Fumer pendant la grossesse : très mauvais pour le bébé.
Boire de l’alcool pendant la grossesse : déconseillé pour le développement du bébé.
Prendre la voiture pour un long trajet le premier mois : risqué pour le bébé.
Avorter : pas de problème.
Reproduction autorisée et vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
il paraît que c’est simplement un nouveau mode de contraception.
Il y a même l’avortement post-natal, maintenant…
Qu’y a-t-il d’étrange ?
Fumer,Boire de l’alcool,Prendre la voiture pour un long trajet le premier mois pour une femmme qui veut garder son enfant c’est risqué et c’est juste de les avertir.
Avorter pour une femme qui s’est peut être fait violer ou qui se retrouve seule ou pour un couple qu n’a pas les moyens est un choix douloureux et je suis étonné que l’on puisse en faire que 5 lignes sur un site d’information…….
L’argument du viol m’agace prodigieusement. Il permet de justifier en France 200.000 avortements par an alors que probablement seulement 2.000 d’entre eux sont concernés par cette question très douloureuse. Par ailleurs, viol ou pas viol, un foetus est un être humain et tuer un foetus revient à tuer un être humain. Donc l’avortement est acceptable si la vie de la mère est en danger. Il me semble que la réponse à apporter à une femme enceinte réside dans l’accompagnement. Et il lui est possible de se séparer de son enfant à la naissance et de trouver des parents qui l’adopteront. Quoi qu’il en soit, les séquelles psychologiques de l’avortement sont redoutables. En un mot comme en cent : une femme dans la détresse a besoin d’amour et d’affection et de soutien, pas d’un avortement !
Moi c’est le viol qui m’agace, une grossesse en général cela se prépare …
c’est pour cela que bientot il y aura plus d’arabes que de francais!!
Oui mais ça c’est du parasitisme qui se réglera manu-militari.
D’accord avec Scholle. L’argument du viol est le seul qui reste à ceux qui s’obstinent à justifier l’injustifiable. Une femme violée a besoin de soutien et d’accompagnement. On peut comprendre qu’elle veuille renoncer à l’enfant, il n’y a rien à redire, mais… y renoncer par un meurtre ? Il y a déjà une victime, pourquoi en faire une autre ? L’enfant est innocent et a droit au respect autant que la mère. Pourquoi ne pas renoncer à cet enfant en le confiant plutôt après l’accouchement à quelqu’un qui peut l’accueillir et l’aimer ? C’est une solution plus logique et surtout plus humaine, qui n’est malheureusement pas assez envisagée et proposée à la femme, pourquoi ? Pourquoi préfère-t-on être pro-vie que pro-mort? Un accouchement, qui est un acte naturel, est-il plus terrible à vivre au fond qu’un avortement, qui est un acte abominable et contre-nature ?
Je ne suis pas pro-avortement, mais dans le cas d’un viol si.
Imaginez, même si l’enfant est donné en adoption, qu’il apprenne plus tard qu’il est le fruit d’un viol?! Que son père est un criminel, et que sa mère l’a abandonné?!
Dur de se construire aprés cela…
Nicoletta est « le fruit » d’un viol. Sa mère était mongolienne ou problème de retard mental (je crois) et elle s’est fait violer chez sa mère pendant l’absence de celle-ci. Ils n’ont jamais retrouvé le violeur, donc le père de Nicoletta
Peut-être, mais est-ce que cela vaut de supprimer une vie humaine ? Là est le vrai débat qui n’a jamais été posé.
Jacques Mallet :
J’apprécie et approuve votre raisonnement cher Monsieur.
C’est le logique même.
Dans mon précedent commentaire, l faut lire plutôt, bien sûr, « Pourquoi préfère-t-on être pro-mort que pro-vie ? »
« Avorter pour une femme qui s’est peut être fait violer ou qui se retrouve seule ou pour un couple qu n’a pas les moyens est un choix douloureux et je suis étonné que l’on puisse en faire que 5 lignes sur un site d’information…… »
Il y a bien sûr certain cas ou cela se discute.
Mais … Une femme qui « se retrouve seule » ou « un couple qui n’avait pas les moyens » … avaient à réfléchir avant.
Il est des actes, dans la vie, qui portent à conséquences, et il serait bon de le rappeler aux gens, bien que la seule valeur que prone notre modele de societé depuis quelques années soit l’assistanat et l’adulescence.
Il va falloir vous réveiller !
L’avortement n’est plus un choix depuis longtemps ! Aller voir là où se décide cette technique: insinuer , simplement , qu’une autre approche serait possible vous fait passer pour un facho-rien que ça – , et un arriéré ultra catho-la totale ! – *
Même les professionnels de santé n’ont plus le droit de refuser de pratiquer cet acte: des quotas sont imposés (sous le règne de la fausse droite ) . Les jeunes gens , comme le dis si bien l’Abbé Arbez , considèrent l’avortement comme un moyen de contraception . Ni plus,ni moins .Les avortées « multiples » sont légions , et pourquoi s’en priver:c’est pris en charge , et fait dans le meilleur confort possible . Rien à voir avec les avortements effectuer en application de la loi de 1973 : à la « cosaque » , sans anesthésie , avec le bocal d’aspiration en vue , où la patiente pouvait voir passer les morceaux du foetus.Moins fun , d’un coup , non?
Nous en sommes , actuellement , à l’avortement post-natal : démarche d’une rare perversité , et d’un égoïsme absolu : je me fait plaisir pendant la grossesse , puis j’élimine l’ enfant: Je le tue , en fait . Sympa , non ?
Le coup du viol , c’est celui qui a été fait à l’époque : cela à marché 10′. Les solutions existaient déjà.
L’avortement ne devrait plus qu’une question technique restreinte à des cas graves . Il y a suffisamment de produits contraceptifs sur le marché pour éviter cette « démarche ». Mais bon , quand les magazines féminins traite du problème de la sexualité de la jeune fille de 13 ans …
La loi sur l’avortement ne devait être que provisoire , pour rappel . Nous constatons donc que c’est un échec moral , sociétal et de la prévention des MST , dont fait partie le SIDA .
Et donc l’article à toute sa place dans un magazine d’info. Merci J-P Grumberg .
*ce qui me laissait de marbre , et me fait bien aujourd’hui,puisque de la mouvance évangélique .
« Avorter pour une femme qui s’est peut être fait violer ou qui se retrouve seule ou pour un couple qu n’a pas les moyens est un choix douloureux… »
Vous retardez, cher Monsieur, de plus de cinquante ans. Vous ressortez certains arguments mis en avant par les promoteurs de l’avortement des années 60, en oubliant commodément que la réalité s’est chargée depuis de les réduire à zéro. Et la douleur, en l’occurrence, c’est surtout l’enfant à naître qui en a la plus grande part.
La réalité, ce n’est pas, mais alors vraiment pas, le cas de la femme «qui se retrouve seule», abandonnée par le séducteur qui a surpris son innocence.
C’est en fait le cas de Mademoiselle tout-le-monde, qui malgré l’éducation sexuelle dispensée à l’école et sur les écrans de TV, malgré les avis médicaux, malgré la vente libre – voire la distribution gratuite – de contraceptifs, malgré les exemples alarmants dont elle a pu être témoin dans son entourage, veut bien sauter dans le lit du premier venu qui le lui demande (plus ou moins) gentiment, mais ne veut pas s’astreindre à utiliser un moyen de contraception – encore moins à l’exiger du partenaire d’un soir, d’un mois ou d’un an. L’avortement devient alors un autre moyen de contraception, et vous entendez alors la réceptionniste accueillir une de ces clientes avec «C’est encore vous!» (sic)
La réalité, c’est aussi l’énorme pression sociale qui, sous prétexte de la «libération de la femme», l’a poussée à avoir des relations sexuelles le plus tôt et le plus souvent possible, pour faire comme tout le monde, parce que c’est bien vu, parce que «c’est bon pour la santé».
