissent définir la politique étrangère des Etats-Unis doit donner des aigreurs d’estomac dans les salles de rédaction.
Tous les candidats à l’élection présidentielle américaine ne peuvent pas être démocrates, venus de l’extrême gauche, liés aux Frères musulmans et au mouvement « palestinien », tous ne peuvent pas être d’anciens agitateurs sociaux et avoir pour amis d’anciens terroristes non repentis. Tous ne pensent pas que l’islam est une religion de paix et d’amour. Tous ne célèbrent pas le ramadan. Tous n’ont pas le profil idéal pour séduire une certaine catégorie de personnes.
Les articles désobligeants sur Mitt Romney vont donc continuer à déferler en France.
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Guy Millière pour www.Dreuz.info
Le texte complet du discours de Mitt Romney est disponible à cette adresse
Souhaitons que les américains , seuls juges en la matière en l’occurrence , soient aussi lucides , car la presse française elle souligne « l’extraordinaire charisme » du président en place candidat à sa succession et nullement son rapprochement avec les Frères musulmans qu’il a mis en place ( indirectement et de façon subtile certes ) sur toute la côté sud méditerranéenne (sans parler du chaos induit au Mali) .
Les rumeurs de guerre qui planent sur le mois d’octobre pourraient bouleverser la donne si Israël perd patience et que le clan Hassad « dévisse » au profit des Frères
A comparer avec la première page du consulat de france à Jérusalem.
http://www.consulfrance-jerusalem.org/
exemple : RG en Palestine pour le Festival de Jérusalem !!!
« Bien faire et laisser dire »
« Si les gens qui disent du mal de moi savaient ce que je pense d’eux, ils en diraient davantage » !
tous ces « MERDIAS Français et occidentaux regretterons dans pas longtemps le mal qu’ils font à la démocratie.
Excellent. Je ne vais pas me priver de me servir des formules et des idées de Guy Millière pour mes propres commentaires, de ci, de là. Ce n’est pas très « correct », je le sais et j’en suis désolé. Mais lorsque je propose des extraits entiers avec la mention exprès « Guy Millière », les foudres staliniennes de la modération me tombent généralement dessus. A force de l’avoir essayé, j’en suis donc venu à cette façon de procédé.
Je ne donne le lien sur l’article original de Millière que sur le blog de Rioufol, le seul qui le publie sans… modération !
Merci Huy
Il est bon de savoir que je ne suis pas le seul a avoir ce genre d’opinions.
L’union eurabienne islamo gauchiste est en marche,seule une catastrophe économique majeure ou une guerre sontt susceptibles d’arreter ce train fou.
La convergence stratégique entre Isrel ,l’Inde et les USA est indispensable a la survie des derniers pays de liberté
Espérons de tout coeur que le candidat mandchourien morde la poussière.
Dans le cas contraire,4 années pénibles suppléméntaires attendront les Israeliens,heureusement soutenus par la Chambre et le Senat US !
obama fera TOUT pour entraver notre liberté d’action face a l’iran
Si les dirigeants israeliens pensent que l’agitateur gauchiste va l’emporter en novembre 2012,ils devront frapper avant que l’adorateur des muzes n’entame son second mandat destructeur d’Israel et de l’économie US
Merci Monsieur Millière, je suis arrivée à la même conclusion que la vôtre. God bless America (celle de Mitt Romney bien sûr!). Entre Poutine qui se rend au Kotel et qui affirme que l’histoire du peuple juif est gravé dans ces pierres et Romney qui cite Jérusalem comme capitale d’Israël et qui veut y déplacer l’ambassade US, est-ce qu’un vent nouveau soufflerait?
Un vent de liberté se lève en Amérique, qui ne s’arrêtera plus. Enfin ! Ce Romney est excellentissime, ouvert, et connaissant la réalité du monde des affaires, au moins. Pas comme en France, où l’immense majorité des membres d’un gouvernement donné (de la fausse droite, comme de la vraie gauche) n’ont jamais mis les pieds dans une entreprise de leur vie.
C’est toujours un plaisir de vous lire avec une analyse toujours aussi percutante ce don que vous avez avec quelques phrases de donner un aperçu de la presse mondiale.