La réalité c’est que ces deux têtes à vent (car je tiens à inclure l’homme dans cette affaire) sont persuadés que l’Etat Nounou, c’est-à-dire la communauté, n’existe que pour les prendre en charge et leur accorder l’absolution pour leurs erreurs de jugement, car il ne faut surtout pas qu’ils se sentemt responsables de quoi que ce soit.
Quant au «couple qui n’a pas les moyens» (on dirait du Zola) et qui a choisi d’ignorer le planning familial, que ne s’inspire-t-il du couple décrit dans le poème «Les pauvres gens» de Victor Hugo pour décider de l’avenir de l’enfant-surprise ?
La réalité, c’est aussi les énormes progrès de l’imagerie médicale in utero qui ont permis de filmer toutes les phases du développement du fœtus et de sa destruction pendant l’avortement. La légende de l’avortement médical aseptisé, instantané et indolore pour la mère comme pour le fœtus n’est plus soutenable. Plusieurs médecins avorteurs ayant découvert ces images après des années de pratique ont été horrifiés et ont renoncé immédiatement à réitérer l’opération. Certains militent actuellement contre l’avortement «sauvage», qui a fait plus de 50 millions de victimes (sans compter les mères) aux USA depuis la loi Roe vs. Wade.
Elles sont, ces images, assez insoutenables et tous les partisans mordicus de l’avortement devraient bien s’astreindre à les regarder du début jusqu’à la fin avant de monter au créneau. Si elles avaient été disponibles dans les années 60 pour l’ensemble du public, je doute fort que la loi ait été adoptée avec autant d’enthousiasme des deux côtés de l’Atlantique.
Pour les cas de viol comme pour tout autre cas, il n’y a pas de solution standard, c’est à chacun de rentrer en soi même et de prendre une décision adulte en son âme et conscience. Encore faut-il le faire en toute connaissance de cause, sans rien accorder aux mœurs d’un temps qui sera bientôt considéré comme le plus noir de l’Histoire de l’humanité moderne.
Tout est dit Atikva, je vous approuve à 100% !!!. Je regardais il y a 2 ou 3 jours un « reportage » sur le sujet et j’en ai été horrifié. S’étonner qu’il y ait de plus en plus de demandes d’avortement chez des gamines de 15 ans alors qu’aujourd’hui elles sont soit disant mieux informées et « sexuellement éduquées », c’est très révélateur de l’état de notre société… A aucun moment dans l’émission on ne parle du fœtus comme d’ un être humain, c’est juste un truc à « expulser » de manière froide et « indolore », au fond d’une cuvette de chiottes. Tout simplement ignoble !!! Nos grands mère, elles, n’avaient pas le choix, quel que soit leur âge ou leur situation, mais si elles l’avait eu, elles auraient sans doute choisi : la Responsabilité ! Ce qu’on devrait inculquer à ces « jeunes », c’est qu’à partir du moment où on fait le choix d’avoir des rapports sexuels, on devient un adulte consentant et responsable. Le sexe est devenu un produit de consommation ordinaire (on prend, on consomme, on jette), alors que sa fonction originelle est de transmettre la Vie…
Et il y a une chose qui fait cruellement défaut maintenant : la Morale ! Le plaisir avant tout et on balaie tout ce qui « gène ». Une petite vie ce n’est pas anodin, nous aurons à répondre de tous ces crimes, et les femmes avortées ne s’en sortent pas indemnes psychiquement.
Ce sont 2 problématiques différentes, qui malgré les apparences (souvent trompeuses d’ailleurs 😉 )n’ont aucun lien entre elles au delà du jugement de valeur « bien/pas bien ».
Dans la 1ère la grossesse (et donc l’enfant) est souhaitée. Logiquement la santé optimale du nouveau né est recherché, quitte à tomber dans l’hygienisme à outrance.
Dans le 2e, la grossesse est non souhaitée pour toute une sorte de raisons.
C’est le « pour toute sortes de raisons » qui est fallacieux et à définir dans votre histoire.
Ce n’est pas un acte anodin, bien que ce soit banal pour certain(e)s. On ne traite pas le sujet d’un geste de la main, ou en haussant les épaules.
La seule raison qui * pourrait * être valable selon le cas est la grossesse qui fait suite au viol. Ou certains cas très particuliers.
Pour le reste, il y a la pensée, la raison, la réflexion, la maitrise de soi …
En général on pense avant de faire des bêtises. La vie n’est pas un jeu vidéo ou … Rho, je suis mort ! pas grave il me reste encore 8 vies …
Pfff.
D’accord avec vous!
Ce que je cherche à souligner est plutôt d’ordre dialectique.
« avant, on pense »… il y a des cas où l’on ne pense plus !!!
Trop gros, passera pas.
Ça dépend … à combien de mois ?
En France, l’avortement est réglementé. Il est légal seulement lors des premiers mois lorsque le foetus n’est pas constitué.
Et franchement, l’un n’empêche pas l’autre.
J’ai plus de respect pour une pauvre fille qui avorte lors du deuxième mois de grossesse car elle a été violé que pour une conne de bonne femme qui fume et boit lors du huitième mois de grossesse.
Concerning this hot topic, your arguments are invalid.
« lorsque le fœtus n’est pas constitué » … Donc selon vous, à 89 jour, le fœtus n’est pas contitué, mais à 91, si … Intéressante opinion … qui ne reflète évidemment pas la réalité.
Votre « contre argumentation » n’est pas non plus valide car vous ne prenez en compte que deux cas, extrêmes. A coté de ça, en ce qui me concerne, j’ai connu des jeunes filles entre 12 et 16 ans qui s’étaient déjà fait avorter quelques paires de fois (après chaque fugue, en fait, c’était devenu le rituel … le « lavage de pechers planning familial » …) … et qui ne s’en inquiétaient pas pour autant … Imaginez un peu le niveau de déresponsabilisation de ces jeunes filles … Pas de capote ? Pas de pillule ? Mais j’ai envie de monter quand même … Bon pas grave, j’irai au planning quand les gendarmes me rameneront …
Pfff.
Quand à un couple … qui « n’a pas les moyens » … Ou une femme, seule, qui aurait « changé d’avis » … Bah dans ce cas il faut réfléchir avant.
Le seul cas pour lequel je me prononcerais en faveur de l’avortement, c’est pour le viol. Et encore il faut que ce soit fait vite … très vite.
Plutôt d’accord avec Alexandre, Tomtom et Ralph : l’avortement peut être une nécessité et doit rester une possibilité pour les femmes. Le droit de refuser d’héberger dans son corps un enfant non-désiré est une liberté fondamentale pour les femmes, acquis de haute lutte. Ce qui ne signifie pas que l’avortement soit un moyen de contraception ni qu’il faille le pratiquer sans discernement. Le Judaïsme l’autorise me semble-t-il jusqu’à 40 jours après la date présumée de conception.
Tu dis : « Le Judaïsme l’autorise me semble-t-il jusqu’à 40 jours après la date présumée de conception ».
Faux. Le judaïsme ne l’autorise pas. L’avortement est autorisé seulement au cas par cas avec une autorisation rabbinique. Il est déjà arrivé des cas où des femmes violées ont obtenu une autorisation rabbinique pour avorter. Et lorsqu’elles obtiennent l’autorisation, il est très fortement recommandé que ça se passe durant les 40 premiers jours.
Hé bien, voici un avis très tranché !
J’ai été cette « conne de bonne femme » qui a fumé pendant sa première grossesse. A cette époque il n’y avait aucune mise en garde concernant les méfaits du tabac. Les médecins recevaient leurs patients (et patientes) la cigarette au bec. C’est une époque bien lointaine et personne ne savait dans le grand public qu’il y avait danger à fumer. Ce n’est plus le cas, heureusement, aujourd’hui.
A contrario il n’est plus concevable qu’à notre époque de tels faits se reproduisent compte tenu des campagnes de préventions. Cependant trop de prévention tue la prévention et il me semble qu’il faudrait revoir la manière d’informer le jeune public.
Cher Alexandre, je comprends bien sûr votre prise de position mais je tenais juste à vous montrer que parfois on agit sans savoir qu’on se met en danger et surtout qu’on met les autres en danger.
A propos, je ne fume plus depuis bien longtemps …..
Pardonnez-moi si j’ai pu paraitre insultant.
Lorsque j’ai prononcé l’expression « conne de bonne femme », je voulais bien sûr cibler les femmes qui ont été informées des dangers du tabagisme passif.
Il est d’ailleurs ridicule de mettre sur le même plan les campagnes de santé actuelles avec celles d’il y a trente ans.
Pour lma part, je considère que la meilleure des préventions, c’est celle donnée dans les faits par l’entourage.
Cher Alexandre, j’ai tout à fait compris ce que vous vouliez dire et je ne me sens pas insultée. D’autant que ma fille aînée a 51 ans et donc que les campagnes de prévention contre le tabagisme, à l’époque, n’existaient pas. Pas plus d’ailleurs que les moyens de contraception ……
Mais je suis contente d’avoir connu cette période, ça forgeait les caractères et permettait de prendre de vraies responsabilités dans ses choix.
Ceci dit, je suis dans l’ensemble assez d’accord avec ce que vous écrivez.
Des centaines de milliers d’avortements chaque année rien qu’en France !
A ce niveau là, justifier l’embryocide de masse par l’exemple de la femme enceinte de son violeur, c’est une inconséquence qui relève du fantasme sordide.
Je pense qu’il faut conserver le droit pour les femmes ou les couples d’avorter mais les « pro-avortement » oublient de signaler le principal effet secondaire d’un tel acte : la dépression. Mais chut…on ne remet pas en cause…ne serait-ce qu’en partie les grandes avancées de la gauche et des associations féminines.
Depuis toujours, l avortement s est pratiqué. Être mère c est naturel mais ce n est pas forcément une fin en soi ni une joie pour certaines. Je vous rappelle que beaucoup de femmes sont mortes de septicemie après avoir fait ou s être fait des avortements » sauvages ». Sans compter le nombre de médecins vicelards qui faisaient des curetages à vif après un avortement clandestin pour leur » apprendre à vivre ». Tout le monde s est toujours attribué le ventre des femmes: les religieux ( donc ceux qui se prétendent détenteurs de la Vérité), les maris brefs les mâles. Il est temps, une fois pour toutes, de respecter celle qui met au monde et qui seule, sait très bien si elle doit donner la vie ou non. En revanche, il est triste de constater que cela sert de contraception pour certaines. Très souvent, elles sont issues du Maghreb, d Afrique. Cela est inquiétant.30 ans après, nous n avons pas trop progressé.
vous êtes sûre du maghreb ? je croyais que les muzz voulaient conquérir le monde par le ventre de leurs femmes!!!
Merci M. Grumberg, en quelques mots vous résumez la fausseté du débat.
L’avortement, présenté comme une conquête des droits des femmes, consiste à supprimer une vie humaine, mais cela il est interdit de le dire.
Vous conseillez quoi aux personnes prenant des médicaments tératogènes depuis dix ans? Ça m’intéresse.
Au fait, on fait quoi, pour toutes les nullipares ne supportant pas la pilule et auxquelles on refuse de poser un D.I.U? Savez vous qu’il y a des docteurs qui refusent de prescrire la pilule à des femmes si elles refusent un frottis? Vous avez des idées? Je prends.
Préservatif ou changer de médecin, selon la situation.
Abstinence et lecture de la Bible 😉
Penser aussi à l’implant contraceptif (très efficace)
A titre professionnel il m’arrive de pratiquer des IVG. Je suis en mesure d’attester que les motifs allégués sont le plus souvent assez vagues : « trop tôt », « pas le bon moment », oubli de pilule voire négligence dans le renouvellement d’une contraception… Le viol apparaît comme une cause absolument marginale. Cependant l’impact de l’avortement (culpabilité) sur celles qui y ont eu recours n’est pas négligeable. Il affecte curieusement plutôt celles qui n’ont rien « à se reprocher » (grossesse sous stérilet, sous pilule correctement prise…).
Sur un plan plus fondamental, il est facile d’observer que le début de la vie intrautérine se caractérise par une communauté d’existence entre la mère et l’enfant qu’elle porte, l’un pouvant pour diverses raisons mettre en jeu la vie de l’autre (le plus souvent dans le sens mère/enfant concernant l’avortement, parfois dans le sens enfant/mère en cas de pathologie gravidique très sévère).
comme ça au hazard
l’exception n’est pas la règle
que penser d’une femmes aux avortements multiples ?
tiens curieusement, en France il y a autant d’avortements que de nouveaux migrants qui arrivent chaque année. (comparaison des nombres !….)
rien à voir ?…………………….
N’hésitez pas à aller au bout de votre pensée petitjean.
Les petits points « …………….. » ont aussi leurs limites, au même titre que la réflexion.
D’ailleurs plus il y en a, plus la prudence est de mise!
Sans jugement aucun, je voudrais juste porter à votre connaissance ce que dit la MICHNA au sujet de la fausse-couche (ou avortement). Je rappelle que la MICHNA a été écrite il y a plus de 2 000 ans. C’est l’ensemble des Lois de la THORA qui traitent de la pureté de la femme :
« La fausse-couche jusqu’au 40 ème jour n’est pas considérée comme une naissance. Le quarante-et-unième jour, l’embryon est considéré comme de sexe masculin ou féminin et il y a impureté ».
Je précise également que dans le Judaïsme, l’on assimile souvent le mot « Pureté » à la « Vie » et le mot « Impureté » à la « Mort ».
(suite) et c’est pour cette même raison (Pureté ou Impureté), que l’on ne fait jamais rentrer de cadavres dans une Synagogue. En effet, une Synagogue est un Lieu de Vie, et un cadavre appartient au Monde des Mort. L’on attache une distinction particulière entre ces 2 mondes.
Et un Rabbin qui aurait touché un mort, doit passer par un processus de purification avant de pouvoir toucher de sa main les Rouleaux de la Thora, sous peine de souiller et de rendre impure dans son ensemble les Rouleaux de la Thora qu’il aura touchés après un contact avec un mort sans s’être purifié.
D’ailleurs un COHEN (qu’il soit Rabbin, Charcutier ou Enseignant) n’a pas le droit d’aller au Cimetière, sauf pour l’enterrement de leurs proches et il existe un grand nombre de Lois à respecter pour les COHEN, Lois qui ne concernent pas les autres Juifs.