> Lundi 30 juillet 2012 à 08:37
L’UE condamne les violations israéliennes des droits de l’homme
Dans un récent communiqué publié par le Conseil d’association UE-Israël, l’Union européenne a vivement critiqué Israël pour ce qu’il appelle »un vaste pannel de violations des droits de l’homme au sein de l’Etat juif et dans les territoires occupés ». L’UE rappelle l’obligation d’Israël de défendre les droits des minorités arabes et palestiniennes et de chercher des solutions équitables et viables concernant les villages des Bédouins non-reconnus.
Si c’est ça la politique, ces gens sont d’un ridicule sans nom, ces lêche babouches sont à gerber….maintenant je comprends pourquoi Hitler est arrivé au Pouvoir dans les années 30…
l union europeenne est en guerre non declaree contre Israel. C est le theme de mon article du mois dans le prochain numero d israel magazime.
Monsieur Millière, je partage votre opinion. Mais la situation est très perverse car au-delà des joutes oratoires de l’UE dont IL fait les frais, j’ai appris récemment en discutant avec un de mes amis qui travaille dans le domaine de la coopération bilatérale UE/IL que IL est le premier partenaire économique de l’UE. Il semblerait donc que l’UE ait un discours à deux vitesses: le discours politique que nous connaissons tous et qui nous irrite au plus haut point (c’est un euphémisme) et la réalité économique qui l’emporte sur les condamnations politiques. J’ignorais cette situation et elle me semble intéressante à creuser. A titre d’information aussi, il semblerait que les pays suivants de l’UE soient les seuls à prendre la défense d’IL quant il s’agit de la politique extérieure de l’UE: NL, DE, BG et CZ, le pire opposant étant (on s’en doute) FR…
Guy Millière, que pensez-vous de cet article d’Alan Dershowitz, ci-après, et quelle opinion avez-vous de Mr. Dershowitz en général?
No « Buyer’s Remorse » For Voting For Obama
by Alan M. Dershowitz
July 29, 2012 at 3:00 am
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Republicans are trying to woo away Jews who voted for Barack Obama in 2008, hoping they have experienced « buyer’s remorse. » I, for one, have experienced no such remorse. I have gotten from President Obama pretty much what I expected when I voted for him: a pragmatic, centrist liberal who has managed—with some necessary compromises—to bring us the first important healthcare legislation in recent history, appointed excellent justices to the Supreme Court, supported women’s rights, eliminated the « Don’t Ask Don’t Tell » policy, maintained the wall of separation between church and state, kept up an effective war against terrorism and generally made me proud to be an American who cast my vote for him.
Even with regard to his policy toward Israel, which has generated much of the impetus for this « buyer’s remorse » campaign, President Obama has kept his promises. During the last campaign, I and others urged candidate Obama to go to Israel and visit Sderot, which was being shelled by rockets from Hamas-controlled Gaza. He then went to Sderot and while standing in front of the lethal rockets that had inflicted so much damage—physical and psychological—to so many children and adults, this is what the candidate said:
« I don’t think any country would find it acceptable to have missiles raining down on the heads of their citizens. The first job of any nation state is to protect its citizens…If somebody was sending rockets into my house where my two daughters sleep at night, I’m going to do everything in my power to stop that. And I would expect Israelis to do the same. »
And when the Israeli Defense Forces finally had to respond to the rocket terror with Operation Cast Lead, President Obama supported Israel’s actions and his administration condemned the Goldstone Report as deeply flawed and biased against Israel.
Now, Republican presidential candidate Mitt Romney is visiting Israel. I’m glad he is, because support for Israel must always remain bipartisan. No presidential election should ever become a referendum on support for Israel. Certainly the upcoming election will not be, because both candidates strongly support Israel’s security. Each candidate must earn the vote of each citizen based on the totality of their records, and must not take the support of any group for granted.