Tu dis « Et un Rabbin qui aurait touché un mort, doit passer par un processus de purification avant de pouvoir toucher de sa main les Rouleaux de la Thora, sous peine de souiller et de rendre impure dans son ensemble les Rouleaux de la Thora qu’il aura touchés après un contact avec un mort sans s’être purifié. »
On m’a toujours enseigné que les Sifrei Thora ne peuvent jamais contracter l’impureté (en vertu du verset : « Et ma parole n’est-elle pas comme du feu ? », or le feu ne contracte jamais l’impureté). D’ailleurs on m’a enseigné qu’une femme nidda a le droit, d’après la loi stricte de toucher un Sefer Thora. Je me dis qu’il doit en être de même pour quelqu’un qui a touché un mort (mais je n’ai pas de certitude là-dessus).
promotion de l’avortement banalisé et transfert massif de populations aux familles nombreuses = même combat mortifère pour le modèle occidental
Depuis 30-40 ans, il aurait été beaucoup plus intelligent d’octroyer un salaire mensuel à toute femme désirant faire et élever ses enfants ; car élever des enfants est un travail à plein temps, mal considéré mais oh combien positif pour la nation. Mais les politiciens avaient tout prévu autrement de longue date.
Il y a 2 ans, une étude avait été faite aux U.S.
Si l’on prenait en compte, qu’une Mère de Famille au Foyer avec 3 enfants est à la fois :
. Psychologue
. Femme de ménage (linge, chambre des enfants)
. Infirmière pour les petits bobos
. Institutrice ou Enseignante suivant l’âge des enfants
. Chauffeur
. Cuisinière
. Gestionnaire du budget, donc Comptable
. Dirigeante de sa famille, donc PDG d’une petite entreprise
. Secrétaire accessoirement
. Contact avec les enseignants
etc.
Si l’on tient compte du fait qu’elle travaille en moyenne 12 H par jour et qu’elle n’a pas de congés,
En prenant chacun de ces salaires, en les répartissant au prorata, et en payant cette femme pour 8 H de travail par jour, le reste étant rémunéré en heures sups (le double lorsqu’elle se réveille la nuit pour calmer un enfant qui a fait un cauchemar) et bien cette femme devrait toucher l’équivalent de 18 000 US$ de salaire par mois.
Euh, cela suppose que le fait d’avoir des enfants est un travail et non pas un plaisir, le résultat d’un désir, vous ne pensez pas ?
Vous êtes sérieux ?
Si c’est une blague, elle est excellente!
Pour rester dans le 2nd degré!
A quand une étude sur la « bankability » des vieux en maisons de retraite ? Dans le style:
– ils remplissent trois couches par jour, soit l’équivalent de fumier produit par une famille moyenne: 20$
– Engraissage du secteur pharmaceutique: 100$
– ils font tourner l’industrie de la série B (créneau 13h30- 16h30), là ça va vite chercher dans les millions! On va dire 2M, en regardant à la baisse.
– etc
Merci à vous, de la déconnade gratos! rien de mieux
l’avortement ne concerne que les femmes!
de quel droit les hommes osent ils se prononcer
sur quelque chose qui ne concerne ni leur corps,
ni leur avenir,ni leur capacité à vouloir ou pas un enfant!
qu ils se fassent castrer s’ils ne sont pas contents
ça évitera les avortements!
Tiens, une chienne de garde 🙄
Je suis un homme et je me sens concerné par cela. Pas opposé à l’avortement, en revanche j’estime qu’il serait mon droit que mon avis soit demandé sur les conditions d’autorisation et d’encadrement de l’avortement.
Oups…j’oubliais votre question, de quel droit? En tant que contribuable, contribuant au financement des avortements, j’estime avoir un droit de regard sur ce sujet et d’avoir un modeste avis.
C’est très curieux,on parle d’avortement du droit des unes à faire ce qu’elle veulent,c’est à dire à ne pas « héberger un enfant non désiré » et des autres le droit de donner leur avis en tant que contribuables.
Est-ce que vous vous rendez compte que c’est d’un enfant dont il s’agit,et qu’à lui personne ne lui demande son avis et personne ne le défend.
Il y a quelque chose de sûr c’est que si dans certains cas l’avortement peut être toléré,il est bien évident que les pères doivent être consultés car l’avortement ne concerne pas que les femmes,il concerne aussi les hommes et surtout les enfants.
Quant à dire que l’embryon ou le fœtus n’a pas de droit c’est faux l’enfant conçu hérite.
Le problème éthique est bien-entendu prioritaire mais le facteur financier peut tout aussi bien être abordé et intégré au débat. Pas d’avortement sans équipe médicale, et pas d’équipe médicale sans moyens financiers.
Bref, ma position (qui peut évoluer d’ailleurs) à ce sujet : oui à la possibilité d’avorter mais à la condition de ne pas la promouvoir, d’offrir des solutions alternatives à ces grossesses non désirées et d’inciter les femmes ou couples ayant eu recours à l’avortement, un suivi psychologique car chez beaucoup de personnes la culpabilité ou le regret ronge les personnes ayant précipité leur décision.
Concernant le « de quel droit? », j’ajouterais que mon avis personnel est que tout avortement détruit une vie à partir – au moins – du moment où le cerveau se développe. On a le droit d’être un peu, franchement, pas du tout, pour ou contre de la même manière que l’on a le droit de discuter et légiférer sur les homicides, la légitime défense, l’autodéfense, etc
Mais je suis quand-même d’accord avec vous, pas opposé à l’avortement, car le refuser serait pire. Beaucoup de ceux qui postent ici ont oublié ce qu’était la situation avant 73 (cf. rappel utile de loupiotte).
A mon avis :
viol ==> OK
enfant malformé ==> OK (que personne ne dise qu’avoir un trisomique ce n’est pas comme avant s’il ou elle n’en a pas un et d’autre part, il n’y a pas que des trisomiques, il y a aussi de véritables monstres qui ne progresseront jamais)
détresse financière ou familiale (mineure subissant un risque de violences) ==> OK, mais en proposant une alternative d’abandon pour adoption
le reste (confort, forme de contraception) ==> pas interdit, mais aucune aide financière et aucune autre obligation pour les médecins qu’une information insistante sur la contraception.
Complètement d’accord avec vous Marc. Il me semble qu’il faut aborder ce problème de cette manière. Cela me semble le compromis le plus adapté pour notre société.
Qu’il est mignon.
Petite nuance de taille : il n’existe pas de groupes « pro-avortement » mais uniquement des militantes et militants pro-choix. Et le choix, au final, n’en déplaise à certains, il revient à celles dont le corps sert à la reproduction humaine. Donc les femmes. Si d’aucuns ne sont pas d’accord, qu’ils trouvent un moyen autre d’avoir des enfants. Mais certainement pas au corps défendant des femmes. Un enfant, oui : si je veux, quand je veux. Même la plus ancienne religion monothéiste admet ce droit. Tout le reste n’est que nostalgie d’une époque où le corps des femmes était encore complètement sous le contrôle de vous savez qui. Pour rappel, la loi Veil a visé à légaliser une pratique qui se produisait (se produit et se produira) de toute manière, mais dans des conditions qui mettaient en danger la vie de femmes qui rejetaient leur grossesse et au profit de quelques médecins sans scrupules qui traitaient ces femmes comme des moins que rien en leur volant leur argent… Rappelons aussi que l’avortement n’est pratiqué qu’après entretien et que le médecin a toujours possibilité de se réfugier derrière une clause de conscience. A contester ce droit fondamental (disposer de soi comme on l’entend), on s’achemine vers un retour vitesse V au moyen-âge. Dernier point : un embryon n’a aucun statut juridique jusqu’à 6 mois de grossesse, date à laquelle il devient foetus et où l’avortement est de toute manière interdit (10 semaines d’aménorrhée est la limite légale en France).
Et à en abuser, on se dirige tout droit vers le « meilleur des mondes » et son eugénisme, ce qui d’ailleurs se met doucement en place dans certains pays d’Europe.
Et eugénisme qui, vu cette autre phrase de votre post :
, ne doit probablement pas vous faire plus peur que ça : si je veux, quand je veux, comme je veux.
« le choix revient à celles dont le corps sert à la reproduction humaine » qu’en termes poétiques ces choses là sont dites!!!!!!!!
Je ne peux pas m’empêcher de penser à ce brave homme qui écrivait que le ventre des femmes était un champ qu’il convenait de labourer…
« disposer de soi comme on l’entend » et vive l’égoïsme.
Mais ne vous inquiétez pas bientôt on n’aura plus besoin des femmes pour avoir des enfants et comme dit « Gally » ce sera le meilleur des mondes!
Si pour vous c’est cela la libération de la femme alors il y a de quoi s’inquiéter.
Un enfant si je veux, quand je veux : vous parlez d’un être humain !
Et le choix que vous évoquez, c’est celui de supprimer une vie !
Bravo de votre courage. A bas l’obscurantisme qui sévit dans ce forum.
Vous avez parfaitement raison,nous nageons dans l’hypocrisie.
Quand la commission éthique s’est posé la question avec des trémolos de savoir quel serait le sort des embryons et quel serait leur statut juridique,j’avais rappelé à quel point il était paradoxal d’accorder un statut juridique à l’embryon alors que dans le même temps on le refusait au fœtus.
L’enfant à naître peut hériter,s’agit-il de l’embryon ou du fœtus?
Les arguments en faveur de l’avortement me semblent complètement dépassés,c’était un problème,ça ne l’est plus dans la mesure où la contraception s’est banalisée et où toutes les jeunes femmes sont parfaitement informées.
L’avortement doit être une exception et non pas une règle car il s’agit bien de supprimer un être vivant et c’est une très grave décision.
On peut répondre,oui mais le viol,c’est vrai,mais c’est une décision tellement personnelle et généralement cela intervient aussitôt après les faits en même temps que les soins au service médico-légal(pilule du lendemain).
Quant à l’enfant non-désiré,c’est tellement choquant,on en parle et on agit comme si il s’agissait de renvoyer un colis qui ne convient pas.
On peut faire une erreur une fois,oublier,mais quand on commence à parler de convenance personnelle,alors là on peut commencer à se poser des questions…
Certains écrivent la femme doit être libre « d’héberger dans son corps un enfant non-désiré »,la formulation est abominable,donc libre de sa fécondité,c’est le cas actuellement.
Je pense qu’il est bon de rappeler que pour être libre il faut d’abord être responsable et quand on joue avec l’existence ou la non existence d’un « petit d’homme » ça ne peut pas être pour des motifs égoïstes,c’est beaucoup trop grave.
+1
Bonjour à tous,
Heureusement que Bestof remet les pendules à l’heure en matière de viol et d’interruption de grossesse ! Si la personne concernée, malgré le trauma attend de réfléchir pour savoir si l’origine est bien un viol, cela relève plus de la psychiatrie que du planning familial! Dans l’immédiateté après le viol, supposé ou non, tout au moins chez nous, la pilule du lendemain apparaît comme efficace au premier chef… Me trompe-je mesdames?
et oui Castougne!
Je suis d’accord avec vous avec toutefois une réserve : de très jeunes filles, (parfois à peine ados) sont parfois violées et se trouvent enceintes. Que faire alors ? Je n’ai pas la réponse mais cela pose un grave problème de responsabilité de leur tuteur légal sur la décision à prendre.
@ Gally : quel problème vous pose l’avortement? Cela se passe sans votre accord, c’est ça? Alors regardez les choses avec un peu de distance : croyez-vous que les femmes ont attendu les hommes, leur avis et des lois pour avorter? Connaissez-vous l’usage de l’aiguille à tricoter? Savez-vous quels prix pratiquaient des médecins marrons avant 1974 pour avorter des malheureuses désespérées qui se suicidaient sans cette ultime solution?
Accord des hommes (sexe masculin) ou pas, lois ou pas, ce phénomène existe : avec tous les risques que supposent des pratiques clandestines (ventres perforés, surinfections, décès, enfants haïs, abandonnés, rejetés, médecins marrons pratiquant tarifs honteux et, comme quelqu’un l’a dit plus haut, curetages à vif).
Alors de grâce, pas de combats d’arrière-garde dignes d’ayatollahs : si l’embryon n’est pas encore une vie (et il ne l’est pas légalement : renseignez-vous), si nous sommes d’accord pour reconnaître qu’une grossesse non voulue est un problème en soi, soyons honnêtes comme l’a été Simone Veil en 1974. Encore une fois, ce n’est pas une loi pro-avortement mais une législation pragmatique qui part de l’observation de la réalité de terrain (souvent bien éloignée des aspirations de certains).
Enfin, le slogan féministe « un enfant si je veux, quand je veux » n’a jamais eu de sous-entendu eugéniste contrairement à ce que vous affirmez. D’abord cela serait bien difficile : comment vous y prenez-vous? Passez-vous commande avec demande d’échantillon avant conclusion de l' »achat »?
L’avortement n’a rien à voir avec de l’eugénisme mais tout à voir avec la recherche d’une maternité voulue et donc heureuse.
Je suis bien déçue, moi qui lis quotidiennement Dreuz parce qu’il soulève de vrais débats sur l’avancée d’une certain intégrisme religieux, de lire ici pareilles affirmations.
Je me souviens avoir lu sous la plume d’André Chouraqui que l’avortement était acceptable à ses yeux de spécialiste de la plus vieille (et à mes yeux la plus respectable) des religions monothéistes pendant les 40 jours suivant la conception : alors quoi?
Si le Judaïsme, pourtant patriarcale, et la plupart des législations occidentales tombent d’accord pour considérer qu’il existe une période pendant laquelle une femme a le droit de refuser une grossesse, vous vous feriez plus royalistes que le roi?
Fichtre!
Le procès d’intention, l’arme des lâches, des gauchistes et en général de ceux qui savent qu’ils ont tord…
L’avortement ne me cause pas de problème particulier quand il est fait pour raison médicale, pas plus dans les cas, rarissimes mais montés en épingle par les pro-« choix », de viol (comme l’a noté un intervenant, la pilule du lendemain, ça existe effectivement, mais une personne violée peut pour des raisons assez évidentes se retrouver dans le déni). Par contre, quand il est utilisé pour le confort personnel, en guise de contraception ou autre,…
Et si la loi définissait, comme c’est le cas dans certains pays, que vous ne valez que la moitié d’un homme et que vous n’êtes que son champ de labour, utiliserez vous la même argumentation spécieuse ?
Remarquons ceci dit que vous vous réfugiez derrière cet argumentaire sans relever les remarques qui vous ont été faites sur les dérives qui ont eu lieu dans plusieurs pays d’Europe présentés comme « en avance » et qui maintenant parle de légaliser le meurtre de nourisson sous le nom d' »avortement post accouchement » : significatif tout en étant bien peu étonnant 😉
C’est le pragmatisme et l’observation des réalités de terrain qui a fait passer le nombre d’avortements clandestins de 1 million à 150.000 ?
Notons de plus que vous vous raccrochez à l’argument « année 70 -avortement clandestin – gnagnagna » sans jamais répondre aux personnes, nombreuses, qui vous ont bien fait remarqué que la situation, niveau contraception, n’est certainement pas la même en 2012 qu’en 1974 : cela aussi, c’est significatif et peu étonnant.
Devenir puante de mauvaise foi (puisque cela se fait déjà, et vous le savez bien), c’est censé démontrer que vous êtes de bonne foi, ou que vos arguments sont valides ?
Et arrêtez de ramener le judaïsme, ou tout autre religion d’ailleurs, à laquelle vous ne connaissez strictement rien (il suffit de lire les 3 mots que vous posez à ce sujet pour se rendre compte que la seule mesure pour définir votre ignorance est le mot « astronomique », en étant généreux) en justification de votre argumentation qui remplace les arguments par la hargne et le procès d’intention.