The Obama Administration has worked hand in hand with Israel in developing the Iran Dome, David’s Sling and Arrow Defense capabilities. It has approved the sale of F-35 stealth fighters to the Israeli Air Force. It has conducted large, joint military exercises and has coordinated intelligence operations with Israeli secret services. That is why I was not surprised when Israel’s Defense Minister Ehud Barak said that he could:
« hardly remember a better period of…American support and cooperation and similar strategic understanding…than what he have right now. »
The greatest threat Israel faces today is from Iran, a nation ruled by anti-Semitic, Holocaust denying, terrorist-inciting Mullahs, who would sacrifice millions of their own citizens to destroy « the little Satan, » which is how they refer to Israel (the United States being « the big Satan. ») There are some, in both parties, who wrongly believe that a policy of « containment »—that is, allowing Iran to develop nuclear weapons but containing their use by the threat of tit-for-tat reprisal—is the right strategy. President Obama has explicitly rejected this benighted approach and has instead announced that his policy is to prevent Iran from developing nuclear weapons, even if it takes military actions to do so. In the meantime, he has ratcheted up sanctions and diplomatic pressure while explicitly keeping the military option on the table.
Several months ago, President Obama invited me to the Oval Office to discuss his Iran strategy. He looked me in the eye and said, « I don’t bluff. » His actions with regard to Osama bin Laden and the Somali pirates who endangered Americans and threatened to kill them demonstrated his willingness to use force when warranted. So does his increased use of drones to target terrorists who are beyond the reach of capture. I believe President Obama when he says that Iran will not be allowed to develop nuclear weapons on his watch.
President Obama also understands that no sovereign nation can ever outsource the protection of its own citizens against a nuclear Holocaust. If Israel were to decide—as a last resort, after exhausting all diplomatic, economic and intelligence options—that it had no choice but to take military action against Iran’s nuclear programs, I am confident that the Obama Administration would not condemn that action (as the Reagan Administration condemned Israel’s correct decision to destroy Iraq’s nuclear reactor in 1981!) These are President Obama’s own words on this important issue:
Iran’s leaders should have no doubt about the resolve of the United States – just as they should not doubt Israel’s sovereign right to make its own decisions about what is required to meet its security needs.
The issue of Israeli security must be distinguished from the issue of Israeli civilian settlements in the West Bank. Israel’s settlement policy is deeply controversial within Israel and among Jewish supporters of Israel in the United States. Both Republican and Democratic administrations have been critical of some Israeli decisions regarding the settlements. I have sometimes agreed and sometimes disagreed with these criticisms. Reasonable supporters of Israel will have different views on the settlements and on how best to move toward a two-state solution that assures Israel’s security.
When I decide who to vote for as President, I ask myself who will be best for America and for the world. An important component of my answer involves my assessment of the candidate’s willingness and ability to protect Israel’s security, since I strongly believe that a strong Israel serves the interests of the United States and of world peace. I am confident that President Obama will keep his promise « always [to] have Israel’s back » in the face of the continuing threats posed by Israel’s enemies.
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Alan Dershowitz defend Israel, mais se fait de graves illusions sur les « palestiniens ». Il tuent a ses idees de gauche et peint un portait idyllique d Obama en omettant tout ce qui le derange. Je le place dans la meme categorie que bernard henri levy. C est un allie sur certains piints, et pas un ennemi. Sur d autres points, c est un idiot aveugle par ses idees preconcues. Martin Sherman a publie a son sujet deux ou trois articles tres argumentes publies dans le jerusalem post, et disponibles sur le net.
Guy Millière et Mandrake,
Je ne connaissais pas les positions d’Alan Dershowitz envers Obama, c’est pourquoi son article m’a paru plus que surprenant!
Merci de m’avoir répondu.
Guy milliere
pathétique cet Alan Dershowitz
comment peut-il être si aveuglément et bêtement innocent, pour ne pas voir qui est le vrai obama?
ne même pas être capable de distinguer la différence entre ces rêves personnels et la réalité visible : le typique idiot utile!
c’est grâce à ce genre d’électeurs imbéciles que le pire Ennemi de l’Amérique a été élu.
c’est devant cette bêtise humaine si profonde que je suis navré:
un Juif qui soutient l’allié des tueurs de Juifs
le comble de l’inconscience
Mandrake
oui, merci frère, vous avez raison.
c’est triste.