Sur ce, inutile de tenter de me ressortir une telle « réponse », je n’ai aucune intention de « débattre » avec quelqu’un qui ment, omet ce qui la dérange pour baser son « argumentaire » ou décide à ma place ce que je suis censé penser.
Juste une petite précision : le Judaïsme n’est absolument pas Patriarcal. C’est l’Islam qui l’est. Le Judaïsme offre une Grand Place à la femme dans la mesure où c’est ELLE qui transmet le Judaïsme. Tout enfant né de Mère Juive est Juif d’après la Halacha = Ensemble des Lois Juives. Par contre un enfant qui s’appellerait par ex. LEVY parce que son Père est Juif, mais dont la Mère n’est pas Juive, ne sera pas considéré comme Juif au niveau de la Halacha. Et s’il choisit le Judaïsme comme Religion, il devra suivre un processus de Conversion au Judaïsme.
Donc le Judaïsme est Matriarcal.
seulement depuis le retour d’exil…
Vous dites : « seulement depuis le retour d’exil ». Cette remarque fait-elle référence à la phrase « le Judaïsme est Matriarcal » ou bien à la phrase « …Et s’il choisit le Judaïsme comme Religion, il devra suivre un processus de Conversion au Judaïsme. » ?
S’il s’agit de la phrase « le Judaïsme est Matriarcal », sachez que la matrilinéarité trouve sa source dans le Deutéronomé chapitre 7 verset 4. (Il faut également lire le verset 3 pour comprendre le verset 4). La matrilinéarité est indiquée dans le verset 4 de façon implicite (voir le commentaire de Rashi pour comprendre en quoi ce verset nous enseigne la règle de matrilinéarité).
S’il s’agit de la phrase « …Et s’il choisit le Judaïsme comme Religion, il devra suivre un processus de Conversion au Judaïsme. », sachez que même avant le retour d’exil de Babylone, un enfant de père juif et de mère non juive devait se convertir. Mais il me semble que les conditions permettant de valider une conversion ont évolué au fil du temps, suivant la culture environnante. Mais toutes les conversions ont en commun qu’elles doivent obligatoirement posséder les étapes suivantes (circoncision, et immersion dans le mikwé).
bravo, tu as bien appris ta lecon.
allons pas d hypocrisie!
le judaisme est transmis par les femmes par
manque de confiance en leur fidélité!!
même la veille de l’accouchement, le foetus n’est toujours pas considéré comme une vie humaine à part entière!
Ca vous convient ce genre d’ineptie?
Légal ne veut pas dire légitime.
50 ans après la Pilule, et à part les avortements justifiés (viol d’une jeune fille ou jeune femme fertiles, ou problème médical inattendu) il n’existe pas d’excuse à l’avortement.
Ce « mode de contraception » est le fait de débiles et/ou folles hystéro-psychotiques-états limites et sont du ressort de la psychiatrie….. qui n’y « peut-mais »…d’ailleurs…..hélas….
Cette « tolérance » était licite théoriquement jusqu’à la maturation des jeunes filles et garçons des deux décennies suivant l’invention de la pilule, soit jusqu’en 1980/90(?)…Mais depuis, elle est une ineptie technique, morale et sociale….
Tout simplement bravo Mr GRUMBERG. C’est court et percutant.
Il est bien curieux de lire tous ces commentaires qui pour la grande majorité sont écrits par des gens qui n’ont pas une seule fois dans leur vie été confrontés à ce problème. Il est toujours facile de critiquer le voisin. Mon couple a connu ce choix difficile lors de l’annonce d’un quatrième enfant non désiré. Les grincheux hurleront à la mort en me disant que nous avions qu’à prendre nos précautions, c’est exact, mais la décision à été prise à deux, après mûre réflexion. Personne n’a fait de dépression et j’avoue que j’em….. ceux qui me critiquent, qu’ils balaient devant leur porte avant. Je vous accorde que notre athéïsme total nous a certainement aidés, mais peu importe, si c’était à refaire nous le referions sans aucune hésitation, et si une de mes filles se trouvait un jour devant un tel choix, elle trouverait chez nous le plus fort des soutiens.
quelle arrogance pour un problème humain si sensible, quelle tristesse, on croirait lire un représentant en tupperware.
Il faut de tout pour faire un monde, des représentants en tupperware et des représentants en contes de fée…
Bien dit M. l’Abbé, puisque nous en sommes aux exemples, j’ai été moi aussi personnellement confronté à la question, et aujourd’hui plus de 20 ans après j’en ai un profond regret, et mon épouse aussi. Et il ne s’agit pas là du fameux traumatisme post-ivg, nous n’avons fait de dépression ni l’un ni l’autre (et d’ailleurs cet argument des anti-ivg m’énerve) il s’agit de la conscience d’avoir supprimé la vie.
Entierement d’accord avec vous, le choix est strictement personnel et se fait dans le couple.
« …ces commentaires qui pour la grande majorité sont écrits par des gens qui n’ont pas une seule fois dans leur vie été confrontés à ce problème. »
Vous croyez-vous une exception en matière de grossesse non désirée, par hasard ? Je crois au contraire que les réponses des commentateurs à qui la question de leur expérience en ce domaine serait posée balaieraient votre affirmation.
Et il ne s’agit pas de « critiquer », ce qui est fait est fait, c’est trop tard. Il s’agit de constater que la conscience du public commence sérieusement à se réveiller après un demi-siècle d’aveugle croyance en un mythe qui s’est effondré : l’avortement était amené à disparaître graduellement du fait de l’éducation sexuelle partout répandue et de la mise en place de moyens de contraception – au lieu de quoi le nombre d’avortements a explosé pour atteindre actuellement 115,000 par jour. Dans ces conditions il ne faut pas s’étonner que le public reconsidère la question.
VOICI UN ELEMENT IMPORTANT A VERSER AU DOSSIER DE CETTE DISCUSSION!
http://www.lalibre.be/actu/international/article/755986/la-grossesse-apres-un-viol-est-tres-rare.html
CELA FAIT REFLECHIR SUR LES 7 MILLIONS D AVORTEMENT EN FRANCE DEPUIS LA LOI WEIL QUI REPRESENTE UN GENOCIDE MODERNE.
Quelle mouche rendue enragée par la canicule vous a donc piqué, JPG, pour aller ressortir ce vieux serpent de mer, ou pour parler le jargon des journaleux, ce « marronnier » qu’est l’avortement ?
Tout a été dit et même plus que cela, entre 1967 et 1975 à propos des douloureux et difficiles problèmes que sont la contraception et l’avortement…
Les décisions qui ont été prises, loi Neuwirth le 29 décembre 1967 et loi Veil en 1975 ne sont absolument pas des « avancées gauchistes » : ni Lucien Neuwirth ni Simone Veil ne se situent « à gauche ». Ce sont des lois de bon sens, destinées à corriger une situation sur le terrain bien plus choquante : quand une femme « tombait » enceinte contre sa volonté, avant la pilule, (et même après, parce que la pilule n’était pas gratuite) soit elle avait les moyens de se payer un voyage à l’étranger, soit elle se payait un avortement en France au prix fort, soit elle se « débrouillait », avec les conséquences parfois dramatiques que l’on connait.
Aucune de ces solutions n’était satisfaisante : injustice, profits malhonnêtes de certains membres du corps médical, danger mortel, humiliation pour les plus pauvres.
On peut raisonnablement s’attendre et redouter que ce réalisme courageux soit attaqué par la loi des « barbus » qui se profile hélas à l’horizon.
Mais vous venez de nous prouver aujourd’hui que tous les barbus sont dangereux et rétrogrades, même ceux qui partent en guerre contre les barbus d’en face ….
Il n’y a donc pas aujourd’hui de problèmes plus urgents et plus cruciaux à soumettre à notre réflexion que cette « bouteille à l’encre » où tous les clichés ressortent comme des automatismes, sous la plume de gens qui n’ont sans doute jamais été confrontés à ce douloureux problème. Vous me décevez, JPG !
Déçue par cet article extrémiste, cela ressemble en quelque sorte à du « talibanisme prétendument « pro-vie » dans un total irrespect du vécu des femmes ! je ne croyais pas Dreuz Info capable de publier un tel article ! De quel droit culpabiliser les femmes de cette façon ? Diriez-vous la même chose aux femmes afghanes violées chaque jour par leur taliban de mari ? Autant j’apprécie les autres articles, mais là je dis NON.
ça c’est un scoop: ceux qui veulent défendre la vie sont des talibans!
(pourquoi pas des terroristes kamikazes)
ceux et celles qui préfèrent respecter la vie sont dans l’irrespect de ceux et celles qui choisissent la mort…et quoi encore?
Qui sont les extrémistes?
Vous ne m’avez pas comprise. J’ai les taliban en horreur mais n’ai ni l’envie ni la possibilité de vous l’expliquer en détail, qui plus est du fait que vous semblez plutôt faire mine de ne pas comprendre. Je voulais juste dire que l’avortement est un droit, une possibilité légale et qui devrait être autorisé pour les femmes afghanes victimes des viols quotidiens perpétrés par les taliban. J’espère être bien comprise cette fois.
Je suis trés surpris de lire autant de réactions enflammées sur ce sujet….J’imaginai ce vrai probleme réglé et la loi adoptée acceptée par une trés grand majorité…il semblerait que non.
La question à laquelle il reste à répondre sans ideologie et sans dogme religieux est : le foetus est-il un ètre humain ?
Les réponses apportées ici sont soit religieuse,soit morales,soit méme scientifique …pour cette derniére, je doute bcp
Trés bon débat inhabiuel et inattendu.
Bonne soirée à tous quand méme.
ne doutons pas trop longtemps, à ce rythme, il n’y aura plus personne en vie
La loi a été prise à la hâte, pour de mauvaises raisons, avec des arguments mensongers, et l’application qui en est faite aujourd’hui pose de véritables et graves problèmes éthiques : comment voudriez-vous que la question soit réglée ?
Ouf merci Gérard, il me semble que vous aviez déjà dit tout cela sur une autre page ici, mais ce sont des VERITES qu’il est toujours bon de rappeler.
Fumer aide à prévenir le cancer du poumon
Chaque année, des milliers de médecins et autres membres de l’ « Inquisition Anti-Tabac » dépensent des milliards de dollars à perpétuer ce qui sans questionnement est devenu le scandale d’ingénierie sociale le plus trompeur mais réussi de l’histoire.
Avec les encouragements de la plupart des gouvernements occidentaux, ces lobbyistes Orwelliens poursuivent les fumeurs avec un zèle fanatique qui éclipse complètement la ridicule débâcle de la prohibition de l’alcool américaine, qui débuta en 1919 et dura jusqu’en 1933.
La suite….
http://evolutionquebec.com/site/sante/tabac.html
June, les fumeurs sont des nazes. Ils nous incommodent avec leur cigarette qui pue, pas besoin d’être expert pour le savoir. Il n’y a même pas besoin d’évoquer la question du cancer.
La liberté vue par les fumeurs ressemble à celle des printemps arabes vue par leurs promoteurs islamistes radicaux.
Quand j’étais étudiante en médecine, avant la loi Weil, j’ai vu dans le service de maternité où j’étais en stage, une femme mourir du tétanos (une mort absolument horrible par épuisement progressif dans des contractures terribles ) suite à une tentative d’avortement avec des aiguilles à tricoter, une autre de septicémie suite aux bricolages infects d’un avorteur, une petite jeune fille de 14 ans, enceinte des oeuvres de son père, qui avait raté sa tentative, obligée de garder sa grossesse et murée dans le silence…et tant d’autres.
Lorsque la loi Weil est sortie, j’ai ressenti comme un immense soulagement. C’est ainsi.
Je vois à ma consultation des femmes que je ne juge pas. Certaines ont cru faire le bon calcul de la période féconde et se sont trompées ; d’autres avaient une contraception qui a été mise en échec (cela arrive avec la pilule correctement prise), d’autres n’ont pas de contraception et ont commis une imprudence qu’elles regrettent amèrement (l’erreur est humaine). Je comprends la femme qui ne veut pas d’une grossesse lorsqu’elle a de grosses difficultés de couple même si elle a le tort de n’avoir pas utilisé de contraception. Je comprends la petite jeune fille de 16 ans sans repère (tellement fréquent), qui découvre la sexualité par hasard, à qui ses parents n’ont rien appris, rien expliqué, qui n’est pas capable de se diriger elle-même dans la vie.
Il arrive -le plus rare- que ce soit une jeune femme qui utilise l’interruption de grossesse comme une contraception: là je ne me retiens pas de dire le fond de ma pensée, ce qui ne sert d’ailleurs pas à grand chose, tant l’intéressée est remplie de son « droit à ».
Je terminerai en disant que pour la grande majorité des femmes, la décision est difficile à prendre, douloureuse, et qu’elles pleurent souvent devant moi. Des femmes qui ensuite portent en elles une grande culpabilité j’en ai rencontré, mais assez rarement je dois dire.
Je pense qu’il n’y a pas à avoir d’idées toutes faites sur ce douloureux problème, mais à se battre comme je le fais pour que la contraception soit mieux comprise et mieux appliquée. Et surtout que chaque parent s’occupe de l’éducation de son enfant afin que chaque décision importante de sa vie, il la prenne en en mesurant les conséquences.
Bonjour,
Merci Erinye pour votre post de bon sens…toutes les belles idées se frottent au vécu un jour…j’ai connu cette époque dite avant la loi
Weil…que de souffrances pour ces femmes bien souvent dans un désespoir total…il n’en reste pas moins que malgré cette fameuse émancipation des femmes,leur libre-arbitre n’est jamais facile à assumer…je les regarde tjrs avec bcp de compassion et pour rien au monde,je voudrai étre à leur place.
Je vous souhaite une bonne journée.
Bien cordialement.
qui va croire qu’aujourd’hui une jeune fille de 16 ans ne sait rien de la sexualité?
Alors que quantités d’ados de 13-15 ans se passent déjà des séquences porno sur leurs portables dans les cours de récré?
Il faut une éducation sexuelle (à l’école et en famille) respectueuse des valeurs humaines et qui ne soit pas une incitation pure et simple à tout essayer: Le plus important est d’apprendre à des jeunes à gérer les pulsions et à ne pas brûler les étapes de leur développement physique et affectif.
Une question:
Qu’est-ce qu’un foetus?
Si c’est un être humain, alors l’avortement est un crime.
Si ce n’est pas un être humain, qu’est-ce donc? Un bout de chair? un animal?
Et par quel opération (sûrement pas du Saint Esprit), ce qui ne répond à aucune définition pendant quelques semaines, devient tout à coup un être humain ?
Je crois que quand on aura défini ce qu’est le foetus, la question de l’avortement ne se posera plus.
Merci à JPG d’avoir publié cet article qui nous rappelle que tout n’a pas été dit en ce qui concerne l’avortement.