@DGG: j’espère que Guy Millière prendra un peu de temps pour vous répondre. Cependant, j’aimerais vous adresser ce commentaire avant lui: Alan Dershowitz aurait pu écrire la même chose concernant l’UE. Tout dépend de vos valeurs et de l’optique dans laquelle on se place. La réalité est tout autre. Je pourrais aussi écrire que l’UE est un des alliés les plus fiables d’Israël et que le système, pardon le modèle, social européen est le meilleur du monde. Malheureusement, en creusant un peu on s’aperçoit très rapidement que cela n’est pas le cas lorsqu’on applique certains critères objectifs tels que le coût-bénéfice par exemple ou encore le « reality check ». Dershowitz a voté pour Obama et en reste fier. Bien lui en fasse. Dershowitz ne fakit guère preuve d’esprit, ni d’analyse critique et son article est délirant. Si c’est comme qu’il défend ses clients, il est temps pour ceux-ci de changer d’avocat. Dershowitz oublie, dirait-on, que les maîtres à penser d’Obama sont Bill Ayers, Saul Alinsky, Jeremiah Wright, Frank Marshall Davis, Bernardine Dohrn ou encore George Soros. Tous ces aimables personnages sont des gens provenant de la mouvance la plus sordide de l’extrême-gauche américaine. On pourrait désormais ajouter Alan Dershowitz à cette liste. Si c’est ça Harvard, il y a décidément quelque chose de super-pourri aux Etats-Unis…aussi. Il est donc temps d’élire une nouvelle administration qui reprenne les choses en main.
« I am confident that President Obama will keep his promise « always [to] have Israel’s back » in the face of the continuing threats posed by Israel’s enemies. »
Mr. Obama never kept any of his promises, so why would he keep this one, especially since he has consistently acted against Israel from the get go?
Mr. Dershowitz is a product of Harvard, so it’s no wonder that he hasn’t yet realized that his confidence was misplaced after enduring 3 and 1/2 years of Mr. Obama’s regime. There is no hope that he’ll ever come to his senses, he has been programmed to flounder in utopia for ever.
Whatever he says or writes is of no consequence whatsoever.
Guy, vous qui revenez des US pouvez vous nous dire quelle est la température ? Est ce que Romney a vraiment ses chances ?
Par exemple, en 2008, j’avais discuté à San Francisco avec des électeurs démocrates qui s’apprêtaient à voter McCain tellement ils ne supportaient pas Obama (c’était des chefs d’entreprise). Y-a-t-il des électeurs démocrates modérés et pragmatiques ou des indépendants qui sont prêts à voter Romney ?
il y a des electeurs independants qui voteront Romney. Je ne pense pas que des electeurs democrates feront la meme chose, au mieux ils s abstiendront. Je vais faire un article plus vaste sur les elections smericaines dans les jours qui viennent.
Pourtant il y en a nécessairement qui ont voté bush en 2000 et en 2004, tout comme des électeurs de bush ont vriasemblablement vote Obama en 2008… C est la règle en démocratie. Tous les électeurs démocrates ne sont pas de dangereux gauchistes façon Obama, heureusement pour l Amérique et le monde libre…
@BARAKAT
oui sauf que je me demande comment vous pouvez encore poster chez rioufol avec la dizaine d’habitués anti-israéliens et antisémites
qui sévissesnt?et celà dans tous les articles d’ivan rioufol avec mépris et virulence. sans bien entendu que ce dernier soit en cause.
j’ai du reste abandonné le modérateur étant à mon avis partie pris.
N’importe quel président élu, ne changera rien au virus antiaméricain vissé dans les crânes.
L’antiaméricanisme s’était-il calmé, après l’élection de Obamahomed ? Pas d’un iota…
La haine de l’Amérique est l’oxygène de la clique journaleuse, et le candidat républicain, l’occasion pour elle de déverser tout son poison bon marché.
Ivan Rioufol est un homme pour qui j ai de l estime et de l amitie. Il ne maitrise helas pas l activite des moderateurs du Figaro, et ceux ci, comme quasiment tous ceux qui travaillent dans les medias francais ont, disons, des orientations tres douteuses.