Un fœtus n’est pas viable sans sa mère avant au moins 5 mois, cela signifie donc que, au moins jusqu’à ce moment, il n’est pas un être à part. L’activité cérébrale ne commence qu’au stade fœtale, c’est à dire à au moins 8 semaines et encore à un niveau extrêmement réduit. Elle ne devient mesurable qu’à partir de 15 semaines.
Cela, c’est votre opinion personnelle, mais la science n’a pas encore tranché la question, qui ne le sera peut-être jamais.
Certains se basent sur l’activité cérébrale, d’autres sur les battements de cœur, d’autres encore sur la formation du zygote qui contient le blueprint génétique du nouvel individu. Il y a quelques décennies, on niait que l’enfant en formation puisse réagir aux sons, ressentir la peur ou la douleur, on sait maintenant que c’est faux. Il y a une centaine d’années, on parlait de «larves», passives, inintelligentes et insensibles pour décrire les enfants jusqu’à 3 ans – c’est dire que la recherche dans ce domaine est loin d’avoir toutes les réponses aux questions qu’on se pose.
La Cour Suprême des USA a sagement refusé de se prononcer, en l’état actuel des choses, sur un sujet aussi incertain.
La seule chose qui soit sûre, c’est qu’à n’importe quel moment de la grossesse, un être humain dont les caractéristiques uniques sont déjà en place est en formation, et qu’il viendra bientôt grossir le nombre des bipèdes sur cette planète si rien ne vient l’arracher au sein de sa mère.
LA VIE EST UN CADEAU DE D.IEU, QUELLE QUE SOIT L’EVENEMENT QUI A MIS EN ROUTE L’ENFANT. L’AVORTEMENT EST UN MEURTRE. SEUL D.IEU A AUTORITE POUR LE COMPTE DE NOS JOURS. Avez-vous déjà visionné ce qu’est réellement un avortement??? L’enfant est DEMEMBRE à l’intérieur de sa mère pour être ASPIRE en plusieurs morceaux. Lorsque le médecin avorteur avance l’instrument pour percer la poche des eaux, le foetus recule le plus possible pour échapper à son triste sort! Le ventre de sa mère devient un lieu d’exécution alors qu’il devrait être l’endroit le plus protégé au monde. Qu’on ne me parle ni de viol, ni de grossesse non désirée pour justifier cette horreur. Dans le monde, il se vole des enfants, il s’achète des enfants, le trafic d’enfant est un fléau infernal, mais rien au monde ne justifiera jamais l’avortement aux yeux de D.ieu. Même pas un handicap. Qui sommes-nous pour dire QUI a le droit de vivre sur cette terre??? Le culte de soi, les vacances, la carrière professionnelle, l’épanouissement de l’être humain etc… tout cela a contribué a assoir l’idée que l’être humain être maître des sa destinée et du compte de ses jours. Mais est-ce lui qui a décidé son arrivée dans le monde? est-ce lui qui a « acheté » son corps? Non, tout cela est l’oeuvre de D.ieu. Même lors d’un viol, qui est l’horreur absolue pour une femme, la vie qui peut en découler a été VOULUE de D.ieu. Alors pourquoi ne pas LUI faire confiance pour le reste? Mais comme l’homme a décidé de tout faire par ses propres forces il lui sera toujours impossible de résoudre ses problèmes les plus dramatiques tout seul.L’enfant né d’un viol qui ne peut pas être accepté par sa mère (on peut la comprendre), peut être adopté. Cette solution n’est certe pas la panacée pour tout le monde, mais cela faudra toujours mieux qu’un meurtre. Il se trouvera toujours des parents désireux de faire le bonheur d’un enfant quelle que soit les événements qui ont marqué sa conception et sa naissance.
Ce lien pourra peut-être donné un éclairage nouveau pour ceux qui doutent encore que l’avortement est UN MEUTRE DANS TOUS LES CAS.
http://www.enseignemoi.com/video/temoignage/gianna-jessen-rescapee-de-lavortement.html
J’overlike. Personne n’est une erreur. L’avortement est pour moi un acte d’égoïsme. Regardez des vidéos sur l’avortement. Ce sont des meurtres purs et simples.
Le seul cas tolérable, c’est si la vie de la mère est en danger. Le plus grave c’est que c’est avec l’impôt du contribuable(à certains endroits), qu’on détruit l’héritage humain du pays. Quelle farce
‘Même lors d’un viol, qui est l’horreur absolue pour une femme, la vie qui peut en découler a été VOULUE de Dieu. ‘ comment peut-on dire une pareille chose ? Encore faudrait-il que Dieu, qu’un Dieu existe, totake subjectivité. Par contre, chaque être humain a droit à la vérité sur ses origines. Dans ce cas que dire à un enfant issu d’un viol ? Imaginez les conséquences d’une telle vérité ?
Un enfant n’est pas responsable des actes des barbares, les gens sont devenus des assassins en puissance et s’en prennent aux plus petits, c’est ainsi que je vois ça. Le meilleur des mondes…..
L’Église catholique a mauvaise presse, elle ramène les gens à leurs responsabilités, leur conscience? C’est plus facile de tuer, la crapulerie se répand.
Les quatre lignes de mon « article » et les 98 réponses m’apportent deux indications :
les Français élisent depuis plus de 40 ans des gouvernants qui les méprisent et qui prennent seuls des décisions de société fondamentales, comme le droit à l’avortement, l’immigration, ou, dans un genre différent, l’accueil de Jeux Olympiques payés par leurs impôts.
La raison, c’est que le fonctionnement démocratique est brisé, et qu’il n’existe pas de mécanisme pour que le peuple s’exprime, alors il se dégoûte de la chose publique et de la « politique » et vote pour celui qui parle le mieux et promet le plus.
Ouvrir un sujet sur un thème de société essentiel permet à un grand nombre de personnes d’exprimer un avis, et malgré les quelques messages injurieux que j’ai reçu en privé pour avoir osé aborder le sujet de l’avortement, je suis ravi d’avoir permis à ces personnes de s’exprimer, et aux autres d’enrichir leur point de vue des avis exprimés par ailleurs. C’est cela, le travail des idées cher à mon rédacteur en chef.
« la raison c’est que le fonctionnement démocratique est brisé, et qu’il n’existe pas de mécanisme pour que le peuple s’exprime »
Tellement vrai hélas!
Alors on fait quoi?
Un printemps français? Un printemps chrétien?
« le peuple… vote pour celui qui parle le mieux et promet le plus ».
Disons plutot qu’il ne vote plus, « le peuple ». Quel est le pourcentage d’électeurs Français qui ont voté lors des récentes élections, sans compter les islamistes ?
Il ne veut plus jouer le jeu, « le peuple », ayant fini par remarquer que les dés sont pipés. Joint à l’absence de candidats respectables, on comprend pourquoi le moteur de la démocratie en France est grippé.
J’ai mis des infos sur mon blog sur la grossesse et les témoignages des femmes qui ont avorté
http://elisseievna-blog.blogspot.fr/2012/08/images-et-temoignages-pour-un-debat-sur.html
Vous ne trouvez pas étrange quand même que pratiquement seuls des hommes s’expriment sur ce sujet (dont certains n’ont même jamais expérimenté la vie de couple)… Porter un enfant est un acte volontaire, après avoir mis au monde il faut pouvoir élever un enfant et lui consacrer du temps. Quand on voit le désastre de la démission des pères après la naissance et dans l’éducation des enfants Messieurs merci de rester modeste dans vos propos! Le spermatozoide ne suffit pas pour assoir une paternité! Militants anti-avortement, dans votre grande générosité, Adoptez donc! Il y a des milliers d’enfants malheureux dans le monde sans aucun parents pour les guider. Ca c’est du vrai militantisme!
Isabelle